En enquêtant sur les malfaiteurs d'un ancien collègue de travail... Je m'étais retrouvé à mon tour en danger et cette fois-ci, cela avait été trop loin étant donné qu'un accident de la route avait eu lieu dans un premier auquel je m'en étais plus ou moins bien sorti, suivi de deux personnes qui avaient osé s'en prendre à moi sauf que ma capacité de combattre avait été remarquable malgré les coups et blessures, mais à un moment quelqu'un m'avait tiré dessus ... Cela n'avait pas touché de point vital comme la personne avait raté, mais cela m'avait cloué un temps à l'hôpital pour m'en remettre et j'avais pu donner quelques informations à mon père qui était après tout un des plus haut gradé dans la police ... Ils avaient l'intention d'enquêter sur tout ça après tout.

J'avais eu l'autorisation de l'hôpital de sortir afin de rentrer chez moi, mais il était clair et net que reprendre le travail aussi tôt n'était clairement pas possible pour moi ... Je devais éviter les gros efforts physiques pour le moment même si marcher n'était pas trop gênant comparé à courir ou faire du taekwondo, mais bon mon épaule avait pris un sacré coup mine de rien donc ça me tirait un peu de temps en temps ... Je portais des fringues tout à fait banal comme un jean avec un t-shirt et une veste pour me protéger un peu quand il faisait froid ! En plus, certaines personnes me regardaient bizarrement comme j'avais quelques blessures sur le visage qui étaient apparent ainsi qu'un bras dans une écharpe pour le coup afin de me le maintenir pour éviter de trop le bouger pour le moment.

Je venais de prendre une intersection jusqu'au moment ou mes pas venaient de s'arrêter parce que je venais d'une voir une personne sortir de chez quelqu'un en étant bien habillé et celui-ci ne m'était pas inconnu comme nous nous étions croisé une fois ... En même temps ce jour-là cela m'avait drôlement marqué parce que le déclic d'un appareil photo le rendait anxieux, mal et en plus de ça ma plaque de police aussi n'avait pas aider comme il avait l'air de les fuir après avoir fait quelque chose de mal. Heureusement pour lui, cela ne m'intéressait pas de voir ce qu'il faisait même si cela m'intriguait un peu et surtout en le voyant sortir de chez une personne. Forcément se retrouver en face à face, cela risquait de ne pas aider parce qu'il allait croire que je le prenais en filature alors, que non... Je devais trouver quelque chose maintenant.

"Je préviens d'avance que ce n'est qu'une coïncidence notre rencontre ... Je ne pensais pas me retrouver en face de vous en tournant dans cette rue pour me rendre à un arrêt de bus afin de rentrer chez moi." que je lui disais en m'expliquant alors, qu'il n'avait rien demander et trouverait ça encore plus suspect à tout les coups, mais bon cela devait se voir aussi que j'étais blesser donc bon.

J'ai pas choisi de vivre ici. Entre la soumission, la peur ou l'abandon. Je m'en sortirai, je te le jure.

TW. « Aller reste Ziggy, reste encore un peu. Je donnerais une belle rallonge à ton mac. » Elle vient murmurer ses mots contre ta cou, alors que sa main s'égare une nouvelle fois sur ton corps fatigué, épuisé de cette nuit charnelle. Elle ne t'a pas ménagé la belle, usant et abusant de tous ses droits. Et toi tu n'étais qu'un pantin désarticulé entre ses mains. Lui offrant entre deux soupirs la jouissance pour laquelle elle te paie, ou plutôt elle paie ton mac. La nuit est en train de quitter le ciel et tu te voyais déjà rentrer à la coloc pour te laver de cette souillure qui coule sur tes cuisses, qui coule entre ses jambes. Mais voilà qu'à nouveau elle te fait prisonnier de ses lèvres, de sa fièvre. Le mac a dit oui, jamais il ne pense que toi tu aurais aimé un non. Il ne voit que le fric que cette prolongation sordide va mettre dans ses poches. Et vous voilà reparti dans une nouvelle danse sulfureuse et insolente ou vos bassins claquent avec rage. Son corps posé sur le tien, gorgé d'envie qui te dégoûte, tu lui souris. Lui faisant croire que toi aussi tu aimes. Tu la caresses, laissant tes doigts parcourir ses courbes offertes et frissonnantes, alors qu'elle vient se perdre sur les tiennes. Elle te possède plus que tu ne la possèdes et tu te laisses faire. Jouant juste le jeu de l'amant qui veut lui faire la tête. Et elle te fait pivoter pour que tu prennes le dessus. « Plus fort. Plus vite. Viens mon ange. Viens. » Soupirs et gémissements emplissent la pièce et les draps de soie reçoivent une nouvelle fois sa jouissance mêlée à la tienne. « Putain tu es le meilleur. Même mon mari ne m'a jamais donné autant de plaisir. » Elle t'embrasse mordant même tes lèvres gonflées par trop de baisers. « Ravi de te combler autant. C'est toujours un plaisir ma belle. »
Mensonge outrageux dit dans un sourire. Dans un regard langoureux.
Faire semblant. Toujours. Une question de survie.

« Faut que j'y aille. Sinon il va péter un câble même avec une rallonge. Je prends une douche et je file. De toute façon on se revoit la semaine prochaine, même heure, même lieu. » « Oui mon chou je ne louperais notre rendez vous pour rien au monde. Je vais même m'en languir toute la semaine. » Et tu sors du lit, laissant la trace de ton corps sur le matelas, pour aller dans la salle de bain. Besoin viscéral de t'absoudre de tes pêchés. L'eau répare un peu la souillure ressenti. Et une fois lavé, tu remets tes beaux habits, chemise blanche en soie et costume bleu nuit hors de prix. Le tout taillé sur mesure. « Tu es tellement beau. Même si je te préfères nu. » Beau elle ne voit que ça, mais ce n'est pas toi. Toi qui préfères tes jeans même troués et tes sweets délavés.
Là ce n'est qu'une façade, celle qu'on t'oblige à porter.
Celle qui fait de toi la pute qu'on peut baiser à longueur de temps.  
Un dernier baiser vu qu'elle le réclame, jamais ne frustrer la cliente. Et dans la poche arrière de ton pantalon, elle glisse quelques billets, profitant de la situation pour caresser tes fesses. « A la semaine prochaine. » Et tu sors enfin de la chambre, ton sourire quitte ton visage fatigué. Tu quittes l'appartement, lieu secret qui lui sert quand elle joue la femme frivole, la femme infidèle. Elle ne veut pas te recevoir chez elle, dans tout ce qui fait sa vie de femme mariée et distinguée. Mais tu t'en fous, elle fait ce qu'elle veut de son argent. La journée est bien avancée et cette idée te rend morose. Alors que tu es dans le couloir, tu reçois un sms de ton mac qui te demande ou tu en es. Et qui te dit de rentrer tranquillement quand il apprend que tu viens juste de sortir de ta nuit de tourment. Enfin pour lui de ta nuit de boulot. Sourire qui se dessine à nouveau sur tes lèvres.
Tu ne vas pas dire non à un instant de liberté.
Instant durement gagné.

Fin TW. Marcher, sans but précis, dans les dédales des rues déjà bien réveillées, avant de retrouver la coloc et les anges. Cela te fera du bien. Tu vas dénoter avec ton costume hors de prix, tes yeux cernés comme si tu avais fais la fête toute la nuit. Mais les remarques des gens, elles glisseront sur toi, comme la souillure que toutes tes nuits de débauche accumulent. Et puis tu as la permission de celui qui tient ta vie entre ses mains. Et prendre le chemin des écoliers après une nuit pareille, te sera bénéfique. Tu ouvres enfin la porte de l'entré de l'immeuble la poussant pour retrouver la lumière. Lumière qui t'aveugle un instant, te faisant cligner les yeux. Le temps qu'ils s'habituent. Tu regardes à gauche, à droite te demandant de quel côté tu vas partir. Ta veste est ouverte sur ta chemise, ce qui te fait légèrement frissonner, mais tu ne la fermes pas. Au moins tu sens que tu es vivant. Tu mets ta main dans la poche arrière de ton pantalon pour récupérer ton pourboire. Prenant conscience qu'elle t'a grassement récompensé pour ces minutes de plus. Et là tu vois une silhouette féminine qui semble t'observer. Est ce que tu la connais ? Tu ne la remets pas tout de suite, tu croises tellement de visage.
Mais sa voix.
Elle. La photographe.
Non la flic.
Tu soupires, alors qu'elle t'explique pourquoi elle se trouve là. « Je ne vous ai rien demander. Si vous ne parliez pas je ne vous voyais même pas. » Ta voix est sèche, fatiguée, tu ne veux pas te prendre la tête. Tu as juste envie de partir de cet endroit que tu devras retrouver trop vite si là tu perds du temps. Tu as envie de manger un morceau, de te poser, de respirer. Avant de retrouver l'enfer de ta vie de prostitué. Pas de débattre des circonstances d'une rencontre. Même si l'homme que la belle a croisé dans le parc, est à mille lieux de celui qui lui fait face. Mais ça te pense au dessus de la tête ce genre de détail. « Coup du hasard. N'est ce pas ? » De qui d'autre ? Sauf si elle te flique. « Vous n'avez pas votre appareil photo ? Vous êtes en service ou juste en balade ? » Même si elle t'a dit qu'elle allait à un arrêt de bus pour se rendre chez elle. Tu demandes, la méfiance revenant dans ta voix et ton regard. Parce que le hasard tu n'y crois pas trop. « Je pars dans cette direction de toute façon. » Et si c'était seule que la belle prend pour aller à son bus. Tu aurais du attendre pour lui notifier.
Les dés sont jetés.
De toute façon tu n'as de compte à rendre à personne.

♡ busan vibe ♡

Je commençais à me remettre en question sur mon avenir professionnel ... est-ce que la police était fait pour moi ? Oui ! Est-ce qu'une vie de photographe aurait pu être fait pour moi ? Oui ! En réalité, cette mésaventure me faisait prendre conscience que certains dossiers ne devaient pas être traité seul ou sinon c'était les dégâts assurés comme en ce moment et cela me faisait me sentir mal pour les personnes qui tenaient à moi ... Qiao devait être en colère de savoir que son amie s'était retrouvé à l'hôpital pendant quelques temps, mais ce n'était pas seulement lui ... Les autres devaient l'être autant ainsi que mon père qui m'avait quand même bien disputer sur cette histoire d'agir seule alors,que j'aurais pu demander de l'aide sauf que cela m'avait été impossible comme après tout cela avait été classé terminé pour mon ancien collègue ... Cependant, c'était ouvert de nouveau à cause de moi, mais ce n'était pas plus mal...

Je me rendais au niveau de l'arrêt de bus comme cela m'était impossible de prendre la voiture dans mon état et j'avais promis de faire attention à ma santé même si c'était éphémère parce que le danger rodait toujours autour de moi de toute manière ... Tant qu'ils ne m'auraient pas éliminer entièrement, je devrais faire attention à mes proches ainsi qu'à moi-même. Malheureusement, ce n'était plus l'heure de pensée à tout ceci comme je venais de tomber sur le mec qui m'avait engueuler la fois au parc à cause de mon appareil photo et de ma plaque de flic ... Et je m'étais exprimer auprès de celui-ci sauf qu'il n'avait pas tort quant au fait que si je n'avais rien dit ... celui-ci n'aurait même pas prêter attention à moi comme il ne m'avait pas vu sur le coup. "J'avais peur que vous vous mépreniez sur la situation comme on se rencontrait au hasard et que vous ne m'appréciez pas depuis notre rencontre qui a mal tourné ..." que je venais de lui sortir en le regardant.

Je réalisais que celui-ci était bien habillé comparé à la dernière fois et qu'en plus de ça, il était mignon par la même occasion sauf que ce n'était pas le moment de penser à ce genre de chose en sachant que ça n'allait pas forcément et il me demandait si j'avais mon appareil photo ainsi que si j'étais de service ou en balade. Vraiment ? Il ne voyait pas que cela m'était impossible de bouger un bras pour prendre des photos et d'être en service ? "Cela vous arrive de regarder une personne et de réaliser que cette dernière est dans l'incapacité d'être en service ou de prendre des photos à cause de coups et blessures ?" que je lui faisais comprendre en quelque sorte ! "En répondant plus sérieusement, je n'ai pas d'appareil photo ou de possibilité d'être en service au vue de mon état comme je viens de sortir de l'hôpital après plusieurs jours d'hospitalisation" que je lui disais en m'expliquant. Ce n'était pas nécessaire de m'expliquer comme il n'y prêterait pas attention, mais dans tous les cas celui-ci semblait se rendre au même endroit que moi donc en un sens cela me rassurait de ne pas être seul pour le coup même si cela ne passait pas entre nous.

"D'ailleurs... Je me demande pourquoi je m'explique comme on a rien à voir ensemble de toute façon" que je disais en me grattant le cou avec ma main libre comparé à l'autre qui ne l'était pas du tout. " Et sinon ... Je ne me suis pas présenté la dernière fois comme cela se passe mal entre nous, mais ... Je me présente In Soon même si je sais que ce n'est pas nécessaire d'en faire part comme vous en avez surement rien à faire de toute évidence." que je disais en regardant autour de moi et puis bon la moindre des politesses étaient de se présenter non ? Et surtout j'avais confirmer à deux reprises que ce n'était qu'une simple coïncidence pour cette rencontre ... Je n'avais pas demander à le croiser ou quoi que ce soit.

J'ai pas choisi de vivre ici. Entre la soumission, la peur ou l'abandon. Je m'en sortirai, je te le jure.

Tu devrais savoir à force que ta vie n'est que brimades, cascades d'horreur, chutes effroyables. Rien ne changera. Surtout si tu acceptes toujours tout. Mais pour changer la donne faudrait que tu t'armes de courage. Et c'est compliqué. Dés que tu essaies tu es broyé un peu plus. Il sait te mater ton mac, alors tu abandonnes la lutte. Tu enchaînes les nuits sordides et les matins hagards. Ou la réalité se pare d'un peu de liberté, le temps du trajet jusqu'à la colocation des anges. Là tu peux souffler, respirer sans peur d'être affecté par l'enfer.
C'est maigre mais précieux.
Cela te permet de te préparer pour l'instant d'après. A cette nouvelle nuit qui viendra. A cette nouvelle femme que tu combleras qu'elle soit une régulière ou une inconnue. Au final cela importe peu. Tu es et resteras l'objet qu'on manipulera et qu'on souillera. En attendant tu as ce laps de temps pour te laver en marchant de toutes les douleurs de ta nuit de luxure. Dans ces moments là tu écoutes le silence de la ville qui est encore endormie. Tu laisses ton regard vagabonder et imaginer une autre vie. Illusions dans lesquelles tu t'enfermes te laissant bercer comme le ferait un gamin dans les bras de sa mère. Instant de repos avant une nouvelle tempête. Instant juste à toi, que personne ne perce. Sauf aujourd'hui quand elle se trouve face à toi. Qu'as tu encore fais pour que le destin vienne la mettre sur ta route ?
Est ce que tu as respiré trop fort ?
Est ce que tu as espéré trop fort ?

Et vous voilà face à face et la belle se dédouane de sa présence. Tu lâches un soupir fatigué, tu veux juste rentrer en paix. Et si elle n'avait pas parler, si sa voix n'était pas venu te percuter, tu n'aurais même pas fais attention à sa présence. Pourquoi s'est elle dévoilée ? Tu l'ignores. Peut être pour te rappeler qu'elle se souvient de la froidure que tu as employé ce jour là quand tu l'as accusé. Peut être pour te montrer que n'importe où que tu sois elle peut te trouver. Réflexion débile, mais la fatigue embrouille tes pensées. Réfléchir est trop compliqué, qu'elle passe son chemin et qu'elle fasse comme si elle ne t'avait pas vu. Comme si tu n'étais qu'une ombre sur le mur. Mais non cela semble impossible comme possibilité. « Que je me méprenne. » Tu as presque envie d'exploser de rire. « J'ai autre chose à penser. Et je n’ai jamais dis que je ne vous appréciez pas. » Tu n'as pas été cool, mais le contexte était pesant pour toi, même si elle ne connaît rien des circonstances qui t'ont mené à tes réactions. Tu sens son regard se poser sur toi, tu serres un peu ta veste.
Pas par froid. Mais par pudeur.
Parce qu'elle voit ce que tu ne veux pas que l'on voit.
La pute de luxe.
Par contre toi tu la regardes à peine, tu ne vois ni sa beauté fragile, ni son bras blessé. Tes yeux sont trop épuisés. Ton corps trop vidé pour remarquer ce genre de détail, même s'il saute aux yeux. « Désolé mais là je suis fatigué, je sors d'une soirée agitée. Alors je ne m'attarde pas. Et puis j'avais la tête ailleurs. » Vu son emportement tu sembles l'avoir blessé par ton désintéressement. Mais est ce de ta faute si dans ce genre de situation tu te fous du monde qui gravite autour de toi. Si dans ce laps de temps tu penses à toi et à rien d'autre. « En effet en vous regardant un peu plus je vois bien que les choses sont impossibles. » Elle est flic, elle sort de l'hôpital, blessée sur le terrain ? Mais tu ne vas pas lui demander. De toute manière elle ne te répondrais pas. Et puis sa vie ne te regarde pas. Tu as assez à faire avec la tienne. « Vous m'ôtez les mots de la bouche. »
En effet chacun sa vie.
Chacun sa merde.
Tu es assez enfoncé dans la tienne.

Et tu cherches dans quelle direction partir, espérant qu'elle parte dans celle opposée. Pas envie que cette discussion se poursuive. Pas envie qu'elle devienne curieuse. Elle est flic après tout et ta tenue pourrait susciter son intérêt. Et tu soupires quand vos pas partent dans le même sens. Tu soupires quand elle se présente. Pourquoi le destin s'acharne ? Pourquoi elle insiste vu qu'elle même dit que tu t'en fous ? Elle doit avoir envie de perdre son temps. Ou le tien. Elle doit se sentir seule et comble un moment de silence. Alors que toi tu n'aspires qu'à l'un et l'autre. « Et je ne veux pas être impoli mais en effet j'ai d'autres préoccupations à cet instant que votre identité. » Tu tournes ton visage vers elle, le regard éteint de vie, cerné de ta nuit sans sommeil. « Ce n'est pas parce qu'on se croise une deuxième fois qu'on va devenir intime. » Lui dire ton prénom pourrait lui ouvrir des portes, même si tu n'es pas fiché, ton mac à les bras long et de ce côté là et vous protège. Mais si elle se mettait à fouiller, cela te retomberait encore dessus. « Est ce qu'on peut juste marcher en silence ? » Le ton en est presque glacial. «  Mon cerveau est mort. » Et pas que ton cerveau.
Tu te demandes où tu puisses les forces pour avancer.
Si tu ne te retenais pas tu te poserais là.
Tu avais envie de boire un café, de prendre un petit déjeuner, mais là toute envie s'est envolée. Est ce qu'elle continuerait à marcher ? Te laissant seul à nouveau avec ton ombre plus active que ta pauvre carcasse. Parce que pas question de lui proposer de partager une table avec toi. « Faut que je trouve un bar. » Nouveau soupir alors que ta main vient glisser dans tes cheveux. Le geste est lent et empli de faiblesse. Si tu ne manges pas tu vas t'effondrer. Et tes yeux se perdent dans cette horizon de rues à la recherche d'un endroit ouvert où tu pourrais reprendre des forces.
Pourvu qu'elle poursuive son chemin.

♡ busan vibe ♡