Ô gloire aux beautés merveilleuses ; Ode à ces sentiments suprêmes, dans les carcasses trop longtemps abandonnées ; trop longtemps mal-aimées ! Sculpté dans le marbre divin de ces cieux ; où les rois ne sont que des fatalités, jouant, pariant sur leur vie trop fragile. A tenter la faucheuse, de venir récolter son âme ! Jia et le crâne qui vacille, dans les ténèbres, des souvenirs éparses, incapables de revenir se loger dans l'esprit ; Il n'y a qu'une chose de certain, ô certitude grandiose ! Jia l'aime ; plus que tout. Jia l'adore, et l'admire, jour après jour, Quand il la regarde danser sous les rayons de la lune suprême. Quand il observe ses sourires naitre sur les lèvres sublimes, épousées. Nuit après jour ; Sous ces jours où astre solaire se proclame roi.
Tu voudrais qu'elle soit ta reine ce soir
Et à travers les âges ; et le temps qui s'écoule dans ce sablier fatal, à venir fuir le les secondes et ses poignards, les maladies et la mort qui coule dans leurs veines. A fuir tout un univers ; pour ne faire qu'un seul avec elle. Jusqu'à mourir dans ses bras ; et s'épanouir de ces papillons dans le fond de sa gorge ; Dans ses entrailles Il y a des roses qui naissent. Elles meurent lentement ; Pour qu'elles puissent renaître de leur magnificence ! A travers les terres et les fleuves, parcourir le monde entier, jusqu'à l'aimer à l'autre bout de cette planète, et s'incliner devant celle qu'il viendra proclamer reine, impératrice de son coeur ; quand elle le possède. Portant en son sein ; le fruit d'un amour céleste. A offrir espoir ! Quand il ne croyait plus en rien, plus en lui, plus en personne.
( Mais j'ai su croire en toi ; chaque fois un peu plus ; Je savais que tu viendrais panser mes maux. )
Et il voudrait l'aimer, encore et encore. Jusqu'à ne plus avoir assez de souffle pour lui hurler, lui murmurer à quel point il n'y a qu'elle, qui puisse le relever ; le réanimer de ses cendres. Des promesses sur le bout des langues, à lui avoir promis le monde ! Autour d'un anneau gardé secret dans le fond de sa poche ; Et le palpitant s'agite, encore et encore, Quand la pression de l'instant se fait violente ! A avoir tout planifié, sur le bout de ses doigts, à l'avoir emmener si loin pour fuir Busan et son froid ; Son hiver fatal, Sa neige sur les pavés gelés.
A tout troquer ; pour ces plages ensoleillées. Pour cette chaleur envoutante, à s'échapper loin d'une famille qu'il ne voulait pas accabler ; pour la sienne, celle qu'il vient aimer de ses propres phalanges. Restaurant luxueux, car rien ne sera jamais trop beau pour elle ; Nymphe de ses cieux. Unique, à réchauffer sa peau si froide. A l'avoir charmé de ses mots, quand il ne veut qu'elle à travers ses désirs, à travers ses ambitions. Il aura attrapé sa main, la serrant si forte contre sa peau, jusqu'à laisser les pas s'échapper sous le regard de la lune magnifique ; les chaussures abandonnées contre le sable encore chaud ; malgré la nuit. Laissant les rires s'envoler, quand il la serre si fort contre lui. A l'aimer ; murmurer. Je t'aime. Joyeux noël. Alors que les baisers se font amour sur les lèvres colorées ; Et que de son étreinte, elle ne s'envolera jamais. J'espère que tu as aimé le diner. Et que ces vacances te plaisent.
A n'être que le début d'une longue aventure. Où tu seras la reine de mon roi.
but just know, i'm the happiest i've ever been because of you.
à s'envoler, vaste monde visité, quand c'est à ses côtés que l'amour s'est retrouvé. à ne plus penser au passé, à ce temps où l'anxiété habitait les entrailles, où la peur dévorait tous les songes, où l'orage grondé jusqu'à ce que la tempête finisse par disparaitre. elle ne veut plus devoir y repenser, revivre ces instants d'agonie — où elle a bien failli le perdre pour l'éternité. à seulement s'emmêler à ce bonheur, se noyer dans les sonorités de son rire, se confondre de ces divins sourires ; il est son précieux, amour vacillant.
et elle ne s'y attendait pas, de ce message surprise où les rêves se sont éclatés, à venir la surprendre de ce voyage organisé, envie de le suivre au bout de la terre. à aller là où il ira, même jusqu'en enfer si elle le doit. de ce coeur qu'elle lui a offert, de ces sentiments chaleureux qui sont partagés depuis plusieurs mois, à en voir la vie grandir dans ce ventre et en contempler la silhouette grandissante dans le miroir. elle le lui dira pas vraiment, que ça l'apaise quelque part, de savoir que cet ange, bientôt les rejoindra, à venir compléter cette famille qu'il tente de créer. car gene a trouvé celui qu'elle veut garder pour toujours auprès d'elle, à ne jamais plus l'en quitter, toujours quelque peu le surveiller ( peur tétanie ) d'en voir une rechute pointée le bout de son nez. et pourtant elle le sait, hors de danger, loin de ces moments passés à enchainer les examens, les nuitées dans ce lit froid en solitaire. mais elle ne peut pas s'en empêcher, d'avoir peur de le perdre une nouvelle fois.
mais ce soir, ce n'est que le bonheur qui demeure, de cet amour qui domine dans les empyrées étoilées, de ces partages qu'ils ne gardent que pour eux — merveille à venir l'en contempler, le sublimer. baiser doré, carmin glissait sur le bout des lippes. à en laisser trace sur les joues attaquées, à venir en faire sonner les cristaux amplifiés. elle l'aime à en crever comme une impression qu'elle ne pourra jamais vraiment l'exprimer. à se laisser guider, au travers les galaxies, de ces plages de sable fin à ces restaurants luxueux. et elle ne sait comment le remercier, de tout ce qu'il lui offre, lui donne ; cet amour en cadeau. à y glisser les paumes pour venir en capturer les phalanges, à se coller contre son corps, se laisser porter dans les étreintes doucereuses. elle n'a jamais connu joie si fabuleuse. à venir l'embrasser, sourire, et recommencer. comme si le cercle n'était jamais réellement fini. c'est qu'elle voudrait pouvoir ouvrir sa poitrine pour en décocher l'organe, le lui donner, lui dire regarde, il bat juste pour toi et pourtant penser que ça ne serait pas encore assez.
à venir en murmurer les calamités, là où tous les maux du monde disparaissent. joyeux noël à toi aussi et en parsemer constellations sur les pulpeuses sacrées. venir en souffler les mélodies enchantées ; je t'aime jia vouloir tout lui donner, sans jamais savoir si ce sera suffisant. car tu mérites le monde, mon amour et tellement plus à venir l'en remercier, pour ces instants éclaboussés de ces bonheurs jamais empoisonnés, seulement purifiés. oui, c'était délicieux. vraiment tu fais pas les choses à moitié. je ne sais même pas comment te remercier et simplement l'embrasser, laisser les mains venir entourer son cou et l'observer les yeux dans les yeux. croissant de lune qui s'esquisse, elle l'aime et ça n'a pas de prix. vraiment même dire merci pour tout ne serait pas assez tellement tu fais de moi la femme la plus comblée en cet instant et chaque moment passé à ses côtés. à être reconnaissante chaque jour passant de ce destin qui a fait croiser leur route solitaire. si tu savais comme tout est merveilleux. ces vacances. ce que tu me fais ressentir. toi à l'aimer à la folie sans jamais savoir le dire. parce que c'est probablement ce qu'elle porte en son sein qui en sera le plus beau cadeau qu'elle puisse lui offrir. je suis heureuse avec toi jia. et même te dire je t'aime, je sais pas si ça serait suffisant pour dire tout ce que j'éprouve à ton égard car il lui a sauvé la vie, lui a prouvé qu'elle pouvait renaitre de ces cendres calomniées, ce passé effronté. jia lui a fait comprendre sa véritable valeur effacée. bon alors, c'est quoi la suite du programme à en démontrer excitation, de cette mer qu'elle observe au loin, à se laisser bercer par le bruit de ces vagues. tu veux, qu'on aille se baigner ? je pourrais même essayer le nouveau maillot que tu m'as acheté et venir l'en séduire, le faire tomber encore plus amoureux que jamais. enfin, sauf si tu as d'autres idées en tête car elle ne sait pas réellement, quelle surprise émerveille il lui réserve dans le fond de sa poche.
Ô Roméo ! Il a aimé Juliette jusqu'à périr sur les rives du Styx. Il l'a aimé, jusqu'à laisser ce poison couler le long de sa gorge, contre ses plaies, contre sa chair, celle qu'il n'a jamais pu lui offrir en présent des grâces divines ! Roméo, il l'a aimé ; à en crever. Peut-être un peu trop. Peut-être jamais assez. Et Jia. Jia. Roméo de ces temps modernes, à se prétendre roi ! Déclarer bien des guerres pour ne conquérir que cet unique coeur ; désiré, à vouloir le garder là dans ses bras, le serrant si fort contre sa poitrine. Enfant égoïste ! A en laisser les larmes coulées, jusqu'à l'imprégner de toute sa tristesse. Il ne veut pas qu'on lui vole, Qu'on lui retire, Celle qui ose le faire sentir si vivant. Quand au fond de sa poitrine, il n'y avait plus qu'un trou vide ! Organe mort, à revenir à la vie de ces baisers déposés contre les lèvres, de ces mots murmurés. Des je t'aime sur le bord d'un précipice ; Ô dans les entrailles, c'est la vie qui s'agite jusqu'à tout bousculer, les ambitions comme ses principes ! Le voilà homme nouveau, aux épaules trop lourdes pour en porter plus. Pourtant il se relève, doucement, toujours un peu plus fort. Quand c'est elle qui doit élever jusqu'aux cieux ; La laisser toucher les célestes ; pour devenir reine et impératrice des dieux !
What people consider precious is different for everybody.
Lumières grâcieuses, à s'émerveiller aux dessus d'eux ; quand les étoiles dansent l'apogée de cet amour sans fin. A l'aimer jusqu'à ce que les colombes meurent ; jusqu'à ce que les fleurs finissent par fâner. L'aimer ; qu'importe le prix de la faucheuse ! Quand elle l'a déjà charmé. De ses phalanges destructrices, caressant son crâne, murmurant à ses tympans qu'elle le dévorera tôt un tard. Sans jamais la croire ! Car ce sont ses principes, la vie elle même qu'il vient balancer ! Sans regarder en arrière, se jeter dans les bras de l'océan, laisser le sel recouvrir ses yeux ; à se mélanger à ses larmes. Si vers des ailleurs, tout est plus beau. A en félicité les sentiments ; Célébrer les unions des esprits ; quand celles des âmes n'est pas encore achevée. Ô ce soir ; tout changera, il a le coeur au bord de la rupture, Le battant au coeur de la mort. Quand dans sa poitrine, tout bat si fort, si fort qu'on pourrait l'entendre ! De ce crime divin, ô éprit d'une mortelle, devenant nymphe de son plus beau paradis. Te voilà enfin ; bonheur tant mérité.
A en laisser les phalanges se déposant contre son sou ; Quand ses doigts attirent sa taille contre la sienne ! Dans ce baiser sublime, et les lèvres dansent ensemble dans ce refrain mélodieux que leur offre l'océan et ses murmures ; Ses secrets qu'il vient confier tout doucement contre leurs oreilles. A laisser l'air bercer les pensées, quand les yeux ne font que se rouvrir sur le plus beau des tableaux, le sien. Gene et ce ventre rond. A deux pas de la perfection, quand bague est cachée dans le fond de sa poche. Tu n'as pas besoin de me remercier. Tant que tu es heureuse, ça me convient. A laisser les morts charmeurs, car il ne sait pas quand elle finira par en avoir assez ! A avoir si peur de la perdre, de l'imaginer déjà s'envoler loin de lui. Et si toi aussi ; Tu ne veux pas de moi ? Les entrailles qui se tordent alors que c'est dans son regard, qu'il trouve refuge et réconfort, quand nymphe est devenue seule sécurité en ce bas monde, seul être à pouvoir l'aimer comme il est. Lui, Jia et sa personnification de l'ennui ! Mortel. L'aimer ! jusqu'à ce que les mondes s'écroulent, à se bercer de ses paroles qu'il aime tant boire ; graver dans sa mémoire pourtant en décomposition. Finirais-je par toi aussi ; t'oublier ? Sans jamais connaître les réponses à cet univers fatal. Hm, oui, mais avant j'aimerais faire quelque chose. Et l'angoisse l'emporte ! Monte, quand il ne sait pas combien de temps son coeur tiendra, les secondes sont des années qu'il regarde s'épuiser, s'effacer dans ses yeux. Les secondes sont des poignards qu'on lui enfonce dans le coeur ; a préférer en crever ! Pourtant le vouloir, ô genoux posé à terre contre le sable immaculé des désirs capricieux ; Quand de sa poche se découvre enfin cette écrin, que l'on ouvre toujours avec précaution, pour en laisser apparaître précieuse bague. Et peut-être que c'est trop tôt ! Que ce n'est pas le moment, mais le coeur souffre, à ne plus pouvoir attendre. Attendre cette réponse qu'il craint. Gene... Veux-tu m'épouser ?
Ici ; face à la lune et ses filles. Face à l'océan et ses diamants par centaines ! A l'emporter avec lui sur l'autel de l'amour ; ou bien de l'enfer. Quand il sait que diable ne se cache jamais loin. Tu peux encore... Partir en courant si tu veux pas.
Et destin tragique ; à s'imaginer toujours le pire.
thank you for loving me when i still tasted of heartache and war.
c'est que tout somnole, dans ce monde déboussolé, les astres entonnent leur farandole, et jamais plus la terre ne s'est affolée. c'est que les âmes se rendorment — beauté souveraine eux en peinture des cieux, à laisser constellations émerveilles briller de milles feux. et l'univers est vaste, à s'en perdre à chaque coin d'horizon. pourtant elle n'a qu'un unique arrêt dans sa course folle d'avenir ; lui et tous les joyaux entre ses doigts doucereux. à venir l'aimer, le choyer de ces baisers, quand les phalanges n'ont qu'un repère quand elles s'accrochent à la chair adorée. c'est qu'à ses côtés, la vie semble si paisible, qu'elle en est presque invincible.
alors tout brille, puis tout scintille, c'est que les joies implosent, les beautés s'expriment dans leur sourire. de ce bonheur qu'on ne viendra leur arracher, de ces instants qui seront ancrés dans les mémoires. à pour toujours se souvenir, ne jamais oublier — tourmentes gommées. à présent elle sait comment respirer. car il n'y a qu'eux dans cette bulle immense, de ses yeux qui ne voient que lui. à en laisser les silhouettes valsaient, quand les bras rapprochent les corps, quand les mains trouvent l'épiderme sacré ( vestige insolent ) alors qu'elle en laisse les souffles se rencontraient. et les lippes se redécouvrent, comme si tout avait le goût des premières fois, comme si elle en trouverait toujours un goût différent de la précédente fois. à s'en laisser bercer, de ces nacres sucrées, quand les acidités sublimes les assemblées. gene comme éclat d'une euphorie dérisoire, quand tout n'est que commencement et que leur histoire est encore à venir ; c'est qu'il y a tant à écrire.
alors qu'elle voudrait en esquisser ces milles étoiles balisants les empyrées. quand tout ne sera jamais assez, de ces remerciements à cet amour porté, elle voudrait tellement lui donner plus. pourtant la vie sera précieux cadeau, quand des entrailles en naitra l'enfant attendu. si bien que les questions demeurent, à en demander quel en sera l'âme nouvellement née. à venir en sourire pleinement, tenter de délivrer les affections proclamées, elle comme danseuse astrale, lui comme comète lunaire ; et de cet amour en admirera les divins, si bien que les lendemains n'en deviendront que papillon de nuit ( éphémère ) quand ils s'emporteront dans les valses impériales. bien sur que si de cette moue joliment tirée, à se dire qu'elle ne lui donne pas assez. c'est que moi je t'offrirais des perles de pluies, venues des pays où il ne pleut pas. quand elle voudrait en combler les déficits, de ce battant impatient. gene telle l'enfant qui renait de ces cendres. je suis heureuse, oui. grâce à toi quand le regard n'en épouse que le sien, que les lèvres n'en connaissent pas d'autres. c'est lui et personne. et je veux que tu le sois aussi à venir en réaliser voeux émerveille, elle se fera génie ensorcelle.
à en laisser excitation traversée ses traits, quand les paroles s'en débitent vaillamment. à en devenir pressée d'en connaitre suite du programme, car elle le sait, que jia n'aura pas fait les choses à moitié ce soir. à l'avoir éconduit au bout du monde, sur cette île où seuls eux viennent à s'en perdre. quand elle veut rencontrer la mer, laissait le corps éprouver tant d'émotions. je me sens vivante, parce que tu combles tous mes manques. quand il en murmure les beautés, quand elle en sublime les prodiges. à l'observer, en deviner stress sur le visage. c'est que les pensées se précipitent, à venir s'enchainer dans la tête, à tenter d'en décimer les noirceurs empoisonnées. oh ? oui, tout ce que tu voudras gamine éhontée, elle ne sait pas ce qui l'attend ; bien trop innocente, insouciance déstabilisante. de ses iris qui le suivent, mouvements décousus. à en entendre l'organe jouer la chamade précipitamment.
et les implosions sont frivoles, à en dessiner battant imposant, quand l'esprit comprend subitement tous les actes qui se jouent au devant. gene comme simple mascarade quand le souffle vient à se couper, quand le coeur ne fait que disjoncter. il y a la réponse sur le bout des lèvres, à venir l'effleurer avant même qu'il n'en pose la question symbolique. pourtant elle n'en fait rien, le laisse initier sa demande quand les mains sont moites, le pulsant au bord de la rupture. à en laisser rire étoilé éclater dans les airs sibyllins, alors que les paroles viennent caresser les tympans. lui qui suggère qu'elle peut encore partir, s'enfuir loin sans jamais qui ne la rattrape après. ô s'il savait jia, comme elle a attendu que cet instant magique lui ouvre les bras si délicatement. à en sourire jusqu'aux épanouissements ultimes. de ce corps qui vient à se jeter sur lui, enserrer son cou quand les baisers pleuvent sur les joues, au bord de ses lèvres. à en laisser les onyx faire collision avec les siens ; tu es fou yang jia si tu imagines que je vais partir quand de ses lèvres elle vient sceller les unions parfaites. sublime précieux qu'elle tient dans son creux. avant de s'en reculer, sans jamais le laisser lui échapper. oui je le veux. bien sur que je veux t'épouser quand tout n'est plus que tableau artifices, à en laisser les explosions teinter les illusions.
de cette joie parsemée, à l'enlacer, l'embrasser, plus rien d'autre ne compte. mon dieu, si tu savais comme j'attendais ce moment à en laisser corps s'écrouler, quand dans le sable elle s'y retrouve avant de s'en relever, main apposée sur ce ventre arrondi. je vais vraiment devenir madame yang quand les yeux sont voilés de ces larmes salées ; pourtant elle n'est pas triste gene. j'ai du mal à y croire quand elle fini par tendre son doigt pour qu'il y glisse l'anneau. alors qu'elle en garde les onyx rivés sur lui. son monde, son univers — sa plus belle histoire.
Des cieux, roulent les perles divines, celles qui viennent caresser les peaux, les épidermes, pour se loger sur les lèvres des nymphes, pour en sublimer les courbes. Il y a les joyaux, quand il pleut et que les goutes glissent le long des visages, des cous, pour n'en laisser que la poussière des étoiles. A en créer ces êtres de perfection, sous les mains divines des dieux qui observent de leurs temples, si haut, qu'on ne peut pas les apercevoir derrière les nuages. Ils sont cachés, à chanter ces odes à l'amour, et Jia ! Il aurait tout fait pour leur voler leur ambroisie, Voler les colliers de rubis, les émeraudes de leurs poignets ! A en provoquer leur colère divine, pour tout arracher, même tenir le soleil entre ses mains comme Icare, décrocher la lune de Nyx, pour lui offrir entre ses phalanges à elle ; Gene. Il aurait tout fait, pour faire de cette reine, une impératrice au bonheur immaculé, à la couvrir de toutes les douceurs du monde, des tendresses souveraines, pour laisser leur famille lentement, naître sous les signes étoilés. A l'admirer, sous ces robes de satin, à laisser ses doigts glisser contre sa peau, laisser les baisers épouser les formes de sa poitrine comme de son cou. Laisser ses phalanges s'emmêler dans ses cheveux, jusqu'à trouver chaleur au creux de leurs bras enlacés.
Vie longtemps rêvée ! Sans jamais avoir cru le mériter, sans jamais avoir pensé l'obtenir, dans cette univers où les comètes se bousculent pour le faire sombrer, pour le faire éclater, frappant son crâne comme des ouvriers en colère ! Comme les roches qui frappent l'eau si paisible. Et jamais se sentir méritant ! Quand il pourrait tout perdre du jour au lendemain, de ces peurs qui collent à son ventre, de la voir fuir ailleurs, de la voir s'évanouir dans ses bras, car il est maudit Jia ; Lui et tout ce qu'il touche. Tout finit par mourir en une fraction de seconde, tout s'arrête. Le monde ne tourne plus, les oiseaux ne volent plus, le soleil ne rayonne plus. Il est le néant, il est la fin ; Il est l'être à qui l'on refuse la rédemption ! Né sans amour ; D'une vie où il doit apprendre à aimer.
Et sur ces plages, à l'autre bout d'un monde qu'il ne connaît que trop peu, il vient céder aux tentations longtemps repoussées, jamais osées, quand il n'a fait que refuser ces amours, jusqu'à elle. Jusqu'à ce qu'il vienne empoigner son poignet, jusqu'à ce que dans les draps immaculées, naissent les rêves et bien des désirs. A avoir fait de cette vie de cauchemar, un rêve qu'il n'aurait jamais pu imaginer. Bague entre les doigts, à prononcer ces mots divins, ceux qu'on ne peut pas interdire, d'une preuve d'amour bien plus que légère. Il l'aime, il l'aimera peut-être toujours. Il l'aime, et aime le dessin de cette famille qui vient se construire, jour après jour, entre leurs mains, sous les vêtements bien cachés, d'un ventre qui s'est arrondi. J'avais peur. Peur que tu dises non parce que c'est récent et que déjà avec la grossesse... Quand la panique prend part de ses mots et de ses lèvres, à ne plus savoir où donner de la tête, quand dans ses entrailles, c'est l'euphorie et les artifices ! Et le rire l'emporte, quand il la regarde s'abandonner à ses côté, de ses bras qui viennent lentement l'enlacer, une main déposée contre son ventre, à côté de la sienne. Eh bien, je pense que ton rêve devient réalité, non ? Et lentement, la bague se glisse à son doigt ; parfaite pour en épouser la peau, la chair adorée, épousée, dans ces rêves comme dans cette réalité merveilleuse. Lèvres en unions avec les siennes, quand il vient l'embrasse, sous les yeux des étoiles, des dieux trop curieux, de la reine de la nuit qui ne fait que les observer. Tu as devenir ma femme. Et la mère de mon enfant. Gene, j'arrive pas à y croire. Quand les cristalline finissent par couler le long de ses joues, visage qu'il vient cacher contre son épaule, alors que les bras resserrent lentement leur emprise. J'arrive pas à croire en cette vie et pourtant... Tu me rends si heureux. D'un baiser déposé contre sa joue, et ses yeux admiratifs, de cette femme qu'il n'aime que trop. Je ferais tout, tout pour vous.
you will never be unloved by me you are too well tangled in my soul.
elle n'y aurait jamais cru, à ces fantaisies émerveilles, à ces songes tant de fois adorés. si on lui avait dit tout ce qu'il adviendrait, elle aurait crié au mensonge éhonté — calomnie parce qu'elle ne se pensait pas tant mériter, amour et paix en harmonie. elle qui tant de fois ne s'est vue que comme diable dansant contre les chairs putrides, elle qui s'amusait de cette vie sur un fil à se dire que la mort viendrait tôt ou tard la récupérait. elle n'osait croire en ces lendemains où on la porterait sur des barques direction les étoiles. mais jia a rendu cela possible. à venir l'entourer de ses bras, à en laisser danser adoration sur les lèvres, jia lui a tout donné quand elle en a saisit l'organe entre les doigts. et avec lui, elle a fini par croire que le futur serait bien plus délicat. qu'elle aurait le droit à son histoire faites de romance et d'éclat. il lui a ouvert les portes d'un paradis qu'elle se refusait si longuement, à venir s'en dire qu'elle n'en était pas digne. elle, qui a si aisément tout brisé ; crois-tu que j'ai le droit au bonheur.
pourtant sur cette plage, à l'autre bout du monde, elle a enfin touché l'allégresse. à se laisser perdre contre sa peau, à venir en offrir des milliers d'astres. c'est qu'il y a la vie qui grandit en elle, celle qu'ils créent de leur adoration souveraine. quand il vient lier sa vie à la sienne — pour l'éternité. et gene, n'a plus peur de rien, si ce n'est perdre ce qu'elle a de plus précieux. mais elle est confiante en cet avenir qui se dessine, ils toucheront les cieux. je n'aurais jamais pu dire non quand bien même les terreurs l'habitent aussi. peut-être que tout est trop rapide mais à quoi bon attendre quand la vie ne tient qu'à un fil. quand les secondes défilent et que demain n'est qu'incertitude établie. j'ai peur aussi tu sais. mais j'ai pas envie de remettre à plus tard ce qu'on peut faire aujourd'hui à venir en avouer les sentiments, elle a failli le perdre une fois, elle ne veut pas réitérer l'angoisse. c'est peut-être beaucoup en effet. la grossesse, le mariage. mais je me vois pas faire ma vie avec quelqu'un d'autre que toi, jia. tu m'as sauvé bien plus que tu ne le crois. alors qu'importe si ça parait précipité pour les autres. moi je t'aime et c'est toi que je veux sous le creux des empyrées, à l'aurore des apogées — pour toujours à ses côtés, elle le désire et veut l'adorer jusqu'à ce que souffle soit coupé. à venir l'embrasser et laisser délicatesse s'apposer sur les épidermes tant aimés. à le laisser caresser le fruit de leur union quand bientôt ils seront trois. et une nouvelle histoire commencera. oui, tu fais de mon rêve une réalité celle qu'elle n'attendait pas.
quand elle se voyait mourir jeune, quand elle pensait que sa vie ne bougerait pas. gene était peu convaincue de ce qu'elle trouverait entre ces rues. mais le destin a su la surprendre bien plus que de raison, quand c'est lui qui l'a tiré des gangrènes effarées. quand c'est lui qui lui a redonné ce souffle d'espoir oublié. il a rallumé la flamme de son coeur, a fait rebattre l'organe épuisé. il l'a sublimé, de bien des manières. à observer son doigt, bague qui y trône souveraine. elle est magnifique, jia baiser roi. quand elle en devine les larmes, perles nacrées qui coulent aussi de ses iris. ses joues sont mouillées mais elle ne transpire que l'euphorie de l'instant. ils sont devenus les divins de ce royaume. ta femme oui sourire grandissant, paillettes luisantes dans les yeux. la mère de ton enfant. notre enfant quand à son tour les phalanges viennent tapoter le ventre, c'est qu'elle se fait épater quand mouvement se propage. oh, le bébé a bougé quand elle n'a que de l'amour à lui offrir. elle aussi est heureuse, bien plus qu'hier, bien moins que demain. car chaque jour qui arrivera, sera une joie merveilleuse. est-ce un euphémisme si je dis que je suis heureuse de te rendre heureux ? à laisser en teinter les rires dans les silences comblés sous les sonorités de la mer. là, au creux des bras de ce monde qui se danse. mais tu me rends aussi terriblement heureuse, jia elle qui n'aurait pu souhaité meilleure vie que celle qu'il lui donne.
à se dire qu'elle aussi, fera tout pour lui, pour eux. cette famille qui sera la leur — extraordinaire à en étendre les magies, quand elle se sent grandit grâce à lui. et moi pour toi. et lui. et nous quand elle se perd dans les palabres. c'est que la joie n'a pas décoché de son visage. j'arrive pas à croire que bientôt on sera une vraie famille quand elle se souvient de la sienne, morcelée, maudite. par sa propre cupidité. d'ailleurs, faudrait qu'on lui trouve un prénom à se dire que c'était peut-être le bon moment ; pour mettre réalité, sur tout ce qui les attend.
Ô rédemption soudaine ! Il a contemplé les abysses ; plus d'une fois. Il a compté les étoiles quand il n'était que prisonnier, plongé dans ces limbes où il n'y avait que les ténèbres pour l'accueillir. Il a chanté ô désespoir, quand il en voyait les nymphes danser au dessus de lui, quand il regardait ces dieux s'abreuver des joies du monde ; quand lui n'a jamais mérité aucun amour ! Quand lui n'était que dégout dans les gorges, quand il n'était qu'erreur dans les yeux d'une mère à l'appétit destructeur. Elle rêvait de vengeance, rêvait de ces joyaux divins, quand elle n'a eu comme présent ; Qu'un enfant jamais désiré ! Des amours qu'elle ne lui a jamais offert ; comment aurait-elle pu, quand il a signé sa fin. Quand il n'était que malheur proclamé dans ses bras, qu'elle ne voyait en lui que déception, la gloire ne l'a jamais touché, enfant maudit, enfant traité et trainé comme un moins que rien.
Comment aurait-il pu croire en la vie ; en ces merveilles du monde, quand il n'en connaissait que les douleurs et le froid contre son épiderme, des mots d'amour que l'on a jamais prononcé à son égard, il n'a jamais compté. Jamais pour elle, jamais pour quiconque. Il n'était qu'un enfant avec le nom bousillé, un prénom mal choisi qui ne lui ira jamais. Il n'était que l'erreur d'un amour de jeunesse, d'un amour illusion quand sn coeur ne s'est jamais battu pour vivre cette vie grandiose, il n'y avait que le grand chaos dans son être. Mais destin venant tout bousculer sur son passage, à laissé place à des joyaux sur le côté de son chemin, ceux qu'il a récolté, un par un pour arriver aux pieds d'une déesse à la beauté sublime ! Et jamais il n'aurait pu en mériter les attentions, jamais il aurait pu espérer que l'avoir se pose sur lui, quand au premier regard ; Le coeur a vrillé, le coeur s'est enchaîné à elle, A la faire reine de ses insomnies, reine de ses songes, quand il n'a fait que rêver d'un futur à ses côtés. Fil rouge soigneusement tissé, pour qu'au bout du chemin, il la trouve toujours, ne jamais l'abandonner quand au creux de ses entrailles sommeille le fruit de leur amour ; enfant roi et divin, à le chérir autant que cette femme à qui il a demandé la main sous la lune et ses princesses, étoiles scintillantes dans les cieux ; Le voilà maintenant roi de tout un royaume. Quand il est prêt à tout reconstruire, pierre par pierre, à l'aide de ses mains sèches et fragiles. Mais rien ne sera jamais assez beau pour eux. Et tu fais de ma vie, un rêve. Quand elle n'a fait que le sauver ! Le sortir de ses torpeurs, jusqu'à ce qu'il puisse de nouveau porter fièrement cette couronne d'or et d'argent. Quand de ses doigts salvateurs, elle est venu panser toutes ses blessures et ses peines, récoltant les larmes sacrées. Je n'ai pas peur, tout ira bien à tes côtés. Pour venir en rassurer les battants qui s'électrisent ! Baisers déposés contre ses lèvres, où il en récolte la poussière de fée, quand les cendres sont maintenant loin de tout. Je suis heureuse qu'elle te plaise. Main déposé contre le ventre arrondi, à laisser les lèvres s'étirer quand la vie prend forme sous sa paume, quand il sent déjà son énergie à travers la peau et le tissu, petite cage pour en protéger le plus précieux des êtres ; leur trésor à eux. Non, bien sûr. Tu as le droit de le dire et de le penser. Parce que je pense aussi la même chose. Quand les bras reviennent resserrer son corps contre le sien, pour faire barrière aux démons, au diable qui voudrait s'emparer de leur amour, de leurs désirs. Parce qu'il l'aime, bien plus qu'il ne le devrait, mais Jia se fiche des conventions et des lois, il veut vivre cette vie de rêve ; où la liberté fait frétiller ses doigts. On a tout notre temps, mais je suis sûr qu'on trouvera le prénom parfait pour ce petit bout. Laissant le visage trouver la chaleur de sa peau contre son cou, où les baisers sont déposés, tendrement. Et les mains remontent pour emprisonner avec amour son visage à l'intérieur de ses paumes. Gene. Murmuré alors que son front rencontre tendrement le sien, le sourire l'emporte, et sa douceur pourrait bien finir par le tuer ! Je t'aime. Alors que les lèvres viennent s'unir une nouvelle fois, pour en célébrer la naissance d'un univers nouveau ; sous les astres qui rayonnent pour en fêter les amours immaculés. Ici commence une toute nouvelle vie ; Et il a hâte que tout commence.
lueur des astres, éclats des constellations. de ce bonheur qui s'est immiscé sous la chair. après toutes les peurs accumulées, après les angoisses latentes au point d'en perdre le souffle. gene touche du bout des doigts cet avenir qui semblait auparavant incertain. elle se perd dans les joies égayées, dans les douceurs entremêlées. plus rien n'arrêtera ce palpitant de battre. quand il n'est plus renfermé, sorti sur les plateaux d'argent. quand il ne ressent plus le vide, celui qui était si grand. immensité terrifiante, jia est venu remplir chaque parcelle de l'organe ; à l'aimer, encore et encore. à la faire souveraine, reine sous les étoiles perlantes. de ces instants où le temps s'arrête — c'est juste toi et moi sous le creux des empyrées, à se promettre l'éternité. plus rien ne les séparera. comme un gage silencieux de leur amour. l'éphémère n'existe pas. elle sait que c'est lui, pour toujours et à jamais. quand elle ne voulait plus croire en rien, quand elle se laissait périr sous les vices effrontés. lui est venu redorer son monde, y faire entrer magie de lumière céleste. jia est devenu roi d'un coeur meurtri, abîmé, fracassé. à venir tout réparer, fixer les trous béants. pour ne plus jamais la laisser se morfondre. il lui a redonner espoir, courage. de se battre. de vivre. à inhaler les airs sans que jamais plus la respiration se taise.
quand les entités se sont unis, demande d'une main pour la chérir. jusqu'au bout du voyage gene se laissera surprendre. parce que c'est lui. parce que c'est elle. parce que c'est eux. deux êtres s'aimant sous un même ciel. deux êtres se liants pour ne jamais plus se détacher. quand les rires résonnent dans les gorges. quand dans les airs, éclatent les merveilles. gene sait que demain sera aussi beau qu'hier, si ce n'est bien plus. quand dans les onyx, elle peut y lire les envies frémissantes. alors, on est le rêve l'un de l'autre quand elle lui donne croissant de lune, quand de ces baisers, en réchauffe les coeurs autrefois délaissés. et elle prie pour que rien ne s'écroule, que la terre sous leur pied ne s'effondre pas. quand bien même elle viendrait à le relever, elle veut espérer que tout sera encore merveilleux entre eux — et peut-être que l'éternité n'est pas assez longue pour pouvoir l'aimer de tout son être. quand elle en dépose iris sur son visage, à laisser les doigts danser sur la peau. caresses doucereuses. elle ne se lasse pas de ces touchers. oui, je sais qu'avec toi à mes côtés. rien ne pourra mal se passer car ils ont tout affrontés. la grande faucheuse et les désespoirs grandissants. rien ne l'effraie. tant qu'il est avec elle jusqu'au bout du chemin. quand les étreintes sont souveraines, eux contre le reste de ce monde pernicieux. elle n'en cache plus les joies. de ces étoiles qui brillent dans son regard. quand elle voudrait pouvoir le garder si proche d'elle toute une vie et plus encore. quand elle aimerait que ce moment ne s'arrête jamais. à se refuser de revenir à une réalité douloureuse. c'est cet instant qu'elle veut garder engravé dans la mémoire — à tout jamais. quand les pensées se débattent, à tenter de réfléchir aux envies capricieuses. quand elle le regarde un peu plus, à en laisser souffle perler. oui, mais je veux qu'il te plaise autant qu'il me plaira à moi. parce que j'ai une petite idée, mais je sais pas si tu aimeras quand le regard devient tendre, à en laisser perles de pluie venir scintiller les éclats. que penses-tu de eun ? susurré dans le creux de l'oreille. à venir en saisir les prémices. de ses lèvres apposées sur sa joue. avant d'en voler les lèvres sucrées.
mais c'est lui qui l'englobe, quand de ses mains le visage est entouré, à sourire mielleusement aux prononciations de son nom. et gene n'a jamais ressenti autant d'amour en un simple moment. jia lui donne tout, jia a posé son coeur entre ses mains et elle en prendra soin jusqu'à la fin. quand les palabres sont sifflées. quand les destins sont liés. à s'entrecroiser jusqu'au éclat des sommets. à l'embrasser tout en resserrant les étreintes. son corps qui se meuve contre le sien, les doigts qui viennent saisir la chevelure, se nouer dans la nuque. ne t'éloigne jamais de moi comme soupirer dans les échanges. alors qu'elle relâche quelque peu les pulpeuses, à laisser sourire s'étreindre tout contre lui — moi aussi je t'aime, jia sans que les lendemains ne viennent. car c'est aujourd'hui qu'elle veut tout lui donner. alors que le coeur lui appartient déjà. quand le corps se relève et que sa main saisit la sienne. en attendant monsieur yang, vous me devez toujours un bain de minuit quand elle l'attire jusqu'à la mer, qu'importe les vêtements encore sur eux, qu'importe les circonstances. elle a juste envie de se perdre dans cette immensité. lui en toile de fond de son univers. alors, tu viens ? quand la main a relâché la sienne pour venir en retirer sa robe. les pieds qui atteignent la mer, les jambes qui se glissent lentement dans l'eau. le monde est à eux.
Les anges murmurent à ses tympans ; Toutes les merveilles d'un univers. Comme des joyaux qui roulent contre ses phalanges, viennent trouver refuge dans le creux de leur coeur, d'un amour sincère, mélangé à la passion des corps, des fougues qui laissent des traces éternelles contre les chairs, les paillettes des étoiles, du monde, il y a des paysages sublimes dans leurs yeux, et contre leurs mains, il n'y a que les clés d'un nouvel univers qui s'offre à eux, quand dans les entrailles vient grandir fruit d'un amour longtemps caché, longtemps non mérité dans son esprit ; Jia l'enfant maudit que l'on ne voulait pas, que l'on aurait pu sacrifier pour tous les amours, pour des affections jamais rendu, monnaie d'échange qui n'a jamais marcher, le voilà homme qui vient renaître de ses propres cendres, quand contre ses lèvres, il en a trouvé le paradis éternel, sens à sa vie, et il sait qu'il ne vieillira plus jamais seul, quand cette famille s'apprête à accueillir un nouveau membre, du plus beau cadeau qu'on pouvait leur faire. Il en remercierait les dieux, encore et encore, il en ferait fleurir toutes les roses du monde pour elle, cèdera à ses caprices pour la combler, encore et toujours. Il ne veut qu'elle, elle et leur enfant, quand main demandé, quand les âmes viennent à s'offrir les plus belles promesses ; Il ne l'abandonnera jamais. Celle qu'il a faite reine de sa vie, de son coeur. Ne la laissera plus jamais partir, comme pacte signé avec les dieux. Alors faisons de nos vies, le plus beau des rêves, qu'en dis-tu ? A s'échanger ces baisers sous les yeux de la lune, comme unique gardienne de tous leurs secrets, comme celle qui veillera toujours sur eux malgré le chaos et les tempêtes qui pourraient s'annoncer dans le futur. Comme pour en accueillir les bonheurs contre ces chairs, des corps et des coeurs que l'on aimera jamais assez, aucun limite n'existe à ces sentiments réciproques. Tout me plaira, si cela vient de toi, mon amour. En déposer ces affections contre ses joues quand ses mains viennent jouer avec ses doigts sans jamais la lacher, ni même l'abandonner. Il n'y pensera jamais. Maintenant qu'il a su la trouver, ce soleil rayonnant dans sa vie, celui qui réchauffe son épiderme quand l'aube se lève, jusqu'à ce que la nuit en emporte les âmes, dans ces songes où il n'y a qu'eux. Et prénom murmuré au creux de son oreille, sourire qui vient s'élargie alors que ses bras viennent resserrer sa taille avec amour. Je pense que c'est parfait. Il aura le plus beau des noms. Je le trouve déjà sublime. Doigts se glissent jusqu'au ventre arrondi, alors que ses lèvres se déposent contre les siennes, parfois dans le coin de celles ci comme contre sa mâchoire, il aime tout d'elle. Lèvres qui s'épousent comme si c'était la première comme la dernière fois, souffles partagés, et il ne lui dira jamais assez qu'il l'aime, jamais assez qu'il voudrait la garder jusqu'à ce que les mondes s'effondrent, jusqu'à ce que les vies prennent fin, dans l'absolution la plus parfaite. Pour toujours. Murmuré contre ses pulpeuses alors que les corps se meuvent sans qu'il n'en comprenne leur but, mais les mots viennent rapidement lui donner réponse désiré, alors que le sourire est malicieux sur ses lèvres, parfois candide. C'est vrai, j'ai promis ça. La suivant après avoir ôter sa veste, déboutonnant légèrement sa chemise, et très vite, il vient la rejoindre, enveloppe sa taille de son bras, alors que ses baisers se déposent dans sa nuque, restant dans son dos à mesure qu'ils avancent. Ce n'est pas trop froid pour toi ? il le chuchote, souffle contre sa peau, alors qu'il vient la tourner face à lui, embrassant son front comme le bout de son nez. Tu sais que c'est toi le plus beau trésor de ma vie, n'est ce pas ? Toi, et notre fils. Merci d'exister. En bénir les existences ; Quand sans eux, il ne serait rien.
astre incandescent, étoile filant dans la voie lactée. tableau peint sous leurs onyx, à sublimer les empyrées. à emporter dans sa danse effrénée, les âmes jumelles. le monde tourne, pourtant c'est comme si le temps s'était stoppé tout autour d'eux. à ne vivre qu'au travers leur regard, à laisser les souffles se perdre dans les étreintes. amour émerveille. douceur féerique. et dans les enchantements dorés, c'est eux dans les infinités prolongées. plus rien n'importe, le reste pourra attendre. quand dans cette parenthèse, les maux n'existent plus — oubliés tristesse effacée, peur égarée. bonheur qui brille ; à venir scintiller sur leur chair épanouie, à se lire dans les sourires. c'est qu'elle n'a jamais connu pareil allégresse, à vivre dans l'obscurité. noirceur englobant son être jusqu'à ce que jia y parsème des rayons de soleil. et dans les entrailles, être de vie qui s'épanouit quand il viendra bientôt les combler davantage. à se noyer dans ces euphories, béatitude d'un visage serein. tu m'as trouvé dans les instants où elle n'avait que les frayeurs qui cisaillaient son âme de part en part. à venir tendre la main ; pour aujourd'hui la lui demander. et elle voulait croire à cette éternité, ne jamais plus s'imaginer sans lui à ses côtés. quand l'amour était beau et délicat. à venir enlacer chaque partie de son être. de ces rires étoilés. de ces voluptés divines. à lui sourire avec tendresse, à en observer les constellations avant de se plonger dans son regard. c'est ses yeux qui détenait chaque galaxie de l'univers. ça me parait être une magnifique idée. à faire de lui son rêve. à devenir le sien. à créer cette famille qui sera le leur.
dans les baisers, dans les caresses, ils deviendront millenium. je suis partante quand les lèvres se frôlent. quand les amours implosent. à ne vivre que pour ces coeurs battant à l'unison. et demain sera merveilleux, quand les onyx s'ouvriront sous un jour nouveau. à ne pouvoir s'empêcher de laisser les airs se tinter de ces sons cristallins. à dessiner croissant de lune, dans les traits étirés. visage qui rayonne. de ce nirvana enfin atteint. je crois que tu as un peu trop confiance en moi, honey à venir le taquiner, laisser les plaisanteries les égayer ; et elle veut rester dans cette bulle jusqu'à la fin. à ne pas s'imaginer la voir se rompre. on atteindra les cieux quand ils seront couronnés roi et reine de l'olympe. à ne jamais plus effleurer le sol, à quitter ce goudron sale — gangréné. quand les coeurs ne sont que frivolité épanouie. à livrer les secrets dans les étreintes charnelles, à se perdre dans ses bras. à venir en saisir ses mains et se perdre tout contre lui. tête penchée en arrière quand les sourires s'intensifient. à en saisir les baisers sucrés. vraiment, ça te plait ? je suis heureuse alors quand les souvenirs effleurent sa peau, quand les envies de renouer les liens brisés se font sentir. peut-être qu'un jour elle retrouvera cette force de les affronter, tout leur avouer. à simplement esquisser les brides d'un avenir, quand le ventre arrondi est gardien des merveilles. pulpeuses scellées, amour étincelant jusqu'aux étoiles. à s'embrasser sous les aspérités de la lune, à s'aimer comme si les lendemains n'existaient pas. et gene se noie dans ce délice, à prendre la paix comme signe. cet avenir leur appartient enfin. pour toujours comme soufflé, simple murmure contre les lippes. avant d'en saisir les tentations. à vouloir laisser les dernières folies s'imprégnaient.
et le monde brille, astre lunaire imposant, c'est qu'il veille sur les amoureux. à finir dans les eaux ensemble, corps collé tel des aimants. et jamais elle ne pourrait s'en séparer, jamais elle n'imaginerait sa vie sans lui. à simplement sourire, rire. le laisser parsemer sa peau de mille baisers. quand les silhouettes se retrouvent face à face. à se nourrir de sa chaleur. non, l'eau est à température parfaite quand de cet aura grandissant, ils viennent à s'aimer encore plus. quand les palabres sont échangés ; à en laisser ses bras venir l'enlacer, à se rapprocher pour en capturer les jumelles. oui d'une malice énoncée, à tout lui donner. tout comme tu es mon plus beau trésor. avec notre fils. à savoir qu'ils le chériront, lui donneront tout. de leur souffle à leur existence. je t'aime tellement, yang jia. je remercierais jamais assez le ciel de t'avoir mis sur ma route. merci d'exister. merci d'être toi quand elle vient en embrasser les lèvres, à faire danser les douceurs avant de s'en éloigner pour captiver le regard. merci de m'aimer quand la tête s'enfonce dans le creux de son cou. à en apposer nouvelles sucreries. et sous l'éclat des astres, ils s'aimeront jusqu'à l'infini.
Les étoiles dansent ; et elles sombrent. Tombent. Ricochent. Et quelques notes s'en échappent, comme divine symphonie ; Sublime comédie ! Ô petit prince voudrait s'en emparer pour les enfermer sous sa cloche de verre, aux côtés de sa rose, sauvage, mais c'est qu'il faut la protéger de l'univers entier, pour que plus rien ne vienne souiller ses pétales d'une beauté à en faire pâlir les nymphes de l'Olympe. Parce qu'elle est sienne, il est venu déposé ses baisers contre ses épines, en a reçu son poison avant de s'y habituer, Trouver lui même l'antidote, quand Il n'y a toujours eu que l'amour ; Pour guider leurs pas jusqu'au paradis ! Et il viendra tout lui promettre, parce qu'il n'a jamais eu aimer de cette façon avant, il n'a jamais connu les battements de son coeur, si forts qu'ils pourraient en briser sa cage thoracique, juste pour qu'on puisse l'entendre ! Sur les toits du monde ;
Voyez comme je l'aime ! A en hurler sans alcool entre les lèvres, Car seul bonheur suffit à le rendre ivre d'elle. D'une vie qui lentement, vient scintiller comme la soie sous le soleil, s'envole pour en recouvrir les chairs arrondies, d'un enfant cachées dans les entrailles de sa mère. Bien gardé, pour le protéger, encore quelques instants. Personne ne viendra en troubler sa paix, quand ses parents se feront toujours félins pour lui ; sauvages pour montrer les crocs à chaque danger. Fruit de leur amour, fruit d'une rencontré qui a tout chamboulée, dès les premières secondes. Destin qui ne s'était jamais imaginé, il n'en changera jamais rien, pas même une ligne de peur de la perdre, de la voir s'envoler quand il voudrait continuer à la serrer fort, si fort contre lui, qu'elle puisse reposer contre sa poitrine où le joyau est roi, où il vient la faire reine de toute son existence. Ici, comme à l'autre bout du monde, quand bague est passées à son doigt, vient orner déesse des plus belles intentions, elle brille dans le noir, comme un soleil qui ne sait s'éteindre, étoile éternelle. Trop belle pour lui ; il le sait. Le comprend quand il dévore chacun de ses mots, s'accroche à ses lèvres comme seule dévotion. Seule religion ; Autel divin. Se déposent les roses. Et genoux découvrent poussière des temples, quand il lui donne sa vie ; Comme offrande éternelle. J'aurais toujours confiance en toi. Ce n'est pas trop. Ca ne sera jamais trop pour t'offrir tout ce que j'ai de plus précieux. Vie comme avenir, comme présent, quand il viendra écrire son passé grâce à l'encre de leur amour ; papillons dans le creux de son estomac, il ne cessera jamais de l'embrasser comme ce soir, comme à cet instant. Ils sont absolution ! Etoiles contraires qui pourtant, ne cessent de tracer leur chemin dans les cieux, poussière d'étoile, rayonne autour d'eux. Et corps s'abandonne dans les flots ; ils pourraient s'y noyer, disparaître, quand il ne veut mourir qu'à la douceur de sa chaleur, de ses bras, se noyer dans son océan à elle, quand de ses bras qu'il retrouve, il vient l'entourer, la serrer contre lui, comme de peur que si frêle, elle devienne glace éternelle ! La garder contre lui, entends-tu mon coeur ? Il chante pour toi.Merci à toi. Merci à toi d'être la raison de mon existence et de ma vie. Qu'ils viennent à en remercier les dieux, quand ses lèvres se déposent une première fois contre son front, puis ses lèvres qu'il retrouve dans leur harmonie. Je suis tellement amoureux. L'avouer tout bas quand elle trouve refuge contre lui, dans son cou, main qui vient retrouver la douceur de ses cheveux, l'entrainant lentement dans cette danse. Je t'aimerai jusqu'à la fin de ma vie et des temps. Il le murmure, autant qu'il voudrait le hurler au monde entier, qu'ils puissent le savoir, l'entendre ; ô cet homme trop amoureux. Je t'aime.
Accueil
