Long, long, ago I did not know who I was And in the deepness I was lost
Il pleut des étoiles ; dans les cieux célestes, Où l'ont fête les renaissances nouvelles. Les acclamations, de ces ères qui meurent dans les esprits, pour laisser place à de nouveaux horizons ; De nouveaux espoirs. Dans ces coeurs qui se gonflent ! Des beautés mortelles contre les peaux, à s'enlacer encore et encore, pour accueillir dans leurs entrailles, les âges qui défilent, Et bientôt, ils ne seront plus des enfants. A ne plus pouvoir jouer, courir après le temps, dans les champs, De ces fleurs merveilleuses, aux joyaux sublimes contre les phalanges, de ces pétales contre les lèvres. Bientôt ! Il y aura plus grand, quand sommeil dans les songes, des envies d'ailleurs, des avenirs plus rayonnants, à en effacer les noirceurs, faire fuir les démons ; diable proclamé ! L'effrayer, de ces amours qui un jour, finiront par renaître contre ces peaux maltraitées, dans ce pulsant abandonné ; Il n'y a plus que le froid et son hiver glacial. Pourtant, ses paumes sont encore chaudes, de la vie qui explose en elle, petite corps au bijou cristallin dans sa poitrine, n'attendant qu'être aimé ; adoré, de ceux qu'elle ne fait qu'admirer dans les cieux ! Nymphe divine, petite fée cachée derrière les fleurs, derrière les feuillages de son paradis, blanc, pour en préserver la beauté ; Pourtant le serpent s'est enroulé autour de son cou, jusqu'à la faire sombrer dans des enfers. Mais ce soir, il n'y a plus rien de sombre, si ce n'est que la nuit et ses filles, astres qui ont fait naître des désirs enfantins contre les sourires. Mais petit coeur fragile, s'est épuisée de ces fêtes grandioses, à chanter et danser, serrer dans ses bras ces âmes choyées, admirative ! Quand tête reposée contre cette épaule plus grande, plus forte, à soutenir tous les poids du monde ! Sans en connaître les secrets, Paisible, dans le bruit, ses yeux ne résistent plus à morphée et son sable merveille, poussière d'étoiles ! Main glissée dans la sienne, d'une innocence qu'on ne pourra jamais lui arracher, jamais lui retirer, elle aime bien plus qu'elle ne devrait, ces êtres brisés. Dae... On peut aller se coucher...? Mots candide quand buste légèrement redressée, se penche vers lui pour en saisir les accords, laisser ses yeux épuisés, plonger dans les siens. Tu peux rester si tu veux, mais je suis trop fatiguée... Sans avouer les faiblesses d'une santé qui ne fait que faiblir ; Finira par l'emporter dans les tunnels souterrains du monde.
et tout s'envole, le passé se gomme, quand les chants résonnent, quand les dansent implosent. bonheur entaché de tous ces sourires, à venir en rayonner dans les obscurités. c'est que ces âmes ravivent les espoirs, à briller de milles feux quand ils s'amusent. à en oublier les blessures, ce soir elles ne sont qu'un trait sur lequel il a tiré. à vouloir en dévorer la joie, à se nourrir de ces éclaboussures qui viennent noyer les tympans. c'est qu'il voudrait rester ainsi pour toute la vie, à ne plus en entendre le bruit des bombes — explosion à en garder les sonorités doucereuses dans le creux des oreilles. dis nana, tu crois que ça durera à ne pas vouloir le voir disparaitre, ce n'est pas une allégresse factice. à le savoir, le sentir ; au fond de ses tripes.
quand sonne les douze coups de minuit, à venir en célébrer les nouvelles années, moment hors du temps quand son regard se pose sur elle merveille d'une nuit ( d'une vie ) à venir la serrer au plus près. de ces mots murmurés quand les continuités se font joyeuses, lui n'a pas connu tout cela depuis bien trop d'années. à en avoir oublier comment on fait, pour tout célébrer, pour en rayonner encore des millénaires ; pourtant il pense avoir trouvé. c'est qu'elle est devenue étoile scintillante dans son ciel constellé de noir. à laisser musique l'emporter, les corps quelque peu se rapprocher. c'est qu'il n'a pas vraiment envie de la quitter, quand elle trouve sa place à ses côtés. à laisser sourire en esquisser les traits, quand de ses doigts il vient en choyer les épidermes. caresses délicates jusqu'à ce que la voix n'en perce au travers les sonorités éperdues. à sentir les rougeurs venir affoler les joues quand de sa petite main elle vient saisir la sienne avant d'en délivrer requête.
et à se perdre, quand les regards se rencontrent, quand l'affection se fait bien plus grande. à hocher de la tête sans en délivrer les mots — timidité accrue. et soudainement il se sent si petit face à cette demoiselle étoilée, c'est qu'elle vient éclairer toute la pièce. à finalement se lever en laissant sa main resserrer l'étreinte sur la sienne. hm je suis fatigué aussi, alors je t'accompagne à la laisser mener le chemin jusqu'à sa chambre. c'est étonnant, comment palpite son coeur. à en couper le souffle tendrement, quand de ces émerveillements il s'éveille. ta chambre est vraiment à ton image. aussi douce que toi à en délivrer parole des anges. c'est elle qui le rend ainsi. euh de sa main qui se perd dans sa nuque, il a perdu tout sens de discussion hm je peux... emprunter ta salle de bain ? à en laisser poudre rosée couvrir ses traits. pourtant, il n'y a que la joie, qui vient abriter ses songes animés.
Will you still love me when I'm no longer young and beautiful?
Ô pureté ! Des grâces célestes, à épouser les peaux ; A en aimer les corps et ses courbes d'horizons lointains. Sur ces lèvres où les dieux ont déposé des étoiles, à en préserver les puretés ! De ce file de vie si fragile, et la faucheuse vient bercer ses nuits, chuchoter dans ses songes, D'en profiter, Quand elle veille chaque jour, L'instant où elle pourra l'emporter dans ses bras. Et pourtant ! Fleur ne cesse de venir s'épanouir, dans des bras qui ne sont pas fait pour elle, parfois trop forts, parfois trop faibles, et laissant les visages s'apaiser contre l'herbe d'un paradis qu'elle voudrait préserver, sans jamais rouvrir les yeux pour constater ; Que tout n'est que pourriture ; Nécrose sur le bout de ses doigts enchantés. Et quand finiras-tu par accepter ; La réalité de cette solitude ? A se cacher dans ces univers merveilleux, dans le fond de ce château, pour ne pas affronter ce qui viendrait à détruire son coeur ! Ô abandon mortel, le voilà défunt amant ! Qui a tout emporté dans ses bras pales, son coeur ; Son amour. Son innocence. Et coupable, quand les yeux se dirigent vers des ailleurs plus purs, pour en laisser les joues rougirs aux attentions délicatesses, aux sourires curieux, dans le coin des lèvres, où les papillons s'envolent dans ses entrailles à l'idée de l'avoir à ces côtés. Ange dans le déclin, main rattrapé, pour en réchauffer sa peau frêle et froide. Entre ces murs trop strictes, jusque dans le salon de cet appartement tant aimé ! Quand épaule adorée est quittée, les yeux qui dessinent des constellations sur son visage ; éternellement attiré vers lui, Comme un aimant. Comme amant d'un futur proche. Hochement de tête alors que corps fragile se relève sans jamais l'abandonner, le guider entre les murs et couloirs, pour le faire pénétrer dans l'antre ! D'une pureté sans nom, de ces douceurs sucrées, chambre découverte aux nuances pastels, il y a de la poudre rosée, et un peu de parfum coloré ici et là. Rougir à ses mots quand les doigts se perdent dans ses cheveux pour en défaire les bijoux incrustés. Tu trouves...? Merci beaucoup alors... Souriant dans le miroir où se reflète son mirage, légèreté de ses gestes, brosser passée dans la chevelure sombre, alors qu'elle attrape son pyjama. Oh euh oui... Regard rapidement lancée alors que ses pas se font pressés vers la porte à côté de sa chambre. Fais comme chez toi. Et en déposer baiser sacré sur sa joue, avant de l'abandonner pour retourner dans sa chambre, laisser les tissus caresser ses courbes, pour se défaire de ces artifices, couvant son corps dans la laine et les douceurs. S'asseoir sur son lit, sans arriver à bouger, l'attendre, quand le stress empoisonne sa poitrine.
douceur candide sur le bout des phalanges, à venir en offrir toutes ces délicates attentions, quand les sourires trébuchent sur le pas des lèvres. dae comme un enfant, entouré de merveilles célestes. il n'y aurait pas vraiment cru, si auparavant on lui aurait dit qu'il serait si bien entouré en ce jour célébrant la nouvelle année. lui qui était autrefois perdu entre les tranchées, à marcher autour de ces âmes évanouies, à tenter de rester en vie quand le sol était jonché de ce liquide rougeâtre. la peur accrochée aux entrailles ; dis nana, si je ne reviens pas, sache que j'ai toujours pensé à toi même quand le corps l'a abandonné au loin, même quand les mains se sont lâchées après tant d'effort. lui, ne l'aurait pas oublié. cette soeur qu'il voyait comme soleil, son astre brulant qui le maintenait éveillé. et aujourd'hui, un autre venait s'étreindre dans son ciel voilé. à remplir de lumière les nuitées épaisses, à frôler l'organe si longtemps endormi.
et il a ri l'enfant, jusqu'à ce que les joues lui tirent. il s'est noyé dans ces magnifiques louanges, à en avoir des perles stellaires dans les onyx. comme si avec elle à ses côtés il pouvait tout faire, car le monde était plus beau — enfin je m'émerveille. quand lui n'en gardait dans les chimères, que ses souvenirs si douloureux, à le violenter quand les cauchemars le faisait hurler sans que jamais personne ne l'entende. ce soir il espérait, ô qu'ils le laissent un peu tranquille, afin qu'il puisse encore briller jusqu'à demain. à la suivre dans les apogées, quand de concorde il salue les autres silhouettes présentes, avant de s'aventurer jusque dans son jardin secret. de cette timidité si singulière, elle vient le frapper en plein coeur, lui qui a perdu toutes ces habitudes quand la solitude asphyxiait les espoirs. ce soir, il se sentait comme souverain d'un nouveau monde. à admirer la pureté qui se dégageait d'elle, à se transmettre au travers de cette chambre acidulée. un bonbon, comme elle. oui, c'est joli. j'aime beaucoup car il y voyait là toute la fraicheur qu'elle exprimait, de cette sincérité qui émanait de son être si délicat. et s'il le pouvait, il la protégerait pour l'éternité. à la question posée dans les airs, de ce plaisir retrouvé quand le souffle se perd merci alors que sa joue brûle de ce baiser donné.
à s'inviter dans les lieux, quand de ses pas il l'abandonne quelque peu, à venir laisser l'eau caresser la peau sacrée, de ce reflet dans le miroir, à tenter de l'en observer. de ses yeux qui finalement dérivent dans le vide, il saura incapable encore une fois de les regarder ( ces souvenirs ) quand le corps se retrouvera dévêtu. il ne veut pas y penser, pas ce soir, pour ne rien gâcher. à finalement enfiler le tissus blanc sur ses épaules, en cacher les marques éternelles dans son dos — brisure quand le reste de la tenue se retrouve dans son sac avant que les mains remontent le jogging sur ses jambes. à soupirer finement, comme pour se donner du courage ; dis nana, tu crois qu'un jour quelqu'un pourra aimer mon corps car lui n'a appris qu'à le détester, à vouloir le détruire davantage, quand il ne pourrait jamais se débarrasser des traces marquées au fer rouge. mais qu'importe, il se le répète encore, ce soir il ne doit pas y penser. car ce n'est qu'elle qui doit éblouir la nuit qui s'installe.
à revenir vers elle, quand son sourire s'esquisse de son corps si frêle attendant sur son lit. à se rapprocher, s'installer à ses côtés de ce regard si aisément apposé sur elle. tu as passé une bonne soirée alors qu'il s'enfonce contre les oreillers, à ne jamais la quitter, malgré les rougeurs dominantes sur les joues. en tout cas, merci de m'avoir invité d'avoir pensé à lui, quand il n'aurait fait que dépérir un jour de plus. à laisser les doigts joués entre eux, anxiété qui ne le délaisse ô grand jamais j'ai vraiment passé une superbe soirée avec toi quand le coeur papillonne, quand le bonheur gronde. merci pour tout comme murmuré aux étoiles.
Et moi, maman, je vais mourir ? Dis-moi, est ce que je vais vraiment mourir ?
Un jour, Il le faudra.
Quand faucheuse s'avancera ! D'un pas en avant, pour en caresser son visage angélique, petite poupée si précieusement gardée dans son parlais de glace, de peur que l'été fasse fondre ses joyaux. D'un pas en avant, pour en essuyer les chagrins ! Après l'avoir tant attendu, elle prendra grâce et mérite, quand elle lui volera enfin ce dernier souffre, précieux et chaud. Froid de l'instant ; Mais il est encore trop tôt, pour s'évanouir dans les roses sublimes de la mort, pour laisser les ronces briser le satin qui recouvre la peau pale, pour en attaquer les épidermes et en fermer couler, ces larmes ensanglantées. Il est trop tôt, quand de l'amour ! Le coeur doit encore fleurir, laisser les lys parcourir son corps, les mains épouser ses horizons, pour laisser les lèvres embraser d'autres rêves. Douce petite sorcière, de ses potions, sans jamais en faire tomber amoureux, les dieux, et leur grâce divine. Sans jamais arriver, à faire faiblir les démons quand c'est un ange qui ne cesse de sombrer qui vient l'accueillir dans ses bras où les ronces agrippes ses tissus, où ses pulpeuses se déposent contre sa peau. Quand elle sent ses bras se refermer autour d'elle, comme prison ! Quand jamais s'étouffer, quand elle peut enfin respirer librement sans plus jamais avoir peur que les poids de la vie finissent par l'étouffer, l'envoyer dans les entrailles du monde, des océans et de leur désespoir ! Échouée là, contre les draps immaculés de tout amour, de toute saleté ! Attendant sagement que l'espoir vienne à elle, quand silencieuse est naïade choyée par les nymphes, à enfin déposer les yeux sur lui, des rougeurs naissantes contre ses pommettes froides ! Hm, oui, et toi ? Sourire en l'observant se plonger contre les tendresses, à venir l'imiter alors qu'elle serrer l'une des peluches contre elle, se roulant sous la couverte pour réchauffer ses membres fébriles, toujours trop frileux. C'est normal, je tiens à toi, et fêter ça tout seul, c'est moins drôle que tous ensemble ! A en laisser la voix transporter les songes et les fiertés ! Quand les artifices brillent encore dans son regard, de son sourire qui ne cesse de grandir alors qu'elle n'ose pas l'approcher davantage. Trop timide, à avoir peur des réactions, quand elle rêverait de réchauffer son corps dans des bras précieux ; un jour. Je suis contente si tu t'es amusé. C'est beaucoup pour moi, tu sais. Sans en révéler les secrets qui pèsent sur ses épaules, dans son coeur où tout se meurt à petit feu. A en taire les murmures qui saccagent ses pensées ; et la paix qu'elle voudrait trouver. Je crois que... J'ai jamais invité à dormri quelqu'un... Timidité sur le bout de ses lèvres, corps tourné vers lui, si petit ; Mourant à petit feu.
c'est que son monde devient beau, après trop d'années à l'avoir laissé être dominé par cette laideur nécrosante — poison coulant quand de ses onyx son monde tout entier s'éclaire sous sa vision. à vouloir venir en choyer le corps, l'entourer de ses bras sans jamais la laisser partir. il ne se serait jamais avoué si faible si les pulsants n'en étaient pas si rasoirs. à convier les sentiments longtemps endormis, à tout secouer dans cette cage thoracique ; elle ravive les flammes éteintes. et lui, dans cette candeur il se laisse faire car il n'a plus peur. qu'elle colle contre son épiderme des morceaux de fleurs, qu'elle en décoche les étoiles de ces cieux perlés pour les déposer sur sa chair putride. il serait prêt à lui ramener la lune entre ses phalanges juste pour en obtenir le creux de son sourire. à ne jamais savoir comment en guider remerciement, quand lui n'était que frivolité soudaine.
de ces tentatives de se mettre à son aise, quand sous la poitrine le coeur vacillait aisément, lui qui n'en avait plus connu les amours — solitaire quand il préférait ne pas s'y attarder, pensant qu'il n'était pas fait pour tout cela. de ces merveilles auxquelles ont accolé les organes, de ces desseins sur lesquels il ne voyait son avenir tanguer. pourtant, elle venait tout chambouler, tout mélanger. à le distraire quelque peu, quand le corps s'enfonçait habilement, à sourire quand il repensait à toute la soirée. lui qui ne l'avait pas quitté, quand les corps s'en retrouvait aimanté, à s'accrocher pour ne plus se lâcher ; dissonance extatique. oui, c'était vraiment génial de sa tête emplie d'étoiles, à en garder souvenir formidable, pour combler les latences pourries. lui ne faisait qu'espérer, qu'il pourrait enfin à nouveau rêver. de ce regard l'observant, à la voir se glisser sous les draps, quand lui n'osait guère le faire — timidité à s'emporter dans les valses des enfers s'il y cédait. c'est vraiment beaucoup trop adorable de ses yeux pétillants alors que le corps s'en tournait légèrement, à vouloir en ouvrir les bras pour la faire s'y glisser délicatement. pourtant il ne savait pas, comment elle prendrait les démarches avancées ; lui qui ne voulait rien brusquer. à en avoir le coeur allégé aux paroles de la princesse. et je suis content si tu l'es à n'en vouloir que préserver son bonheur ; car elle était étoile si forte dans les cieux.
à laisser les rires s'effritaient, quand les sonorités de sa voix s'épanchaient, lui non plus ne se souvenait pas des instants passaient comme celui-là. oh vraiment ? et à vouloir en marquer les esprits, que les nuitées en reste gravées dans les mémoires porcelaines. tu sais, je crois que ça m'est jamais arrivé de dormir chez quelqu'un à tenter d'en ramasser les morceaux, de quand aurait pu être ces dernières premières fois. mais rien ne venait dans le crâne, quand il savait pourtant, qu'il n'avait jamais rien pu partager de tel. il faut croire que ce sera notre première fois à tous les deux quand il vient en délivrer sourire éclaté, à en tendre le bras quand il la voit trembler, essayer d'en approcher le corps quand il vient finalement s'y glisser à son tour. tu as froid ? comme pour en tenter d'examiner les symboliques, lui viendra la couvrir de ces chaleurs bénîtes. tu sais, tu peux venir te blottir contre moi d'une délicatesse vertueuse on m'a toujours dit que j'étais un radiateur ambulant. quand le rire s'empare des aspérités. il l'enlacerait jusqu'à ce que la glace quitte sa place.
Because for every person, their most important thing is always different.
Et face aux temples divins ; elle a imploré le pardon ! Demandé grâce pour que les démons cessent de dévorer sa chair et ses os, comme des chiens errants, affamés, elle a imploré ! Qu'on lui rende cette vie si tranquille, ce quotidien paisible ; Quand le coeur n'était pas nécrosé des tristesse de la vie, Quand faucheuse ne lui prenait personne. Quand encore sage des sentiments tournesols dans sa poitrine, laisser les feuilles grandir entre ses côtes, dans ses entrailles, attendant paisiblement que le soleil se montre. Mais il n'y a eu que la nuit, Les étoiles. La lune. Le bleu du soir. Les terreurs l'enfer ! Quand le diable a attrapé ses cheville, l'a entrainé dans le sol, où la terre a recouvert ses yeux, le sable a étouffé ses hurlements. Et on ne l'entendait plus, Ara. On ne pouvait plus la voir, noyé dans ses larmes, dans ses cauchemars, et quand enfin ! Tout vient lentement renaître, dans ces pulsants choyés, couvert d'un amour pur, Quand les papillons sortent de leur cocon hivernal pour faire place au printemps et ses pétales. Quand sur ses lèvres, il y a des rêves de lendemain, et peut-être qu'enfin, les symphonies reviendront sonner sur le bout de ses doigts ! Qu'enfin les notes valseront au dessus des têtes pour se loger dans les esprits, Qu'on ne puisse jamais l'oublier, douce perle. A envoie envie de se perdre dans ces bras, pour ne jamais plus s'en séparer, jamais plus connaître le froid qui frappe ses mains, ses jambes, quand le coeur se bat ! Chaque jour, pour réchauffer chaque morceau d'elle. A ne plus savoir quoi faire, pour en cajoler les chagrins. Ah oui ? Je pensais que tu aurais invité des ami.e.s ! S'exclamer doucement, jusqu'à en rire, dans cette innocence qu'elle finira par perdre entre les mains du diable, entre les douleurs vivaces de son être, les violences de la vie. Faible petite fée, elle rayonne difficilement dans la nuit, dans le noir, quand elle l'observe se rapprocher, sourire qui ne s'efface jamais. J'ai tout le temps froid, c'est pas grave. Sans en avouer les causes, laissant simplement son corps se rapprocher du sien jusqu'à se blottit contre lui, laisser la chaleur l'emporter, les effluves charmer son nez, et les rougeurs ! Reines contre les joues pales et malades. C-c-comme ça ? Relevant délicatement la tête, proximité jamais initiée avec personne, main doucement posée contre lui, ne plus savoir comment agir. C'est vrai... J'ai déjà plus chaud ! Apaisement, quand le calme s'empare de son esprit.
les années se sont égrainés, sans sa trace dans les paysages, quand ils ont tous avancé sans lui alors qu'il était là, bloqué dans le passé. à tenter de ne pas envenimer les songes déjà entièrement cramés, lui qui ne voulait que s'exclamait des beautés profondes, qui ne pensait qu'à en retrouver les innocences égarées sur le bas côté. c'est que pourtant, il a laissé les vérités se teinter de mensonges, et jamais plus il ne pourrait revenir sur les paroles déployées. à essayer d'en rester apaisé, car ça n'avait pas la moindre importance, qu'on ignore qu'au fond de entrailles — il était détruit complètement bouffé par ces années à servir ( se noyer ) son pays.
et peut-être qu'enfin, il méritait un tant soit peu de douceur, qu'on lui accorde ce bonheur si longtemps délaissé. à en servir les miettes, s'en contenter quand il ne connaissait plus rien de tout ça. il n'en demanderait jamais trop, car ce qu'on lui donnait lui suffisait si aisément ; lui qui voulait remplir son coeur de chaleur quand la mort l'en entourait. à se baigner de cette lumière étoilée, ara comme symbole d'une renaissance nouvelle ( inattendue ) en cette année renouvelée. à venir en hummer les mélodies, à s'en perdre dans les sourires précieux, pas vraiment. j'étais pas le plus sociable de la famille à choyer les rires, quand il n'avait accordé de son temps qu'à sa soeur et son cousin ; seuls gardiens de son organe battant. j'étais souvent coller avec nana ou sae, alors tu sais c'était le seul qu'on invitait à dormir à la maison quand les familles n'en étaient pas décousues de toutes pièces. lui aurait aimé accorder plus de temps à ceux qui partagent son sang.
quand de ces légers tremblements, il la voit si lointaine, à vouloir l'en rapprocher, la laisser venir se blottir contre lui quand les attestations sont vaines ; de ce corps qui n'en connait pas le chaud, quand il s'étiole à rester de glace. à pourtant l'inviter, car il ne peut la laisser dans cet état, quand les habitudes en restent souveraines. il se refuse à la voir frissonner s'il peut apporter de cette chaleur à son corps. à l'observer s'avancer quand elle se pose tout près de lui, à arranger sa position quand le dos rencontre le matelas pour qu'elle se mette à son aise. t'es bien ? alors que ses bras mécaniquement viennent entourer sa taille, l'amenant toujours plus proche. de ce coeur qui s'envole, à mesurer la cadence grandissante, de cette lèvre mordue entre les dents, l'entend t-elle chanter ces divines louanges. tu peux rester comme ça si tu veux quand il ne souhaite que son bonheur, candeur magnanime qui s'effrite. à venir en remonter couverture sur ses épaules, quand les doigts viennent à se perdre le long de son dos, à en caresser l'épiderme par dessus les tissus. de son autre main qui se laisse absorber par sa chevelure doucereuse. à en quémander affection unique. j'espère que j'arrive à te réchauffer un peu de ses onyx cherchant le contact de son visage merveilleux ce serait dommage que tu tombes malade en ce début d'année à en offrir fin sourire, quand de tendresse il vient déposer délicate attention sur son front ; baiser mielleux. elle active la flamme de son coeur.
if Cinderella’s glass slipper fits so perfectly, I wonder why it fell off along the way ?
Et Ara, elle ne sait pas comment ça marche, ces choses là. Elle ne sait pas comment fonctionne l'amour, quand son coeur n'a fait que faner des affections emportées par les bras de la faucheuse. Ara, elle ne sait rien de ce mande, elle n'en connaît pas encore les dangers dans le creux des poitrines ! Les mensonges qui coulent des lèvres, ni même les sacrifices mortels qu'ils sont tous prêts à faire. Et moi, serais-je un sacrifice ? Est-ce qu'on m'abandonnera ? Princesse enfermée dans sa tour, à la protéger du monde et de son règne de terreur ! De l'univers et de ses trous noirs qui absorbent tout sur leur passage. Des comètes qui implosent ; peut-être qu'elle n'attend que ça aussi. Imploser, ou bien exploser. Mourir, avant de renaître. Laisser sa peau redevenir carcasse au milieu des fleurs, pour que de ses os, des plantes nouvelles puissent un jour voir le jour ; dans l'espoir et les grâces divines. Ara, enfant jamais assez aimé ! Couverte jour et nuit de ces offrandes, comme nymphes aux doigts argentés, à en faire naître la vie ; parfois la mort. Sans se douter, qu'elle est fatale, quand elle torture ce coeur qui bat à ses côtés, d'un amour qui lentement ; Vient réchauffer leurs entrailles. Ode aux douceurs ! Quand peau est glissée dans des bras qui n'appartiennent pas à sa soeur, ni même à la faucheuse. Plus imposants, plus fort, d'une chaleur qui l'enveloppe doucement, quand elle sait que sa peau restera froide, été comme hiver ! Malédiction, qui lentement l'emporte, elle est froide comme l'hiver, malgré la vie qui explose dans son pulsant. Ca devait être bien, quand vous étiez enfants. Quand elle vient taire les souvenirs d'enfances ; Les rires d'eux quand ils étaient jeunes, comme des mirages dans son esprit. Quand elle revoit Ash, et jamais loin, Fei. Elle ne dira rien, de peur d'éveiller des cauchemars, d'en faire couler ! Les perles cristallines le long de ses joues. Quand elle essaye. Elle essaye si fort. De se relever, quand enfin, le coeur vient guérir des maux, s'ouvrir à d'autres horizons, d'autres regards ! Quand c'est lui, qu'elle se surprend à admirer, à penser dans ses songes rosés. Laisser les corps s'épouser de leur subtilité ! Quand elle le laisse se mettre à l'aise, laisser une main se déposer contre son torse, tête délicatement posé contre lui, à laisser les yeux voyager vers les siens, sentir les joues brûler, brûler jusqu'à ce que sa peau finissent par la blesser. O-oui... A en sentir l'étreinte ! Autour de sa taille, celle qu'on a jamais touché d'aussi près, laisser des doigts se déposer sur les fins tissus, des contrées inexplorées de son corps ; A en laisser les barrières ouvertes, sans penser aux dangers qu'elle pourrait rencontrer. C'est son coeur qui bat trop vite, si vite, qu'elle a peur qu'il finisse par s'arrêter. Et toi, est ce que tu peux l'entendre ? Il bat, parce que tu es là ; parce que tu existes en ce jour. Et baiser déposé, tendresse interdite ! Jamais offerte sur l'épiderme adorée, froid et innocent des démons putrides, la nécrose n'existe pas sur ce corps divin. N-ne t'inquiètes pas pour moi. Lèvres qui se courbent à ses intentions ; Mais Ara, elle est curieuse, curieuse de dépasser des limites imposées sans le vouloir. Elle aimerait savoir, ce que ça fait, quand deux étoiles se rencontrent. Est-ce qu'elles meurent ? Est-ce qu'elles explosent ? Sans en avoir les réponses ! Laisser simplement les doigts glisser contre sa joue, en caresser les pommettes, dans le silence de la lune, divinité des noirceurs ! Laisser son regard parcourir chaque détail de lui ; se surprendre à aimer ça, le découvrir, petit à petit, sans un mot. Sans tempête. Sans peur. Et petite fée ! Trouvant dans le fond de son coeur, le courage de tant d'hommes ! Sans savoir, si c'est la bonne chose à faire, quand lentement la tête se relève, pour en déposer sur ses pulpeuses merveilles, ses lèvres encore chaudes. Sans savoir, comment faire, parce qu'elles n'ont jamais rien épouser d'autre que les sucreries. Qu'elles n'ont jamais danser dans l'harmonie des cieux. Elle est timide, sans jamais trop oser, pressant délicatement les divines, les laissant danser, sans savoir si elle sait y faire.
brille les lucioles, voltige les farandoles, dans ce monde à l'orée des paradis, à venir en combler les vides précipices. ô dae, il a souvent rêvé grand, à se dire que la vie serait feu d'artifice, qu'on viendrait en décorer les épidermes de ces beautés émerveilles, qu'on sublimerait la chair de ces galaxies étoilées. pourtant, on n'a fait que l'enlaidir, à le rendre malade, à venir en détester ce reflet miroir ; j'ai honte de toi qui se susurrait au creux de l'oreille. à en abattre le pulsant, à en arracher les espoirs, gloire oubliée. lui ne serait que fantôme, qu'on délaisse sur le pas de la porte, qu'on néglige quand les sourires n'en sont que forcés. et les constellations n'éclaireront plus les nuitées obscures. à laisser les diables venir danser auprès des corps, à se faire ensorceler ( perdre pieds ) avant d'en subir les asphyxies. pourtant dae voulait vivre, à rattraper toutes ces années de jeunesse perdues, à s'amuser et s'émerveiller. à tenter de ne plus penser, à tous ces cauchemars hantés.
c'est qu'il faudrait qu'il ouvre à nouveau son coeur, qu'il apprenne à aimer ( s'apaiser ) silhouette enchantée. de ce coeur fermé, devenu cimetière, n'y demeure plus que des cendres. car il est bousillé dae, à avoir eu l'évidence dans le fond des yeux, avant qu'elle ne l'abandonne ; mais il ne lui en a jamais tenu rigueur. elle avait refait sa vie, continuait sans lui. et la peur d'être à nouveau sacrifié, lui bouffait les entrailles au point qu'il préférait se renfermer. loin des autres, il n'y a point de souffrance. mais à ses côtés, une lueur s'éveillait à vouloir tenter les chances, elle l'animait de ces intensités inconnues, à se jeter dans le vide. de ce corps serrant le sien au plus près de son coeur, à ne pas la lâcher, quand pourtant il n'avait plus connu tel rapprochement depuis si longtemps à présent. il s'était tenu éloigné, maintenant un cap pour ne pas sombrer ; l'amour est néfaste quand on s'en va au bout des horizons. et il n'en avait que trop goûter aux chimères pour penser qu'il se noierait à nouveau dans les sentiments. pourtant le coeur palpitait, il était bel et bien vivant — chaud quand il tentait d'en taire les pensées vives. à en raviver les souvenirs, enfance presqu'heureuse, pas réellement malheureuse. mais difficile quand nana en était rejetée, quand sae en habiter si peu de moments passés à trois. hm ça l'était oui quand au fond, il y a eu si peu d'instants, où les joies éclataient dans les airs, où les morceaux de coeur n'étaient pas éparpillés par terre.
et souvent il se demandait, que reste-t-il de ce temps fané, où les âmes vivaient encore à l'unison, où les battants chantaient tous en choeur. dae y pense parfois ( souvent ) à retourner le temps, faire demi-tour et recommencer tout de zéro. s'il le pouvait, il n'y serait pas allé, là-bas, dans les contrées mortelles. il aurait suivi nana, délestant de ses épaules les poids dormants. il aurait essayé d'être plus proche de sae, pour ne pas en connaitre regrets amers sur le bout de la langue. mais rien n'était simple avant, et rien ne le sera à présent ; tout est fissuré et il le sait dae, tout est de sa faute. unique responsable de ces malheurs qui l'incombe.
mais tout effacer, pour tout recommencer. ce soir, dae oublie les douleurs, flamme vacillante dans le creux de ses bras il ne pense qu'à la douceur qu'elle lui apporte. à tenter de la protéger ( la réchauffer ) quand petit corps si frêle est tout froid. à la lover contre lui, quand de sa tête apposée sur son torse, il n'en cache plus les sourires. c'est que tout le dévore, mais c'est agréable, c'est plaisant. de se sentir habité par un éclat ardent, de se dire que peut-être il mérite sa place. et à jamais ne la casser, de ces gestes tout en délicatesse qui vienne l'étreindre. tant mieux alors quand croissant de lune s'esquisse, il est heureux l'enfant étoilé, bien plus qu'à l'habitude. de ce baiser offert, comme pour en déposer les mots qui ne viennent pas ; tu es en sécurité avec moi à s'en refuser de brusquer l'ange fragile. pourtant c'est normal quand les sonorités implosent dans les airs sibyllins je m'inquiète pour toi, parce que je tiens à toi à en sentir rougeur venir teindre les joues. comme maladresse échouée, de ses mains à moitié moites, à en mordre les lèvres — timidité qui vient s'écouler sur le visage qu'il ne peut cacher.
et tout explose, quand de ses phalanges elle vient trouver ses joues. à en sentir chaleur montée — poudre rosée quand le regard rencontre le sien, à en brûler le coeur. palpitations qui s'accélèrent quand il comprend, demoiselle féerique se rapproche, et les grésillements du pulsant prennent les devants. lèvres doucereuses qui rencontrent les siennes, quand les yeux se closent pour en savourer les sucreries sur les pulpeuses. à ne pas savoir comment réagir, cerveau grillé quand le corps ne réagit plus. c'est qu'il fini par se surprendre, quand les mains se meuvent toutes seules, à venir glisser dans la chevelure, dans le creux de son cou. et laisser les lippes s'animaient, quand elles viennent en saisir leurs jumelles. rien n'est forcé, tout est doux, harmonieux. à en préserver sa candeur quand il fini par s'en reculer pour reprendre ce souffle si violemment coupé. à en déposer sourire perlé, quand il vient simplement picorer les bonbons. à laisser des nuages sur ses joues, sur son nez, sur son front. tes lèvres sont si douces comme un enfant qui a perdu le sens des mots, à ne savoir quoi dire, quoi faire. à simplement laisser sa tête retourner sur son torse en la gardant au plus près. dae se sent bête, gamin qui a perdu pieds. comme s'il venait de partager son premier baiser, comme si les papillons vibrant dans les entrailles n'avaient jamais été là auparavant. à la relever quelque peu quand les doigts rencontrent son menton, à en faire collision de leurs onyx. tu me rends heureux, ara quand le bonheur n'avait plus frappé à sa porte, lui refusait d'y croire encore. alors qu'il vient voler une nouvelle fois les lèvres. à s'étioler dans ces douceurs nébuleuses. c'est comme du coton. et lui, en dessine sourire rayonné, quand il se laisse tomber dans les pureté.
I remember us standing together at the edge of the river watching the sun sparkle across the water. You kept humming this one song. Can you sing it to me again?
La pureté caresse ses doigts, come des perles qui roulent encore et encore contre sa chair, comme des goutes qui valsent contre l'épiderme après la rosée du matin. Elle est princesse des jardins étoilés, elle qui vient cueillir de ses doigts fatiguées, les astres brisés pour leur redonner leur éclat d'antan ! Quand lentement, ses phalanges sombres viennent retrouver leur blancheur d'autrefois, au contact d'un ange dans le déclin, ô lui aussi est tombé, s'est heurté contre les rochers ; S'est écrasé contre les vagues, violence de l'océan ! S'est noyé, laissant le sel sécher ses lèvres, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien que des morceaux de lui, éparpillés dans le monde. Alors un par un, elle a récolté ces éclats, dans ses mains fragiles. Pour en recoller les morceaux, recoller les plumes envolées de ses aîles. Pour que les cieux viennent enfin l'éclairer, de nouveau, être arraché au paradis. Ara est un artifice de couleurs qui a tenté de renaître, encore et encore, mais les démons ont dévoré sa peau, arraché ses jolis yeux. Elle ne pouvait plus rien voir, aveugle ! Aux joyaux sous ses pieds. Il a déposé sa main contre la sienne, et le soleil a de nouveau brillé dans son coeur. Ses yeux se sont rouverts. Ses plaies, lentement, se referment à mesure que l'amour s'infiltre dans ses veines. Elle ne saigne plus, Ara. Elle ne pleure plus tellement. Elle a les yeux posés sur des ailleurs bien différents. Les sourires renaissent sur ce visage longtemps fermé, caressé par les naïades, pour qu'elle puisse renaître, dans ses bras où la chaleur est reine, où l'amour est roi ! Ses lèvres déposées contre les siennes, d'une candeur qu'on l'on ne pourrait jamais tué ! Les pulpeuses, pressées contre les siennes, a sentir ses bras l'entourer, ses mains prendre possession de sa douce peau, sans un geste brusque, sans violence. Douce tendresse, quand les souffles cognent, se rencontrent dans une harmonie singulière ! Les anges peignent des tableaux sur ses joues, rosées, des nuances qui n'apportent que la joie, font une ode à l'amour merveilleux ! Ses lèvres sont sucrées, elles ont un gout de barbe à papa, de ces douceurs dont elle raffole, elles ont quelque chose de particulier, quand elle sent les papillons naître pour la première fois. T-t-toi aussi... Tu me rends heureux. A venir de nouveau cacher son visage contre son torse, de ses mains refermées contre le tissu, timidité qui agite son coeur, battant qui pourrait bien tout faire exploser ! A remonter lentement la couverture sur sa tête. Je-je je suis rouge. Ne me regarde pas, c'est pas joli. A en rire quelque peu, alors que le sourire est gravé comme un ange sur ses lèvres. Et le sommeil guette, quand elle sait, qu'elle pourra dormir paisiblement, cette nuit.
les anges se sont adoucis, ont laissé les divins dans leur repos, à saisir les phalanges dans le creux des paumes. dae s'est apaisé, comme si les rafales brusquant son coeur ont fini par s'envoler, à se détourner des torpeurs exonérées. il a enfin pu respirer calmement, à laisser souffle perler le long des pulpeuses amourachées. lui se noyant dans les gouttes de pluie, à en savourer les textures mielleuses. dae n'avait pas connu ça depuis des années. ce bercement doucereux, à venir en panser les plaies béantes, bientôt elles ne seraient que souvenir souverain. quand les mains en seraient tendues, à venir en capturer les poignets finement, il revivrait sous ces cieux constellés par les astres. peut-être que j'ai le droit au bonheur s'installant lentement dans le crâne, les pensées n'étant plus aussi néfastes qu'auparavant. dae s'en sentirait presque détendu, à en assouvir les convictions que le futur pourrait être tendre s'il le désirait.
il ne se détacherait guère de cette silhouette magnétique, à en laisser doigts caressés la chevelure, à en embaumer l'organe de ces odeurs singulières. elle était joie ( allégresse ) perforant les entrailles. et il ne voulait que la protéger, à la garder entre ses bras, étreinte mortelle somptueuse, où il n'avait pas peur d'en faire entendre le pulsant cogner contre la cage thoracique. qu'elle entende, comment il résonne, juste par sa présence. parce que les lèvres se sont touchées, embrasées sous les feux célestins — divins. dae suspendu dans les airs, flottant dans les aspérités seigneuriales. il voudrait que l'instant ne s'estompe jamais, qu'il reste gravé dans le temps stoppé, comme s'il pouvait en photographié le moment partagé. à la laisser se cacher contre son torse, de ce sourire nageant sur les pulpeuses, à en délivrer sonorité cristalline de ces rires qu'il ne se pensait plus capable d'exprimer.
elle lui a rendu les étoiles, à les apposer sur les lippes. à l'observer faire quand les couvertures la recouvre, quand le corps frêle se perd dans ces grandeurs sublimes. dae ne voulait qu'en garder la mémoire intacte. à alors en retirer les gênes, quand de ses doigts il en soulevait délicatement le menton, pour laisser s'attendrir sous les couleurs rosées peignant ses joues. elle était belle, ange tombé du ciel. tu n'as pas à avoir honte qu'il en murmurait faiblement, quand son visage venait à son tour en prendre teintes élégantes. tu n'es pas la seule à avoir les joues rougies quand il la laissait le regarder plus en détails. à en relâcher les visages finalement, quand il en déposait main dans son cou pour qu'elle se rallonge sur lui tendrement. à venir la serrer un peu plus fort dans ses bras, quand baiser s'en déposait sur la chevelure. tu es magnifique ara, n'en doute jamais de ces palabres transcendant le silence. quand les yeux s'en closaient petit à petit. hm merci pour tout quand le sommeil l'envahissait au fur et à mesure. grâce à toi, je sais que je réussirais à bien dormir ce soir d'un ultime regard sur sa silhouette. à se nicher au plus près d'elle.
et les anges, s'envoleront. bonne nuit ara doucereux rêves orchestrés.
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