beauté des cieux étoilés,
à en découvrir astre mensonger.

comme une continuité où les pas virent de bord. à mener la silhouette dans des endroits inédits, propice à se laisser porter par le silence ambiant. pétales tombants quand le regard navigue sur les branches des arbres encore fleuris. splendeur émerveille dans laquelle il se perd. yohan n'a pas voulu rentrer chez lui, pas ce soir, pas après ces jours où il a essuyé les coups. à venir s'accuser des pires torts du monde. peut-être le savait-il déjà, qu'il n'est que monstre qu'on haït à foison. c'est qu'il n'avait rien demandé, lui en venant au monde. à ce qu'on l'incombe de ce mal distillé. poison coulant dans les veines, à se sentir misérable à chaque avancée ; peut-être que c'est juste moi le problème. quand le palpitant accélérer à la vue de ces autres, pareils que lui. à se blâmer pour ne ressentir aucune émotion quand son regard s'apposer sur les filles d'aphrodite. l'enfer l'attendait, juste là, sous le sol portant ses pieds.

quand les doigts n'avaient cessé de frôler,
ses lèvres qui sous l'impulsion l'avait embrassé — lui.

démon hantant ses nuits et ses jours. némésis ayant fait basculer un endroit où il pensait être en sécurité, en abîme profonde. et il n'avait pas réfléchit sous le coup de la peur, quand les pulpeuses avaient fait collision contre les siennes. il n'y avait que la chaleur ambiante qui l'avait envahi. avant de disparaitre, de tenter de faire comme si rien ne s'était jamais passé. il se refusait à le voir, à le regarder, à laisser sa voix faire écho dans ses tympans. quand le corps se retrouvait en sa compagnie, il se tendait, à serrer les poings et prétendre que le myocarde ne manquait pas tant de battements. car de cette haine vorace, une nouvelle sensation s'était tissée.

peut-être qu'au fond, il n'était pas habité par la colère. après tout, yohan n'avait rien à retenir contre jonghwa. hormis le moindre de ses agissements. marque de fabrique pour le faire vriller quand la peur venait le prendre en tenaille. mais il la connaissait par coeur, car c'était celle que son propre frère lui infligeait. à entrevoir sur leur visage ce même rictus de satisfaction, ce regard de dégoût qui venait à le juger. pourtant, hwa paraissait différent. à laisser l'esprit cogiter, à venir s'en demander s'il n'y avait pas des secrets à révéler derrière ses traits moqueurs.

que caches-tu de si sombre,
pour fuir la réalité de ton monde.

à laisser de côté sa propre curiosité, car il ne pouvait plus l'approcher. à en ressentir toujours les frissons sur l'échine. à en recevoir décharge électrique quand l'air devenait irrespirable. il avait pris la fuite, bien plus d'une fois pour l'empêcher de l'accoster. à avoir veillé de n'être jamais seul dans la même pièce que lui. et tout s'était déroulé si aisément, à presque se demander ce qui viendrait à lui tomber sur la tête le lendemain. quand de cette soirée, il s'était pris au jeu de se perdre dans les rues de busan. à ne pas savoir où ses pieds le mèneraient, à se laisser guider par les rires égayés, les odeurs enivrantes noyées sous des doses alcoolisées. lui ne s'y attendait pas ;
à ce que le destin se joue de lui.

quand le regard avait tourné dans une ruelle, à ne jamais savoir ce qu'il cherchait réellement. quand les tympans auraient pu reconnaitre sa voix tranchant dans les airs entre milles. à en laisser le corps se redresser, à en sentir frisson glisser sur la colonne. ô mirage qui s'étalait au loin. il devait sûrement rêver quand d'instinct il avait suivi son chemin. et pourquoi fallait-il qu'il soit frappé par cette curiosité mordante. pourquoi devait-il tourner à cette intersection quand les pas auraient pu aller de l'avant. il y avait comme un schéma qui devait se répéter inconsciemment. alors qu'il avait fini par le retrouver lui. état secondaire, mordu par les bribes des liqueurs. il en avait laissé échapper un rire tinté, à s'approcher sans combler les distances imposées. jonghwa ? de cette voix craquelée. à ne pas savoir s'il l'avait réellement reconnu. si les anges se jouaient de sa carcasse.

c'est fou comme tu m'attires
aimant retenu face à son pôle opposé.

et que voyais-tu dans le miroir ?
démence ,, faiblesse ;
miracle ?

à forger les mondes , quand il en avait réduit en cendre les miracles. Jonghwa,, ironie d'un monde qu'il ne voulait pas, à vouloir tout brûler, tout réduire en cendre ; de ces visages à ces arrogances. quand ses lèvres n'en reconnaissaient plus que les amertumes des liqueurs. et aujourd'hui tout irait mieux, de ces nuits devant lui, guitare sur le dos ((toujours là)). c'est qu'on lui en avait offert rédemption inexistante, à se laisser bercer de ce qu'il ne pourrait jamais avoir. joies envolées ! mortes sous les accords. symphonies ridicules, de celles qu'il aurait voulu écrire. à ne pas être Mozart ,, sous les airs sifflés par les étoiles qui en tuaient par dépit ses simples égo. tués ! poignardés de ses propres colères, quand il n'en voyait plus ses reflets dans les fenêtres devant lesquelles il s'arrêtait.
visage difforme :
à sourire de ces folies ,,
permanentes.
de ces jours passés, jeu mélodieux qui en avait cessé quand les fuites en avaient été prises dès qu'ils s'en retrouvaient dans les mêmes lieux. et Jonghwa ne voulait pas jouer de ces enfants qui n'en faisaient que fuir. à quoi bon ? quand il ne voulait être bourreau que de ceux qui en repoussaient les avances maudites. aucun amour ,, simples mesquineries : pour en faire valser les têtes de ces cauchemars sublimes. à maudire de tous ses regards ceux qui en avaient affections quand lui n'en levait les doigts que sur les miséreux. à ne faire don de violence qu'aux ignorants ,, jamais aux brebis esseulées.

alors il l'avait ignoré :
quand fatigué
de lui courir après.

lassé, à pourtant ne pas en avoir perdu désillusion dans les regards. car Jonghwa tu en étais désespérément seul ((en permanence)). à le faire exprès au final ! quand il ne voulait jamais s'accrocher, à mourir seul dans son coin sans ne s'en douter que face à lui se dessinerait les délicatesses. quand de paysages il n'avait fait que marcher, journées dissimulées sous ses paupières ,, à n'être qu'artifices gelés. de ces rues marines plongées dans le noir des lumières artificielles ,, à ne plus savoir où il en était : quand ô lointaine figure ! il en reconnaîtrait ses traits par milliers. à sourire sans doute un peu trop ,, à vouloir se sauver de l'ennui : quand les pas s'en feraient plus fiers encore. rire léger ,, à venir en briser les protections des distances. et Yohan ; tu ne pouvais plus fuir maintenant. "Yohan ~ ", à laisser s'échapper, venir en passer son bras autour de son épaule quand les rictus n'en seraient que plus merveilleux.
venir effleurer d'un doigt son oreille
à se jouer :
de lui encore et encore.
beauté sublime qu'il ne viendrait jamais lui dire, quand à en poser la tête sur son épaule il rirait presque de ces coïncidences. et peut-être était-il bien tombé, lui qui en avait recherché les solitudes ! à pourtant se réfugier contre celui qui en détestait les présences. se sauver de lui ,, quand tout pourrait bien s'écrouler qu'il ne lui en offrirait jamais repos Jonghwa. pierre de lune au cou : comme prunelle à fuir les innocences.  "you were hanging out ? alone ? what a bold boy.", quand enjoué , à puer les alcools, il en voyait pourtant encore clair : à encore savoir tenir debout quand dans ces rues tout était permis. "so tell me...what were you doing ? wanna have fun ? maybe I should teach you how to ~" , qu'il voulait presque l'entraîner sans ne réellement savoir où aller. car dans ces ruelles, lui aussi : en était si seul ! à ne savoir que jouer quelques notes sur sa guitare, boire à foison, quand d'un doigt il venait à en aérer son col roulé. "first step : don't avoid me. you're not that bold with me recently, that's boring." trop chaud, à fuser ! souvenir de ces baisers qui en avaient amusé le plus fier ,, à
en aimer chacun des touchers, quand il ne ferait que crier le contraire. à ne pas en lâcher les épaules du plus jeune presque pour ne pas le laisser s'échapper ((quand les prises en étaient si faibles)). à ne rien forcer ,, car si Yohan le souhaitait, il pourrait le laisser s'abattre sur les sols aux salins bleuâtres.
l'oublier :
ici ,,
dans les limbes
de la ville.

danse des anges,
ô louange brillante des éternités.

à laisser le ciel dominait son univers. de ces envies détestables quand les galaxies sont marquées sur son épiderme. comètes traçant les pans de sa peau, souvenir délesté par un frère nécrosé. à se demander, quel mal a-t-il créé. quand il en voit là des signaux de la stratosphère, c'est peut-être qu'il n'aurait jamais du en apercevoir la beauté des étoiles. j'aurais jamais du naitre comme ancré dans la mémoire cabossée. il n'y a plus de mécanismes de défense, simplement des perles nacrées coulant le long des traits fissurés. visage tuméfié quand il essaye d'en garder les sourires éclatants. alors ce soir, égoïsme suintant de ses pores, il n'est pas rentré. détour emprunté en sortant des bancs de l'université. envie délabrée que de ne pas se rendre dans ces endroits où il se sent comme chez lui. car l'un contient les réminiscences d'un baiser initié ( volé ) comme pour en calmer les calamités.

et si je t'évites à présent, c'est que j'ai peur de ce que mon coeur peut ressentir quand sous la cage thoracique les battements se sont fait différents. bien plus inconstants, à tenter de ne pas en redessiner dans les nuitées, le faciès empli d'amertume. yohan s'est retrouvé pris dans un piège. à en laisser mensonge fragiliser les pensées. il prétend ne pas en avoir été affecté. quand c'est une démence qui lui incombe. à ne plus savoir quoi faire. quand la fuite est devenue solution de facilité. à l'éviter à tout prix, comme si la peste s'était immiscée soudainement dans les veines. à se surprendre, que l'acharnement est cessé, que les palabres ont fini par ne plus le toucher. demeurer dans un silence de plomb. jonghwa, a mis un point final aux attaques.

prédiction maudite,
quand le corps se perdait.

ruelle traversait. nuit étincelante. il pensait avoir le temps devant lui, à se rendre dans les allées étrangères aux onyx puretés. peut-être qu'il en découvrirait des mondes divers. envers d'un décor qu'il n'avait pas encore affranchi. car yohan était l'innocence incarnée ; à laisser l'insouciance guider le moindre de ses pas. jusqu'aux infamies. lui dans les splendeurs invisibles. lui comme bourreau des battants compulsifs. ô yohan n'aurait pas du autant s'approcher quand les reconnaissances ont été établies. curiosité maladroite. quelque peu égrainée. à se dire qu'il aurait du continuer son chemin, tracer sa route dans d'autres rues escarpées. loin de sa vision. loin de son rire enivrant. de cette odeur acre de liqueur divine. quand les centimètres se laissaient bouffer. lui venant envahir tout son espace privé ; bras déposé autour de son cou, rapprochement établi dans des silences étouffés. à en sentir oreilles rougir sous les caresses délicates.

malédiction désarmante,
c'est qu'il perd pied aisément.

quand il voudrait se sortir de cette étreinte. à vouloir en éviter d'en sentir pulsant accélérer. pourtant il n'avait pas aperçu, sa respiration coupée, à en retenir son souffle. quand dans les trachées, il déglutissait à s'en faire violence. il était trop près. tête déposée sur son épaule. corps tendu quand il ne savait plus où placer ses bras, ses mains. devait-il bouger ou rester intact. yohan était envahi de ces folies passagères ( mensongères ) quand il aurait aimé être apte à le repousser. incapable d'en détourner le moindre mouvement. c'est les dieux qui se sont moqués de lui une nouvelle fois. ah huh, yeah i... i just wanted to go on a walk before heading home chercher les palabres dans le fond des entrailles. fissure apparente quand la voix était tremblante. à ne plus savoir, si c'était la peur rongeante ou la tentation permanente. i... i'm not that bold... i mean you're alone too à finir par en déposer le regard sur son visage. lueur brillante dans les iris, rougeur décelable sur les pommettes. and you're drunk, i guess quand il ne savait comment en aborder les sujets. ce n'était pas à lui d'en juger les activités douteuses.

à tenter de s'en redresser, de se sortir des enclaves. pourtant, il le gardait près de lui, à délicatement venir laisser sa main maintenir son bras. comme pour ne pas le voir s'en évader. ironie d'une histoire. quand il n'avait cessé de courir pour en éviter les collisions. i... i wasn't doing anything... just... just walking en détourner les onyx, laisser le regard rencontrer le sol. quand les paumes de ses mains devenaient moites. quand tout en lui bouillonner d'une manière surprenante. c'était quelque peu nouveau. cette peur cisaillante qui s'était lentement transformée. have fun ? with you ? what do you want to teach me ? wait... we... we aren't friends vérité explosive, il ne voulait pas en essuyer les illusions. de ces désastres où il finirait par venir en souffrir bien plus qu'il ne le voudrait. quand les iris en étaient comme aimantés, à plonger les yeux sur le moindre de ses mouvements. à en repérer l'étui à guitare coincé sur son dos. avant de sursauter aux paroles. i... ah... huh... i wasn't avoiding you. i don't know what you're talking about. i was just busy lately... mensonges prolifères, quand les sonorités étaient sautantes. jonghwa n'était pas dupe. i've never been bold... i didn't know you could be bored... you always seem to have so much fun aveux à demi mot qu'il en passait son temps à l'observer. le détailler. tenter d'en apprendre plus sur les mystères l'entourant.

de ces intérêts piqués,
à toujours vouloir tout savoir.

et peut-être que les cartes étaient redistribuées. de ces destins qui étaient étroitement liés. yohan n'était pas écorché par cette frayeur qui l'accablait. jonghwa semblait inoffensif, comme si l'alcool embourbait la plupart de ses sens. so... what were you doing ? quand il voulait en connaitre les raisons de ces états secondaires. de cette facilité à venir l'approcher sans en consumer les haines d'avant. do you... do you play ? d'un coup de tête mené sur l'instrument. à questionner les envies. peut-être qu'il aurait du rentrer sans emprunter les détours. peut-être qu'il n'aurait pas du prononcer l'entité de son nom. mais yohan n'avait pas envie de fuir. pas ce soir.

c'est que de ces mirages ,, il en aurait voulu louanges. à maudire les mondes ,, éblouir les horizons : de ces visages à brûler les cieux. c'est que les rues en semblaient bien animées sur son passage , à être seul quand minuit sonnerait. car il n'en était pas prince, lui. à ne jamais se transformer ,, ne jamais faire luire les regards. les lumières s'éteindraient de nouveau ! solitudes à retrouver dans les reflets de ces verres aux couleurs irisées. et il en buvait, un, deux, à vouloir combler les mémoires, panser les creux dans les poitrines comme serment à se faire. que personne ne viendrait le récupérer , là, entre ces ruelles. danser sous les étoiles sans aucune romance, de ces ferveurs gagnées de quelques liqueurs. peut-être en devenait-il que plus ennuyeux, Jonghwa, à en aimer les silences ,, tout comme les chaos crées. déambuler sur les trottoirs, tourner ! jusqu'à en perdre les équilibres quand de quelques rires il pourrait en recolorer le monde.
se noyer :
dans les peines ,,
aux goûts inconnus.
venir alors en semer ses colères contre tout, hurler qu'il serait un jour l'un de ces rois aux dos si droits ; il ne faisait que rêver de ces ironies qu'il ne pourrait jamais toucher du bout de ses doigts. destiné à rester tout en bas des royaumes ,, loin : si loin de ces ors et luxures. et sans doute que cela ne serait jamais aussi amusant que de ne se jouer des figures fragiles. ô candeur au visage, quand il en avait brisé les merveilles contre ses lippes. mourir sous les humeurs impartiales quand il en avait arrêté de pourchasser les corps. qu'importe ,, il en trouverait bien autre lubie pour en occuper les journées ((quand pourtant face à lui, toujours les mêmes silhouettes.)) à se demander s'il en était suivi, parfois, quand il viendrait s'amuser de ces quelques innocences sans ne jamais rien briser : car rien n'en semblait amusant, à le traumatiser. à vouloir faire changer les regards si purs , faire réagir les émotions quand il pourrait se libérer de ces poids sans ne rien en dire.

respirer un peu ,,
de ces parfums :
aux chaleurs sublimes.

attraper les anges de ses doigts pour en emprisonner les corps ,, faire de ces nuits insomnies éblouies, quand lui n'en était que monstre à vouloir se nourrir de quelques étincelles. mais qu'importe ! quand les touchers n'en étaient jamais violents, à sourire bien étrange, dans ces lieux qui n'en étaient pas les siens. car peut-être que de ses regards ,, il finirait par s'éteindre lui aussi. perdre les sourires qui n'en étaient que rarement enfantins. à n'être pourtant qu'enfers pour ceux qui s'en voulait délicats. "oh really ? but that's kinda dangerous for a young boy like you.", à tenir les épaules comme précieux joyaux, n'être que puanteur pour en ronger les âmes : quand il ne pourrait se débarrasser de lui qu'à sa mort, Yohan. alors dit moi, ce que tu vois. quand face à lui il n'en trouverait que faiblesse à abandonner. et Jonghwa, lui, ne s'en montrerai que douceur, quand d'un esprit épuisé, il en reposerait les visages contre les épaules. "I'm alone but I'm not a kid outside. I'm kind of a lion you know ? eating little kittens like you.", ne faire que l'attaquer : de ces idioties.
ronger les maux ,
par illusions
démesurées.
"and yeah. I'm drunk. a problem with that ?", honte disparue ,, car il s'en fichait : à ne faire que se ruiner la santé comme pour en disparaître plus vite. c'est qu'ici, rien n'en était réellement amusant, si ce n'était d'en menacer les tranquillités de celui sur lequel il viendrait déchaîner les nécroses. se laisser maintenir, quand il venait en rire comme enfant libéré : car ce soir, il n'en serait que joies sous les lueurs d'une ville éparse. "I see...", quand de ces paysages, il en voyait là simple fleur à fleurir à l'ombre des soleils. c'est qu'il viendrait à essayer d'en capter son regard, se pencher sans discrétion pour en croiser ses yeux des siens, quand il fit mine d'avoir mal dans ces torses vides. car de ses beautés, il ne pouvait qu'en mimer horreurs : face aux muses qui en ensorcelaient les regards. "outch how rude Yohan really. but yeah we aren't friend. doesn't mean I can't teach you anything. you're like a puppy." et il ne s'était jamais rien imaginé ,, Jonghwa : à être détesté du monde ; n'être que déception, même dans les yeux de ceux qu'il voulait ennuyer.

alors peut-être
qu'au loin : les vagues
viendraient le happer.

rire à s'envoler ! sous les timides hésitations. mais c'est que Hwa savait lire entre les lignes ,, quand les prunelles en venaient à l'éviter. "busy ? really ? and what were you doing then ?", qu'il en venait à murmurer d'une moue au visage avant de ne reprendre que trop rapidement, quand de son corps il s'en accrochait à son bras pour ne pas le laisser s'enfuir. à glisser son bras autour de sa taille, quand les sourires en reviendraient. "bored 'cause I couldn't mess with you. you see, it's kinda fun in fact. and how would you know I'm having fun ? am I that interesting ?" et il n'y avait que les vérités, au bout de ses lèvres. celles qui savaient en offrir poison comme affections sublimées. l'embêter de quelques questions, à se redresser ! grandeur fulgurante de ses simples airs.
quand des yeux à se cligner,,
presque surpris :
il le regarda d'étoiles dans les yeux.
"me ? drinking. obvious no ? but I didn't have to work tonight. thet didn't need me." épaules à se hausser ! et peut-être en était-il triste d'être aussi inutile ,, à ne savoir que jouer, quand d'une tête hochée il se décolla de lui pour lui faire face de ses airs joueurs. "why ? you wanna know ? should I show you if I can play ?", intrigué, peut-être, à vouloir l'embarquer dans ses histoires quand d'un bras autour de son épaule il finit par l'entraîner vers un banc solitaire. "ah shit if I knew I would have bring something to drink. wanna drink something ? no you're a puppy right I bet you don't drink." c'est qu'il finissait par en tisser conclusions par lui-même, à s'asseoir alors pour en sortir sa guitare de son étui. prendre la pose un instant, pour finir par poser la tête sur sa seule amie. "does it make me look cool ? Yo' you should give it a try ~ it's fun playing the guitar. sit here.", main à tapoter à ses côtés, avant de n'en saisir son poignet pour le forcer délicatement à le rejoindre. à poser sa tête de nouveau sur son épaule : quand les doigts en accordaient habilement les créatures musicales en silence.
à détendre les corps ,,
épaules contre les siennes :
sous la lune qui en garderait
leurs secrets.

fébrilité tacite,
de ces fragilités graffitis.

il y a les chérubins qui dorment à poings fermés. heure de repos où, seuls dans l'immensité, dominent les astres étoilés. lune souveraine d'un royaume bleuté. c'est les instants où dans les ruelles, les vagabonds défilent, les odeurs deviennent plus acres. à venir empester sur les vêtements, à redonner couleurs aux joues blanchâtres. soirée aux allures d'irréalités, quand le gamin n'en connait pas les codes. et il pourrait se méprendre, à venir être noyé par ces douleurs prononcées. quand les coups partiraient soudainement et qu'il ne pourrait plus rien faire ; si ce n'est attendre, que le mal s'estompe. yohan est l'innocence, défilante dans un dédale de labyrinthe inconnu. pourtant, au fond, ça l'amuse quelque peu. à se découvrir des sensations nouvelles, sous le bout des doigts où dansent les fourmis. ça frétille dans les iris, quand sous la cage thoracique ça tambourine à tout rompre. c'est presqu'insolent de sa part. à laisser entre la voix des figures parentales ; à quoi tu joues yohan. car il n'est plus le parfait modèle, dérive esquissée quand il a décidé de ne plus subir.

c'est qu'il y a une rage qui palpite, tourbillonne et boue dans le creux de l'âme. il a besoin de se confronter à cette réalité, celle où le monde n'a rien de beau. car derrière les merveilles que renferment busan, il sait, qu'une laideur putride s'y cache. peut-être a-t-il arrêté d'être dupe quand il est devenu l'un des leurs. vice polluant le quotidien, quand c'est son opposé abstract qui l'a embrigadé sans réellement le chercher. yohan voulait savoir, yohan voulait comprendre. quels maux sont calfeutrés dans les silences pesants. et étrangement, en l'ayant aperçu, en ayant tenté de le fuir après coup. il a compris, que hwa fait parti de ces miséreux. ceux délaissés sur le bas côté, ceux sur lesquels le regard ne se pose qu'en preuve de pitié. à venir les mépriser, eux et tout ce qu'ils symbolisent. yohan le sait pertinemment, ce n'est pas de ces gens là que son paternel se préoccupe. à avoir alors piquer d'autant plus une curiosité déjà bien trop maladive. y a bien trop de secrets qui entourent tout ce qu'il est.

comme ce fil rouge,
qui les relient invisiblement.

quand sans le vouloir, c'est lui qu'il retrouve. de ces moqueries qu'il voit comme signe des divins. ceux sont eux là-haut, qui l'ont remis sur sa route. sans qu'il ne puisse y échapper cette fois-ci, pris au piège entre des bras délicats, loin des emprises démoniaques d'autrefois. jonghwa semble différent. de ces alcools qui émanent de son âme, à en avoir distillé leur poison dans ses veines. il est devenu un brin plus tendre, à surprendre le gamin quand les paroles sont mielleuses. quand il laisse claquer sa langue, à rire aux palabres. il n'a rien de celui qui martyrise, qui empoisonne les sylphides. il n'a plus la langue de la vipère. surprise agréable quand il se perd quelque peu dans son jeu. isn't it dangerous for you too then ? i mean... you're younger than me à se souvenir de cette célébration. il ne sait pas réellement pourquoi, ça a marqué son esprit. à quelques jours d'écarts, un an de différence. à lui montrer là tout l'intérêt porté. t'es stupide, yohan qu'il ne peut s'empêcher de laisser croitre dans les pensées. à tenter vainement d'en contrôler les battements, hwa était si près. à en sembler presque fragile, comme si d'un souffle porté, il pourrait se briser. à en sentir pommettes s'échauffaient sous les tendresses. n'en avoir guère l'habitude qu'il réagisse ainsi ; sensation de feu dans la poitrine. ah huh... you won't eat me, right ? i'm not a kitten... and i'm pretty sure i'm not that good... but i trust you if you say you're a... a lion voix sublimée par les soubresauts, à en perdre haleine. il ne connait plus le fil de ses pensées.

regarde jonghwa,
ce que tu fais de lui.

quand les rougeurs sont dessinées, alors qu'il tente de les cacher. timidité excessive alors qu'il vient jouer avec. hwa le cherche, le provoque. habitude qu'il ne connait que trop bien, quand de ses mains levées il vient les agiter devant lui. aaah huh no, i don't have any problem with that. i mean you're a grown up man, you do whatever you want... it's just that... à venir s'en mordre l'intérieur de la joue, ne pas savoir s'il en délivre les paroles. se souviendra-t-il de tout ce qu'il lui aura confié quand les liqueurs se seront évaporées. il a peur de représailles, mais le destin est un farceur qui ne cesse de se jouer de lui. à se jeter dans le vide. qu'importe les conséquences encourues. it's just that, you're kind of sweet when you're drunk... de ces regards rapidement détournés. poudre rosée qui s'étire, s'étend. il l'ensorcelle autant qu'il le déstabilise. à ne pas savoir pourquoi tout s'agite. à en sentir souffle sur l'épiderme, savoir qu'il tente d'en raviver les contacts. à laisser rire chanter dans le creux des airs, et peut-être qu'au fond, il n'avait rien de bien méchant. sorry ? i didn't mean to be rude, but it's just like... i've always thought you hated me quand plus rien ne fait sens à présent. à se demander s'il n'est pas adouci parce que l'esprit est embrumé. et surement que demain, la guerre reprendra. i'm not a puppy à se redresser pour en laisser apparaitre mine boudeuse, de ces yeux pétillants. tel un enfant. or maybe, i do look alike... but what do you want to teach me, i'm curious now ? à ne laisser aucun répit, c'est qu'il a le sourire qui ne se décolle plus de son visage.

quand il voudrait garder en mémoire,
cette soirée où tout semble si délicat.

oh well, busy at school... it was my exams period... but... maybe, i was a bit... kinda... avoiding you quand les paroles se mâchent, que le souffle se coupe. à venir en avouer les méfaits. qu'a-t-il à perdre quand il suppose que tout cela ne semblera être qu'un mirage au moment où les paupières s'ouvriront. jonghwa aura tout oublier. il l'espère. il le doit désormais. alors que sa main se faufilait contre sa taille, comme si les silhouettes devaient s'en rapprocher. yohan aurait pu la retirer, lui dire qu'il n'avait pas à agir de la sorte. mais les émotions chamboulées, il était comme figé ( à nouveau ) sous les instances. et tout semblait incontrôlable, de ce débit de mots à ces questions flottantes. à sourire quelque peu, quand il ne se doutait pas des significations. it's not really fun for me... you're most of the time mean, you know à en feindre soupir, briser les barrières. blessure encore intacte, quand il subissait toutes les moqueries à l'extérieur ; il voulait un endroit sain. à se dire que lui, venait tout détruire ce qu'il tentait de reconstruire. aah huh i'm not watching you, it's just that... i don't know... you seems like someone who can have fun easily à mentir, tenter de noyer les vérités. il en devenait bien plus tranchant de ne pas se tailler. jonghwa devait tout ignorer, jusqu'à la fin.

quand il en restait marqué,
supplice au creux des lèvres,
peut-être il en redemanderait — encore.

quand il l'écoutait, tentait d'en peindre ses histoires. hwa était fascinant en bien des aspects. ceux qui nourrissait son intérêt. oh, what are you doing for work ? à lui suffire de réfléchir un peu pour en comprendre les allusions. mais c'était plus simple d'en poser les questions, ne pas en délivrer simple impression. à venir l'observer, détacher de lui, à n'avoir que quelques centimètres de plus, pourtant hwa semblait immense face à lui. à en relever le regard, le déposer sur son visage. en admirer les traits esquissés. art démesurément sublime. you can play for me ? d'une excitation traitre, à presque se jeter sur lui quand il en saisit ses mains. avant de reculer, le relâcher. ah sorry... i was a bit excited morsure sur la pulpe des lippes. pourtant, il n'en détourne pas ses yeux. you play only when you're drunk ? à laisser le ton en suspens, se demander si l'alcool des divins aide à en garder courage enseveli. ah no, i don't drink... i don't even know what does alcohol taste like... except maybe wine, but it was just a bit... at my dad birthday. à n'avoir jamais perdu l'équilibre, funambule sur son fil. à le laisser retourner s'asseoir, de sa guitare sortie sur ses jambes. beauté éclatante, tel un tableau photographié dans la mémoire. hm, kind of. but you don't need that to look cool, you know à en relever davantage, comme une admiration qu'il avait gardé profondément ancrée. loin dans les abysses, à ne pas la faire ressortir. ah but i don't know how to play... à laisser les mains simplement saisir les baguettes, frapper dans les caisses claires. batterie en fière allure. c'était tout ce qu'il connaissait.

poignet saisi,
tiré jusqu'à lui.

à le rejoindre, s'installer à ses côtés. et tout lui laisser faire. de sa tête calée sur son épaule, de ses doigts maitrisant les cordes. à le regarder faire quand c'est sur ses jambes que la guitare s'installe. à pourtant ne pas savoir où placer les doigts correctement. à tenter vainement, quand lorsqu'il essaye d'en obtenir des mélodies, ça sonne faux. ah, i'm really not good at this à vouloir lui rendre l'instrument, quand il se tourne un peu, tête quelque peu rapprochée de la sienne. c'est son souffle qui percute sa peau, alors qu'il en détourne rapidement les enivrantes envies. balayées d'un revers de sa main. il ne cédera plus aux tentations. so, could you show me. you can play whatever you want, i don't mind à simplement vouloir l'écouter, s'emprisonner ; coeur confisqué.

et sur le papier,
les notes : s'écrivaient.
comme pour effacer les doutes.
confiances abasourdies ! temps à suspendre, peut-être pourrait-il venir valser avec lui, un jour ,, quand les feux éteints il n'en brûlerait plus les plantes qui prenaient pied aux alentours. quand de quelques colères ; il en briserait une nouvelle fois les cordes de sa guitare aux accords désastreux : car à part lui personne ne pourrait réellement les entendre. alors il fuyait, dans ces méchancetés, comme des poisons ne faisaient que le ronger. à couper tout ce qui l'entourait, abimer les plus beaux visages ,, comme des miracles oubliés. et yohan : comment le voyais-tu, toi ? de tes regards emplis d'innocence, quand les siens ne faisaient que tempête. à abriter les nuages les plus sombres ,, quand il pleuvait bien trop souvent dans les silences incompris. à s'y noyer, venir plonger le visage le premier dans ces cuves d'alcools qui viendraient imprégner les vêtements des fous.
pièce d'un échiquier,
à venir renverser :
d'un doigt.
alors tout palpite, tout crépite, sous leurs doigts, quand de ses étoiles dans les yeux il en semblait redécouvrir tout un univers. à mettre en garde les préciosités retenues entre ses doigts, venir combler ses solitudes de ses quelques tendresses à briser de ses jeux infâmes. mais pour ce soir ,, peut-être en ferait-il exception : à ces glas qui en possédaient senteurs exquises quand sur son visage il pourrait en retracer étoiles si légères ; à se moquer de celui qui l'accueillait malgré les vices. alors peut-être que s'amuseraient les soirées de les voir ainsi ! les étoiles pouvaient bien rire : que leurs voix lui en paraîtrait trop lointaines. "I might be younger...but who is the weakest ? come on Yohan...I'm not a puppy like you, I can fight back.", à pourtant se montrer si faible face à lui quand de douceur il en enlacer les corps comme pour ne pas tomber ,, à reposer les visages contre les épaules quitte à s'y perdre un peu plus.

miraculé !
les enfants des grâces !
sous les éclats des nuits.

surveillés là comme perfidie, à simplement se faire maîtres du temps pour une fois. "I could. but it won't be fun with you thinking that innocently. who knows.", murmuré pour rire du monde ! imiter là rugissements risibles, à celui qui ne voyait que tout flou déjà. quand les candeurs en faisaient sourire les visages ,, à ne jamais se moquer : quand peut-être il avait encore tout à apprendre Yohan. "you're like a kid...how cute.", soufflé ! comme promesse d'en découvrir là nouveau monde insupportable. c'est qu'il en aimait créer désarroi sur son visage ! venir repeindre ses blancheurs de rouge quand les puretés en seraient bafouées de ses mots. ""it's just that ? what...I'm sure you just don't know how to drink ~ I might show you next time theen ! would e fun !", qu'il s'amusait à venir corrompre les âmes quand pourtant rires s'envolaient. "no I take that back you're too young for that ~ !"
quand pourtant de quelques mots :
il se mit à le fixer !
comme enfant désabusé.
"sweet ? are you in love ? oh come on... are you seeing right ? I am not ~who knows what I could do to you little boy...!", quand pourtant il s'en accrochait aux bras, à venir y faire contacts des plus irrationnels. et qu'importe ! car de ses équilibres corrompus les yeux ne pouvaient tout simplement pas s'éloigner de sa figure quand s'y dessinait dessus tant d'histoires à lire encore et encore. et il viendrait s'y passionner Jonghwa, à venir tout y déchiffrer. "no I just find it fun to mess with you. like...just reading your reactions....what a game really." manquer de s'étouffer ! sous les commentaires ! hocher la tête : pour ne faire que confirmer qu'à ses yeux, Yohan n'en semblait que comme chiot à devoir apprendre la vie. "I don't know. lots of...things ! going from drinking to kissing.", l'embêter encore et encore comme simple passion : jusqu'à en admirer ses quelques sourires. peut-être avait-il réussi là prouesse inoubliable ! quand au lieux des larmes fleurissaient les douceurs contre les visages, faire alors éclore les fleurs  ! comme beautés des plus ravissantes.

c'est qu'il en était presque surpris :
d'y voir là spectacle merveilleux.

"oh exams. it sucks. well I don't know I never had some, but that's not a reason ... ! it's not kind of you~!", à en faire l'enfant, venir bouder comme si tout l'atteignait bien trop, quand à se glisser contre lui il pourrait presque se laisser emmener n'importe où. qu'importe, il ne voulait pas rentrer ce soir ,, quand dans les ombres viendraient pleurer à nouveau les illusions d'un monde où il n'était roi pour personne. et peut-être aurait-il dû le fuir, quand lui ne faisait que se perdre un peu plus. à s'accrocher comme s'il en avait peur d'être seul ,, quand demain sera un nouveau jour, à sans doute vouloir s'acharner encore et encore. et profite alors des douceurs ! quand celles-ci ne seraient jamais éternelles. "yeah maybe buuut...it's fun. because you're not trying to run away sometimes.", feindre les sourires, briser les silences : quand les affections en grandissaient miraculeusement. "of course I can ?  if I couldn't I would be bored as fuck. what would I do otherwise really...it would be so hard.", quand les journées en semblaient si longues loin des animations, loin des bruits ,, quand il ne savait que jouer d'une guitare qui n'en atteignait les cœurs de personne.

mélancolie quand les cœurs en symbiose semblaient sonner les fêtes désinvoltes. juste une nuit : pour en réparer les fissures du temps. "I'm playing the guitar. and singing sometimes. isn't it obvious ? In fact continue studying little boy, you'll do something better I'm sure." conseils avisés quand étrangement : il n'en voulait aucun futur comme le sien à personne, quand pourtant il ne ferait qu'y tracer désarroi sur les peaux qui en appelait les tendresses. c'est que les sourires se faisaient presque grandioses, sur le visage, quand cela en était seule fierté ,, et peut-être pourrait-il lui en faire sérénade, un jour, où les colères s'apaiseraient un instant. rire ! à venir rattraper ses mains quand les regards s'en faisaient si amusés. et Yohan, tu étais si beau : à venir y laisser les barrières tomber. "what, me playing the guitar ? does it sound that cool to you ? people playing an instrument. some find that really charming.", quand de quelques regards il n'en détachait ses yeux de lui. "no....everyday. everytime." que les épaules s'élevèrent ! à venir déambuler, pourtant, sautiller sur place, pour l'attirer jusque dans les lieux assis pour en montrer les beautés des nuits. "you should give it a try. it's not fun drinking only with old people around a table really.", et il savait de quoi il parlait, quand lui en avait amitié des liqueurs !
à s'amuser
seul
dans les ombres.
accorder sa guitare, à venir retracer sourire des plus délicats sur les lèvres à l'entendre. et peut-être que de son âme entre les doigts, il ne se faisait que douceur plus pertinente, étoiles dans les yeux : presque amoureux des instants. "do I ? it kind of sounds weird coming from you you know...", quand d'un visage relevé il ne ferait que le regarder. plus doux encore ! sans haine et colère qui le rongeaient habituellement, car peut-être que les liqueurs venaient à en aveugler les enfants des silences. ignorer les jérémiades, quand près de lui il lui en laissa sa précieuse ,, à juste profiter des conforts de son épaules. écouter les quelques essais ! jusqu'à tout doucement s'amuser des résultats, à ne pas bouger pourtant, le laisser si proche de lui quand les airs s'en faisaient si brûlant. "hmm..wouldn't be fun if it's only me playing to you. you could listen to me everytime but playing tho..." et à tout doucement se redresser ! quitter les proximités pour en rapprocher un peu plus les corps, il le poussa tout doucement pour s'asseoir derrière lui, le caler entre ses jambes quand il repositionna sa guitare contre les jambes du plus vieux.

à faire : comme si tout lui était permis.

"so. gimme your hand little one, we'll play together. it's funnier right ?", n'en faire qu'à sa tête au final. menton à se poser contre son épaule, venir lui tendre sa paume quand de l'autre il en faisait faisait glisser les doigts sur les cordes pour n'en faire que sonner les cordes. "I'll play for you after that. only if you arrive to play something in exchange." à venir faire échange ! quand il se contentait de coller sa joue contre son cou, à connaître les notes par cœur ,, à juste se demander : si Yohan viendrait jouer de ces comédies pour en créer nouvelle histoire. arrogances permanentes quand pourtant les gestes n'en étaient que douceurs, à venir attendre, puer les alcools contre sa peau, quand il en fermerait presque les yeux de ces conforts imaginés. "don't worry I'll help you. tho it's not that complicated.", murmuré comme simple fait. aucun jugement quand pour lui les musiques en étaient son monde. à alors peut-être vouloir simplement enfouir son visage contre les simples cous pour y enfouir ses douleurs inconnues. comme si celui qui lui faisait dos pouvait en soigner de quelques regards, chacune de ses blessures.
quand de simples contacts ,,
il rêvait :
de renaître.

couverture des étoiles,
sur les corps quelques peu endormis.

à basculer sous la lune mère, reine d'un empire encore étiolé. ô c'est que les anges étaient venus les observer, à contempler les astres échoués. yohan comme comète entrant en collision avec une constellation. jonghwa en tableau de fond, délicat dans les gestes orchestrés. à tenter de se remémorer, qu'il n'y a au final que la violence qui habituellement l'abrite. pourtant ce soir, tout semble différent. quand les effluves divines viennent chatouiller les narines. à ne pas se tromper ; c'est qu'il est ivre dans les liqueurs sublimes. demain laissera imploser les animosités. aversion fatale pour sa maigre carcasse. à profiter de ces proximités, à s'enivrer de ces chaleurs partagées. quand les onyx ne savent comment dériver — à venir l'en admirer. à en garder dans un coin de la tête, que le réveil viendra écorcher les regrets. c'est pas censé faire si mal quand il reprendra sa fuite, à venir l'éviter comme si de rien n'était. ce soir n'existe pas dans sa mémoire.

parce qu'il faudrait en gommer chaque parcelle. à se dire qu'il n'y a eu que mirage qui s'est produit en cette nuitée. à laisser les paroles chanter. à rire aux mots prononcés. yohan aussi était différent. à en avoir délaisser sur le pas de la porte les craintes souveraines. elles sont devenues papillon éphémère. à s'offusquer fébrilement. wh... what do you mean ! i'm not weak en délivrer mensonge fabriqué. i can fight back too... i just don't do it quand il n'était qu'un incapable. à ne pas savoir lever le poing. à ne pas user des colères. haine dégoulinante pour la violence calomniée. well it's just, that i don't like to bite back... but i'm sure i could do it ! i just don't want too à laisser les lèvres se pincer entre les dents. à faire vrombir le battant qui n'en demande pas autant. jonghwa a su le cerner si aisément, quand lui ne faisait que se poser tant de questions à son sujet. qui es-tu ? pourquoi tu agis ainsi ? à ne pas en connaitre les douleurs lacérantes. et ne jamais savoir comment agir. quels actes menés de front. mystère irrésolu. de cette fascination enivrante. are you a cannibal to say things like this ? d'un regard porté sur lui, à en sentir poudre rosée s'amplifier. ne pas en comprendre les sens cachés. refuser d'y faire face.

pourtant c'est mon coeur qui s'emballe,
c'est ma tête qui déraille et s'évade.

quand les sons en ressortent de la cage thoracique. à en fondre quelque peu devant les douceurs. à presque le trouver adorable quand il en oublie les maux arrachés. et yohan n'en disait rien, à le laisser le maudire. peut-être avait-il raison au fond. yohan n'était qu'un enfant. incompris dans un monde avançant trop vite. à tenter d'en garder une innocence inavouée. il ne voulait pas perdre davantage cette jeunesse qu'on venait à lui arracher sauvagement. à simplement en garder visage baissé, quand les pâleurs se transformaient en roses. et que fais-tu à mon corps tout entier. à ne plus en comprendre les réactions. à en devenir honteux de ressentir autant. il faudrait s'éloigner, ne plus en être charmé. quand il semblait si résilié, à ne pas l'abandonner sur le bas côté. yeah, just that ! what did you expected ? à venir se torturer les mains, phalanges se craquants entre les paumes. ah... well you could but... i've never drink a lot before, so... what if something bad happens ? à soupirer, craindre pour sa propre survie. mais que risquait-il. lui déjà, en éternel martyr sous les ébranlements. il n'en ferait qu'une fin certaine. chute incessante.

à laisser musique sonner à ses oreilles. symphonie magistrale quand il n'en avait jamais connu les sonorités. de ces moues boudeuses venant se révéler. à poser iris de jade sur son visage. what do you mean i'm too young... i'm still one year older, remember ? if you're old enough to drink. i am too ! à vouloir s'en montrer fort. prétendre qu'il serait apte à tout affronter. pourtant, jonghwa ne se trompait pas. il voyait clair sous les maquillages encore frais. yohan n'était pas de ceux qui savent comment est la vie derrière les masques. à se laisser surprendre. d'un pas en arrière quand les silhouettes sont si proches ; à pourtant ne pouvoir fuir. le maintenir pour qu'il ne s'effondre pas. me ? in love ? uh no, i'm not. à s'en convaincre lui-même. à ne pas laisser entrevoir sa véritable nature. monstre qui ne doit pas sortir. i don't like boys quand il ne faisait que creuser sa tombe. s'enfoncer lentement. c'est toi pourtant, qui l'a embrassé quand les flashs balayés les pensées. à venir déstabiliser tout ce qu'il tentait de construire. i... i don't know... i mean... you... you were nice right now quand langue fourche. quand corps flanche. ô et il se perd dans les méandres. you won't do anything right ? you're not going to kill me and leave me here, alone ? à en dessiner peur futile dans le regard. à pourtant savoir au plus profond, que jonghwa ne lui ferait pas de mal ; à le prier. l'espérer.

car tout n'était que jeu
pour celui qui en était maitre.

figure de plomb. il n'était que pion. et lui venait à s'en amuser. de la torturer. le martyriser. de le laisser suspendu dans les airs. là où son souffle venait fouetter son faciès. à n'être qu'un chaos éparse. il ne saurait plus comment faire battre son pulsant à un rythme normal. à finalement venir le pousser, frapper son épaule comme pour en rassurer les frayeurs irrationnelles. eh, that's no fun ! even if my reaction are gold to you, i don't like this game et en garder un calme chambranlant. quand il fallait rester entier. ne pas rencontrer la surface plane du sol. et laisser les observations le guider. ne plus reculer, se rapprocher encore un peu. à finalement en laisser rouge monter jusqu'aux oreilles après les palabres dansantes. kis... kiss... kissing ? de sa bouche en o, ouverte dans un regard perturbé. et il ne savait pas, si jonghwa se jouait de lui. ou si chaque syllabe était habilement pensée. à en effacer le monde autour d'eux. croissant de lune sincère brûlant sur les lippes. en découvrir de nouvelles facettes. en caresser les oasis. ah yeah... but i'm good at school so it's ok ! quand il venait en faire fierté des parents. à en voir les yeux de ce frère déposé sur son âme. scellé son voyage jusqu'aux portes de l'enfer.

et il ne reviendrait pas. quand il fallait en avouer les vérités. ah i'm sorry... but... i was scared de chaque action. de lire ses réactions. de ce baiser qui ne quittait pas sa psyché. à se retrouver engraver sur sa chair. et il faudrait qu'il en retire chaque seconde hantant la mémoire. à se dire que ne plus le voir, l'entendre, serait meilleure solution pour le dissoudre. à se tromper. quand d'un simple rapprochement, tout revenait en flot. not like i don't want to... i just can't à en devenir impressionné. à vouloir se faire si petit. à le laisser prendre cette emprise comme si elle lui était offerte. cadeau déposé sur un plateau doré. à pourtant ne pas s'en détacher, de ces analyses notées. i don't know... i'm not always having fun, you know ? quand pluie détonne sur le corps. quand bombardement explose dans les tympans. lui en victime, ne pouvant se sortir de cette étiquette. but i'm glad for you if it's the case quand il viendrait lui en offrir là les plus beaux sourires. comme une illusion agréable pour en renfermer son malheur sous la poitrine.

tu sais jonghwa,
t'es comme une comète qui passe.

à vouloir l'atteindre. à presqu'en jalouser les passions enflammées. lui aussi les connaissaient, les étreignaient. mais toujours dans les silences. à ne rien pouvoir dire. ne rien pouvoir montrer. quand il fallait en garder fierté de ce nom amèrement porté. quand il ne pouvait se résoudre à décevoir le paternel. oh you also sing ? wow that's so cool à en lire émerveillement dans le regard. à n'être qu'un enfant attendri face aux palabres. well you could do that just because it's your passion and not for the money, you know ? but that's a great thing when you can do both at the same time. quand lui n'était pas à plaindre. à ne manquer de rien. à pouvoir embraser ce qu'il désirait comme chemin. my studies are kind of boring, but i do a lot of things on the side. quand il pourrait en dire les identités, en parler pendant des heures de ces jeux sur lesquels il s'acharnait. pourtant, c'était lui qui obnubilait les envies voilées. à vouloir en découvrir davantage de lui. à en délivrer les enthousiasmes, à en faire vriller les organes. of course it does ! i guess it depends on the instrument. but i do really like peoples playing guitar à ne pas venir en chanter ce que lui faisait de ses doigts. peut-être un jour, il évoquerait à son tour cet attrait pour les notes. musique rayonnante.

en découvrir merveille éblouissante. à l'observer n'être que joie palpable. de ces photographies qui s'éterniseront dans les pensées. well, maybe next time... quand il viendrait en renverser les pulsants. quand il viendrait en affronter les cadences. à le déstabiliser davantage. jonghwa comme ultime mascarade. à en esquisser rictus. laisser rires chavirer dans les airs. it's not weird ! i'm just telling the truth ! à avouer les idées. se dire que s'il le voudrait bien, il pourrait le lui dire. à quel point il rayonne. à quel point il est beau. avant de l'en rejoindre, de tenter d'en faire sortir mélodies des habitacles. mais tout sonnait faux. comme sa vie qui ne glissait pas sur les rails. à en ressentir présence à ses côtés. en entendre jérémiade d'un coeur à l'agonie. si près. à tout faire brûler. but, i don't know how to play... à en affronter les regards et s'éloigner. en sentir écorce se déchirer. ça crépite bien trop vite. sans en comprendre les déplacements, à simplement le regarder faire. avant que le cerveau ne vienne relier les points. à s'avancer quand son corps se colle au sien.

et tout implose,
tout dérive si vite.

quand la guitare revient sur ses jambes. mais c'est lui qui l'emprisonne de ses bras. à se saisir de ses mains, à les placer sur l'instrument. et yohan n'ose rien dire. à ne suivre que les mouvements qu'on lui demande. à en hocher uniquement la tête. déglutir de cette proximité qui emballe les sens. ça crame. feu crépitant sous la poitrine. il n'ose plus bouger. à faire vibrer les phalanges contre les cordes. suivre les rythmes empruntés. quand il le sent tout contre son cou. chaleur embrasée. pulsant qui se meurt un peu plus. y a la moiteur qui danse sur ses paumes. y a les battements qui résonnent plus fort. est-ce que tu l'entends ? quand il n'ose guère se retourner. à se dire qu'il viendrait à le rencontrer. alors il essaye quelque peu. à faire vrombir les mélodies. de ces sons un peu plus clairs. like this ? quand il continue les gestes, à légèrement sourire de ces amusements créés. it's really nice quand il se laisse emporter. à avoir prétendu ne pas savoir jouer. pourtant c'est naturel. que les symphonies les enveloppent. à combler les coeurs fissurés. à remplir les vides creusés. et doucement, il se laisse embarquer. quand de mémoire, il joue les divines qu'il créé généralement sur la batterie. à fermer les yeux, se laisser emporter. avant de revenir à lui, en lâcher les cordes pincées. et d'une délicatesse infime, à tourner son visage. en rencontrer son regard. croissant de lune se dessinant. how was i ? did i do well ? à vouloir en entendre les satisfactions. nuitée perlante ; naissance des astres.

le temps
adouci les peines ,,
disait-on.
ivresse à enivrer les corps ! visions troublées par les douceurs irréelles ,, et Jonghwa, il était tout ce qu'il n'était pas, de ses joues à brûler les cieux, à rire de tout un monde ! violence à dépérir, sous les visions sublimées. quand de quelques parfums, il voulait pouvoir profiter de ces jeux encore un peu. à se noyer, entre ses verres, se perdre entre les reflets, quand plus rien ne brillait, dans les iris. gamin perdu ,, à y avoir trouvé chemin vers les innocences ; et peut-être finirait-il par fuir, lui aussi quand le sortilège levé, et qu'il en redeviendrait monstre des journées. à s'accrocher ! comme si tout son monde s'en écroulerait, sinon, à en montrer là pourtant nature des plus cachées ((invisible)). cachée au monde ,, muses qui n'en avaient aucune idée ; quand peut-être tout ne serait que secret entre eux. instable ! dans les têtes. où tanguait les miracles, où les rires s'en faisaient moqueurs. il était faible, lui, à se rabaisser si facilement quand de liqueurs dans le sang, il en devenait tout ce qu'il ne montrait jamais.
à arborer là
miracles :
contre les paumes !
car malgré tout, il en serait toujours celui que l'on délaisserait dans les rues : sans ne se préoccuper de lui. "you can fight back too...? how come...never saw you do it.....wish I could tho must be nice.", d'un rire enfantin, comme pour en dissimuler douleurs et calvaires ! quand il y voyait là pourtant figure de candeur à venir choyer juste un instant. "pretty sure too ~! kinda wanna be bitten by you in fact..." d'un nez à se froncer, quand les moindres paroles en étaient perfides ! à ne plus savoir ce qu'il disait ,, et de ces lendemain il viendrait en regretter chacune des allusions, chacun des mots : pour redevenir sanguinaire à en briser les joies et espoirs. mais peut-être viendrait-il finalement s'en retrouver apaisé, face à lui. ô Yohan : à calmer les torpeurs, quand les réalités n'en semblaient plus si horribles, à ses côtés. vivre comme un nouveau jour, où mêmes les cruautés prononcées parvenaient à en faire rire les plus délicats. de ses innocences ,, il en bafouerait tous les noms. "hmm...only for...adult things. yeah. kind of. but you're waaaaay too young little boy ! forget it ~" s'amuser de tout ! quand sans doute valait-il mieux : que Yohan n'en grandisse pas trop vite.

à pourtant ,,
aimer se jouer :
de lui !

quand de quelques mots, il pouvait venir dessiner arabesques sur son visage constellé, à faire sourire celui qui n'en avait qu'esprit de corruption. et de ces innocences, tout le faisait sourire, à réchauffer les poitrines quand lui n'en connaissait que venin. car devant lui se présentait refuge pour les soirs qui engloutissaient les âmes. et quels secrets, gardais-tu tout au fond de toi, Yohan ? quand lui en venait à se délivrer de jours en jours, à ne plus compter : les instants de faiblesses qui se dégageraient de lui. effrayé ! par un monde qui en rejetait les fantaisies, où sa place n'en était nulle part ((même là)). Jonghwa en serait toujours déchet ,, vu comme à en gâcher le temps des autres quand on lui en avait arraché toutes ses enfances, tous ses futurs : à n'y voir aucun avenir. seules, quelques étincelles dansaient, dans ses yeux, à s'animer toujours plus, en sa présence ; quand il voulait faire passer cela pour simple passe temps, à pourtant y trouver satisfaction ! à ne juste pas savoir : comment vivre avec les autres. "nothing ~", de ces lippes à s'étirer, quand les sourcils s'en soulevaient.
et il serait là ,,
pour dicter les catastrophes
sous les verres.
"no worry ! if I'm here what the worst that could happen anyway ?", car il en prendrait toujours les blâmes, accompagnés de ces candeurs merveilleuses. c'est qu'il l'entraînerait avec lui dans les limbes ! sans pour autant l'inciter : à venir ramper sur les bitumes avec lui. "yeah yeah, you're older if you want...! but okay, next time let's drink together. like a date thing ~! ", mordre les mots, rire de ses idioties ! quand tout en devenait si niais, si improbables ,, de ces majestueuses figures qui s'en transformeraient en pire cauchemar. à pourtant y déceler tous ses visages , à Yohan, sans ne jamais se tromper ! quand lui en venait donner fausse image de lui-même. fuit ,, abandonne le contre les pavés ! car il n'en méritait aucun regard, aucune attention ; mordre en retour comme pour en remercier les tendresses qu'il ne connaissait pas. pilier d'une soirée qui viendrait se briser quand les réalités en réapparaîtraient de nouveau. à toujours se rapprocher, à espérer qu'il comprenne un jour que tout était faux ((que Jonghwa était en pièces.)) "they all say the same you know ... ", à ne jamais en croire les mots : quand les cœurs en disaient autrement. "should I try make you fall for a boy ? could be...a nice game." ,, chercher, il le ferait tomber avec lui sans en abîmer ses couronnes de marbres. car lui : serait prêt à en aimer les figures, un jour, peut-être ,, à en aimer tout ce qu'il pouvait briser !

car même dans un miroir :
il ne pouvait s'observer
sans venir le fissurer.

car de ses mots il finissait par s'adoucir, le regarder avec presque douceur pour en sourire ensuite. enfant qui savait en charmer les attentions, faire réagir les visages : à ne plus savoir s'il était réel lui-même. "nicer huh..." et explosent les voix ! sous les imaginations débordantes ,, quand sans doute n'en poserait-il jamais réellement sur lui. "kill you ? no you're too cute for that. I only kill bad guys.", le chercher encore et encore ,, quand sur l'instant il ne voulait qu'en captiver les regards. regarde moi, Yohan ,, à n'être que pourriture,, à tenter : d'en devenir gardien maudit. martyriser les esprits quand les corps n'en subiraient jamais rien. il était bien des choses, Jonghwa : d'un monstre à venir dévorer les plus sensibles ,, mais ô jamais agresseur des âmes fébriles. car il ne savait pas aimer, car il ne savait pas en offrir autre chose que désillusions. "how sad. maybe you'll like it one day, you'll see ~" d'un visage à se rapprocher du sien pour le défier ! le regarder dans les yeux : et il sourirait de ces timidités si sensibles. "yeah you know. when lips press together.", à lui envoyer baiser volant pour l'attaquer, lui souffler tout doucement sur le visage à sans doute puer quand les corps s'agrippaient à lui pour ne pas tomber. de quelques mots ! à toujours se faire joueur : quand chaque paroles prononcées, il en serait capable de les réaliser. et d'une main, il viendrait en ébouriffer les cheveux du plus vieux : à en offrir fiertés sur le visage. car il ne pouvait mentir, là, sortilèges à en briser les silences. "what a good boy." ,, de ses iris à s'illuminer ,, à vouloir le voir suivre chemins que lui n'avait pas suivi !

et comment le regarderais-tu ,, en apprenant qui il était, Yohan ?

lui, qui n'en était que tout en bas, à n'être rien ! de ces têtes qui s'en voulaient être trop grandes , faire comme s'il était maître des mondes dans lesquels il vivait. mais la réalité : c'est qu'il n'était que risible créature, Jonghwa, à n'être que calomnie, disharmonie, vouloir paraître à s'amuser dans des bals où les gens riaient. et il en était devenu finalement celui à se tenir debout, ne plus bouger : de ses sourires à s'effacer. "oh don't worry. if I'm not having fun then that means I'm just roaming somewhere. my life isn't that fun too, so don't imagine anything.", remettre les pensées à leurs places ! car il n'en était aucun cas le roi qu'il voulait montrer. "but have fun. try. it will be easier.", à faire comme si tout était ironie : quand peut-être en serait-ce là les seuls conseils qui en étaient sincères ! quand à faire semblant, les corps n'en supporteraient plus les poids, s'effondreraient sur les sols : dans un coin ,, à mourir sur les bitumes froids. ((où personne ne le retrouverait)). oublié ! il n'en serait jamais mémoire, Jonghwa. et ça le tuait ,, de se savoir aussi inconnu de tous.
de passions éphémères ,,
quand Yohan :
tu en soignais les plaies.
d'une soirée si étrange ! se bercer de ses parfums, étreindre les vermeilles, contre les corps inaccessibles, il se confiait : comme s'il ne survivrait pas au lendemain. "yeah I sing. and I don't really have the choice tho. but yeah that's so fun ~", de ces passions à n'être que reniées ! pourtant si éclatantes, à l'entendre parler. car jamais il n'en avait vu autant d'étoiles ,, pour ceux qui en imaginaient ses réalités. "see ? you're lucky.", d'enthousiasme si grandiose ,, il aimerait sans doute renaître, Jonghwa , pour pouvoir en connaître chacun de ses secrets, lui aussi. "and then what's your favourite instrument ? " ,à vouloir l'écouter tout dévoiler, lui montrer qu'il pouvait lui aussi en être si grand, à s'abandonner aux passions. recueillir les impensables, faire frémir les épidermes, quand il lui en montrerait là tout ce qui lui était inconnu. "weird. weird weird weird. but I'll try to make a good show for you then." ô poisons qui en rendaient aveugle les insolents ! c'est qu'il voulait venir faire apparaître les sourires : loin des peurs et des pleurs, bercer les esprits, de quelques flammes naissantes.

et ce soir :
il lui en montrerait ,,
nouveau spectacle !

à se moquer de ses incompétences, s'éloigner de tout un monde pour pourtant le capturer lui. faire comme si les pulsants ne s'amusaient pas à torturer les innocents. car tout explose, dans ses opales ! car lui aussi : n'en était pas indemne de ses démonstrations. à venir l'emprisonner de ses étreintes, souffler contre son cou sous prétexte de guitares à venir effleurer. saisir ses doigts pour en créer accords merveilleux : profiter de ses concentrations pour embrasser du bout des lèvres sa nuque dévoilée. irrésistible ! à vouloir tourmenter les torpeurs, c'est qu'il en restait bête à vouloir dévorer les tableaux devant lui. Yohan : beauté d'un monde où les doigts ne sauraient se poser que pour salir les épidermes. ô jamais les honorer ! "hmm..like this. you good.", caresser finement les phalanges, à garder contre son épaule les lippes venimeuses comme pour réchauffer les peaux des fraîcheurs extérieures. "you seem to know how to play tho...aren't you ?", murmuré : car de ces seules passions, il en reconnaissait les talents dissimulés , à en être presque bien trop intrigué, de ces doigts ne pouvaient mentir.
tout comme :
quand les esprits
s'embrumaient.
fasciné ! à écouter les mélodies, délaisser finalement ses doigts pour poser les mains autour de sa taille. trouver réconfort ici, là, dans ces simples affections aux brises alcoolisées : qui en révélaient pourtant là envies d'attentions permanentes. bercé de quelques notes, à presque en fermer les yeux de ces mélodies inconnues, il en observa pourtant les mâchoires d'un visage si calme : jusqu'à en croiser les visages ! ô merveille si fragile de ces éclats, Yohan en semblait si fragile, si heureux. et n'avait-il pas peur de lui ? à alors sourire lui aussi comme réflexe : car il parvenait si étrangement à en apaiser chacune de ses douleurs. "yeah. very well. kind of wanna listen to you playing now. you might be too good at this finally, do I even need to teach you that ?", rire léger à transpercer, rapprocher les visages d'un peu trop près comme pour en écouter les souffles ,, en entendre les battements. "you're pretty. handsome. what a shame that's it's dark here.", à venir le resserrer contre lui de ses bras, douceur pourtant permanente : pour ne pas en abîmer les corps. "can I look at it even closer ? I could teach you that one thing I know how to do for sure."

à laisser s'éprendre :
les lippes des siennes !

effleurer comme arrogance celles qui s'en étaient tournées vers lui sans ne rien demander. et tout était bien trop irrésistible ((même pour lui)) , ,quand les touchers en avaient presque manqué depuis la première fois. à venir l'embrasser sans prévenir ,, vouloir l'enivrer lui aussi de ces reflux qui aveuglaient les pensées. le rejoindrais-tu ? c'est qu'il en venait à lever l'une de ses mains, maintenir sensiblement sa mâchoire contre lui sans pour autant en forcer quoi que ce soit : car même saoul, Jonghwa n'en aimait pas les obligations. poser main qui l'enlaçait, au creux de sa taille, à glisser autour de son ventre. à ne pas avoir la force de se débattre lui non plus, sous les impulsions divines qui en dévoraient les chaos qu'il voulait créer. et ce soir : il n'en serait ,, que démon à tenter les Odyssées, celui à pourfendre les nuits pour en rechercher réconfort contre les fragrances des innocences préservées.

fracas fatal,
incohérence brutale.

c'est comme si le monde avait cessé de tourner. course folle arrêtée. y a plus rien pour les stopper, le temps n'est plus qu'un vaste souvenir. entre deux d'un instant qui n'a plus volonté de s'enfuir. comme obsession symphonique. obnubilation marquée d'un soupir. yohan n'a jamais acquiescé à toutes ces balades. pourtant il s'est laissé promené, embarqué dans un tumulte qui n'a fait que croître. jonghwa est sa mélodie. à venir rythmer ses pas. d'une valse à quatre temps. à en faire décocher les étoiles. lune brillante qui s'efforce de luire un peu plus dans ce noir. c'est à s'en demander, quel astre scintille le plus entre eux. de ces sourires éclatants, à venir pulvériser les lippes d'habitude closes. il en a perdu l'accoutumance, à en étreindre véritable allégresse. lui qui n'en connait que les diffamations profanées, à subir calamité sur un corps innocent. one day, i'll let it all go et tout s'écroulera.

quand ce soir il n'y a que lui. unique constellation autour de laquelle il gravite. à en écorcher les rires. en abîmer les phalanges. pommettes qui ne cessent de se teindre des plus enivrants éclats. yes i can tromperie sournoise. à en laisser croire ce dont il n'est pas capable. because i didn't wanted to do it à en étriper la langue. il ne sait pas comment se défendre. you'll be scared of me after, so it's better if you don't see it à prétendre être fauve quand il n'est que chaton éperdu. à se perdre contre les palabres. venir frapper les rochers. c'est qu'il n'en dessinera que bien plus tard les doubles sens. what ? but it hurts when someone bite you ! and you'll have a mark if i do it. à plonger tête la première. ô tu es si naïf enfant candide, qui n'a pas encore grandi. à n'être qu'un amusement, c'est qu'il se joue de lui. et du plus jeune, il devient plus grand. maturité qui s'évide de ses lèvres. yohan en prétendra ne pas connaître les significations. de cette poudre tâchant les étoiles. for adult things ? you eat people when you're an adult ? then i don't want to grow up ! it sucks being old ! à savoir sans le vouloir. à comprendre quand de la moiteur de ces paumes aux palpitations de son coeur, il y a tout un univers qui chamboule ses sens. un peu trop pour qu'il n'en reste par marqué. à laisser le fer touchait sa peau. ô jonghwa, qu'as-tu fais de lui.

quand dans les demeures,
il viendrait à se perdre.

c'est qu'il n'y voyait pas le mal. à ne plus penser cyniquement. il venait à le voir sous un autre jour. regard changeant quand il le trouvait attendrissant. à en faire valser les délicatesses. il voudrait garder ce lien improbable. à en apprécier les proximités. à s'en électriser doucement. mais demain le rêve se terminerait. cauchemar reprendrait forme à ses côtés. et ces minutes de frivolité, ne seraient plus que doux songe endormi. à en voir le corps être endolori. à en subir les moqueries et les poisons latents. il reviendrait à lui quand les liqueurs se seraient estompées. à se laisser tenter, un jour c'est lui qui lui céderait. huh i don't know... i just hope i won't die ? i mean, people die because of alcohol right ? what if i can't take it ? what if my body doesn't like it ? d'un regard apeuré qui pourtant cherche la sécurité. si lui est à ses côtés, il ne risquera rien ; il veut y croire. comme si on lui vendait les chimères enneigées. à laisser pourtant les déstabilisations l'exécuter. c'est qu'il sait ce qu'il fait. yohan n'est qu'un agneau, à se retrouver pris entre les mailles d'un filet. un peu trop fébrile à chaque sonorité. de ces prétentions qu'il n'y a aucune attirance. ces homonymes ne sont que dystopie. what do you mean ? quand les accélérations l'empêchent de penser correctement. brouillage de l'esprit. de ses yeux basculant sur son visage, descendant sur les pulpeuses. à finalement dériver loin des outrages.
i don't need you to make me fall for them,
i've already did. but love is painful. love is awful.
they all said i was a monster. a freak.
i shouldn't have been born.
this is how they saw me, when they knew
— i was in love with a boy.
à tenter d'en maintenir les distances. quand son corps ne faisait que s'y accrocher. comme pour ne pas oublier. les décharges orchestrées. les supplications prononcées. a nice game ? why would you do that ? i don't want to fall for a boy. and even if you try, i'm sure i won't ! de sa voix quelque peu assurée ( brisée ) quand il fallait en garder les identités cachées. il ne pouvait se l'avouer ; c'est eux que je veux aimer mais tout lui en empêche.

pourtant il pourrait se laisser envoûter. à en tomber sous le charme des sourires. à en être étourdi par sa voix. à l'apprécier bien plus qu'il ne le faudrait ( qu'il ne le voudrait ) quand il est différent de ces instants où les douleurs s'éclatent contre sa psyché. à vouloir en enregistrer les vocales. comme s'il viendrait les rejouer plus tard. quand le rêve prendrait fin. who knows, you could have quand rougeurs ne cessaient de l'enfoncer plus bas. il était bien trop réceptif à chaque syllabe. i'm not cute tho de s'en convaincre pleinement, à savoir qu'il n'avait aucun effet sur son être. jonghwa ne voyait en lui qu'un passe-temps. wait, you do kill people ? à vouloir prononcer le nom de son frère. lui dire qu'il pourrait y laisser sa vie. pourtant à ne rien en faire. il n'a pas besoin de savoir. ne doit pas en posséder l'information. what if, he knows him à ne pas oublier. qu'il peut être son envoyé. ami du diable en embuscade. quand il n'en avait jamais apprécié les souffrances. martyr de bien trop de gens. il s'asphyxierait contre les parois des enfers. à simplement soupirer, en hocher la tête. peut-être. comme une promesse effacée. jamais réellement annoncée. alors que les visages étaient si près, à en relever regard pour en croiser le sien. reculer subitement quand il pouvait en esquisser que de trop ses traits. à capturer les détails pourtant invisibles. quand de ces souffles portants, il vient en comprendre les gestes placés. ah you're too close. quand il vient à le repousser. jamais férocement. juste légèrement. i know what a kiss is... just, why would you teach me this à venir en croiser les bras. pointer moue boudeuse sur le visage. jusqu'à ce que les touchers le perde. de sa main dans ses cheveux. de ses paroles qui chantent entre ses lippes. et sur sa peau, ça vient le caresser. il sait, ce qu'il essaye de faire.

tu veux me déstabiliser,
me faire plonger dans tes bras.

et surement qu'il ne dirait pas non. qu'il s'installerait dans le creux volontiers. mais yohan ne voit pas les choses si aisément. à laisser les pensées nécrosées faire le sale boulot. monstre qui tourne en boucle jusqu'à ne plus s'arrêter. il doit s'en souvenir. jusqu'à l'éternité. quand tapis dans les ombres, sa silhouette demeure. il le voit comme faucheuse. à tourbillonner autour de lui. partout où il va, son fantôme le pourchasse. à se demander ce que sa vie aurait été, s'il n'en avait pas été là pour la hanter. quand il voit en jonghwa, une liberté proclamée. à presque venir l'envier. c'est parce que tu ignores tout quand il ne sait pas ce qui se passe derrière les murs. quand il n'a pas conscience de toutes les souffrances. oh really ? well i don't imagine anything... it's just, the way you look à vouloir penser que sa vie est belle. qu'il est l'as d'un avenir éclatant. ô il n'a pas conscience des réalités écorchées qui l'entaille. ah, i don't even know where to start quand tout semblait si inaccessible. hors de sa portée. si loin que ses phalanges ne peuvent toucher cet infime bonheur. but, right now i'm happy and i'm having fun quand c'était là sa seule issue de secours. échappatoire qu'il n'avait jamais envisagé. jonghwa comme bouffée d'oxygène. jusqu'à ce que le monde reprenne sa course effrénée.

à le laisser conter ses histoires. à l'écouter et se noyer dans les palabres. c'était si délicat. comme s'il voudrait pouvoir engraver les passions animées. can i hear you sing too ? i mean... if you want to... because if you doesn't have the choice, you don't like singing ? à venir en poser trop de questions. à se laisser perdre dans les enthousiasmes. excitation palpable là où il n'apparaissait que comme enfant. lucky ? hm maybe. i don't really know quand il tentait simplement d'en fuir les domaines familiaux. à se trouver loin de celui pouvant tout écraser dans le revers de sa main. à n'avoir jamais la conscience tranquille ; à toujours se demander, à quel moment il apparaitrait devant lui. quand les esprits réfléchissaient. quand il voulait tout lui dire. pourtant à en garder les secrets bien fermés. il se confierait quand le moment viendrait. i really love the guitar. and the piano too... the sounds are always so pretty. à maintenir en éveil cette batterie qui s'endort. un jour, je jouerais pour toi quand il n'en sera plus accablé par les peurs et les chagrins. par les envies de tout foutre en l'air. c'est la seule chose qui le maintient sur terre. are you ok ? à venir en rire aux réactions. à le sentir chambranlant. for real ? wow, that's so cool ! you're so cool hwa à ne pas prêter attention au surnom donné. ô peut-être qu'il viendrait à le regretter bien plus tard.

quand les calomnies seraient belles,
pourtant si dérisoires. mais immortelles.

à se laisser faire prisonnier de ses bras. à se fondre dans sa chaleur. quand il l'entourait, à venir l'enlacer sans prétention. c'est que yohan n'en voyait pas le mal, là où les mains venaient simplement en saisir la guitare. de ces sensations en alerte. à le sentir contre son cou, à en faire parcourir frisons contre l'échine. de ces souffles voilés. à ces baisers incendiaires. il prétend ne rien ressentir. là où il n'en projette aucune réaction. pourtant à l'intérieur, tout part en vrille. quand les lèvres se pincent, à tenter d'en calmer les respirations. battements effrontés qui s'en vont le trahir. ô il aimerait qu'il ne l'entende pas. ce coeur au bord du précipice. à venir se concentrer sur les mélodies. à se laisser emporter par les cordes. monde à oublier. c'est lui qu'il doit effacer. quand il n'en prononce mots, à se laisser guider. à pourtant le sentir, tout contre lui. à s'imaginer se laisser brûler par ses lèvres. à vouloir le sentir un peu plus. quand il pourrait venir en saisir les mains, le forcer à l'étreindre. don't leave me qu'il voudrait murmurer. mais rien ne vient. seule les symphonies se jouent dans le silence. à en apprécier les instants. moment qui s'essoufflera peu après. duperie qui ne durera pas. quand la tête secouée il tente de revenir. à sourire doucement. i guess it's just the beginner's luck mensonge propulsé. il ne sait plus comment s'arrêter.

car lui en joue les harmonies. mais jonghwa se perd sur son corps. et peut-être que sa fébrilité s'en dessine. quand les sons qu'il joue ne sont qu'éveil des amours. à y mettre toute son âme. à y déposer l'organe. il veut simplement le rendre fier. comme si ça suffirait à en oublier les peines. ça vient transpercer l'être tout entier. alors que le jeu s'arrête, que le visage lui fait face. ô si près. quand les étoiles implosent. à laisser simplement leur sourire rayonner. ah you're going to make me blush... quand il en appréciait les compliments. à laisser les rougeurs être visibles pour une fois. à ne pas s'en cacher. but thank you. i'm glad you liked it. quand il en avait les pulsations agitées. à venir se déloger. and i'm pretty sure you can teach me a lot. car il ne voulait pas tout abandonner là, délaissé sur le bas côté. il voulait l'avoir encore un peu pour lui. égoïste à l'en faire prisonnier de sa compagnie. à sentir son coeur vrombir. proximité qui détonnait. à se remémorer cette précédente fois, où il avait frôlé le ciel. ah... huh... thank you quand il en venait à avoir du mal à déglutir. à n'être qu'un désastre. chaos dans son esprit. à le sentir le serrer davantage. se rapprocher un peu plus.

dégât à prévoir.
ça ferait si mal.

isn't it, way too close ? d'un simple souffle murmuré. il ne savait plus comment respirer. parler était si difficile. à vouloir retourner les palabres. you're so beautiful qui ne s'en délivrerait pas. alors que la décharge se propage. à venir l'électriser de tout son entièreté. frôlement qui se fait plus intense. il ne réagit pas. de ses yeux qui ne savent pas comment se clore. à rester pétrifié. enivré. à sentir sa main maintenir son menton. à le sentir glisser contre le creux de son ventre. ô et il imploserait s'il le pouvait. car c'est comme un rêve. à vouloir venir en saisir la pulpe des lèvres. à fondre tout contre la douceur des merveilles. mais le coeur qui se compresse ne fait qu'envelopper de venin les pensées nécrosées.
tu n'es qu'un monstre.
tu ne devrais pas exister.
c'est mal ce que tu fais.
à simplement se contenter de l'en repousser. reprendre ce souffle qui avait été coupé. à le regarder droit dans les yeux comme si sa détresse ne s'y lirait pas. please, don't do that again... quand il venait à se libérer de ses bras. à se relever pour s'éloigner. comme si tout son air était intoxiqué par sa simple présence. ô il était trop tard. last time was a mistake. and this time isn't different. on top of that you're drunk, i know you didn't wanted to do that. or at least, you just wanted to mess with me once more. à continuer de s'éloigner. il ne peut pas rester si près. c'est bien trop dangereux. pour mon coeur. pour toi. pour moi. pour ce nous qui n'existera jamais. quand il sait ce qu'il trouvera contre son âme. quand les galaxies viendront danser sur la peau colorée. pourtant il est déjà trop tard. ô il n'est pas aveugle aux hurlements de son coeur ; il est tombé bien plus fort qu'il ne l'aurait souhaité.

enfers à s'accrocher à lui ,, pour en faire de lui nécrose permanente : ô et tout pourrissait, à son toucher. de ces fleurs à ces sourires, de ces joies à ces soleils , quand ce soir, tout en semblait échapper aux règles ! de quelques rires, les poumons fleurissaient, de quelques regards, il en avait décroché ses peurs. quand il finirait par mourir de ces malhonnêtetés ; à mentir au monde, comme il respirait ! car demain, tout serait différent. il viendrait en frapper les têtes, tuer les sentiments : douceurs à annihiler ! quand crèveraient les étoiles à nouveau ((sans y parvenir sans doute)). car il voulait en déposer là, quelques pétales ,, tracer son chemin : pour ne pas que l'on ne l'oublie. errer dans les esprits comme pour en hanter les rêves ,, et alors il viendrait en dévorer tous les cauchemars, pour en devenir celui principal. à bouffer les beautés d'un monde qui n'en était que poison, valser dans les airs comme si plus rien ne pouvait en empêcher les chaos. et alors peut-être que si tout s'écroulait : il finirait par en être heureux, Jonghwa. à danser dans les décombres, s'asseoir et jouer : plus belle des mélodies ,, comme si tout en était fini.
à tort !
quand les mots ,,
se s'arrêteraient pas.
alors il n'y avait qu'eux, sous les projecteurs. comédie où les musiques en étaient teintées de clichés à bannir, où tout n'était que violence, comme si les épitaphes en avaient prédits mésaventures. de ces poumons à exploser, comme tempête dans le creux des nuits. "pftt ! wish I could be scared of you. could be kind of spectacle !", quand pour lui il n'en était créature adorable ,, à venir repeindre les noirs en couleurs galaxies : y apposer quelques étoiles du bout de son pinceau, comme pour en relier les destins. à tout effacer d'une main ! comme désastre infernal. de ces innocences, il viendrait rire : car tout était bien trop adorable, quand cela venait de lui. "yeah but don't worry some bites aren't that painful. you'll see when growing.", ne pus en dire trop ,, laisser les mystères, dans les naïvetés si merveilleuses, car peut-être y voyait-il une sorte d'espoir : dans ces candeurs ô jamais salies ! par ce qu'il était lui. alors peut-être viendrait-il en jouer juste un peu, à venir faire tourner les pensées ,, mélanger les images jusqu'à en créer désordre ! "be patient you'll see. it's a pretty cool trick to do, don't be so scared ~", ne plus jouer des mots ; il ne viendrait pas en dépasser les lignes.

de ces enfances ,,
à garder précieuses.

quand pourtant les palpitants semblaient s'agiter, sous les compréhensions si fausses ! sous les poussières qu'il voulait faire apparaître comme d'étoiles : quand elles n'en étaient que miracles. d'ironie, il en remplirait ses regards de réalités ; démonter les mondes féeriques pour lui en montrer mondes réels, ceux qui n'avaient plus rien de beaux, plus rien de charmant. à venir en saisir ses mains pour danser avec lui sous la lune ; à brûler tout ce qui les entourait ! quand les limbes les attendaient. et Yohan : les alcools n'en viendraient jamais à bout. pas maintenant. "yeah as long as you don't drink as much as me you won't die from it...don't worry.", qu'il viendrait lui apprendre ,, que les verres s'en comptaient, que les limites s'en connaissaient : qu'il pouvait tout refuser, avec un peu de volonté. à ne plus se laisser marcher dessus, il en ferait roi celui martyrisé, comme muse à protéger du monde ! là où lui ne pourrait jamais régner.  
et alors,
peut-être pourrait-il :
lui en faire découvrir nouveau monde !
là où les regards ne se posaient pas, il viendrait en faire mentir chacun de ses mots, Jonghwa. à vouloir faire chavirer les cœurs, voler les derniers fragments d'un organe qu'il viendrait dissimuler pour qu'ils n'en soient jamais trouvés ! jouer de ces bordures qu'il effleurait des doigts, peut-être en aurait-il encore plus joué ! si les visages ne s'en étaient pas rapprochés, à le regarder : comme il ne l'avait jamais fait encore ! ô monstre des tentations, à violer toutes ses règles pour en approcher les anges. "I mean...stop being idiot please ~" , de ces esprits trop ouverts, il viendrait en offrir ses visions du monde. à glisser ses doigts cotre sa taille, simplement l'effleurer, jusqu'à sourire là comme évidence la plus totale. "'cause it seems like you're hiding things. I'm sure you would. why ? does it scare you ? does it disgust you ? loving a boy.", bien trop assuré, bien trop joyeux, quand il pourrait en donner raisons à ne plus finir : d'en aimer les figures si belles ((ô jamais lui)). à soupirer contre son oreille : qu'il aurait tout à y gagner !

et regarde ,,
comme les regards :
s'en attiraient.

viendrais-tu mentir ? quand même lui le reconnaissait, à pourtant se mentir sur tout, mentir à tous : sauf là. où les vitres se brisaient, où tout finirait par lui éclater au visage. et Jonghwa, fait attention à toi ! à vouloir jouer au plus grand : tu en finirais risée. de quelques tendresses, il en dépeindrait ce qu'il n'était pas, à plisser des yeux ,, jouer de sa voix, pour captiver les regards. quand ce soir, il ne jouerait qu'avec lui. à alors sourire ! comme enfant en ayant eu récompense, se balancer, pour tenter d'en paraître ce qu'il n'était pas. beauté factice, il n'était qu'horreur. "you are. look at you. so freaking cute. everybody would say it so stop contradicting me. understood ?", car il viendrait en tourmenter les âmes, jusqu'à ce qu'elles ne se brisent. à pouffer pourtant sous les crédulités ! et Yohan, comment le voyais-tu réellement ? "yeah.", mentir pour en voir les réactions, à balayer l'air de sa main quand les figures en semblaient si sérieuses face à lui. et avais-tu besoin d'aide ? car pour en faire souffrir les gens : il en était le meilleur. "but I do hurt them. a lot. I could. but that's not fun to kill them so fast." ouverture des rideaux ! il en peindrait contre ses lèvres sang aux saveurs sucrées, à venir tout faire s'estomper du revers de sa main, embrasser les lippes pour tout effacer ((sans ne jamais le faire !))
et le jour viendrait :
où sang coulerait
d'entre ses doigts.
pour délivrer les corps ! redonner les couronnes : à celui qui les avait perdues. à finir par en devenir plus beau dessein encore que bourreau. d'un souffle contre son visage, repoussé de ces douceurs qui ne faisaient qu'en attirer les gestes encore plus. "'cause you're a kid. and you're bad at kissing. remember ?", c'est qu'il viendrait lui mentir encore et encore, comme pour en demander de recommencer quand lui y trouvait délices dans les péchés. "need more experience to me ~" à ne faire que se souvenir ,, quand tout en avait été si beau ; quand rien ne serait plus pareil, à présent. alors il voulait le piéger : juste un peu. venir le tenter ,, de sombrer avec lui, quand il en était expert pour charmer les regards, piéger les cœurs à l'intérieur de ses paumes pour le réchauffer, le posséder, jusqu'à ce qu'il ne craque. et de ses battements, il en récolterait perles aux coins des yeux, à venir conserver comme trésor.

fantôme ,, à danser toujours seul.
et l'accompagnerait ?

"I see...if you say so...", sans savoir, ce que les mots lui dissimulaient. étais-tu heureux ?, quand tout en semblait millimétré, indomptable : jusqu'à en perdre repères et notions du temps. étonnement sur un visage qui n'en semblait que trop réel, ô peut-être n'en avait-il jamais entendu ces mots, Jonghwa. à en avoir le ventre réchauffé. "you're...having fun now...? like...with me ?", ne plus rien croire, de ces mots. "you're really something, Yohan.", cligner les cils ! à lui dévoiler alors : tout ce qui le composait, quand personne n'en savait autant sur lui à présent. étrange phénomène. chimie contre les poumons qui en implosaient face aux étincelles produites. à en devenir presque son refuge à lui : là où il pouvait être lui-même. "you want a lot of things from me no ?", rire si fier, à pourtant lui en promettre un jour : les arts aux oreilles. "I'll sing and play for you then. wanna see you're face looking at me when I'll do it. and I do love singing. but singing for pleasure and to gain some money are two things different you know ?" ; car les gens en exigeaient là : ce qu'il ne pouvait offrir !

rétreindre les sentiments,
dans chacune des paroles :
pour ne pas s'écrouler.

de ces joies à se refléter dans les regards , il en était presque heureux de pouvoir en partager un peu là ce qu'il ne pourrait jamais offrir aux autres. et Yohan tu étais différent, à venir presque en amuser les caractères si ignobles, quand il en aurait pour lui que les harmonies si rarement trouvées. habitué à être détesté,  voguer là où les pas le menaient sans ne jamais réfléchir, ô tout lui faisait mal ! car il avait l'impression de redécouvrir là ce qu'il n'avait jamais connu. d'une photographie composée de sourires et de lueurs dans les regards, il voulait en graver les visions. ses joies à lui. "true. you've got taste.", à n'en connaître aucun des secrets, quand il en était toujours le seul à se confier. quand à s'accrocher à lui un peu plus ,, il ne pourrait que mentir toujours plus. liar. "me ? yeaah don't worry I'm so fine ! see ? I'm cool as you're saying !", de ces corps à tenir à peine debout, quand pourtant les rires en étaient mélodies offertes par les muses. "I even got a surname ? woah keep calling me like that little boy." de ces détails remarqués ,, chaque avancée !
gardée comme trésor
en mémoire ,
à emprisonner !
les garder dans des boîtes sculptées, pour ne jamais plus les ouvrir : quitte à en venir faire s'enfuir les papillons qui en ornaient les serrures. c'est qu'il viendrait se jouer un peu plus de son cœur, lui montrer : ce qu'il était réellement. à l'accueillir contre lui, jouer, jouer de tout son être ! de ses doigts, à sa nuque, à aimer tout de ces douceurs. chercher là confort et réconfort, contre celui qui n'en voulait que mélodies. et peut-être en cherchait-il simplement quelques chaleurs pour en faire se sentir vivant un corps déjà nécrosé. quand du bout de ses lèvres, il venait à en épouser là joyaux si innocent. mais tous les gestes n'étaient que douceur ! à n'être d'aucune violence, d'aucune dangerosité : sauf peut-être pour les myocardes à venir brûler les battements, échauffer les peaux ! jusqu'à en créer rougeurs si bellâtres. "maybe...but I'm not sure of it...", soupiré contre son épaule, à en serrer les tailles. guitare oubliée : quand il en préférait étreintes et fébrilités, de ses joues à le brûler. et pouvais-tu les sentir, contre ton cou ? celles qui des liqueurs, semblaient exploser à leur tour, sous les jeux si indécents.

"that's because...it looks like it's not the first time for you...but I could try  teachning you then. if it makes you that happy." ne plus bouger, rester immortel contre lui, quand de quelques regards épuisés, à se fermer, il en garderait chacune des proximités, à venir l'admirer, le resserrer : le faire sien. quand tout se chamboulait bien trop vite, dans sa tête ,, car devant lui s'en dessinait œuvre d'art. celle qui le mettrait en péril. "no, never too close." à craquer ! de rêves à se disperser, il ferait tout exploser, Jonghwa, quand sans prendre garde, c'est sans doute lui qui en finirait le plus abîmé de tous : et alors il s'en briserait un peu plus, à le voir s'éloigner. à l'embrasser ! d'infini de couleurs contre les peau, délivrer quelques solitudes comme si les simples touchers pourraient en soigner tout ce qu'il cachait contre son torse. glisser les doigts sur sa mâchoire, à son cou : il en ferait désespoir, plus belle des Odyssées.

tragédie !
à se créer.

quand il en aimait étrangement, les touchers, à vouloir en effleurer encore et encore ces sensations d'amours, sans même ne jamais en comprendre les significations. quand à se briser, il s'en retrouverait à être repoussé, de ses lippes essoufflées à s'entrouvrir sous les douleurs d'un temps. et regarde toi être si misérable. quand avait-il fini par céder aux pulsions si imparfaites ? à n'en vouloir que misères, dans ce qui s'en ressentait, là, à presque l'adoucir. quand pourtant les regards à s'entrechoquer finiraient par en faire se resserrer les poitrines. "why...", était-ce si horrible ? d'en succomber aux passions de minuit, quand rien n'était réel. à le voir se relever, d'un soupir alors lâché, il en releva son bras pour en cacher ses yeux, laisser sa tête tomber en arrière : quand tout en était gâché. "why are you being like that ? so freaking annoying." murmure insolent, à finir par reprendre. "do you hate it that much ? I'm drunk everytime. and I know perfectly what I'm doing. what will you do then ? what will you do about it ?", que les poings s'en resserraient : car tout faisait mal, maintenant. "you'll go away you too ? like everyone ?", voix brisée, supplice au bout des lèvres, quand il avait peur : d'en finir seul, cette nuit. à presque le supplier de rester.
et des étreintes,
il n'en resterait
que solitude.
à perler au coin de ses yeux, venir récupérer sa guitare : quand plus rien n'avait de sens maintenant. car il n'était plus lui-même, à chacun de ces baisers, quand à vouloir le détruire : il en finissait lui à s'éteindre peu à peu. "yeah just go home kid. that's not a hour for you. anyway. what was I even thinking having fun with you. it's not even that fun to mess with you.", d'un dos à se redresser, quand mèches de cheveux à lui tomber sur le visage ,, il ne lui en adresserait plus aucun regard. "so just go, if you don't want me to play again. 'cause yeah that's all I do. playing. I thought you already know it." à commencer accords ! sans même ne savoir où il en posait les doigts, quand il en connaissait les cordes par cœur : à venir jouer, quitte à en écorcher les phalanges, de croches à se suivre, s'enchaîner ((mourir)) comme perfection. car colère à le dévorer, il s'en voulait presque, au final, à venir trop forcer contre les fils de fer, s'énerver contre lui-même : jusqu'à en laisser s'écouler les vermeilles sur les bois. "you just had to go away and ignore me. I wouldn't even have purchased you. so why are you still here if you hate me that freaking much !" contrôle perdu, main à s'éclater contre les caisses de résonnances pour en poser ses coudes et cacher sa tête entre ses mains. à être si faible, face aux rejets. "I won't touch you from now on...so just go..."
alors part ,,
ne te retourne pas :
car il finirait ,,
par tout tuer.

et prendre les étoiles,
les déposer dans le creux des onyx.

lune époustouflante, à venir balader les coeurs. fête dans les esprits, à se noyer dans les douceurs. ô et yohan n'en connaitrait qu'allégresse délicate avant que le chaos ne frappe. quand les épidermes s'échaufferaient, quand les peaux se frôleraient. à ne pas oser imaginer, qu'il n'y avait qu'un fil qui les reliait. à en oublier le monde. en faire danser les candeurs. de ces élégances voguantes, de ces jeux souverains. jonghwa n'était plus bourreau ce soir. il était astre rayonnant. à l'en faire tomber quelque peu. quand il voudrait pouvoir le suivre dans sa course. à en hanter les mémoires. souvenir engravé sous la chair. à vouloir secrètement espérer, qu'il en demeurerait ainsi ; à n'être que calme ( avant les tempêtes ) sans implosion.

quand les joues se teintaient des feux de joie, à en laisser trace derrière les trainées. à tenter d'en détenir les clés des aspérités. à prétendre aux violences éloignées. you'll be, one day ! but i won't tell you, because if you know it's not funny anymore quand il en serait incapable d'en proférer moindre écart de haine. innocence si allègrement gardée. à ne pas en avoir encore découvert mystère des corps célestes. à ne pas en connaitre les apogées souveraines. huh, ok. weird. but if you say so. i trust you. à en offrir clémences démesurées. à fermer les yeux sur les réalités. ô il ne réaliserait que bien plus tard ; chaque sous-entendu orchestré. à ne pas en créer lien, ne pas savoir ce qu'il évoquait. yohan en toute insouciance. à simplement en donner là les sourires enfantins. en collecter les étoiles sur les faciès. oh really ? ok, then i'll wait and see by myself. it's kinda exciting, i've always been fascinated by magic. quand il s'emmêlait dans les palabres. à ne pas douter, que les merveilles se cachaient ailleurs.

à n'être qu'infime particule,
dispersée dans tout le cosmos.

miracle déconstruit. à en faire tenir les têtes, corps à la dérive. à venir se coller sous les empyrées. c'est que de rire en aventure, il n'en garderait que souvenir chaleureux. à ne jamais l'avoir connu ainsi. à le laisser se confier au plus près. à tout lui avouer. i won't drink too much... but don't drink too much either ! i don't want you to die. quand les regards s'entrecroisaient. quand les fébrilités le déstabilisait. yohan n'en demeurerait pas insensible aux mots prononcés. à en comprendre indirectement les douleurs accentuées. il n'en faudrait que peu, pour qu'il perçoive les détresses dissimulées. à ne pas vouloir le voir s'en aller. peur défaillante que de le laisser partir. à s'accrocher, bien plus que de raison. à en sentir les proximités. visage si près à se frôler. quand il en était incapable de ne pas tout révéler.

il faudrait en cacher les tentations. ne pas en dessiner les envies. quand les déglutissements étaient bien plus difficiles. quand les moiteurs perlaient sur le creux des peaux. hey, i'm not an idiot ! à vouloir s'en convaincre lui-même. admettre quelque peu sa défaite. impuissant dans ces mouvements. à ne pas savoir comment se dégager des étreintes. frayeur qu'il ne s'effondre s'il l'abandonne. frissons à parcourir l'échine. organe s'efforçant à ne pas perdre le rythme. quand tout bat à tout rompre. quand tout cogne et défonce les cages dorées. i'm... i'm not hiding anything... de ces pincements contre les lèvres. à ne pas savoir comment en faire manger les mensonges. no... à n'être que faiblesse dans les contacts. de ce corps qui répondait pour lui. mots cabossés. rien ne tenait la route. i'm not scared or disgusted... quand au fond il l'était bien que trop. à en voir lumière de ce frère qui ne cessait de le rabaisser. à le voir comme un monstre. à l'humilier pour cette simple possibilité ; yes, i love boys. but why does it matter that much. quand il pourrait en vivre sa vie. ne rien demander à quiconque. c'était loin d'être son choix. il était comme ça. à ne pas pouvoir le changer. à ne pas vouloir se forcer. il ne savait pas comment aimer les filles. i'm just into girls, that's all quand ça le détruisait de balancer sornettes égosillées. mais on l'avait privé de cette possibilité. à ne pas vouloir essayer de revenir sur ce qu'ils appellent le droit chemin.

but it hurts so bad,
not being able to be myself.

quand il ne se voyait pas pour celui qu'il est. image modifiée. illusion créée. il n'était qu'un ange factice. à n'être qu'envoyé des diables. à vouloir en repousser les compliments. à tenter de ne pas en montrer les bonheurs grandissants. ô et si le gamin savait, l'effet qu'il procurait sur le jeon. quand il ne savait plus comment en détourner le regard. à venir s'imprégner de chacun de ses traits. en réaliser constellation diverse sur le visage. de ces onyx qu'il ne pouvait que capturer. à vouloir en combler les trous béants. à en esquisser l'arrête de son nez. à en contempler les pulpeuses soyeuses. et il viendrait tout dévorer. à n'être qu'abime qu'on ne peut plus stopper. no, you're lying. nobody finds me cute ! so i know i'm not cute à n'en garder dans les nécroses, que les venins déversés. à n'en connaitre que les acharnements sur toute la lignée. yohan n'accepterait pas, qu'on puisse le voir comme un être de lumière ; beau et solaire. quand il ne semblait que porter la misère.

à alors vouloir trouver échappatoire. tenter d'en attraper issues de secours. là où il viendrait se nourrir des bouffées d'oxygène. là où il se laisserait aisément perdre dans les pureté. à en peindre les chocs sur le visage, à presque s'agripper à ses manches. really ? quand il avait imaginé. les tortures sur leur chair. à vouloir leur rendre ce que lui subissait. et comment faire, quand il n'en était que mouton noir. wow, so i'm actually hanging out with a murderer ! i don't know if i should be scared for my life or if it's kinda fun ? quand il en avait finalement compris, les crédulités encore éprises. à laisser rire teinter les silences. balayer d'un revers de la main les espoirs. you could have helped me à prendre l'ascendant sur celui qui n'en faisait que pourfendre les enfers. quand il ne pourrait en oublier les marques sur sa peau colorée. à en faire ressortir les galaxies qu'il tentait de cacher. mais un jour viendrait, elles seraient visibles pour le monde entier. à alors ne plus respirer, ne plus espérer.

car il serait mort yohan,
gisant dans les marres de sang.

à en oublier ce qu'il adviendrait de sa carcasse. quand il ne voulait qu'en offrir constellations à jonghwa. à se libérer des poids entaillants ses chevilles. à n'être que luciole dans les nuitées noires. fléau loin derrière lui. à faire perler les sourires, à faire exploser les rires. joies démesurées. affection cajolée. à le pousser un peu. tenter d'en faire perdre les équilibres sans jamais le lâcher. le maintenir. quand il en maitrisait les moues boudeuses. hey, that's not fair ! it was my first kiss, ok ? quand il n'en dirait que trop. à révéler bien plus que les innocences. à avouer que c'était lui et personne d'autre qui en avait volé les premiers instants. so of course i need more experience ! but i told you, i don't kiss guys. artifices énoncés. à n'être que fable dans les iris. poudre pour qu'il s'en éloigne. à pourtant vouloir le garder à ses côtés. sans en connaître les réels dangers. de ce pulsant virant en orbite. à en sentir souffle se couper. il viendrait jouer avec lui, jusqu'à ce que les barrages cèdent. jusqu'à ce que les lèvres se touchent.

quand il en admirait les silhouettes. à n'être qu'attiré par tout ce qu'il représentait. à vainement le camoufler, peut-être qu'il l'avait déjà remarqué. la façon dont ses yeux le cherchait constamment. la manière dont ses lèvres se plissait pour en faire vibrer les harmonies. peut-être que jonghwa savait déjà tout. quand yohan tentait d'en faire durer les tromperies. à en semer doute là où tout était pourtant si clair. of course i am à en faire retentir les éclats. de ces clochettes sonnantes avec tellement de beautés. i mean, it's the first time you're kind to me. and i really like this side of you. quand il se laissait perdre un peu plus contre lui. à venir frôler les épaules, à en concentrer les regards sur lui. passion flamboyante. why ? what did i say ? à en détailler les réactions. en rire plus que de raison. quand le corps se pliait en deux. quand les larmes montaient jusqu'aux cieux. well, i just want to know more about you ? am i not allowed to ? quand lui-même en murer les vraies facettes. à n'avoir fait que disparaitre. but if you see who i truly am, will you stay or leave ? de ces peurs décisives. à ne jamais savoir comment capturer les aveux. peut-être était-ce plus facile, d'en ensevelir les intentions. really ? you promise me to do it ? i can't wait, it's awesome. thank you ! quand rien n'était encore offert. à pourtant vouloir tout obtenir. then i'll keep looking at you the whole time ! mostly if you love singing. à vouloir en entendre les voix chantées, à pouvoir en engraver les sonorités dans sa tête. et faire danser les berceuses, dans les obscurités. quand les moues se fendaient quelque peu. oh yeah, you're right... but i hope you're still having fun when you do it à laisser étoiles vibraient dans les pupilles. c'était tout ce qu'il espérait ; que jonghwa soit heureux.

à n'en dessiner que les bonheurs,
lui comme toile de fond qu'il viendrait peindre.

quand sous les cieux, il n'y avait qu'eux. à se perdre dans les fabulations. à se chercher dans les valses. peut-être viendraient-ils à tout brûler. de ces feux ardents. de ces brasiers incandescents. surement qu'ils deviendraient voile merveille d'un monde pas encore né. à tout ordonner. à se noyer sous les pluies éparses. i know. quand il en sifflerait simplement les contentements. à avoir encore tant à lui dire. tant à lui montrer. one day you'll see quand les confiances seront gagnées. quand les maux seront effacés. quand il comprendrait que jonghwa n'était pas le mal gangréné qu'il osait prétendre à montrer. à rire. toujours un peu plus. quand les corps tanguaient. quand les étreintes étaient l'unique chose qui demeurait. à en approuver du coin de l'oeil les palabres. à en hocher les têtes comme s'il en acquiesçait aux dires. à ne pas en détourner les mensonges. car yohan, c'était lui, le plus gros imposteur d'entre eux. à se laisser glisser jusqu'à en oublier les conventions. il lui donnerait bien plus qu'il ne l'autoriserait. ah... it slipped... but i can do it, if you don't mind. quand les mots sautés entre les phrases. quand la timidité revenait faire danser les roses. but i'm not a little boy quand des couleurs cramoisies il en éveillerait les papillons au bas des ventres.

à en faire naitre les chaleurs. de ces étreintes jamais demandées et pourtant à ne plus savoir comment s'en passer. quand les douceurs étreignaient les coeurs. quand de la pulpe des lèvres, c'était les frissons qui s'évadaient. il aurait pu en faire glisser quelques soupirs. à pourtant tenter de s'en retenir, quand les yeux étaient clos. quand il en oubliait le monde autour. sauf lui. à le marquer sur sa chair. à le faire danser dans sa tête quand les cordes vibraient sous les phalanges. et il nouerait tout de cet instant. à en faire vrombir les songes. ô jonghwa à jamais ancré sur l'épiderme. quand il ne répondrait pas aux paroles. à se laisser fondre dans les embrasements. à contempler les empyrées. et ce soir le ciel était si beau, parce que c'était lui qui en avait déposer les étoiles dans leur creux. à sourire fébrilement. à s'écorcher tout contre lui. but it is... like i've never played the guitar before quand il n'en connaissait que ce qu'il avait visionné. à en avoir appris accords simplifiés. simplement pour faire mieux résonner les batteries. yeah, i want you to teach me more. quand il en croisait les regards. quand il en perdait boussole à venir s'absorber dans ses iris. et si près. ô trop près.

à imploser les artifices,
à faire vivre les rêveries.

quand les lèvres se touchaient. quand les lèvres se capturaient. corps prisonnier. coeur condamné. il sombrerait dans les rives du styx. à se haïr que de s'accorder cette seconde de paradis. à vouloir frôler les ailes des anges. et jonghwa, quelle calamité apporte-t-il sur son passage. à faire déflagrer les barrages. à en voir limites franchies ; c'est qu'il ne pourrait que y mettre en terme. à s'éloigner. repousser les attentes. pourtant yohan voulait plus, yohan n'était pas rassasié de ce simple échange. mais il n'avait le droit de s'accorder ce nuage. illusion à ne plus en pleuvoir. il aurait mal à cet organe qui ne fait que saigner. quand il en contenait les perles nacrées, à ne pas venir s'échouer sur les joues rosées. car si son être parlait, ses palabres elles mentaient. à le regarder dans un dédain incommensurable. à presqu'en prendre la fuite. quand il ne savait comment lui répondre. quand il était incapable d'en avouer les méfaits. don't ask me why. because i don't have the right answer. i'm just scared for my life. scared for your life. quand à présent il n'en avait plus les doutes accordés. jonghwa n'était pas envoyé des ténèbres. il était simple archange sur son passage. déposé pour en faire réagir les battants.

et tout faisait mal. tout venait à s'écorcher vif. à le regarder faire. à ne plus pouvoir en admirer beauté des divins. caché par les effrontés. à l'écouter venir en cracher poison. quand il ne saurait comment répondre. pétrifié. calomnié. yohan n'était plus qu'un chaos vivant. à n'avoir que ces envies palpables que de déguerpir. à laisser la peur le propulser dans les souvenirs abyssaux. périr jusqu'à n'en plus finir. à le voir se mourir. petit feu qui embrase les ténèbres. et il ne pouvait plus rien faire. plus rien dire. quand tout était si douloureux. à en accepter les châtiments du sort. à en approuver que jonghwa puisse le détester. quand il voudrait tant tout lui dire, tout avouer. venir à ne plus lui mentir. i don't hate you. i won't go away. i want to stay, by your side. with you. but i'm so fucking scared. quand il en réprouvait ses propres sentiments. à ne plus savoir où situer son coeur. meurtri. martyr. il n'avait que cette vague sensation qu'on se jouait de lui. à le voir se broyer au fur et à mesure. à s'écraser contre les rochers. et l'entendre. l'écouter. ne pas répondre. à simplement rester là, planté, comme si le sol l'avait déjà enraciné. et il voudrait tout retourner. faire marche arrière. que le temps soit la clé. il voudrait être capable d'effacer le passé. réparer les fissures octroyées.

c'est qu'il ne sait plus comment parler,
quand il le voit pourtant se tuer sur les cordes.

à laisser sa voix venir s'essouffler une ultime fois. quand il en regarde le corps. et il voit. que tout va mal. que tout dégringole. de ce cruor se déversant sur le bois. de tout cet éclat qui est mort dans son regard. ô il faudrait être tellement désolé pour en fixer les peines. car yohan, il sait le tort qu'il vient de causer. quand de ces pas guidaient jusqu'à lui, il vient à s'en rapprocher. à se pencher pour être à son niveau. et à son tour, sans ne rien dire, sans en prononcer les mots qu'il faudrait, il vient se perdre contre lui. à simplement l'enlacer, l'étreindre si fort. de sa carrure si petite, de son allure si minime. il viendrait à l'en étouffer pour que jamais le vermeille ne s'en écoule. à vouloir soigner les éclats décharnés. il voudrait tout lui donner, sans en délivrer les secrets, à ne pas se l'avouer. que l'organe avait cédé. à en faire tomber barrage, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'infime délicatesse. il ne l'abandonnerait pas. promesse encore silencieuse nouée entre ses bras.

quand il finirait par venir en saisir les visages. à se laisser perdre dans les mirages. c'est que de ses mains il pourrait en entourer ses joues, à venir rencontrer l'apocalypse. lèvres contre lèvres. à le serrer si fort jusqu'à s'en asphyxier. il le voudrait. à tout laisser tomber. renoncer à sa propre santé. mais il n'avait aucun droit d'emprunter ce chemin-là. à savoir les conséquences qu'apporteraient un tel écart. quand il viendrait à simplement récupérer entre ses paumes le bout des phalanges meurtries. à le supplier de tout arrêter. please, don't hurt yourself. quand il en laisseraient larmes s'écouler contre les joues rosées. à venir en rencontrer son regard, forcer l'affront qu'il tentait vainement d'éviter. i'm so sorry. i'm... really sorry, hwa. but please, don't do that to yourself. look at your hands, it's bleeding. you're going to have bruises, and marks... and you won't be able to play after this. and i truly want to hear you play. i want to see you happy. quand il n'en serait jamais naissance des sourires. quand il viendrait uniquement arracher les tambours battants. à en chanter plus grand désespoir.
because i wanted to kiss you so bad,
my mind couldn't stop thinking about last time.
but what are we doing ? what are we thinking ?
it's not right, we can't do that... isn't it way too dangerous ?
quand il en ferait ressortir de son sac les bandages pour en panser les plaies ouvertes. à avoir toujours avec lui le nécessaire pour camoufler les blessures esquissées. à s'asseoir à ses côtés, de cette guitare posée derrière lui. quand il viendrait en faire les réparations qu'il pouvait. à ne pas savoir comment combler les coeurs fracassés. i'm not going home. i won't leave you alone. i wasn't even planning on going back there... i wanted to stay with you... but... why... why did you have to kiss me ? why are you even doing this ? à ne plus savoir si sa voix en était brisée ou si c'est son coeur qui se fendait. à venir rencontrer goudron sale. éclaté en tant de morceaux éparpillés. i shouldn't have done this last time... because... because... à venir en relever le regard, de ses mains toujours précieusement gardées contre les siennes. now i can't stop thinking about it... quand il s'en trouvait monstre. quand il en haïssait les sentiments. i'm not supposed to fall in love with you... because we're both men and men doesn't love each other quand il voudrait s'en convaincre. quand il tenterait d'en réprimer les émotions. à laisser vagabonder ses mains jusqu'à son visage, à venir caresser la douceur de sa peau. look at me hwa quand il n'en renoncerait plus jamais à l'appeler comme ça. ultime sacrifice qu'il viendrait nouer ce soir. à alors se rapprocher, laisser le souffle cogner. peur carabinée dans les entrailles. pourtant tentation bien plus enivrante. à délicatement laisser les pulpes se toucher. sceller son destin contre le sien. à en faire imploser le coeur. il ne s'arrêterait plus de vriller à cette déchéance empoisonnée. à simplement tenter d'en calmer les pulsions meurtrières. il refusait de le voir s'infliger autant de douleur. don't hurt yourself because i'm a fool, please à s'en éloigner sans jamais le délaisser. front venant se cogner contre le sien. à briser les barrières amoncelées.
et barbare viendrait tout saccager,
demain serait le début de la fin.

maestro au bout des doigts ,,
hurlent les violon pour en camoufler les cris.
quand sous la lune , tout en semblait si simple ! car la reine dévoilait les formes des vivants, de ces masques trop souvent sur les visages, elle venait en dévoiler ce que personne ne pouvait voir à l'œil nu. c'est que lui voulait en fuir, tous ces éclats, avant qu'ils ne viennent en brûler les peaux si indélicates. ô misère ! à être pris au piège des tourments les plus insatiables, peut-être en viendrait-il à son tour se laisser happer par les douceurs d'un enfant aux candeurs miraculées. car elles parvenaient à briller encore, malgré tout, malgré les orages à l'horizon : malgré les horreurs du monde. les protéger, toutes petites étaient-elles ! des chaleurs contre ses joues, des alcools aux bouts des lèvres ((quand il en volerait le cœur.)) sorcier mal aimé, qui en ferait potion pour en arrêter tous les maux. les tuer tous : jusqu'à ce qu'il n'en reste plus que démence dans les regards. et peut-être l'était-il déjà un peu, au final, Jonghwa, lui qui n'en était qu'ami des ruelles et bitumes ,, quitte à s'en salir les mains.

et alors les étoiles ,,
viendraient s'éteindre
une à une !

à en faire moue comme enfant déçu , ô il n'y avait que tentation d'en ruiner les instants : voir ce don' il était capable, de ces haines encore dissimulées qu'il ne découvrir. appel à l'aide, sous les pléiades des dieux qui s'amusaient d'eux comme de simples pions. "yeah yeah ... and it's not weird ... you're just...whatever ~", quand sans doute les magies n'en seraient que désillusoires, quand il se rendrait compte des réalités : quand les corps n'en étaient que secrets de tous ces mots si ambigüe. à rire pour en glorifier les nuits, s'amuser de ces candeurs aux parfums exquis. et soit rassuré, ce n'est pas ce soir qu'il en briserait les visions pures. à ne préférer pas répondre ! quand il pourrait en briser chacune des paroles pour lui en briser ses vérités. c'est qu'ici, tout était contrôle des mains, à venir balayer les vents, danser ! comme rébellion d'une soirée. et il en offrirait plus beau des spectacles , à venir en changer les regards, pour redevenir monstres une fois les esprits aérer.
mentir à nouveau :
pour tout
cacher.
car les boissons viendraient en faire pourrir les poumons sans même que Yohan ne  s'en rende compte. têtu : à ne jamais mourir , toujours tenir debout ! celui qui s'en sentait infaillible ((à n'être que déception)) permanente. "I won't of course. I know when to stop ~" art maîtrisé , quand les figures n'en semblaient pas si forte. carapace brisée, de quelques regards à se croiser, étincelles à brûler les artifices quand rien n'en semblait aussi beau à présent. et qu'apercevrait-il à venir y fouiller les iris ? de quelques pensées, se glisser dans les mémoires comme pour en explorer le subconscient : faire de ses souvenirs, labyrinthe où se perdre en deviendrait presque don sublime ! et à rester près de lui, qu'adviendrait-il de celui qui n'en était que danger pour tous ?  "idiot ? you are. 'cause you don't understand anything I'm saying !", d'étreintes, à presque venir se plaindre : qu'il ne voulait que reculer, au fond. ne pas s'approcher de lui, ne pas le toucher, par peur d'en perdre ses douceurs. et peut-être avait-il raison Yohan : il n'y avait rien à gagner, à rester avec lui.

à le découvrir, un jour :
qu'il n'était que démon,
ami de Satan.

"hmm..if you say so. I still find you...really mysterious little one.", murmuré comme s'il voulait en découvrir : toutes ses splendeurs. "just into girls...but you know, if you never tested, how could you even know ? hmm ~?" car tout était important ,, s'il voulait jouer de ses cœurs, il devait en gagner les affections ((à les vouloir)) sans pour autant en détruire les organes ! compter sur ses mots comme pires mensonges ! quand les siens en étaient ivres de vérités. "I don't believe you, how sad.", d'un sourire aux lèvres, il en ferait là défi : comme pour se promettre d'en marquer les esprits ! et Jonghwa n'était qu'indécence, quand pourtant les regards n'en étaient là qu'étrange douceur. paradoxe indéniable aux saveurs de némésis. ô il en serait poison, fruit interdit alors pour en contredire ses dires, venir défier les lois du naturel : pour lui montrer, que tout était possible ((et bien plus agréable.)) enfant aux jeux si susceptibles , à en vouloir un peu de tendresse, sûrement.
à n'en avoir
jamais vraiment
eu.
que les yeux rayonnaient, et il n'y avait plus à douter de ses mots : quand jamais il n'en dirait autant d'idioties ! à ne mentir, que lorsque venaient frapper les vies,  là où les mélodies venaient à se faire sourdes. cordes à se couper, miracles à être abandonnés, ô les muses en avaient décidé de ne jamais lui offrir grâce aux yeux des autres. alors Jonghwa en ferait ses propres règles sans ne plus jamais suivre  celles ordonnées par les autres : car rien ne comptait plus à ses yeux, maintenant. jusqu'à quand attendrais-tu ? sous les pluies, là où il ne voulait plus en voir les visages. car il n'était toujours pas sortir de ces ombres où le soleil ne brillait plus. "you're cute Yohan, what are you even saying...others who told you that you weren't are just liars.", d'épaules à se hausser pour lui en confier les vérités. à vouloir qu'il en accepte là ce qu'il venait à lui dire : car sans doute ne viendrait-il plus jamais le lui redire ainsi. de ces confiances, il voulait en faire naître plus belle des fleurs !

où venaient éclore : les beautés.

c'est qu'il viendrait lui cacher les yeux, un jour, pour le lui faire ressentir : que tout son être en était divin. ferme les yeux ! écoute le silence, sent les courbes de ton visage : et ô découvre là à quel point les perfections en avaient fait dons de tes traits au monde. à presque en avoir interdiction de le toucher. ange aux désespoirs apparents, qui viendrait lui brûler les doigts, lui qui n'était qu'Enfers. de quelques chocs, contre les poumons, s'arrêtaient de respirer les airs, pour pouvoir en épouser les figures de son regards. car il en était meurtrier des amours, Jonghwa. "yeah. really. but don't find it too fun. I could really do something bad behind your back and you wouldn't even see it.", car Yohan, tes yeux ne semblaient pas en voir le mal émanant de lui. quand de lucioles, dansaient les arias dans les vents, à couper les souffles ! mais plus rien n'était réellement vrai, ici. où dans les nuits, les pires tragédies venaient à se produire. car il en semait les chaos. les mains emprisonneraient les souvenirs, les mots : comme pour lui faire tout oublier le lendemain ,, faire de lui fou aux mémoires détraquées ((pour ne pas le blesser)).

c'est qu'il viendrait défendre les figures, loin de tout, loin du monde : de ces doigts capables de tout sans ne jamais rien montrer. et il tuerait, s'il le fallait. à s'oublier lui, dans les héritages qu'il viendrait lui laisser : pour en hanter les rêves. quand les instants passaient si longuement avec lui ,, à se demander, si tout ne battait pas trop rapidement. de ses traits à se déformer, faire flotter les auras comme voyage imaginaire dans les fantaisies les plus obscures.  à l'entraîner dans ses chutes ,, dans les euphories ,, pour en protéger les corps des coups. à vaciller de ses joies, tenter d'en garder équilibres sous les légers coups inoffensives, il viendrait à exploser de rire ! celui aux étoiles dans les yeux. "kinda proud to have stole it then", quand de ses fiertés ne s'abattaient que les misères, à faire luire les regards si passionnés : quand il se souvenait de chaque instant. construire les vies de souvenirs, pour en créer héritage à partager avec ceux qui en découvriraient les mots et chants. à disparaître sans ne laisser de trace. "but it could be a good training. even with a guy.", quand tout ne faisait que vouloir se répéter.

à penser à lui.

de ces sons divins, il voudrait en entendre toutes les sonorités ((de ses rires.)) "I should try to be kinder then. I won't promise tho.", d'une commissure à s'étirer pour jouer de ses jeux sordides. "you said it was fun with me. never heard that.", d'une voix bien trop étonnée, à finalement se reprendre quand les sourires s'en tendirent de nouveau. what a fool. "yeah. you're allowed.", qu'il viendrait lui en montrer toutes ses couleurs, alors. de ses envies à ses peurs : pour en retenir les présences. "yeah I promise." vouloir tout lui montrer. de ses passions à ses colères, de ses pleurs à ses horreurs. car Yohan, tu en avais percé trou béant dans la poitrine. "I do. I do have fun, son don't worry." c'est qu'il lui en autoriserait toutes ses demandes ! de ses quelques langues à glisser contre les prénoms pour renommer les figures à ces quelques figures qui décideraient autrement : ô et à présent, il en suivrait le rythme. car de temps en temps, il pensait à toi ,, et à ces voix. comme si tout n'était qu'illusion. à vouloir en entendre ces surnoms jusqu'au bout de la nuit.

cage ,,
dans les mémoires.

"I don't mind so ... call me whatever you feel like it. and you are, a little boy. mine." chercher ,, venir briser les candeurs pour en graver dans sa tête ce qu'il était au final ! simple photographie en noir et blanc à venir brûler d'un briquet. à venir valser sur un banc, où les mélodies avaient finalement pris place sur sa peau : car il en préférait associer là chaleur contre les cous, pour épouser les notes correctes. et ce soir, il ne pleuvrait pas. "then you're just ... gifted.", qu'il s'en étonnait lui-même, à y voir prodigieux talent : à juste vouloir en toucher ces doigts aux cordes si aimantes. "I will then..." quand pourtant les cœurs saignaient ,, touchés d'une balle qui n'en sortirait jamais. et ô il en voyait les paysages s'effacer, contre ses lippes : qui si loin en semblaient à présent inatteignables. et à quoi jouas-tu, Jonghwa ? de ces baisers, qui ne feraient qu'en créer fissures toujours plus profondes sans ne rien réparer. seul !  c'était tout ce dont il avait le droit, lui, quand les tendresses lui étaient interdites : à forcer chacun des touchers, n'en faire qu'à sa tête.
faire mourir ,,
les étoiles
dans ses regards.
et ô Yohan il en était si désolé ,, désolé d'être imparfait, quand il n'y avait plus rien de vivant , dans ces poitrines. il viendrait en calomnier toutes les luxures, à en fermer les yeux par peur de le voir disparaître en les rouvrant. car rien ne l'attendait, au bout des routes. vide : dans lequel il viendrait se projeter comme seule réalité ,, d'un destin tragique et cherché. se décomposait les corps, à s'abattre contre son instrument comme seul refuge, ô tout se tordait ,, de son myocarde à sa tête, tout hurlait ! comme malédiction. de ces visages qu'il ne voulait plus observer, il viendrait en briser ses doigts, ignorer les figures, comme si tout était si évident : qu'il ne resterait pas, Yohan. et tout ne viendrait que souvenir, à présent.

mensonges
éphémères !

car les corps enlacés, à en sentir poids sur ses épaules, il en aurait le souffle coupé, d'en sentir à nouveau son parfum. à manquer de s'étouffer ! de ses yeux larmoyant ,, d'un corps tremblant : ô peut-être aurait-il préféré rester dans ses illusions morbides, où personne ne serait jamais revenu l'approcher. Yohan ,, étrange créature : qu'il viendrait étreindre comme enfant qui en avait peur de se retrouver si seul. car on l'avait abandonné, dans ces enfances où il était resté bloqué, perdu, à courir comme pour tenter d'en attraper n'importe quelle main ((même celle du diable)). d'un visage à se perdre entre ses paumes, il en viendrait à l'admirer un instant : comme pour respirer à nouveau. quand il n'en ressemblait à plus rien, de ces proximités à faire pâlir les regards. et ô Yohan, comment avais-tu captivé les instincts si rapidement ? quand lui n'était plus que simple marionnette, sous les chaleurs des liqueurs. "why ...are you even crying...?", que les mots sonnaient comme rédemption : à tout lui promettre. "that's okay. it's my fault. I'll just put some bandaids. that's nothing and I'll still play even with those.", et pourquoi en avais-tu l'air si attristé ? quand même lui n'en ressentait plus les douleurs. "and it doesn't even hurt anymore..."

car il n'y avait que le palpitant ,,
ouvert : qui en pleurait.

de quelques douceurs, il l'observerait jouer de ses doigts sur les siens ,, d'un soupir presque las ((à ne rien mériter)). "what are you doing really...it's not that bad." et tout le transcendait ,, de ses mots à sa voix, à baisser les yeux comme si tous les gestes en étaient faux pas. à juste le vouloir près de lui. "hmm...I won't do it. forget it. I'm just an asshole and that all. what were you even thinking staying so near me. I just wanted to kiss you. do I need to have a reason for it ?", à ne jamais avouer : qu'il en avait juste eu envie. jusqu'à en relever les regards ! vers celui aux confessions si délicates, à cligner des yeux, jusqu'à tout frapper contre le sol. "don't think about it. if it bothers you that much, don't even think of it as a kiss. just an agression. that's not as if you liked it." quand il en avait joué des limites pour briser les consentements, encore et encore. à persévérer pourtant de ses doigts sur son visage ,, il en écouterait chacune de ses demandes. juste ce soir. à redresser le visage, se perdre dans son regards, quand les souffle à s'entremêler, il en resterait immobile. à ne plus rien croire, quand tout semblait valser à nouveau, empourprer les figures de quelques soulagements ,, quand tout n'était pas perdu, sans doute. et les doigts s'accrocheraient à sa taille sans même réfléchir, à ne pas vouloir l'effrayer, de ces lippes contre les siennes. quand plus rien ne comptait : quand tout était dérisoire. c'est qu'il en étoufferait les souffles contre ses lèvres, jusqu'à en perdre la moindre raison.

jusqu'au lever du jour.

et d'un baiser, il le regarderait s'éloigner, d'un front contre le sien ; à ne pas le perdre des yeux. "why are you doing this ?", quand toutes les questions viendraient en danser dans les airs. "thought you were only looking at girls, that you didn't wanted me to kiss you.", car il ne comprenait plus rien, celui aux lèvres si vermillons. "why ?", que la tête finit par se glisser contre son épaule, à en fermer les yeux d'un corps trop lourd pour se tenir droit. "even though you know I'm just messing with you...and that even if you didn't liked it I would still have kissed you.", quand pourtant ce soir, il en avait été prêt à tout arrêter juste pour lui. "you're so freaking hard to understand....", murmuré, quand les bras à se glisser autour de lui ne feraient que l'enlacer sans ne plus attendre. "just stay like that...I won't touch you anymore tonight...", par peur d'en briser les moments. "Are you pitying me that much...? even if...your kisses are getting better...quite pleasant." d'un baiser déposé contre son cou, à mourir contre lui, comme s'il n'en était que trop perdu. de ses soupirs contre lui, à ses doigts tremblants. "I'm so fucking scared to be alone.", d'une voix à se coincer, se briser, quand il le resserra tout doucement : comme pour lui expliquer toutes ces catastrophes. "let me sleep here...and go home like a big boy when I'll be asleep. you've..done enough...for tonight, Yohan." , et à son réveil, les utopies se briseraient contre le sol : sans ne jamais l'épargner. "could you do that for me...? and just forget everything ?" quand des calvaires, il viendrait faire taire les affections naissantes pour ces candeurs piétinées.
car le cœur avait explosé ,,
de ses baisers :
à tout renverser.

échiquier
détruit.

épouvante clarté,
à teindre les myocardes.

c'est qu'il délaissait tout ce soir, yohan. de sa fragilité à sa fébrilité. à n'être que flamme brûlante, vacillante. jonghwa se jouait quelque peu de lui, mais cela importait peu. à se dire, que demain, les mirages reviendraient au devant. car la haine se peindrait sur les lèvres. et chacun reprendrait le cours de sa misérable vie. yohan comme victime. jonghwa comme bourreau. à venir exécuter les divins. à en faire quereller les souverains. il ne resterait que des miettes de cette soirée ; si douce sous les aspérités. où l'innocence est venue perler, à se dessiner sous les coeurs ensorcelés. quand il viendrait en rire aux palabres, à se laisser guider vers les étoiles. peut-être est-ce encore trop tôt pour qu'il comprenne tout. à se perdre dans les abysses. il finirait par tout découvrir ( à ses côtés ) quand les mots se tendraient des plus belles partitions. you know you can end your sentence ? but well, i'll put this on the alcohol quand il en ferait perdre les sonorités. ô de ces chants cramoisis. il en garderait vain souvenir.

à se délecter des caresses. proximité qui n'est plus à délester. car il ne saurait comment prendre la fuite. à vouloir le garder si près. quand pourtant coeur battant serait aux aguets. à avoir peur d'en perdre le rythme coupé. et il se noierait à force de persévérance. à ne pas vouloir en lâcher la main tendue. car il ne faisait que se nourrir de ces instants si magnifiques. merveille au creux des phalanges ; céleste nuitée. à en faire résonner délicatesse. de ces moues un peu trop boudeuse. yohan ne prétendait pas tout savoir, quand pourtant le mensonge rongeait son sang. i do understand, it's just... i'm not an idiot ! à ne plus savoir comment répondre. vouloir simplement ne pas lui faire offense. et avoir peur, ô si terrible ancrée dans les artères, qu'il ne s'évanouisse. là où la nature viendra l'englober de ses bras, lui ne pourra plus le voir. à en hocher simplement les têtes, tenter de ne pas trop en acquiescer aux propos. i'm not that mysterious... maybe it's because people can't easily read me à avoir appris, à tout cacher. renfermer les émotions. ravaler les larmes dégoulinantes. yohan avait porté un masque depuis si longtemps, qu'il ne savait plus comment l'en retirer de dessus son visage. accroché à sa chair. presque fondu sur son épiderme. à en ravaler la salive. à se poser question délicate quand l'opposé c'était imposé à lui. how can i not like girls, if i've never tried before ? quand il ne voudrait jamais frôler leurs lèvres, jamais déposer ses doigts sur leur peau si frêle. alors que jonghwa ; ô les désirs étaient bien trop enchanteurs. because attraction isn't created after you tasted ! quand il prétendait tout savoir. tout connaitre. ô yohan, il se joue de toi. à venir brûler les ailes, à faire porter les offrandes jusqu'au creux de la tombe. à simplement soupirer, quand les armes ne seraient jamais rendues. i didn't asked you to trust me if you don't want to. i just don't like boys, and i never will mensonge. mensonge. ô il ne sait plus comment avouer les péchés non tolérés.

because if i say the truth,
they'll find me. they'll hurt me.

à en avoir peur cannibale. quand il viendrait détruire ses propres symphonies. il n'avait rien d'un enfant de coeur. à ne pas avoir des étoiles dans les yeux. pourtant sur sa peau laiteuse, c'est les galaxies qui ont toujours été esquissées. à les avoir garder effacer, gomme miracle sous un maquillage. i don't think they were lying actually quand il ne saurait en assumer les beautés parjures. car il ne voyait que le monstre dans les reflets miroirs. à ne plus supporter de se regarder dans la glace. if this is how they see me, how can i see me not being ugly à vouloir en contester les approbations. ô on dirait de lui qu'il est archange délicat. mais au fond, tous le savent. c'est satan qui se balade. quand dans les amusements créés, il redescend vite sur terre. à faire disparaitre le sourire, à prendre aux pieds de la lettre les mots orchestrés. oh, does this mean, you could stab me and i wouldn't even notice it ? quand il en prendrait presque peur mais en garderait bienveillance dans le regard. à se rapprocher quelque peu, redorer les croissants de lune sur les pulpeuses. i know you won't, you're not like this. even if you're pretending to be harsh quand il en découvrait là facette bien plus doucereuse. à vouloir l'engraver dans son esprit. this is probably the real you qu'il viendrait à ne jamais faire taire. et quand l'obscurité reviendrait décorait ses songes, il y repenserait. et lui dirait ; i know the real you avant d'en affronter les nouveaux démons enragés.

quand sous les figures plaisantes, s'en dessinerait les futurs incertains. à en faire voir les incandescences, brûle les feux ébahis. à n'être que candeur sous les étoiles flamboyantes. ô et yohan en aurait le visage parsemé de ces poudres rougeâtres. à vouloir s'en cacher quand il ne savait comment tout esquiver. il lui avait donner une partie de lui ce jour-là. à le laisser prendre les bonbons. sucrerie encore perlante sur le bout de la pulpe. à en garder délicate attention dans les nuitées. well it's not like you stole it. i kind off give it to you quand il en referait sortir les moues dévastatrices. à ne pas lui laisser penser qu'il avait fini par gagner. you're such a fool yohan quand plus tôt il prétendait ne pas en aimer les silhouettes similaires. à n'avoir de regard que pour les filles de jade. it's not like i was planning to confess anytime soon. so i don't think i need to be trained à pourtant vouloir regoûter aux exquis. à vouloir en sentir les fleurs légères venir embellir la poitrine. ô et jonghwa avait fait de lui un chaos ambulant. à ne plus pouvoir penser correctement. il voudrait tout de lui, à se perdre entre ses bras, à se laisser bercer par son coeur qui bat. à même en tracer les sillons de ces quelques élucubrations de l'âme. à se demander, qu'est-ce que ça ferait de frôler les constellations.

à venir se perdre un peu plus,
quand les corps n'étaient qu'harmonie.

yeah, you should quand le regard était rieur. quand les mots dansaient sur la langue. à en faire confiance aveugle ; peut-être que demain sera différent des jours d'avant. well it's because it's new. it wasn't fun before quand il en laisserait les taquineries venir se teindre dans les enfantillages. il voudrait revivre ce genre de photographie. à en garder merveille dans le creux des iris. à n'être que vibrance. enfant qui se teint de milles couleurs. quand les excitations regorgent de bonheur. à se laisser porter par les bontés. ô il se damnerait. à vouloir en apercevoir encore plus de chacun de ses sourires. à ne pas vouloir retrouver visage glacial comme il ne connait que trop bien. jonghwa était beau, quand le bonheur perçait sur ses traits. well, from now on, it's hwa alors que les joues rougissent, que les lèvres se mordent. à en sentir palpitant manquait les récitations. à quoi joue-t-il qu'il vient à s'en demander. à avoir peur d'en soulever les questions. what do you mean, your little boy à se taire. laisser le bonheur gonfler les poumons. peut-être que demain, tout aura disparu. alors savoure, encore un peu.

quand tout viendrait à se perdre. mélodie délicatement jouée. à n'être que sourire de lune, à en apposer regard sur son visage. quand de ces traces légères, n'en resterait que des cendres. flamme envoûtante. à venir partager les maladresses. d'un simple baiser échangé. à finir par s'en reculer. s'en éloigner. we can't do that quand le coeur pleure. quand les entrailles saignent. à vouloir y retourner, retrouver sa chaleur. se laisser perdre à l'intérieur. mais yohan est déjà loin, parti. à ne plus savoir comment parler. à en écouter les complaintes d'un organe impuissant.
et demain sera tombeau,
quand il viendra s'agenouiller.
car il faudrait refaire le monde. retourner en arrière. ne pas les laisser le haïr. ne pas le laisser se haïr. et peut-être qu'il en accepterait chaque parcelle. qu'il se noierait volontiers. car yohan voulait tout de jonghwa. à n'avoir jamais réalisé à quel point le pulsant s'égosiller face à lui pour une pure raison. à se maudire que d'avoir tout fait vriller. quand c'est lui qui vient se mettre à tambouriner ; de ce cruor coulant contre ses mains. à prendre peur, de le voir se briser. de le voir s'éteindre.

à alors revenir vers lui,
de cette étreinte supplice.

de ces soubresauts impromptus. à laisser le nez reniflé, à en faire perdre perle sur les tissus. ô c'était lui qui avait mal pour cette lumière. à la voir lentement disparaitre. à simplement en affronter les sensations. il avait fini par en trouver les rédemptions. quand il se laisserait guider par chaque sentiment. à en brûler les phalanges contre sa peau, à en réparer les fissures exécutées. à en essuyer d'un revers les ruisseaux coulants. à essayer d'en feindre un sourire. échec fatal. i'm... i'm not crying quand il en observait les dégâts, à en saisir délicatement les blessures. à tout nettoyer, tout camoufler. d'une application doucereuse. à n'en connaitre que trop bien les gestes orchestrés. don't be like this ! i know it must hurt right now quand il en apposerait regard tendre sur les visages. à ne pas vouloir le voir jouer au plus fort. à refuser qu'il soit ainsi avec lui. ô jonghwa, avoue chaque aiguille qui perce l'épiderme. quand yohan viendrait à tout nettoyer. pour déposer sur les ouvertures, les pansements qui ne feraient que calfeutrer les douleurs enracinées. well i'm taking care of you. what else could i do ? quand il en assumerait plus rien. ce soir ne serait que léthargie de leur corps uni.

à simplement en faire offense. il faudrait oublier les dégâts. mais yohan en gardera chaque instant dans la mémoire. i won't forget it. quand il en gardait regard fixe sur son âme. à tenter de lire en lui. incapable. you're not really. i guess it's just a payback for the one i stole from you last time quand il était l'unique instigateur de ce massacre. à avoir commencé le premier, à capturer les lèvres souveraines. à avoir flirter avec les diables. it's not that you need a reason... but normally people kiss each other when they're attracted to the person, no ? à tenter d'en comprendre les actions. de ces sentiments qui ne faisaient que faux bonds. what are you even thinking quand il prendrait son courage à deux mains. et tout lui dire. se délivrer sur un plateau d'argent. i know what an agression and a kiss are, you know... and i didn't said i didn't liked it de ce regard détourné, à en sentir joues rosées. de cette chaleur grimpante à son oesaphage. c'est que tout tournait dans les entrailles. à alors se saisir des opportunités. à ne plus laisser filer sa chance.
car les envies étaient impudentes,
mais précieuses dans ces moments.
à venir embraser le corps. de ce baiser qu'il se refusait de voler. quand pourtant les lippes ne faisaient que fusionner. à sentir ses mains contre sa peau, à se laisser perdre dans les étreintes. et il en sentirait son souffle se retenir, jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. à faire marche arrière, de ces proximités qu'il ne coupaient plus.

à se laisser devancer,
quand les étoiles brillaient.

à sourire délicatement. en garder présence tout contre lui. because i wanted to... à demi avouer, quand son souffle se ferait murmure dans la nuit. à ne pas tout lui dire. pas maintenant. well, isn't you who said that when we didn't try, we can't know if we like it or not ? à laisser rire se dissoudre dans les airs. à se jouer un peu de lui. car ô, il savait déjà ô combien il en aimait les silhouettes d'apollon. à le laisser se glisser contre lui. quand il en resserrerait l'étreinte à son tour. à ne plus divaguer. simplement soupirer. well, i guess like this we're quits quand pourtant, il lui en devrait un nouveau ; car yohan en avait dérobé deux sous les aspérités. à simplement acquiescer, ne plus réellement le contredire. i know sans qu'il n'ose bouger. à le garder si près. le serrer. et laisser les doigts basculer dans son dos. à en délester délicate caresse sur les tissus. à en dessiner étoiles et comètes sur sa peau. quand il n'en répondrait pas par la parole, simple acte se faisant promesse d'un lendemain. i'm not d'un rire soufflé, à se redresser un peu pour mieux l'accueillir contre son corps. maybe because i had a good teacher quand il en redemanderait encore. à vouloir toujours plus apprendre. kiss my lips, and make me see the stars qu'il en garderait dans les mémoires.

de ce toucher à son cou. à en souffler les plaisirs. d'un sourire naissant sur les lippes. quand de sa main venant se perdre dans sa chevelure, il viendrait d'un simple frôlement, déposer baiser sur ses tempes. you're not alone, i'm here à ne pas le laisser périr. encore un peu plus près de son âme. à alors venir lâcher quelque peu l'étreinte aux palabres, à s'installer un peu mieux sur les bancs. et faire basculer son corps pour qu'il s'installe sur ses jambes. de sa tête qu'il viendra doucement apposer. à ne pas en délaisser les caresses. then you can rest like this, i don't mind. and i'll go home when you're asleep. à pourtant venir lui mentir ( encore ) quand il ne bougerait pas. à ne plus parler, hocher les têtes. car de ces nuitées, il n'en oublierait aucun fragment. à les garder précieusement. quand il le laisserait partir rejoindre les songes de morphée. à l'enlacer un peu plus contre lui. à s'assoupir à son tour. sans voir le temps passer. sans prêter attention à tout ce qui l'entoure. à alors laisser jour venir, quand dans les empyrées ne scintilleraient plus les constellations. à s’en faire bercer par les rayons ardents. soleil cajoleur des cœurs. quand de ces veillées nocturnes n’en resterait que des rancœurs.
à ne pas être parti,
être resté à ses côtés.
jusqu'à ce qu’il s'évanouisse dans la nature.
de cette promesse faite, à vouloir la maintenir.

mort
entre les doigts.
il ne viendrait plus à réfléchir, ce soir. catastrophe : à en montrer visage bien trop sensible ,, imparfait ! ô il jouait bien trop souvent, bien trop facilement, à faire vaciller les épopées, quand face à lui se dessinait les fragrances oubliées. celles qu'il reconnaîtrait par mégarde, quand il voudrait en oublier les nuits de faiblesses. si remarquables ,, à parvenir à en dégager quelques rêves sans doute pour ceux bien trop innocents à y voir en lui aurore momentanée. tout brûlait bien trop, à consumer sans fin ,, d'affections à cramer les peaux : il viendrait en redemander sans fin comme se sentir un peu roi, ici aussi ((avec lui)). alors sourires à s'envoler, tout laisser s'évaporer pour vivre un peu comme il le souhaitait, il n'y aurait que les rires, ce soir. "don't want to !", qu'il viendrait s'en amuser : car jamais il n'en saurait fin de ses pensées. à ne pas vouloir en afficher ce qu'il y avait au fond ! roman sans fin, à tourner les pages comme pour en découvrir de nouveau les récits qui ne faisaient que s'édulcorer ,, on pouvait y lire promesses sur le bouts des lignes, lettres à se mélanger pour venir en créer poèmes sublimés. et s'y cacherait alors les vérités dans les phrases, à y dissimuler secrets que même lui ne voulait pas confier.

et tout se mélangeait ,
dans sa tête.

de quelques douceurs, caresses imperméables , à tenir les doigts, caresser les phalanges : comme s'il viendrait en crever, de ne plus en tenir les peaux. ô mirages insupportables, quand il finirait par reprendre ses esprits, peut-être. à réaliser un jour que tout était bien trop beau pour en être quotidien. car il n'en méritait aucune douceur, aucune palpitation, là, au creux de la poitrine ,, à en éviter les bonheurs. quand pourtant les sourires ne faisaient qu'éclore, ô nuit merveilleuse à exaucer tous les vœux : peut-être en avait-elle entendu les siens ! murmurés dans les détresses les plus sincères, gardées là au creux des poumons ,, personne ne pourrait les imaginer, ces douleurs si infâmes. car il en avait bousillé tout ce qu'il avait de plus précieux ,, à ne plus qu'en faire qu'à sa tête : comme enfant si insolent. "okay, you're not an idiot.", quand il viendrait en sourire, de ces candeurs toujours trop affichées. et il voudrait pouvoir tout lire, sur son visage. en comprendre les moindres réflexes, les moindres mots ((à ne rien comprendre)) celui aux orgueils si encrés dans ses épidermes. "maybe. but It makes me want to find out more about you, kitten. how ironic.", charmer les âmes pures ,, comme pour se réparer lui-même de toutes les horreurs qu'il avait pu faire. quand les cœurs n'en étaient pas contrôlables, Yohan : et l'on ne choisissait pas sur qui les yeux voulaient se poser. "it can. you know it's a weird human thing. sometime you say that you don't like it but after tasting it...oops. it's like food. who knows, it could...create some butterflies.", que les regards s'en faisaient merveilles :
à n'y croire
aucun
de ses mots !
"you never will hmm ? you might be less intelligent than I thought then...", de mensonges ,, il viendrait s'en bercer d'illusions. et peut-être était-il répugnant, Jonghwa : à s'en approcher comme vipère, venir en étreindre les corps comme pour se mentir à lui même. puanteur à faire frémir les corps ! quand il ne serait jamais ange à prôner les joies qui lui étaient interdites. alors de ses mots il viendrait en démentir les enfers, à préférer secouer la tête à l'entendre comme inepties les plus totales. d'une peau laiteuse où s'illuminaient les étoiles, gravées là comme cadeau des cieux, c'est qu'il aimerait un jour pouvoir venir y apposer le bout de ses doigts pour en relier les constellations entre elles. à lui voir dans ses regards beautés qu'il dénigrait. "they were.", liars. tous à mentir ,, vérités qu'il possédait lui, quand il n'en méritait aucune confiance. "no. it means I could hurt you in a lots of way, but you're still a kid, and I don't stab kids. well, in some extent.", devisage à se rapprocher, lui tanguerait de nouveau ! là où au creux de leurs lippes ils finiraient par s'en dire tous leurs aux. "oh and what do you exactly know ? it's not like you actually knew me. let me keep pretending then, would you ?", voix bien trop douce sans doute, remplie de ces tendresses où les alcools en embrumaient les vues.

à se laisser tenter ,,
par les poisons tragiques.

c'est qu'il aimerait y croire : que ses yeux à lui venaient à connaître ce qu'il était réellement. songe d'été où les nuits en dévoilaient les réelles formes de son être ,, à n'être en réalité que poison quand ses douceurs en étaient étouffées tout au fond de lui. quand sur les visages se parsemaient de couleurs qui en faisaient sourires les lippes aux sucreries déposées sur les peaux. "hmm maybe. but you were just trying to scare me. I just stole it anyway." d'épaules à se hausser ! jusqu'à reprendre de nouveau. "oh really ? but you never know when you will have to kiss someone...it's not a question of confession or not." de ses regards à sourire légèrement, il en observerait le sien comme grâce ultime ! car il venait de lui en promettre ce qu'il ne pourrait jamais garantir : de ses douceurs à ses affections. ((disparues)) il y a si longtemps. c'est que l'enfant avait grandi bien trop rapidement, à jouer avec lui comme cavalier, à perturber ses arrogance quand il en était devenu sacré. ô et peut être qu'à présent il n'y aurait plus que les rires à flotter dans les airs. rire à s'évaporer autour d'eux, relation bien trop étrange.
car les anges avaient décidé :
de les sacrer
sur les trônes.
d'images à graver dans les mémoires, il n'y avait plus les pleurs qui raisonnaient. loin de tout, photographie à faire danser les corps inanimés dans les salles de bal ,, car ici ils étaient enfin libre de faire ce qu'ils désiraient ! sans ne plus se poser de question, à juste vibrer tout doucement comme si toutes les tendresses du mondes viendraient à s'extirper d'eux. car les pieds ne s'arrêteraient plus de glisser sur les sols, s'il avait entre ses mains les siennes. sonorités à faire sourire, quand il s'habituerait à ces nouveaux surnoms, ô il savait exactement ce qu'il faisait Yohan : à tenter de lui en arracher toutes ces douleurs comme si elles n'avaient jamais existées. ses doigts étaient épris d'un peu de féeries, au final, quand ils réussissaient à déposer chaleur contre son visage sans ne le faire hurler de peur. à être si glorieux à ses yeux : enfant soleil aux espoirs faisant fleurir les edelweiss dans les cœurs. venir en faire éclore les fiertés sur ses épaules ,, jusqu'à ce que s'anime un peu plus les victoires.

perdu ,,
à courir :
après les attentions.

alors les mélodies avaient sonné les glas de tout un monde. car les guitares avaient cessé de dissiper leurs harmonies ,, car le regard l'effrayait : quand fuite prise ! à faire perler les démons sur le visage. il se détestait ,, hwa ,, comme enfant ayant déjà tout perdu sans avoir même eu le temps d'essayer d'en capturer les détresses. à toujours avoir causé désespoir dans les regards ; à s'être pris à son propre jeu : miracle indéniable à en mériter toutes les douleurs du monde pour lui faire comprendre qu'il était réellement vivant. car seul il ne savait plus rien faire, à se sentir si seul en permanence que les gestes en devenaient poisons infernaux. et tout faisait si mal, au fond des poitrines ,, à ne pourtant pas aimer ! manque comme si les vies s'en sentaient bien trop incapables de survivre par elles-mêmes, il s'était attaché, Jonghwa, à ces éphémères joies qu'il venait de lui offrir quand les liqueurs avaient fini par le persuader que tout était réalité. ((à s'écrouler devant ses yeux))  ô faiblesses mis au grand jour, quand les mains en tressautaient, sous les siennes : mensonges toujours prononcés comme pour tenter de le tromper. "you're lying. you're crying.", regards à se baisser sans ne jamais pouvoir plus lui faire face.
il lui en aurait donné ,,
toutes ses nuits :
empoisonnées.
pour en revoir ses sourires, secrets qu'il ne viendrait jamais lui dire ; car les miracles ne se réalisaient jamais deux fois. jouer au plus fort, comme si rien ne l'atteignait réellement ,, c'est qu'il se voyait sans cœur, lui, de ses tressautements qui n'en tromperaient personne sans ne même arriver à le repousser. "you don't know anything. and I'm not someone who need to be taken cared." mensonge ,, car il ne demandait que cela sans ne même vouloir l'avouer. arrogances si sensibles pour résister à ses douceurs, Yohan en avait pris au piège ses quelques espoirs pour les faire siens, les emprisonner ! comme pour lui montrer qu'il y avait encore des beautés dans ce monde qu'il détestait. "a payback huh ? but I don't mind being kissed.", car ça ne signifiait plus rien. flou ,, dans ces barrières imposées, à ne rien y comprendre, quand lui non plus ne voulait pas oublier tout ce qu'il pourrait se passer. "normally. but not always. why ? do you think I'm attracted to you ? are you maybe ?", car même dans les douleurs il viendrait en jouer de ces inepties, à ne pas savoir lui-même pourquoi il adorait en jouer avec les candeurs. "so you liked it ? what a strange kid.", d'un sourire bien trop faible, quand il tentait d'en capter les regards et les joues s'échauffant dans les nuits. à faire mine de ne rien voir  !

devenir aveugle :
à tout ce qui l'entourait.

imprudence des gestes, quand les corps à se rejoindre il en sentait chaleurs magnifiques qui venait à faire pulser les battants : rendre vivant tout ce qu'il pensait mort. de lippes à s'effleurer, se réfugier contre les corps pour en camoufler les rires de folies ,, plus rien n'avait de logique, entre eux. qu'étaient-ils ? appâts pour en occuper les nuits des dieux, ils n'étaient qu'un jeu. et il avait pensé à se servir de lui pour en amuser les soirées ! pris au piège comme s'il n'avait jamais vraiment grandi lui aussi. à y voir encore quelques étoiles se parsemer dans ses yeux. "you're really something, testing things like that just with the mood. who taught you that really." quand d'un visage à se cacher dans son cou, bras à se resserrer contre lui comme pour apaiser les peines, il en laisserait quelques rires s'échapper, regards à se clore définitivement. car les caresses en envoûtaient les maux, colères à tout doucement s'envoler ! ô miracle inné, car il n'y avait qu'entre ses bras qu'il parvenait à y trouver paix intérieure.
quand face à lui
se dessinait :
un ange.
aux ailes si grandes ! à en réconforter démon sans conscience. de sourires à se retracer, étouffer les rires sous les quelques touchers qu'il viendrait parsemer sur sa peau. il ne savait faire que cela après tout, art des sensualités et des douleurs, à tout emmêler pour en créer désarroi. c'est qu'on l'avait doté de bien des pouvoirs, Jonghwa, échiquier renversé, le roi était mort il y a bien longtemps déjà.  "yeah maybe ... " qu'il viendrait se perdre dans ses douceurs offertes ,, à n'avoir jamais été bercé de temps de chaleur : d'une main à emprisonner son être, soupir à effleurer son cou ,, baiser à apaiser les figures ! et de quelques mots, il viendrait en serrer tout son corps à nouveau, à se sentir si fébrile de sa simple voix. et tu n'est pas seul, qu'il disait. et peut-être ne l'avais-tu jamais été au final, sans ne même s'en apercevoir, quand il y avait ce trou béant à combler, au milieu de sa poitrine. "hmm...just...don't go..." murmure à se dissiper, d'un corps à se laisser faire, à tomber sur ses jambes pour s'en réfugier contre son ventre. bras à venir se glisser derrière son dos pour le serrer tout doucement contre son visage, c'est qu'il sombrerait si facilement, Morphée à l'accueillir : quand dans les nuits il n'en trouvait jamais réel sommeil ; sauf près de lui. et quand les jours berceraient leurs regards, il en découvrirait présence comme marque indéniable : qu'il ne pourrait pas le laisser repartir. et les lucioles s'étaient regroupées tout autour d'eux pour en protéger leurs innocences quand les corps à s'enlacer ,, ils en avaient trouvé repos éternel.
à rêver encore,
d'un meilleur monde
jusqu'à disparaître :
lui aussi.