Et l'astral
brasier se jouit à l'éclature des cieux, dansante
chahuterie du divin lieu ! Solaire se clame aux paupières
fatiguées, rétine ô tant bien fragilisée au filtre
technologique, lorsque la terrible s'arrache au livide. Des envies vespérales d'admirer l'imaginaire oeuvrer ; sous les diamants, les
écrans théâtre des clémentes vanités.
Ilyan aux naissantes blandices, d'assouvir les désirs ; sur la toile, le fil arachnide des électroniques. Mais charmante évanescence du princier s'imprègne à l'asphalte des émotives pensées, les jouvences éternelles d'un gamin à la disparate impulsivité. Et alors sous les lunaisons fidèles agissait le
cauchemardesque ! Les rêves peinturlurés en délicatesse. Nuages prunelles, si bien brunies lors des
chaleureux sommeils, gamin
ébahi à l'instant des
horribles réveils. Peut-être encore semblaient se calmer les vagues musicales au doux marin scintillant. Elles, vibrantes au clair soleil;
Valait-il ? pour ces fois où elles l'avaient tant saccagé, le chérubin ovale aux airs des plus déchirés.
fuite, et doux célestin à ses rêves languides.
insomnie chaleur à ses heures
dans le vide.
Mais
sourire au doigté
céleste des langoureux destins, desquels s'éclaircit la genèse canadienne ! Car la
parenté épousée au firmament des vœux constellés. Ô
mère déesse allait se marier, le sel grésille aux paupières bénies ; comme les
orages s'estompent en ces nuits de
félicité idylle. Et qu'elle semble si belle la
mère, sous les aurores stélées d'un conte jamais psalmodié. Les mots doux ; l'épitre promesse en aumônes à leur histoire divine. Et qu'elle semble si belle la
mer, sous l'acerbe caresse d'un garçon aux jurons mélancoliques. Les
colères ; les
amours, mais avant tout le
brasier à jeter au cœur tant apprécié.
«
Ilyan, réveilles-toi. Nous allons faire les magasins aujourd'hui. »
Grognement ! tonnerre
nonchalant d'un grincheux au sommeil manquant. Et l'once de carnage au plaisir millénaire se colle, a ce bitume vivant des cœurs blasphème. Poème à cracher quant aux
jolies soirées ! Qu'il aimerait y remédier, souffrir de liqueur en ces mondes chapardeurs. Cramer le
satané coeur, hurler aux
esprits vengeurs.
embrasser
le marbre miel,
les discordes vénielles.
Alors les
corps se glissent sous les douces nuées zéphyr. Ett Ilyan s'approche de ces boutiques aux belles vitrines, pénètre les mondes stylistes. Aussitôt les
poèmes se déposent aux lèvres d'une mère, rire adorable s'échappant d'entre elles ; comme un souvenir des danses mémorielles, un rêve
féminin collant les psyché de chacune d'elles. Quelques éphémérités, des costumes à dévoiler sur le dénudé. Honteuse frivolité à ses joues rougies, Ilyan n'apprécie guère ces sorties '
pour filles'. Ainsi il quitte la cabine, le nacré recouvert des tissus comètes.
«
Oh, Ilyan, qu'en dis-tu ? Je trouve qu'il te va bien au teint, ce costard.ㅡ
Je le trouve horrible.. Je crois que tu as pris la mauvaise taille maman, ça me serre au niveau des bras ! qu'il ronchonne, les sourcils froncés. »
Alors les étoiles filent ; offrent les délices.
Et Jaehee apparaît, en ces rêves de félicité.