UNNATURAL

porcelaine si finement taillée, à se briser à chaque regard, se fissurer sous ces couches de tulles. beauté aux pétales pourtant fanés, quand en viendrait le printemps : aucun papillon ne s'en poserait sur elle. les couleurs n'étaient plus, les cheveux étaient tirés vers le haut comme pour en paraître miraculée. et peut-être avait-elle eu envie de le revoir, après tout. car là s'en étaient camouflés les mensonges ,, à ne faire que glisser contre sa peau, contre ses os. regarde : comme je suis muette. à ne savoir à peine en dire son prénom, quand ses yeux en parlaient bien plus pour elle. enfant amère ,, à venir cueillir les sucreries une à une ; et peut-être en étais-tu une d'elle, Jihk : à la regarder ,, jamais vraiment comme les autres. et elle n'avait rien, elle. tour de quartz qui en avait fait s'écrouler tous les espoirs. car on l'a voulait si droite, si parfaite ((à n'être rien de tout cela)).
courir contre les bitumes !
là où les pavés ,,
se souviendraient :
de son parfum.
essoufflée ! comme si le monde, irait s'en écrouler. et la poitrine à du mal à respirer, au fond. elle a du mal , elle a du mal. souffle coupé, quand de ces travaux elle en avait stoppé les déchéances. quand de chaque horizon, elle ne voyait plus que lui comme silhouette. comment lui parler ? agir ? cacher son visage, pour n'y montrer que miroir. et que viendrait-il y voir, là, dans ces opales charbonnées de ce qu'elle n'était pas ? enfant perdue de tous, elle s'était égarée, dans les nuits ,, et personne n'était venue la chercher. nom qui en avait été appelé ! personne n'était occupé à la retrouver. car après tout, elle n'en était que fantôme toujours trop ignorée, toujours trop abandonnée ((imparfaite)). Nini lui avait dit : que le monde était étrange.

à encore chercher :
là où elle pourrait ,,
pousser d'elle même.

grandir ! pour fleurir de nouveau. retrouver ses joyaux, trop longtemps offerts à tous. à ne voir dans le noir que ce qu'elle ne pouvait plus offrir. et peut-être viendraient-ils l'entraîner avec eux, que les descentes n'en seraient que plus infâmes. courir ! comme pour en rattraper le temps, venir faire en sorte d'arriver à l'heure quand les têtes en étaient si étourdies. stressée, de venir le voir, quand les visages délicats finirent par pointer le bout de leur nez. "je- ! je suis désolée pour le retard !", à ne jamais l'être en réalité, main venant lui tendre présent des cieux. "c'est parce que je l'avais oublié chez moi...tiens ! j'espère que je ne t'ai pas trop fait attendre ?" nouveau carnet, aux couvertures si délicates ,, recouvert de ces parfums qu'elle avait tendrement imprégné sur ces papiers. "comment vas tu ... ? ", murmuré là : à le regarder tout doucement, souffle éreinté, quand de son visage si calme, elle se redressa tout doucement pour tenter d'en reprendre postures plus élégantes.
doigts à s'enlacer ,,
jouer de ses bracelets :
par peur de tout rater.
"hmm...que dirais-tu de faire une légère balade ? je pourrai te montrer mes ateliers après...si bien sûr cela te convient ?" à le regarder légèrement, délicatesse d'une voix qui ne s'en ferait que trop posée. et à côté de lui ,, elle voulait s'en tenir si droite : presque pour en effleurer les cieux. si beau, si mélodieux ,, à y voir avec lui symphonie qu'elle était seule à entendre. essayer de ressembler, aux délicatesses qu'elle ne connaissait que dans le silence : sans ne jamais trop sourire, ne jamais trop en exprimer là les joies enfantines sur son visage.

car peut-être :
viendrait-il ,,
la fuir.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

Ô saison des floraisons, dans les airs où les pétales dansent au rythme des bâtiments de leur coeur, laissant la brise caresser chaque morceau de leur chair, laissant les frissons hanter les esprits d'un été qui lentement approche, soleil qui se fait roi dans les cieux, dans les esprits ;
Marque comme il a marqué Icare et ses désirs impunis.
Liberté à en faire pâlir les dieux, les anges sont déployés, de ces anges qui veulent parcourir le monde à la recherche des plus belles pierres et merveilles, pour tenir entre leurs doigts les secrets de tout un univers. Au delà des frontières, quand il ne reste plus rien que les désirs d'aventure, que ces volcans qui bouillonnent dans les estomacs, dans les entrailles.
Sont-ils réellement libres ?
Il n'y a que les mots apposés sur les grains de ces carnets qui osent ! Osent voyager, en dépasser les limites imposées, de ces sentiments confiés sans jamais laisser les dieux se pencher à leurs épaules.
Tout reste là, au fond d'un vieux coffre, dans ce vieux grenier où les enfants jouaient autrefois, il ne reste que les pages poussiéreuses des livres qui hantent les lieux, comme des fantômes, comme des mirages, des souvenirs qu'on ne veut pas revivre, des fleurs séchées entre les pages, et si elle s'annonce comme divine rose, il sera le lys qui l'accueillera dans ses bras ! D'une obsession naissante dans le creux de son coeur, à en laisser les yeux toujours plus parcourir les courbes de son visage ; en graver à jamais son sourire ;
Un peu de son rire.
Divin sortilège.

Rendez-vous donné, toujours en avance, parce qu'il veut pouvoir en admirer le monde s'éveiller, les oiseaux chanter et danser, les fleurs murmurer qu'elles ont vu ce matin ! Le roi soleil enlacer la lune, une dernière fois avant que la nuit ne s'évanouisse le temps de quelques heures, laissant son fier roi rayonner dans les cieux. Il en écoute les chuchotements de l'air, quand il n'apporte que les nouvelles du monde ; là-bas, un empereur est mort, quand un autre n'est que renaissance. Le sourire digne de plus bel ange, pourtant n'est pas mieux que tous, que ces corps qu'il croise, observe, vient gribouiller entre quelques pages d'un carnet, couvert de quelques tâches de café, un peu de thé, les pages jaunissent avec le temps, mais son coeur reste entier. Voix qui le ramène à la réalité, quand ses yeux se posent sur elle. Le sourire n'est que trop réel alors qu'il vient ranger les objets entre ses doigts, dans ses poches. Ne t'excuse pas. Le rire vient combler le chant des oiseaux dans les cieux. Je n'ai pas beaucoup attendu. Merci. Alors qu'il vient à son tour le ranger dans une nouvelle poche, à l'intérieur de sa veste, toujours près de son coeur. Je vais bien, et toi ? Tu as l'air essoufflé. Respire, je ne vais pas m'envoler. Qu'il tente d'en calmer les poumons, alors que son regard n'est qu'illuminé de millions d'étoiles pour elle ;
L'élégance de sa tenue, à la beauté chimérique de son visage,
Fée ou nymphe, il ne saurait dit tant il l'admire, laisse le soleil en éclairer chacune de ses imperfections, tout ce qui la rend encore plus sublime à ses yeux, comme la plus belle des fleurs au milieu d'un champ divin.
Ca serait avec plaisir. Simple réponse alors qu'il vient lui tendre son bras, sourire délicat sur les lèvres qui ne connaissent pas encore les amours printaniers, attendant qu'elle se joigne à lui pour cette marque, chaleur douce et exquise. Je suis curieux de voir tes ateliers. Je n'ai jamais réellement pu admirer autre talent de ta part que celui des mots. Beauté de chacun de ses mots, soigneusement choisi pour en combler les esprits ;
Ne pas montrer signe d'une valeur plus basse, quand elle est reine ;
Se tient comme une déesse.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

quand les neiges en avaient fait demeure sur sa peau, à l'avoir gelée là ,, comme enfant aux rires sinistrés. car jamais elle ne viendrait en laisser sortir les beautés de leurs tombes ,, à pourtant les avoir fleuri, avant, quand maintenant elle en avait tout délaissé. de ces torpeurs en étaient sortis monstres invisibles ,, à ce souvenir de ces pièces aux éclats brisés, de ces étreintes si délicates. et Nini, en avait-elle le droit de s'accrocher à ces quelques espoirs ? quand prince venu d'ailleurs , à l'accueillir comme bien trop précieuse sans en connaître ne serait-ce que les vrais visages ; peut-être en serait-il bien déçu, quand à la fin des bals, viendraient s'en retirer les verreries qui en camouflaient les regards : pour en découvrir ce qu'elle était.
dévoiler les cœurs ,,
de ces horreurs :
aux lys fleurissant.
essoufflée ! à sans doute avoir été effrayée de ne pas l'y trouver, quand personne ne l'avait jamais réellement attendue. enfant figée, à en deviner les mots, cligner des yeux quand élégances sur son visage finirent par la parer de multiples joyaux. "tant mieux alors...", murmuré là, à tout doucement hocher la tête quand les yeux savaient mieux en exprimer ce qu'elle ne disait jamais. joie sublime, dans faire face aux figures si appréciées. "moi ? je vais bien. vraiment ? je n'aurai pas dû courir alors. mais peut-être que tu aurais pu ne pas m'attendre, si je ne l'avais pas fait." ,, quand tout en était tendresse entre ses lèvres, à ne jamais rien soupçonner , n'offrir que proses orales ((à briser tous les sors qu'on lui avait jeté.))

Jaehee ,,
venin dans les veines :
fugacité d'un monde.

joindre sa main à son bras, quand naîtraient un jour les violences de ces douceurs ,, à en charmer les maux qui la composaient. "et bien...sans doute car je n'ai pas réellement beaucoup de talent dans autre chose en réalité. mis à part peut-être la couture.", à réfléchir ! venir jouer de quelques étincelles, quand elle en tendit sa main libre pour en toucher les paysages. "à vrai dire, je ne sais faire que ça. je passe tout mon temps libre à coudre, quand je ne travaille pas.", nostalgie contre les visages, à en échanger les joies qui en avaient empoisonnées tout un monde. et Jihk, que faisais-tu de tes journées ? quand elle en venait à broder sur les tissus ses dernières odes. "c'est pour cela que j'espère que tu ne t'ennuieras pas trop. je ne suis pas très...intéressante ? je préfère largement t'écouter me parler de ce que tu fais quotidiennement. même si...j'ai presque hâte de te montrer mon atelier." à tout avouer ! de ces pieds dans le sable, enfant à venir tout doucement le guider vers les eaux limpides :
à s'accroupir ,,
garder les doigts :
agripper.
à en attraper simplement le bout de sa manche pour ne pas le forcer, venir jouer ,, de ses doigts libres dans les océans : comme si tout en était si gracieux. "et toi Jihk ? qu'aimes-tu faire à part l'écriture ?", à laisser ses mèches glisser de ses oreilles, pencher le visage vers lui quand à se redresser à une simple vague, elle en esquissa sourire ((à ne plus les retenir)) ,, quand elle en était là où elle en aimait les airs ! à vouloir tout lui montrer : de son monde. "tu aimes la mer ?", simple demande ! à venir retirer ses chaussures pour en laisser les pieds s'immerger timidement. à faire attention à ses pas, quand elle n'en voudrait aucun accident. imprudente, sans doute, à s'en tenir toujours bien trop droite ; quand de réalité, elle n'en était que divergence. "j'ai l'impression qu'on y est libres, ici. non ?" que de ces horizons, ils pourraient aller n'importe où ! à s'accrocher tout doucement à son bras, ne pas oser en toucher les mains.
car tout n'était
que désillusion ;
mirages sublimes :
avec lui.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

Féerie du temps, caresser les doigts des nymphes et des anges qui valsent au gré des saisons dans les cieux. Laissant leur roi soleil en éblouir chaque morceau de peau, chaque instant pour qu’ils ne soient que plus glorieux, plus sublimes, comme les dieux que l’on vient acclamer, devant qui les damnés rampent pour leur rédemption, sans jamais l’obtenir ; car cruel sont ces âmes lorsqu’elles règnent dans les cieux, à ne vouloir asseoir que leur puissance et leur pouvoir.
Quand ces mortels ne sont que des jouets ! Des poupées que l’on balance au fond d’un prochain ravin, que l’on ose à peine regarder de peur d’en voir les pourritures et les nécroses. Mais Jihk lui, a regardé dans le fond de son regard depuis bien longtemps ;
Il y a vu toutes les beautés du monde souterrain, des étoiles que l’on pensait mortes, à renaître dans un regard, contre ses lèvres, sa peau légèrement parfumée.
Et peut-être !
Se laissera-t-il tenté par la nymphe, aux courbes d’un visage si bien sculpté dans le marbre, porcelaine qui en recouvre chacun de ses gestes comme si elle n’était qu’irréelle, face à lui, ô pauvre mortel dans la naïveté de sa jeunesse.
Le sourire s’étire le long de son visage, à ces paroles qu’il trouve parfois trop ridicules, cachées derrière un voile de tristesse que l’on ne pourrait jamais soupçonner au premier abord. “Je t’aurais attendu, peut-être même des heures s’il fallait.” Alors que les bras viennent se joindre, d’une habitude qu’ils prennent petit à petit,
A apprécier ces moments où l’esprit à le droit de s’égarer, de s’enfuir de ses propres limites et barrières. “Je suis certain que tu as bien des talents que tu ne soupçonnes même pas.” Glisse de ses lèvres pour courir jusqu’à ses oreilles, se nicher dans son esprit s’il le faut, car il n’en accepte pas les descentes, il sait qu’elle est sublime de ses mains comme de ses mots, ceux qu’il vient lire à travers le grain, quelques secrets que l’on glisse loin des dieux. “Je te trouve réellement intéressante, Jaehee. N’essaye pas de me faire croire le contraire, j’ai bien peur que cela ne fonctionne pas. Et j’ai hâte de voir tes merveilles.” Alors que les pieds foulent le sable, il n’est que pantin qui se laisse guider, sagement, tendrement, l’observant telle une enfant, sourire qui ne disparaît pas, ne fait que s'agrandir à cette vue. “J’aime… Passer du temps avec les gens que j’aime.” Les genoux viennent se plier avec lenteur, arrivant enfin à sa hauteur alors que ses doigts se perdent dans l’eau salée. “Je l’aime, mais je la trouve solitaire, personne ne l’aime à sa juste valeur, je trouve. Et toi ?” L’observant, de ses yeux sombres, comme deux billes observant un soleil trop fort, la regardant ôter ses chaussures alors qu’il vient l’imiter avec douceur, remontant également le bas de son pantalon. “Tu penses ? Hm, peut-être parce que personne ne peut nous empêcher de faire ce qu’on veut. Qu’est ce que tu aimerais faire, toi ?”
Bras pris de nouveau en otage, sans jamais que les mains ne viennent se frôler, d’une timidité peut-être même insoupçonnée en lui, et pourtant, il voudrait tant goûter à leur douceur, peau sublime et divine. “Tu n’as jamais peur de rien, Jaehee ?”
Car lui a peur de bien des choses ;
Mais surtout,
De s’éprendre de toi.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

et dans les pénombres ,,
elle brillait.
à sourire comme pour en fuir un monde ; à rire pour s'accrocher aux éclats. si petite, à se cacher derrière le dos de l'ainée, fuir les divinités : qui en avaient décidé jeu du destin ! chacun sa chance pour survivre, quand tout en était si hostile. ô chants des déités, à venir se faufiler entre ses tympans ,, hanter les journées quand tous en voyaient beautés d'un monde merveilleux. et peut-être en était-il le seul à briller sous ses yeux quand de monstres en Odyssées, elle en empruntait chemins sinueux sur les marrées ,, à sentir les radeaux se briser petit à petit ((jusqu'à couler)).

de beaux mots ,,
aux promesses :
gravées sur le marbre.

quand elle souriait ! de ses airs de poupée. à vouloir se tenir bien trop parfaite quand elle n'en était que catastrophe ; à bouger, sentir le vent dans ces cheveux noirâtres, toucher les nuages depuis Caelius ! pour en empourprer les visages aux candeurs avalées. et elle voulait y croire : que même au bout de ces chemins, elle en aurait aperçu son visage, Jaehee. c'est qu'elle viendrait en parfumer chacun des revers de ses habits, à en recoudre chacune des effilochures quand elle voulait en marquer les esprits, lui montrer qu'elle n'en était pas que cire affichée dans l'une de ces vitrines d'opale.
magie au bout des doigts ,,
pour venir :
embellir un monde.
"vraiment ? et bien qui sait, peut-être que je finirai pas les découvrir.", quand elle ne ferait que croître et s'épanouir ,, à l'écouter. de ses mains à s'accrocher finement à son bras , et elle aimerait ne jamais avoir à le lâcher ! celui aux pétales poussant au bout des lèvres. et Jihk, quand est-ce que tu arrêterai d'en faire naître les étoiles dans ces regards de candeurs ? de ses joues immaculées à venir se colorer de pourpre ,, le regarder comme grandiose, quand elle ne pouvait que sourire de ces miracles. "et bien...peut-être que tu finiras par découvrir que je ne suis pas aussi intéressante...ça fait un peu peur. mais c'est gentil, Jihk." car on ne le lui avait jamais dit ! à celle qui n'était que misère pour les regards des plus grands. déception permanente ,, topaze écaillée.

à courir :
quand lui ,,
elle le tiendrait
jusqu'au bout.

"oh...je comprends. moi aussi j'aime ça !", que les doigts s'articulaient dans l'eau, à venir s'amuser à en allonger les doigts dedans : comme pour la redécouvrir. "moi...je l'aime beaucoup...venir m'y recueillir, lui partager mes pensées...c'est calme, ici. rien ne fait peur.", car la lune en guidait toujours les horizons : pas surveillés ! et elle se laissait guider en permanence. "oui...possible. ce que j'aimerai faire moi ?", murmuré presque pensive, quand elle en posa les regards sur lui. "je ne sais pas trop, je n'y ai jamais vraiment réfléchi. parcourir le monde peut-être...", quand les futurs en étaient si instables à ses yeux ,, de ces journées calvaires sauf quand les douceurs s'en imposaient. "j'ai peur... de pleins de choses. des gens...du noir...de toutes ces choses là...parce qu'elles te regardent toujours, et arrivent toujours à te déstabiliser" rire aux archanges ! quand d'une main accrochée à lui elle tenta d'en pencher la tête. "c'est ridicule, non ? j'ai peur de beaucoup de choses...je ne suis pas très courageuse...et toi ?", et peut-être qu'à s'attacher à lui, elle en deviendrait bien plus forte encore !
quand équilibre perdu,
enfant à s'écrouler :
comme château de cartes.
c'est que sans s'en apercevoir, la cheville en avait perdu pied : à tomber dans le creux des vagues quand elle s'en accrocha à lui sans faire exprès. emporter les fardeaux dans les mers ,, de ses visages étonnés. relever les yeux vers lui, quand les rires explosèrent sans pouvoir s'en empêcher ! vêtements trempés , à noyer les maladresses. "j-je suis désolée Jihk...!" ,, sourire merveilleux ; innocences sublimes, d'en avoir : rompu instant.

d'en avoir :
faire fleuri
les amours.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

Horloge au temps qui s'écoule, les minutes sont des poignards que l'on enfonce dans les battants, les secondes sont des goutes de pluie qui viennent recouvrir les corps quand les tempêtes approchent et que le chaos s'annonce. Et quand vient l'aube ; quand les amants colombes se quittent pour en découvrir les beautés du monde, ne reviennent s'aimer que lorsque la nuit tombe ; qu'adviendra-t-il d'eux quand l'orage résonnera dans les coeurs ;
Quand tornade emportera tout sur son passage pour qu'il ne reste plus rien, pas même l'espoir. Pas même les fleurs que l'on admirait autrefois dans ces champs de l'infini ! Et Jihk, Jihk se voudrait ô grand sauveur, à en récolter les âmes contre ses paumes, à en garder les secrets de tout amour dans son coeur.
Et accroche toi ;
Accroche toi un peu à moi,
Tout ira bien.
A en admirer beauté sublime des dieux, nymphe que l'on ne retrouvera nul part ailleurs qu'au paradis ; au milieu de ces jardins immaculés de toute noirceur. Mais l'esprit s'est perdu, lui, dans les abîmes où le diable s'est éprit dans une valse malsaine ! Quand à ses yeux, elle est bien plus qu'une poupée que l'on a tant voulu garder derrière une grande vitrine ! Tour de marbre, sculptée pour les plus divines beautés ; il en viendra la libérer, il viendra en briser ses chaînes pour que plus jamais, le coeur ne se meurt de solitude. Je suis certain que tu l'es. Cachée dans les entrailles du monde ; un peu d'enfer, un peu d'amertume dans les gorges.
Il sait qu'elle rayonne bien plus qu'elle ne le voudrait.
Il sait qu'elle se fera un jour reine de tout un monde, de ses doigts aux talents multiples, de cet amour qu'on ne peut pas encore deviner ! Viendra en faire trembler les peaux des démons. Peut-être parce qu'ici... Personne ne vient écouter nos fardeaux, alors on se sent plus en sécurité. Il vient lui sourire alors que les mains se perdent dans l'eau, brille sous les éclats du soleil, mais jamais plus qu'elle à ses yeux ;
Perle nacrée, que l'on ne veut pas abandonner.
Ni même briser.
Il l'a gardera dans le creux de ses mains pour toujours. Ce n'est pas ridicule. Qu'il vient avouer alors que le visage se fait plus sérieux, mais il n'a pas le temps d'en trouver arguments divins que le corps est attiré vers l'avant jusqu'à se plonger dans l'eau, le sol à éclabousser les visages, confusion dans les regards alors que les lèvres se brisent à en faire éclater les plus beaux sons, des rires qui valsent et s'envolent vers les cieux. Ne t'excuse pas, c'est drôle. L'eau n'est pas très froide.
A laisser les candeurs revenir dans les coeurs alors que d'un geste, il vient en projeter l'eau vers elle, plus rien n'a de valeur à ses yeux en dehors de ces sourires qui viennent éclore sur leur visage, pas même les vêtements trempés et les bijoux à se perdre dans les eaux, contre les chairs. Je me suis pas baigné depuis longtemps, même si c'est rien, j'ai pas envie de me relever.
A presque retomber dans les enfances doucereuses.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

dans les limbes ,, peut-être que les mots fleurissaient encore : de ceux à embellir les voyages, là où les pieds finiraient par s'arrêter ! de ces lieux magiques, elle voulait resplendir, sourire sans ne jamais tomber. de quelques regards parcimonieux, à admirer les profils de son visage, le temps pouvait bien s'arrêter juste un instant, juste un peu ,, à en transformer les nuits en pléiades. car les plus beaux chants semblaient s'en glisser à ses oreilles, à venir apaiser les peurs, les maux : cachés là aux creux de ses mains. enfant à vouloir rayonner un peu elle aussi, à venir regarder resplendir les grandeurs d'un poète qui en faisait tant sourire les innocences.
et elle s'accrocherait !
pour en garder :
un peu de chaleur.
de simples contacts, à faire valser les talons contre les sables ,, elle s'envolerait, Jaehee ; à vouloir lui en montrer chemins secrets qui en ornaient là ce qu'elle cachait au monde. prendre sa main ! le guider jusque dans son monde où les ruelles étaient bordées de roses, à courir se réfugier loin des horreurs qui s'en dessinaient devant ses yeux. et Jihk, tu en étais répit pour les âmes ! quand elles en venaient à danser, s'émerveiller, laisser les mèches voltiger : pour en saisir les bras, dissimuler les visages ((cacher les sourires)).

alors elle aussi
voulait pouvoir :
en faire fleurir
les poumons !

rassurer les esprits, comme lui le faisait, sans doute en était-elle incapable, quand pourtant elle voyait en lui merveille du temps. muse si délicate, où les yeux glissaient comme pour en apprécier chacun des angles ; à en colorer les joues comme candeurs retrouvées. car peut-être ne le voyais-tu pas encore, Jihk ,, mais elle en faisait déjà roi celui aux mots d'argent qu'elle voudrait graver sur sa peau. "tu es...vraiment intriguant.", quand les regards n'en faisaient que se poser sur lui, à sourire silencieusement : grâce à lui. "c'est vrai. il y a sans doute ça. mais peut-être que les gens avec qui on vient ici aident un peu aussi. à se sentir plus en sécurité.", de ces pensées à divaguer, tanguer, elle en laisserait alors les compliments s'envoler ! à en confier chacune des affections naissantes, chacun de ses secrets, au creux des vagues : pour que rien ne s'échappe d'ici.
à tout lui dire,,
un peu trop :
de ces fardeaux.
car sans doute que Jihk y trouverait ennui ! à celle venant tout lui confier comme livre ouvert, quand elle s'en sentait si bien à pouvoir être elle-même ((qu'elle en recueillerait ses peurs à lui.)) de ces quelques mots elle en briserait instant ! petite fleur à venir s'échouer dans l'eau, emportant avec elle les princes aux regards sublimes. ô que les rires viendraient chanter, s'envoler, à dissimuler son sourire derrière une main trempée, à replier tout doucement ses jambes contre elle comme pour en soutenir les rires. "c'est vrai...! c'est agréable !", à s'extasier, le regarder un instant comme si elle ne s'était plus amusée ainsi depuis bien trop longtemps. interjection ! sous celui qui venait jouer de quelques gestes pour en jeter eau contre les corps, à venir la faire rire toujours plus quand les mèches si longues en goutaient contre le visage. "et moi donc...j'ai presque envie de...jouer...!", qu'elle secoua tout doucement ses doigts vers son visage pour l'éclabousser avant de se pencher vers lui. "si j'avais su ... j'aurai pris une tenue plus facile à manier dans l'eau...!", de ces tulles qui flottaient, de ses attentions dirigées simplement vers lui.

à venir : se glisser ,,
pour dégager le visage
du plus grand.

car il en était captivant , à briller d'éclat, de ses joies qu'elle voulait partager elle aussi. de simple contact, à colorer les figures. "on...va attraper froid comme ça...non ?", qu'elle cligna tout doucement des yeux, à pourtant jouer de ses doigts dans l'eau comme une enfant. à essayer finalement de se relever, quand les poids ne faisaient que la faire tomber un peu plus entre les vagues, à rire ! éclatante figure ,, sous les étoiles sublimées. "ça me donne une bonne excuse...pour t'emmener à mon atelier, finalement...!" à se soulever, lui tendre sa main ! laisser les peaux apparaître : et en être nouvelle étoile grâce à ses iris à lui.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

Et voilà bien longtemps que les enfants ne sont plus que des souvenirs dans le fond de sa mémoire, que le sérieux s'est engouffré en lui, année après année à presque en oublier les jeux enfantins, les étés avec son frère sur les bords de mer, de ces amitiés qui semblaient parfois trop folles pour être prises au sérieux. Et Jihk, il a laissé un peu de lui contre le sol, s'est demandé si la mer se souviendrait un jour de lui une fois qu'il serait sur le continent ; mais en quitter les vagues était trop difficile ;
Enfant de la mer ;
Viendra glisser dans l'océan comme ultime royaume !
Et cette nymphe qu'il viendra proclamer reine, en décorer ses cheveux des plus beaux coquillages du monde. En décorera sa peau des plus belles poussière des abîmes pour qu'elle rayonne même si bas, pour qu'elle soit impératrice de ses joues comme de ses nuits. Il mentirait aux dieux pour la garder près d'elle, celle qui fait fleurir des roses dans son coeur, des rires dans sa gorge quand il se voulait parfait ; à ne jamais vouloir en briser les espérances. Vouloir l'apaiser elle aussi, quand il en porte déjà des poids trop lourds sur ses épaules.

Et dans l'eau, se perdre un peu plus, laisser les obligations se noyer quand ils retombent dans ces enfances si lointaines, quand ils peuvent rire sans jamais en avoir peur ! Sans jamais être effrayé de ce destin qui revient toujours trop vite, pour les massacrer, petit à petit, jusqu'à ce que meurent les espoirs. Mais toi tu brilles ; tu brilles si fort que j'ai envie d'y croire. Goutes qui retrouvent chemin jusqu'à son visage quand ils se surprennent à jouer comme le font les gamins dans ces rues, comme s'ils n'étaient plus des adultes, mais seulement des perles coincées dans le temps, qui ne veulent que le bonheur, dans ce monde de grands. On devrait revenir jouer ici alors, plus souvent ! L'été arrive en plus de ça... Alors qu'il en admire les tableaux massacrés, de cette robe trempée, il vient en rire, alors qu'elle n'est plus que soi dans le sel, vient en abîmer chaque morceau, déposant quelques étoiles contre sa peau. Eh bien la prochaine fois... Nous serons habillés en circonstances.
Et corps se glisse près de lui, bras qui s'enroule autour de sa taille quand il l'accueille, de peur de la perdre dans les vagues, un sourire qui se grave sur son visage, plus grand, plus rayonnant. Doigts qui viennent en écarter eux aussi les longues mèches sombres de son visage, et il voudrait se laisser tenter ; parfois. Lui qui ne croyait pourtant pas en l'amour, en rien, elle vient tout réveiller de lui. Oui, et je me sentirais coupable de te savoir malade. Viens... Main qui se glisse dans la sienne alors qu'il se relève, robe lourde et souillée à la ramener vers le sable chaud. Veste qu'il vient ôter pour la déposer sur ses épaules. Le bas est mouillé mais pas le haut, ça te tiendra un peu au chaud. Si tu as besoin que je te porte... J'ai de gros muscles ! Qu'il vient soulever les bras quelques secondes pour en rire, comme victoire contre les peaux, mais tout n'est qu'ironie  alors qu'ils retombent le long de sa taille, et ses phalanges viennent de nouveau s'emparer des siennes. Où se trouve ton atelier ? Allons-y, avant que tu n'attrapes froid...
Baiser déposé sur sa joue ;
Papillon du printemps.

♡ busan vibe ♡

UNNATURAL

et il y avait dans les rires, quelque chose de nouveau. un peu d'espoir, un peu de joie ,, à venir en créer potion aux parfums exquis : quand elle n'avait plus besoin d'en boire la moindre goutte, pour pouvoir sourire à nouveau. à glisser les doigts dans les vagues, retenir la douceur de leur sonorité, quand elle en voulait que le sable garde une trace de leur passage à tous les deux. à n'être qu'enfant ! quand les figures s'en plaisaient dans les eaux, à en oublier tous leurs problèmes, ô peut-être ferait-elle de lui horizon où les regards pouvaient se poser si aisément, admirer les douceurs comme pour en soigner les violences du passé. et il rayonne, sous les éclats du soir ,, comme symphonie où les portées venaient à s'effacer pour en créer nouveau requiem.
prince ,,
à venir recouvrir
de perles !
celles si imparfaites, qu'elle viendrait glisser le long de ses mèches comme pour en offrir présents des mers : et ô elle lui en offrirait même sa voix. de quelques paillettes, contre ses cils, elle en recueillait les étoiles, à venir les faire glisser de ses paupières à ses iris ,, à laisser quelques rires s'échapper, quand les étés en sonnaient si grandioses, pour celle à redécouvrir le monde. "on reviendra. et je suis sûre qu'on s'amusera !", d'une énergie certaine, à hocher la tête quand les corps dans l'eau elle venait à jouer de sa robe comme pour s'amuser : à bien se moquer, de ce à quoi elle pouvait ressembler. à finir par se relever, d'un bras autour d'elle quand elle ne faisait qu'en accrocher une main à son bras ,, c'est que les sourires en prenaient le dessus !

à ces océans :
qui voulaient en avaler ,,
les entités.

d'un visage à tout doucement se colorer , surprise à en cligner des yeux de ses doigts sur ses cheveux, elle lui en offrirait sourire bien trop grand : à celui auquel elle voulait tout offrir. "Merci ... !", d'une timidité infaillible, quand de nouveau sur le sable, à venir en essorer le bas de sa robe, elle frissonna légèrement d'en sentir nouveau tissus sur ses épaules. "oh...m-mais et toi ? tu vas attraper froid aussi." et d'un regard, à l'admirer ,, poumons à en expulser les airs, elle ne ferait que briller, sous ses rires; car Jihk en était : réconfort contre les cauchemars. quand de fébrilité, elle finirait par s'en blottir dans son manteau comme nouveau refuge. "de gros muscles certes... mais je serai trop lourde pour toi j'en suis sûre ! puis...ce n'est qu'une robe.", qu'elle riait tout doucement, à venir resserrer ses doigts dans les siens, quand elle s'en sentait si petite à côté de lui. d'un baiser délicat, à venir faire s'envoler les lippes, elle en viendrait le tirer comme une enfant, dans les rues de la ville. et les yeux scintillaient ,, sous les tendresses, car jamais elle ne finirait par le lâcher. "par ici ! je te ferai un chocolat chaud en arrivant. puis je suis plus solide que tu ne le crois !"
à lever les pieds !
escaliers :
pour grimper vers les nuages.
d'une porte à ouvrir, sous le bruit d'une clef à retentir : c'était un peu chez elle, seul endroit qui en accueillait les affections. "fait attention à tes pieds...y'a pas de lumière dans l'entrée...", qu'elle en tenait sa main comme par peur de le voir partir, quand finalement, petite pièce atteinte, à la faire se retourner vers lui. "et voilà...! je vais sécher tes affaires, si tu veux je peux t'en prêter d'autres en attendant. puis fais comme chez toi. enfin c'est petit, et y'a juste de quoi coudre...mais...c'est comme chez moi...!", gracieuse à venir inonder les sols, à en garder sa main au chaud dans la sienne ,, caresser du bout de ses doigts ses phalanges, avant de partir en préparer boissons chaudes ! à presque en fuir, de ses joues qui en embrumaient les figures.

♡ busan vibe ♡