Les feux ardents ; les regards d’antan. Le chérubin souriant ; les lumières naissantes. Ô Ilyan ne pouvait que mélanger les réminiscences d’un monde oublié, de ces souvenirs qui doucement se posaient à sa peau - - - malheureux frémissements commençant à colorer les nuitées, les maux, les maux.

Mais lorsque ses prunelles ne posent poèmes à ces silhouettes de la nuit, mais lorsque les onyx ne s’éteignent car l’esprit n’était fait que de bruits - - - de désastre infini ; les prières s’élèvent psalmodiant les louanges des Empyrées, des archanges. Garnement céleste ! à croire que les magnifiques ne pouvaient s’occuper de ses lèvres aux démoniaques foutaises. Gamin se tord l’esprit, béni de douceurs incomprises. Gamin s’abîme la conscience, aigri, aigri ! imbécile; imbécile ! Ilyan perdu entre les supplices des chemins de vie, qu’il ne saurait offrir à ces démones criardes de son corps ! Ô les saletés pourrissant les myocardes détruits, on ne pouvait s’échapper, toujours un peu trop condamné par les instances candides d’un monde fracassé, meurtrier. Et alors ; il fallait apprendre à apprécier. Ô et il fallait cependant couvrir les paupières de sentiments sucrés, d’alcool enivré. Malheur aux demoiselles hurlant à sa terrible genèse, démon sait se maquiller les ailes du nacré célestin ; toujours mauvais, toujours effroyable d’apporter à ces joues chérubines du corallin, du cristallin. LES AMOURS EN DECLIN.

les souvenirs du lendemain, qui s’cognent à ses pensées malades.
les gamins perdus brillant malgré les terribles destins,
jaehee colorée des ombres tragiques d’un satané gamin,

marin brûlant sous les eaux celestiales, sirène ne sait que trop bien les sauver

de la noyade.

Doux exquis se glisse à sa langue ; les douceâtres paroles d’un fervent enchanteur, qu’il crève lui, d’effroyable luminescence. Mais à l’instant tout s’oublie, tout s’éteint dans la nuit. Car ô jamais n’avaient-ils décidé de briller sous l’infini ? Poussière étoile au creux des paupières, surprises de croire aux chimères rattachées à sa silhouette amère. « Pourquoi ça t’étonnes autant ? » Pourtant jamais ne laisserait-il l'algide violacer les corps frêles brûlant à ses ambres oculaires ; amoureux de ses courbes embrasées par les sentiments gelés, attrait embrasant ses entrailles des affres angéliques ! « Seon Jaehee.. C’est bien ce qu’il me semblait. Ton nom m’inspire quelque chose.. » et alors Roi se lance aux découvertes enneigées, enfant glisse divinement sur les chemins glacés. Comme si les doutes s’étaient dissipés, comme si l’affirmation de ses pas reprenaient leur autorité - - - alors doucement, la couronne se laisse tomber, démon dévoilant ses crocs acérés. « Je n’ai pas toujours vécu en Corée, je ne pense pas t’avoir déjà croisé dans ce genre d’endroit. » c’est que l’intépride aux lèvres mesquines tournant maladroitement autour de la Divine, sourire espiègle collé au chérubin de ses croissants de chair.

exquis.

« Comment je m’appelle ? Montre moi donc tes figures avant ça, si tu te crois aussi bonne. » comme pour abîmer les visages de colère, de grimaces. « Ca serait moins drôle de tout te révéler, mademoiselle Jaehee. » qui sonnait pas tout à fait comme les lettres à ses souvenirs, plutôt perdu à chercher ce qu’elle était réellement malgré les chuchotements des déités. « Offre moi donc un spectacle, et je te révélerais un peu plus sur moi. »

et peut être les anges riraient de nous,
perdus entre les flammes démoniaques.

@Seon Jaehee my love

Et sous les mirages enfantins, gamine au myocarde vide de sensations, quand les cloches tintaient de leurs éclats féeriques : car elle était vide de l'intérieur, elle, vide de toutes pensées. Ô sonorités infernales, quand sous les indélicatesses n'en venaient que les magnifiques ombres du temps, car elle ne le connaissait pas, elle, entre les miracles infinis, ne faisant que jouer de ses magnifiques éternelles, quand au moindre regards, ses opales livides jouaient de ses charmes instables. Mais elle n'était personne, elle, sous ses airs de poupée, face à ceux plus enivrants, car elle ne méritait pas, d'être objet de convoitise quand de ses lippes ne sortaient que les sonorités infâmes. Marionnette désarticulée, qui pourtant s'était retrouvée sur l'un de ses champs de jeux préférés, pour venir ensorceler les âmes vagabondes. Alors quand sur les glaces, résonnèrent les prénoms sans voix, elle, de son visage de marbre, ne put que réagir comme si l'on venait de déterrer un passé bien trop brumeux. Et ô il ne faisait que jouer, lui, et ô cela l'énervait, car la patience n'était pas des plus discrètes, quand sous les passions en venait-elle à s'échapper de la réalité.

((impolitesses maudites entre ses lippes.))

Regard frigide, qui d'un vague sourire amusé, elle pencha la tête sans ne dire mot. "Evidemment. Ce c'est pas tous les jours qu'un inconnu prononce mon prénom." qu'elle prononçait sous les glaces immortelles. Car les pieds s'amusaient à tracer lignes et courbes sur les eaux gelées, venant désarticuler ses mouvements bien plus gracieux qu'ils ne pouvaient l'être. Sourire d'enfant au visage, quand les météores implosaient dans le regard du plus grand. "Et il t'inspire quoi ?", si ce n'était que les enfantillages de celui qui semblait persuadé de la connaître. "En sachant que je n'ai pas beaucoup voyagé." si ce n'était que pour les défilés impérieux, où silhouettes se détachaient d'entre les délicates impulsions. Car elle ne vivait que pour pouvoir poser les regards sur les tissus qui épousaient les corps, pour ceux qui de mains d'expertes taillaient les inventions divines sur les beautés éphémères. Créatures des ombres qu'elle aussi côtoyait : car elle vivait dedans sans ne jamais s'en séparer.

Ecoutant les discours du passé, regard s'aiguisant finement, elle ne put que lâcher un léger rire sous les intrépides volontés de celui qui semblait vouloir mener la chose à sa manière. "Ce compromis me semble légèrement désavantageux. Car en réalité si tu ne veux pas me le dire, je m'en fiche pas mal." qu'elle haussa un sourcil, avant de pencher la tête. "Et moi je pose mes conditions : si tu arrives à me suivre, je ne prendrais pas mes jambes à mon cou pour rentrer chez moi." qu'elle imposa alors, se mettant à reculer bien plus rapidement pour venir laisser le corps danser sur les glaces. Et ô elle se souvenait, elle de ces quelques pas appris par hasard, comme pour venir en effleurer les opales délicates. Mais ô les chevilles fragiles s'amusaient à virevolter, tandis que tournant sur les eaux gelées, elle n'en restait que beauté délicate. Douceur entre les silhouettes, alors qu'elle n'était que vague souvenir d'enfance de deux gamins oubliés : pour ne faire que resplendir un peu plus devant l'inconnu.

Et quand le cirque fini elle revint se poser près de celui bien trop maladroit, elle se recala entre ses écharpes, regard encore plus désenchanté. "Cela convient-il au goût de Monsieur ? Mais sache que tu as épuisé ton nombre de demande et de vœux pour aujourd'hui.", car elle n'obéissait à personne, gamine imprudente qui pourtant possédait son propre caractère. "A présent j'ai à la fois le droit à ton prénom, mais en plus tu me dois une petite démonstration.", qu'elle s'amusa de ses angéliques impudentes. "Et tâche d'éviter de m'emporter dans ta chute hmm ? Cela serait problématique." Car les poids différents, elle ne pourrait rattraper que les gestes maladroits où les jambes ne céderaient pas. Où les regards ne feraient qu'amorcer les implosions.

((entre les iris illuminés sous les provocations.))

@Yang Ilyan le plus doux

Pétales d'une nuit collées à ses joues abîmées, enfant se laisse déjouer des rêves volés. Ô et ne savait-il encore que la douce obscurité deviendrait le prohibé de ses lèvres envenimées. Les souvenirs, et les calamités. L'enfance aux terres oubliées. Alors il s'y raccroche un peu trop, à ces bribes nostalgiques qui ornent sa conscience de vices. Amour fruité des parents amoureux, la vie se colore au bonheur et éteint les désordres malicieux. Malgré tout, il comptait encore aujourd’hui toutes ces nuitées aux nuances des plus éthérées lorsque le corps se couvait auprès de la maternelle. Le dégel d’une existence célestine brillant sous les feux du ciel, baigné par le doux doigté des étoiles canadiennes; et le voir aujourd’hui caresser les glaces de Corée de ses maladresses embêtantes, semblait couvrir les regards d’une certaine compassion. Gamin pas de ces eaux là, ô il donnerait tant pour redécouvrir le salé des mers, le marin chaleureux qui explose au nacré de sa peau lorsque les corps s’adonnent aux océans. Amoureux des abysses ! audacieux d’idylle.

car les chants se connectent,
s’émerveillent

silence des anges,
au creux de ses louanges

Le démon se réveille, à la tombée des soleils.
abîme les terres, des terribles colères.

« Tu t’en fiches ? Véritablement ? Et malgré tout, mademoiselle s’aventure avec les étrangers dans un rendez vous des plus improvisés ? » et c’était que les provocations s’écoulaient des lèvres comme injures aux Empyrées ! gamin déchu tombé si haut du céleste cajolé, enfant rieur des échecs encaissés. Alors il comprenait ô combien la demoiselle semblait le charier, divine aux prunelles livides - - pourtant le glacé leur rendait louanges à la vie. Ilyan aux souvenirs illuminés, se permit de doucement la lâcher ; encore de ceux aux déséquilibres incontestés ! ni même bercé par la stabilité, car les consciences étaient opprimées et que la sienne brûlait sans doute durant ces dernières années. Les vipères imaginées au creux de ses paupières fermées, il y voyait tant au travers des nuitées, ô la vie, ô l’esprit. Marin perdu aux contrées imaginaires, priant douceur prospère aux Rois du ciel. « Très bien, marché conclu. Je vois que tu es une femme d’affaires. »

Sourire se teint à l’espiègle lorsque les doigts se délient du blasphème, alors il regarde les arabesques idylles des beautés de la Déesse. Mais ne savait-elle encore, que sous le maquillage des anges perfides, se colorent les nuances d’un monde des plus diaboliques. Ô divine arrache lui les lèvres pour que jamais les injures ne t’offre ses puériles foutaises. Glace se démantèle au toucher de ses anciennes maladresses ! et pourtant à l’instar des courbes fantaisistes de la demoiselle, il s’élance sur l’algide boréal oeuvrant sous la plante de ses patins désobligeants. Figures miraculeusement réussies, car enfant si souvent, témoigne des mensonges pour attiser les attentions. Tombée au sol si bien rattrapée par ses mouvements les plus furtifs, démon se laisse embraser par les lumières projetées et s’approche de Jaehee où les sourires sont jolis. « Ensuite ? » demande-t-il, désireux d’affronter ses esprits. « Il me semble que je n’ai pas tout à fait perdu ce que j’avais appris, ou alors.. Peut être que mademoiselle serait un peu trop naïve de répondre aux bêtises d’un gamin de rue. » comme pour appâter, la Divine, à croire ses balivernes si agréablement dites. « J’ai réussi entre autres, à faire ce que tu m’as dit. A moins que madame ne soit satisfaite et qu’elle souhaite que je la fasse tournoyer ? » délices aveuglés en de paroles bien déguisées, ô les sous-entendus jamais bien trop prononcés !

et alors, les lucioles, ça dégringole

princesse aux aurores livides,
colorent ses instants

d’adorable algide.

« Enfin, je peux toujours te passer mon numéro si tu comptes rentrer chez toi. Ou alors, tu peux toujours refuser, qu’importe. Une de plus dans mes contacts, ou une de moins ça changera pas grand chose. » pour ne pas dire qu’au final, il n’avait réellement personne à qui discuter sur les univers technologiques. Dépendance qui n’était pas si alarmante, gamin préférait les sorties ; le monde réel où se découvraient les prunelles les esprits.

et peut être que sur les chemins de vie, se reconnaitront-ils.

@Seon Jaehee my love

Eclats téméraires dans les regards acharnés, car ô elle; déesse des nuits frigides qui ne viendrait que glacer les peaux sur leurs chemins : comme pour se délester des rancœurs du passé, à quand les étoiles brilleraient-elles de nouveau dans le myocarde insensible ? Car elle était dure en affaire, celle qui d'une famille bien trop commerciale avait réussi à lui donner les airs de grandeurs inestimées. Pourtant elle ne voulait que faire naître les diamants de ses doigts créateurs, qui sur les glaces connaissaient les mouvements sans même se questionner. Ô nymphe des immortels qui aux yeux d'un inconnu se devait sûrement ne paraître qu'insolence parmi les autres. Alors quand les regards finiraient pas se reconnaître, ô fuite avérée qu'elle ne manquerait de prendre pour ne pas se souvenir du passé, pour ne pas se souvenir de lui. Crime contre les mémoires du temps, qui semblaient pourtant arrêtées sur les sols givrés, effleurés de leurs pieds tranchants.

car sous les ondes;
résonnaient les mélodies impures.

Et elle s'amusait, elle, des provocations lancées à celui qui ne faisait qu'amarrer les ironies : jusqu'à ce que les étoiles n'implosent entre leurs opales destructrices. Mais ô elle ne faisait que chercher les amères réussites auprès de celui qui lui répondait si parfaitement. "Je ne suis pas aussi imprudente que tu ne peux le penser. A vrai dire tu devrais plus t'inquiéter pour toi que pour moi de suivre les inconnus. ", car elle savait blesser, car elle savait frapper où cela faisait mal : fourberie déguisée sous les traits d'élégance de la gamine. Pourtant elle s'était prise au jeu, jusqu'à en passer marché ridicules. Mais rire délicat sous les affirmation, affaires conclues bien trop aisément, quand celui qui ne faisait que signer de ses paroles ne devait sans doute pas se rendre compte des dangers immaculés. "Je le suis. Et toi tu es un bon marchandeur. " qu'elle ne put qu'articuler avant même de s'élancer, comme étoile effleurant les arts des glaces. Mais elle n'était en rien une sportive, elle, à juste danser sous les regards comme pour venir en combler les vides. Et sans doute viendrait le temps de pouvoir finalement faire éclore les avis éteints. Pourtant il réussit à la suivre, elle gamine appréciant le son des lames sur les glaces solides.

Alors quand elle se retourna : pas terminés comme pour simplement en faire sourire la douce, elle ne put que pencher la tête sous les provocations certaines. "Hmm ? Ensuite ? Et moi il me semble que tu ne m'as toujours pas dit ton nom. Mais passons. Garde donc ton anonymat jeune homme.  " que la belle articula comme pour ne venir qu'en dégager les sens ternis. Sourire fin et malicieux, pour ne faire que rappeler les façades infernales, elle s'amusait à l'entendre, lui, jeune homme si sûr de lui. "Je suis satisfaite, pas besoin de ne me montrer quoi que ce soit d'autres.", car il était insolent, car il ne faisait que venir brûler les limites qu'elle même s'était fixée pour ne pas simplement perdre les valeurs infligées.

((pour ne faire qu'éclore les iris sous les siens.))

"Une de plus ? Raison de plus pour que je ne te le donne pas. " qu'elle soupira alors en plissant tout doucement les yeux. "Mais qui sait, peut-être que l'on se recroisera. Coïncidence, surtout si je n'arrive pas à vous reconnaître.", car elle n'avait fait qu'essayer d'en oublier le passé : car il n'y avait jamais rien eu de bon dans les souvenirs à effacer. "Autrement...te donner mon numéros pour n'en faire qu'une collection ne rimerait à rien. Le destin fera les choses s'il le faut, n'est-ce pas ?", alors qu'elle n'y croyait absolument pas, elle, au futur miraculeux. Et même si les envies de jouer un peu plus étaient bien présentes, elle savait pourtant parfaitement que rien ne laisserait les environs s'épanouir. Car ils se reverraient sûrement. "Alors comptons sur les espoirs, surtout que tu as des amis qui t'attendent, non ? Même si leurs sales têtes ne te donnent pas envie. Peut-être que ça te motivera un peu plus pour y aller." Solitude avérée, et peut-être aurait-elle réussie à l'ennuyer suffisamment pour le convaincre d'en profiter un peu. Car elle ne faisait que briller sous les nécroses du temps. "Peut-être à une prochaine fois du coup ?", comme les promesses étincelantes avant de ne s'évaporer des esprits.

car elle ne restait que façade;

dans les regards des autres.

@Yang Ilyan le plus doux

Ironie des beaux jours, lorsque demoiselle se glissait au gré du boréal dans ses visions les plus subliminales; sylphide vénuste aux tendres aspects éperdus, ô divine s’efface des essences sentimentales. Belle désinvolture se brisant aux éclatures ! blandices d’un monde vilain, qui corrompt et transforme le réel vain. Jamais les pieds sur terre, brillance éclamée sous les regards livides des soleils, pourrit de vanité, de vanité. CALAMITÉS ▬ sempiternelle essence de vie, le cruor jaillit entre les lèvres charognées au plaisir de goûter aux Enfers.

Effronté, au doux faciès ailé par les auréoles affabulées.

Beaux souvenirs ▬ ô foutaise ! les paupières larmoyantes crevant sous les nuances d’un ciel de sang. Maux des corps ; fragile néant au décors, alcyonien calme des malheureux coquins. Que d’artifices à la cruelle efficacité, les syllabes effritées d’une frondaison oubliée entre les orages, les tourments ; le dégel des sentiments. Le douceâtre amer qu’éclot l’endorphine à ses esprits terrorisés, ô tendre Ilyan semble écartelé sous les mirages. SPLENDIDE CAUCHEMAR. Les phalanges se lient à la belle discorde des psyché endolories, oiseuse mélancolie au brasier des plus fallacieux. Crève-coeur en osmose sous les apothéoses ! Ilyan braquant les interdits, Ilyan aux délices des plus exquis. Les onyx visions s’animent des déclinaisons, à l’orée des paysages sucrés ; à l’orée de ses cils joliment recourbés, ô belle divine sait comment le malmener en ces basses terres de volupté. « J’ai l’habitude t’en fais pas, j’ai pas à m’inquièter crois moi. Je connais bien de quoi sont faits les gens d’ici bas. » faciès sublimé par le narquois des sourires maquillés, Ilyan s’en mordrait les doigts de la faire tomber.

ô divine s’épeure,
attrapez la

ô divine s’écoeure,
embrassez la

lorsque soleil décolle son velours des frondaisons urbaines pour y laisser l’opaline clarté, on y voyait sous les regards glaciers, la présence des gamins éthérés ! Illégalité d’un âge où la jouvence semblait d’autant plus tenace, Ilyan crevant aux dépouilles des carcasses.

« Mon nom ? Tu y tiens tant que ça de connaître le nom d’un parfait imbécile de première ? » nitescent patronyme qui brûle sur les lèvres comme une de ses plus belles fiertés enfantines. « Donnes moi ton numéro, et peut être que je te le donnerais, mon prénom. » vagues puériles en ses paroles putrides, gamin s’anime des plaisirs d’espièglerie. Effronté solaire à l'éclat lacunaire, ô démon sait se faire joli parmi les sylphides. Séducteur, priant les louanges au mutisme omineux. « Elle n’est pas très joueuse la demoiselle, tu pars déjà ? Enfin comme tu dis, le destin fera bien les choses. » sourire aux lueurs de sournoiseries, il rigole comme pour couvrir l’atmosphères de ses rires. « Enfin, si madame la princesse le demande, je vais disposer dans ce cas, vaquer à mes plaisirs personnels. » ton perfide aux intentions des plus loufoques, Ilyan n’hésite pas à la malmener du regard.

Et avant que les corps ne se quittent sous l’opalin des universels célestins,
les vocales éclosent les nigelles, les belles syllabes brûlées ; ô dégel.

« Ilyan. Yang Ilyan. A une prochaine fois, alors. »

baiser d’une lettre envoyée à la demoiselle,
pour sauver les corps du morose,

douceur acanthe au marbre doucereux des apothéoses.

@Seon Jaehee my love

Lippes vaguement étirées, comme pour ne faire que s'amuser de celui qui semblait bien plus motivé à venir en effleurer les ironies et les joies nécrosées. Peut-être ne saurait-elle jamais de qu'il s'agissait, ni même de quelles syllabes le visage enfantin de celui qui ne faisait que jouer avec elle se laissait nommer. Curiosité amère, alors qu'elle n'avait qu'à faire comme si tout cela ne l'atteignait pas : ô créature divine aux sentiments infatigables, pour simplement ne rien laisser transparaître. Car sous les corps gracieux traçant les destins sur les glaces immortelles, elle ne pouvait que venir jauger l'âme enfantine de celui au regard pourtant si tranchant. Malédiction qu'elle faisait se propager, entre les regards éteints, tandis que de ces amitiés factices, elle ne put que rire tout doucement. "Hmm. Si tu le dis. Tant pis alors. J'imagine que tu passeras le reste de la journée seul." qu'elle murmura alors presque amusée de pouvoir en observer les ironies. Car passer du temps avec une inconnue ne le dérangeait pas, tandis que ceux qu'il connaissait ne faisaient que sembler pure facilité. Alors les pléiades vaines n'en viendrait que faire sourire la plus délicate : car il ne semblait qu'essayer de venir faire fuir la plus frigide.

Regard intrigué, épaules se haussant élégamment sur le corps fin, elle ne put que doucement jouer de ses doigts dans ses mèches noires, pour ne faire des concentrations les plus enjouées. "Et bien. C'est surtout qu'un marché est à marché. Je vais commencer à croire que tu n'es pas un homme de parole.", alors qu'il n'était sûrement qu'un grand difficile. "Et bien et bien. Du chantage à présent. Si tu le retiens alors.", car elle était tout aussi enfantine, la belle, alors que les doigts se mirent à se mouvoir comme pour venir y donner les chiffres un à un. Encore et encore, jusqu'à ce que les numéros ne puissent venir s'ancrer dans les mémoires. "Pas très joueuse non. Mais peut-être juste légèrement astucieuse.", qu'elle ne put que lui sourire doucement en entendant les rires du jeune homme. "Fais donc. Et peut-être que ce sera bien plus divertissant que de poursuivre des inconnus.", car c'était sans doute ce qu'il y avait de plus véridique dans tout ce qu'il s'était passé en à peine une heure. Illusion d'un mirage sur les futurs infernaux ; à venir embraser de leurs pires cauchemars.

Et alors que les corps se mit à se retourner : que les vocales ne s'élèvent pour en venir à effleurer les oreilles. Violence des révélations, pieds qui s'arrêtèrent tout doucement. Et tout s'éclairait, et tout s'illuminait, car les myocardes s'en resserraient ; car les souvenirs revinrent sans la rater. "A une prochaine fois sans doute, Ilyan.", qu'elle lui jeta un regard, lippes étirées dans de douces embrassades alors qu'elle n'était plus que chaleur de la belle ne put que lui revenir face à lui. Seule étoile dans les souvenirs éteints qu'elle ne trouvait pas désagréable de raviver : alors sourire offert, pour n'en faire que se dissiper entre les foules. Car ô les sonorités la rendait folle, plus qu'elle ne l'était, même si tout ne faisait que lui frapper au visage.

et ils se reverraient ;
elle le savait.

@Yang Ilyan le plus doux