repaired help

Joie sous les paupières parsemées d'étoiles, pieds dansant, sur les trottoirs des villes sacrées, il y avait cet instrument, sur son dos si fragile, ces sourires flagrants qui rayonnaient. Car les cours terminés, pour les anges aux cœurs trop purs, elle s'amusait, elle, à illuminer ceux qui avaient ces airs fermés sur son trajet pour le travail. Car il avait sonné l'heure de revêtir l'uniforme et de laisser parler les maladresses, au creux des boissons fleuries qu'elle allait vouloir faire fleurir sous les opales des plus délicats. Ephémérité d'une beauté qui pour elle importait plus, de leurs saveurs et odeurs qu'à leurs apparences si inutiles. Alors elle trottinait, pour atteindre ce café qui lui tenait à cœur. Envie de faire découvrir un nouveau monde, alors que la fatigue de sa journée ne se faisait pas sentir, alors que les horaires de soirée, la faisait devenir plus enjouée. C'était sous les lumières des lampadaires, qu'elle aimait rentrer, dissimulée par les silences des rues. Et pourtant elle brillait, encore et encore, sans s'en rendre compte, et n'avait qu'une hâte : rencontrer ces visages qui souriaient sous les nappes fumantes.



Main sur la poignée de la porte, clochette qui tinta brillamment en offrant une vue sur la salle du café, elle se stoppa pourtant, étonnement au visage sans réellement comprendre. éclair de frayeurs, quand au vision d'horreur dispersées. Catastrophe sur les sols, étalages de verre qui la fit regarder tout autour d'elle, comme si le cauchemar s'était épris de cet endroit de Paradis. Odeur de café, cacao au nez qu'elle humait pourtant, elle s'avança tout doucement sans hésiter. Elle n'avait qu'eu vaguement ouïe d'une nouvelle arrivée à ses côtés, mais elle ne s'était pas attendue, à retrouver une salle meurtrie par les démons insensibles. "Q-Qu'est-ce que...I-Il y a quelqu'un ?" Question qui résonna contre les débris de verre qu'elle tentait de pousser tout doucement de ses pieds, alors qu'elle s'attarda sur une fine silhouette, un peu paniquée. "E-Est-ce que vous allez bien ? V-Vous n'êtes pas blessée ?", car ô pour elle c'était ce qui comptait le plus, alors qu'elle s'approcha beaucoup trop inquiète.

Pupilles qui la détaillèrent, fine figure et les dégâts écorchés, elle sentait que la soirée allait présenter travail de remise en forme. Mais d'un côté, elle ne serait plus seule à combattre les astres et les grains de café. Passion qu'elle voulait partager, comme les constellations à tracer, sous le bout de ces doigts si fins. Ô possibilités immenses, mais qui pour le moment ne faisaient que s'arrêter, sur celle pour qui le cœur ne faisait que s'inquiéter. Car le verre était tranchant, et parfois irréparable, pour les myocardes beaucoup trop faibles.

importance des vies

♡ busan vibe ♡

repaired help

responsabilités délivrées, se portant sur ses frêles épaules. bien trop fragile, enfantine saccadée des émotions. qu’elle venait de l’obtenir, travail la sauvant de l’ennui vitalité. miracle tombé du ciel, la jolie demoiselle ne savant guère elle-même, comment l’a-t-elle reçu. l'entretien hasardeux, les mots sortant sans réflexion. elle y était allée de son âme, peut-être un peu trop. les jours plongés dans l’attente, sans savoir si la possibilité de gagner l’argentée revenue lui était envisageable.

car, en tombant, elle en avait détruit les reverses qui lui était destinée.

comme un besoin de vivre, une nécessité de se rendre utile à ce monde ((dont elle sent poids de trop)). misère, que l’attente fût longue pour la sentence perfection. victoire d’un déluge. pour une fois depuis longtemps, les larmes étaient de joie.

et les jours ont commencé à se rythmer, la chair se muse de cette équilibre des plateaux, de la légèreté des commandes d’un petit café ou la lourdeur d’un petit déjeuner complet. et, qu’elle valsait entre les tables. le soleil se plantant sur ses lèvres, d’un autre monde qu’elle ne connaissait guère mais qui l'accueillit les bras ouverts. si chaleureux, qu’elle n’en croyait pas cette vérité. durant des jours, habituées aux regards serpentants, l’euphorie d’un partage lui semble si différente.


les clés données pour l’ouverture, le devoir d’un commencement à sa surveillance. les prunelles découvrant le restaurant vide, sans toute son animation. créatrice de cette aurore, elle allait avoir la chance d’entrer dans l’antre des joyeusetés au rôle première. la liste des choses à faire, se cochant de minute en minute. le corps baladeur, venant dans la réserve pour amener les affaires de repas à disposer sur les tables. prenant la verrerie, et poupée désillionne.


et le corps, caressant de sa peau et textile le sol.
et les éclats, comme métaphore de son bonheur, d é t r u i t s.

poupée maladive des malheurs, pantin des cieux se riant à gorges déployées. tandis que les dextres tentent de ramener en vitesse, les cassures de ses bêtises. mais vocale s'élève dans le coin, et voilà l’être piégée de son ignorance. finie, c’est ce qu’allait être ce monde déluge. traîtresse des brisées, chahutant dans sa peur que la voix découvre son erreur. et, hélas !


les lèvres tremblantes, analysant les aventures des onyx visions de sa camarade. temporaire, mais si longue attente de son réveil. ash noona… priant pour qu’elle se taise, qu’elle l’aide dans la pénombre devenant sa prison de pensée. s’il te plaît, aide-moi. et les perles se jettent, à la florale qui pourrait l’empoisonner au lieu de la sauver.

♡ busan vibe ♡

repaired help

Panique, sous ses yeux de cristal qui observait tout ce qu'elle pouvait analyser. Et ses affaires se déposèrent vite sur le comptoir, comme pour se charger de l'affaire, de ses airs inquiet pour la jeune femme qui l'accompagnait désormais. Car ô elle ne connaissait que trop bien les maladresse celle qui ne savait pratiquement rien faire correctement de ses dix. Alors elle leva tout doucement ses doigts, pour doucement caresser la chevelure de la brune, sourire au lèvres pour calmer ces ardeurs au bord de ses prunelles si douces. "N-Ne t'en fais pas hmm ? O-On va s'occuper de ça ! ", qu'elle laissa divaguer entre ses lèvres avant de doucement l'observer avec tendresse, comme pour ne veiller à ce qu'elle aille bien. Priorité de la journée, celle aux mains si fragile. "Le plus important c'est que tu ailles bien d'accord ? Tu n'es vraiment pas blessée hein ? Je m'occupe de ramasser les bouts de verre...Je ne veux pas que tu te blesses..." Ô douceur qu'elle ne pouvait que lui adresser, dans ces opales si scintillantes. Délicatesses de celle qui ne pouvait que croire aux progrès, car elle se fichait bien finalement, de ces tasses brisées sur le sol, ou bien même des poudres éparpillée : inquiétude sur ces visages pales qui se fissuraient sou les traits d'un démon sans âme.


Peur au creux du ventre, alors que les astres avaient décidé de leurs jouer de mauvais tours, comme pour signaler leurs brillantes idées. Mais elle était fragile, de ses mots doux et de ses regards tendres. Beauté éphémère qu'elle préférait utiliser pour rassurer les autres. Balais entre les doigts et pelle, s'assurant qu'aucune âme généreuse ne touchait plus au danger imminent, elle tentait de regarder un peu ce qu'elles devraient réparer toutes les deux avec une moue. "Tu...as trébuché ?" Question banale, alors qu'elle tentait de calmer ce myocarde palpitant pour celle aux allures si frêles. Plus qu'elle : car elle était sa protégée, sous ce toit si divin. Ô non pas pour rire de ses malheurs, mais bien pour l'accompagner, sous les jougs des maladresses incomprises. Car les verres où le futur se glissait entre les parois comme les fleurs du mal sans attache. Bruits sur le sol qu'elle essayait de rendre le plus sécurisé pour tous, elle releva le visage, sourire sur ce dernier en direction de Sua, belle aux yeux beaucoup trop humides à son goût. "De toute manière j'ai toujours trouvé qu'elles étaient moches nos tasses. Ca nous fera une bonne occasion de les changer ! On ira en trouver des nouvelles ensemble ! Ca te dit ?"


Le tout à la poubelle, comme si le changement d'une vie se faisait sous les prunelles des plus sages, elle retourna auprès de la jeune femme, tandis que les commissures s'élevaient. "Tu as ouvert c'est ça ? Je suis désolée...J'aurais dû venir plus tôt...Pardonne moi..." Car elle les pensait vraiment, ces mots si justes à ses oreilles, elle qui aurait préféré pouvoir lui éviter les frayeurs d'un début de journée, pour pouvoir l'accompagner. Alors elle ne bougerait plus à présent, juste pour faire fleurir les senteurs et parfums entre leurs doigts divins.

♡ busan vibe ♡

repaired help

noyée, les cassures à la surface lisse d’un cosmos où les débats ont été dissipés. et pourtant, demoiselle ne sait nager, dans ce transatlantique des désastres. le corps déchu, sous la pression des abysses à s’en rejoindre de sa présence. elle est divine, de ce courroux céleste voulait à sa disparition des enjolives raisons d’être heureuse. sirène des encres. car, sur son épiderme, s’est marqué son erreur à la couleur d’écarlate punition. qu’elle cache, puisque l’urgence est au lieu des dévastations. ô, malheur se peignant sur sa figure quand les tombes se ramassent à la vision d’une autre. qu’elle voudrait quitter, que la désillusion ne soit guère.


les onyx remplies des perles miracles, tandis que les cristaux observateurs restent à l’anéantissement des vaisselles formes. les doigts frêles, au vouloir d’un toucher de ces cataclysmes. mais, réalité est frappante. ô, angélique. viens-tu de ce même univers où les êtres lui ont arraché les choix d’une vitalité ? sua, elle ne peut le croire. demoiselle, admirant les gestes de la camarade, à l’appel d’une curieuse euphorie. dans les supplices, voir les joyaux qu’ils s’en créeront. les offrandes sont grandes, à s’en demander si la pupille s’ouvre devant l’utopie ou les chimériques vérités poétiques. que le questionnement est surprenant, les mots si peu souvent déposés à sa destination. et, dans son regard, elle ne peut qu’hurler ce besoin de secours. les énergies sont trop lourdes, les défis, si destructeurs. alors, les traits de la hauteur assemblée se tournent vers la rayonnante. à ce désir que chérubin ne ment sur sa volonté. je...je crois que j’ai une petite marque… le regard se quitte, chutant sur le poignet gauche, sur ce poignet… reflet des bêtises, confiance autant brisée que les synonymes précieux composés.


le cœur serré, alors que les messages de ses onyx restent bloqués. néant ne deviendra océan, tant que les secrets ne sont entièrement dévoilés. ô, pantin des rosées, pourquoi as-tu peur des retombés ? conséquence pourrait s’en être balafrée, qu’un autre destin se déchire de son existence. où ira-t-elle, quand tous les dos lui seront tournés ? les songes étaient, d’antan, merveilleux. et d’un maintenant, lointain plaisir. les papiers mordus de carmin, à la malédiction des empyrées; ô, or nécrose, devient la terminaison de son apogée. oui, je n’ai pas vraiment fais attention où je marchais, alors que j’aurais dû. les unités de passé sont brusques, l’imparfait à la gloire des aventures présentes. qu’à l’espoir, le futur soit d’une griserie conjugaison.  les silences des maux sont alambiqués, tandis que les lunaires définition des lèvres de la pureté accordent la finalité d’un récit à l’écriture des vagues acrimonies. souffle discret, sortant de ses jumelles. étincelles de son expression, rire à la signification. oui, ça pourrait être une bonne idée. je parie qu’elles faisaient fuir la clientèle. qu’elle tente, l'illusoire des anciennes. les prunelles parlantes, la vocale muette. poupée voit la candide s'étioler dans les victoires, les morceaux disparus tandis que le drame n’est plus qu’un souvenir.

mais, en quel honneur les cieux sont d’une telle générosité ?
que seront les prochaines volontés ?
((prisonnière des nymphes, jalouses de sa sincérité))

oh non ! tu n’as pas à t'excuser du tout, c’était mon entière responsabilité, et j’ai tout gâché. l’expression d’un sourire, qu’elle tente de lancer. j’essayerais de trouver l’argent pour tout repayer, je pourrais faire des heures supplémentaires, je ferais tout ce que je peux faire pour réparer ce que j’ai causé. quête à rester, qu’elle ne soit d’une nouvelle fois échapper. puisqu’elle ne saurait plus où se rechercher. les brises histoires, à encore s’effacer.

♡ busan vibe ♡

repaired help

Déités qui avaient murmuré, au creux de leurs paumes, pour venir recouvrir les sols de cristaux éparpillés. Coupant : glaçant, les sangs des plus purs, pour les prévenir des dangers d'une vie éparse. Ô mais la belle créature avait pliée sous les tensions, et elle ne verrait là qu'un danger imminent, car les yeux emplis d'océans ne feraient que la faire devenir toujours plus douce, encore et encore, de ses talents tout aussi maladroit que la jeune femme. Alors elle arrangeait, réparait, tout ce qu'il pouvait lui passer entre les mains. Destructrice avérée, qui se faisait don de venir égayer les sols et salle bien trop remplie. Créature mystérieuse dont elle avait fini par se rapprocher : ô panique quand elle la prenait de ses sueurs froides comme. "Montre moi ça...On va faire un tour par la salle de repos...Tu pourras pas rester comme ça..." qu'elle prit d'une tendresse infime sa main comme pour analyser les éclats de maladresse. "Heureusement que ce n'est que ça...", et les soupirs de soulagement tombèrent, car l'inquiétude la rongeait comme une vermine nocturne, malgré les sourires éclatants et rassurants. Doigts fin qui tapotèrent doucement la chevelure de la belle, comme pour la rassurer un peu plus, elle avait adonné le travail de nettoyage, pour faire comme si le passé n'était plus, faire comme si rien n'avait pu arriver. Et ô combien les peurs stagnantes s'étaient dispersées, sous les Empyrées qui ne faisaient là que se jouer de leurs talents d'adresse. Car elle-même ne le savait que trop bien, que les fantômes du passé disparaîtraient en seulement quelques vagues secondes : temps bien lent sous les coups des frayeurs.

Tout se certifiait, sous les douces paroles de la brune qui fit doucement sourire l'aîné. "Ce n'est rien ne t'en fais pas. Fais juste attention à toi." qu'elle lui sourit, celle qui ne se préoccupait pas de ces débris accidentels qui laissaient libre cours à son humour défaillant. Car elle essayait, de la faire sourire, elle essayait, de lui faire sécher ces douces opales qui étaient sans aucun doute beaucoup trop humide à son humble goût. Délicat rire s'échappant d'entre les lippes joyeuses qui avaient évité le pire des mondes incandescents. "Je suis tout à fait d'accord ! T'as bien fais tu vois ?" qu'elle préféra s'amuser, la jeune, sous les éclats de vie d'une créature bien trop délicate. Et les mains l'entraînèrent doucement, dans cette pièce sans vie, essayant de ne comprendre que ce que pouvait articuler les paroles divines et emplies de poésie. "Tu viens ? Je vais soigner ton poignet.", même si ce n'était pas grand chose, même si ce n'était là que le souvenirs effacés d'une vie agitée. Pour elle, tout était beaucoup trop important pour laisser passer : tout était beaucoup trop sensible, pour s'échapper des dures entrailles des venins et passer sous les rêves inachevés.

Et elle l'écoutait pourtant la douce et délicate nymphe, murmurer à ses oreilles ô combien elle rachèterait ses actions, mais elle n'en voulait rien, car cela n'était que bien trop peu cher face à une main entière et non-blessée. "Ne dis pas n'importe quoi...Je t'aiderais. J'ai fais quelques heures en plus la semaine dernière, ça ira plus vite si on s'y met à deux !" Sourire aux lippes qui envahit l'espace alors que l'aînée sorti des placard la boîte mystérieuse qui permettrait de réparer les peaux laiteuses et parsemées de délicatesse. "Si tu veux on pourra regarder après nos heures. De toute manière personne ne remarquera qu'il en manque quelques unes..." qu'elle tenta d'affirmer, comme pour faire oublier le passage de ces doigts sur les plaies à panser. Ô mais elle ne lui laissait pas le choix de toute manière. Alors qu'elle s'appliquait, la douce à enrober les blessures du passé, elle rangea tout correctement, avant de pouvoir s'orner de joie bien plus grandes. "Mis-à-part ça, ça s'est bien passé ? Je veux dire l'ouverture...Les gens peuvent être assez...désagréable le matin." Essayer de converser, de décrisper les épaules, pour illuminer la journée de la plus jeune qui avait sans doute commencé des plus catastrophiquement. Mais elle verrait avec le temps, que les joies seraient bien plus rapidement à deux.

♡ busan vibe ♡

repaired help

cierge glissant sur le papyrus révélation ; bénédiction dans une condamnation, les cieux sont amusant quand ils le savent. rien ne change les pirouettes de la muse, à défier les porcelaines face à l’appel du vide tandis que mes soupir font tempête dans le système. dommages vicieux, ceux qu’on observe qu’après avoir compris l’événement. car la douleur est légèrement cachée, roulée derrière les attentions d’autre part. purification de sa fugue, à venir s’échapper des monstres ; les créatures s’offrent différents corps d’animations pour faire douleur de leur chemin. à l’hécatombe de ses mirages, elle ne sait plus où pourrait-elle s’enfuir dans l’ombre. mais ravage de soyeux, lumière divinatoire se propage dans ces cieux, yeux. oh non, ne t’inquiète pas, ce n’est presque rien, pas besoin de la salle de repos... car, elle a peur que son absence dans la salle devienne une dans ses papiers dorées, ceux pour lesquels elle se bat à la tâche sans jamais réussir à y trouver un équilibre. elle lui sourit, espérant que la connaissance de ses grimaces possibles lui fassent comprendre qu’elle n’a pas besoin de se poser, même une seconde serait de trop si ses heures se mettent à chuter en parallèle. oui... ce n’est pas si grave pour moi... simplement... surprenant ? à l’éloge des carminés qui ne sortent guère de leur royauté, sua n’aurait aimé que l’aventure ne se passe. étonnement de ses côtés quand les jambes se sont croisés dans la valoir de la demoiselle, sans qu’elle ne puisse réaliser plus tard qu’à la terminaison ; quand la saison s’est meurtrie. et, elle est florale la gamine. à l’éveil des contemporains, les sauvages natures qui se viennent dans les ardeurs, dans les candeurs reine de leur opulence. pétales se naissent, l’espérance à chaque notion de caresse angélique, grandes et valeureuses de leur présence. et pourtant, elle sait qu’elles finiront par s’échopper, cueilli par les nocturnes désirs, au mortel des siens, ou bien arrachés de violence tandis que les adresses cauchemar ne la lâchent guère. printemps peut s’enfuir à l’hiver ; neige éternelle dans les cavités silencieuses. elle accompagne la douceur des mouvements d’ash, radieuse précieuse qui semble n’avoir en elle des papillons pureté. à la chaleur d’une forme existante, à croire que la nymphe s’est métamorphosée en spectre familiale ; sauvetage de celle dont les esquisses sanguins ne sont que des erreurs de la part maternelle, dernière faisant bien comprendre les efforts d’une vitalité jusqu’à songer à n’avoir été que parfait. et cette fois-ci, elle ose réellement sourire. manipulation terminée, les beaux onyx se lèvent dans harmonie vérité ; car elle fait qu’elle croit en ses mots, ou qu’elle veut y croire. promis, je ferais encore plus attention maintenant. merci, ash. sensation de cocon, les phonèmes se chantent dans son écho. les problèmes peuvent parfois se voir. tant qu’une solution se trouve, rien n’est perdu dans les peintures. et elle promène ses horizons à l’observation de ses dégâts, lui semblant toujours autant catastrophique et pourtant, tellement moins blessant maintenant. ironie de vocabulaire, sachant qu’elle a été touché des déluges. mais les battements se posent au fur et à mesure, sans devenir vacarme dans sa cage. elle pourrait même dire que les expressions d’ash lui font croire qu’elle a rendu service, tasses de mauvaises qualités qu’elle n’a sans doute fait que tester de résistance. peut-être que c’était tout simplement ma destinée, ça m’emmène du titre d’emploi du mois mais j’aurais l’honneur d’avoir possiblement obliger les propriétaires à faire une nouvelle commande... hauteur signification, ceux auxquels elle va devoir expliquer l’épopée sans voir les dommages qu’ils pourraient lui définir. oh ! euh, oui, j’arrive... attend... tandis que les mesures s’attirent à la surface, sua s’élève dans sa grâce pour rejoindre les soyeux passages proposés. à l’hallucination des dires, sua n’aurait jamais imaginé quelqu’un lui dire qu’il viendrait l’aider. ô, qu’elle n’a connu que les massacres de sa raison ; chasse aux plus majestueux papillons ! elle fait mine, mais les paroles lui plaisent au pulsant. car elle se sent appréciée, sirène dont la venue sur terre est plus plaisante que les profonds abysses dans lesquels elle était tombée jusqu’à s’enivrer de malheur. tu es beaucoup gentille avec moi, ash... je mérite pas autant, je peux essayer de me débrouiller toute seule tu sais... c’est moi qui est causé tout cela, pas toi. tu ne devrais pas autant m’aider pour quelque chose dont je suis la seule fautive... et qu’elle retombe dans les désespoirs de son reflet. c’est plus facile en même temps, de briser les promesses soi-même plutôt qu’y croire jusqu’à chuter. tandis que les égratignures se réveillent dans un léger supplice, se mordant l’intérieur de la lèvre pour ne pas réagir face à la petite douleur que les traitements causent de même. mmh, je dirais que oui ? enfin, les gens ne sont jamais très nombreux dès les premières minutes mais les petits habitués sont passés comme ils ont l’habitude de faire... à la mémoire des silhouettes qu’elle a admiré durant un instant avant de voir s’enfiler dans les pénombres de la citadelle. tu penses que la journée va être longue ? questionnement banal, bien qu’elle aimerait avoir une réponse ; que tout se finisse maintenant pour s’évader des allégories cassées.

♡ busan vibe ♡

repaired help

Enfant effrayée, de n'en voir blessures permanentes sur les doigts bien trop délicats. Exagération qu'elle ne remarquait pas, elle, alors que les doux refus de la jeune femme la faisait afficher les moues au visage. Car cela ne coûtait rien au final, de simplement en prendre soin de celle aux délicats traits. "Oh...Si tu veux...", ne l'obliger à rien tandis qu'elle en était sans doute trop attentionnée, celle ne pensant pas aux conséquences, préférant largement prendre soin de ceux qui l'entouraient. Puretés indécises, faisant s'envoler doutes et erreurs au profits des humours étrangers ; ô n'avait-elle sans doute rien à regretter, celle qui de ses arts finaux en recevait douceur inconcevable : car Ash n'était qu'amour pour les opales alentours. Balayer les astres cristaux pour en faire disparaître les hontes injustifiées, et ainsi offrir rédemption alors qu'elle avait sans doute fait bien pire que d'en briser les constellations sur les carrelages sans vie. Beautés fragiles qui du bout des doigts en venaient à briser les catastrophes des cieux et transformer les veines en velours. "Hmm ! Du moment que tu prends soin de toi ça me va ! Après tout c'est que des tasses !", et elle préférait bien plus en voir les brisures au sol que les peaux déchirées.

Regards amusés, offerts à celle qu'elle ne voulait que voir de nouveau sourire, alors elle riait timidement, sous les poèmes, qui la firent briller comme douceur face aux Empyrées. "Exactement ! Même si je pense que mérite le titre d'employée du mois ! T'es beaucoup trop adorable et douée pour cela !" qu'elle affirma alors sans hésiter une seconde, enfant des plus sincère car elle ne voulait que lui redonner confiance, à celle aussi maladroite qu'elle. Attirant finalement les douceurs en sa compagnie : pour en calmer peines et violences, elle en admirerait les traits si fins tandis que de ses douces vocales ; elle tenterait d'en apaiser les instants fugaces. Car ici était son refuge, endroit où elle pouvait se sentir elle-même, entourée de ceux qu'elles considérait comme des amis sans doute trop aisément. Iris carmins sous les instincts protecteurs, qui pourtant de son calme délicat venait à en faire sourire ses traits pourtant si hantés. "Oh mais ça me fait plaisir moi ! Puis ça nous fera une sortie, non ? Je veux dire...Pourquoi tu devrais te débrouiller toute seule...Moi aussi après tout j'en ai cassé pleins des trucs ici...Alors laisse moi juste t'aider !", persuadée qu'elle pouvait en oublier les quelques évènements par des promenades improvisées à la recherche de simples tasses. Après tout, il n'y avait qu'elles qui se servaient quotidiennement du matériel : autant qu'il ne leur convienne un peu mieux.

Eté sonnant aux portes pour venir ravir senteurs si caractéristiques et poétiques, balayant les fleurs pour en laisser apparaître les soleils cramoisis. Plaisirs à en entendre que les habitués en étaient déjà passés, sans doute que tout ne ferait que s'accentuer un peu plus à présent que les chaos avaient été effacés. "Je pense que...Si elle a commencé comme ça, la journée sera longue !" qu'elle rigola un instant avant de lui sourire plus longuement. "Mais ne t'en fais pas ! On va s'amuser ! Puis au pire...On pourra toujours essayer d'alléger la journée quand on aura fini ? T'en penses quoi ?" qu'elle lui proposa, tandis que tout viendrait briller de nouveau entre leurs doigts dans ces cafés si chaleureux. "Te décourage pas hmm ? Respire un grand coup et on y retourne ! De toute manière qui sait, peut-être qu'on aura pas beaucoup de personnes aujourd'hui...", main posée sur son dos pour finalement en rejoindre les salles : et peut-être espérer réussir à en faire briller sous les baies vitrées leurs passions infinies. Et qui sait, peut-être que les minutes passeraient bien plus rapidement que souhaité finalement, sous leurs impatiences et sous ses envies de pouvoir entreprendre voyages à travers les rues accompagnée des nymphes émerveillées. Mais ô Ash n'était que naïveté à penser qu'elle pouvait s'attacher à tout le monde comme si de rien était : alors que le myocarde en finissait bien trop souvent détruit.


Minutes défilant comme pour en transformer les espaces temps ; regards souvent offerts pour s'assurer que les corps ne s'en épuisent pas trop. Clients posés et accueillis, espace lire pour s'en approcher de sa collègue en souriant, elle en avait les yeux illuminés de pouvoir partager les vies au quotidien. "Tout va bien ? Ca te dit qu'on mange ensemble ce midi ? Je sais pas si t'es de service cette après-midi mais..." qu'elle l'en questionna un instant. Car la musicienne ne voulait pas se montrer trop imposante, alors qu'elle se montrait des plus enthousiaste à partager simples moments avec celle qu'elle croisait presque tous les jours. Maladresse de ne pas savoir comment montrer le fait qu'elle en appréciait les présences bien que subtiles, elle qui s'extasiait en réalité de tout et de rien. Alors il était facile de la voir sourire : encore et encore pour en dissimuler passé et insouciances brisées, derrière ses airs comblés et heureux.

♡ busan vibe ♡