Beautés éclatantes, qui des nocturnes extérieures, en éclairaient la douce boutique vidée de vie passante. Car ô les horaires respectés, il n'y avait qu'à remettre en ordre le passage de ceux qui en avaient voulu goûter les prémices des douceurs caféinées et concoctées par les douces mains maladroites de la jeune femme. Musique prenant les corps tandis que de bout des doigts elle en essuyait soigneusement les tables pour en faire briller les matières, elle n'était que joie, entre les divins astres extérieurs, qui de leur calme, viendrait en accueillir les plus douces des mélodies déjà présentes. Alors ô qu'elle se sentait seule, derrière les vitrines inanimées, se laissant porter par les quelques sons tandis que les pas s'en faisaient en rythme. Musique qu'elle appréciait beaucoup trop, chose pour laquelle elle vivait presque, à travers son instruments et les mouvements des corps qui se faisaient rares. Car Ash n'était pas une danseuse. Elle pouvait se qualifier de musicienne, mais à travers ses maladresses insoupçonnées, elle n'était en rien de grâcieux en dansant : juste pour s'amuser pendant les quelques corvées qu'elle appréciait faire malgré tout.  

pour en illuminer ;
les nuits trop sombres.

Verres dont elle se saisit, s'amusant à venir les faire briller sous les tissus nettoyant les fragiles, elle s'attarda par la suite à finalement remonter les chaises : pour en nettoyer les sols de fond en comble. Pourtant, ombre qui ne fit que la surprendre, car elle en avait oubliée qu'en réalité, elle n'était pas seule, dans le café si délicat. Regard atterrissant finalement sur les traits de son collègue, elle se sentit tout doucement embarrassée, alors qu'elle n'avait fait que s'amuser à déambuler entre les allées créées,  fredonnant et imitant des airs de chorégraphies. "Je...D-Désolée...Je pensais que tout le monde était déjà...parti..." qu'elle murmura timidement, avant de lui offrir un immense sourire, de ses airs bien trop doux et innocents. Car elle appréciait tout le monde, la douce, envie d'en faire briller bien trop souvent les prunelles tandis qu'elle voulait essayer de s'amuser avec tout le monde. Travail qui devait en rester avant tout sérieux, mais qu'elle appréciait rendre plus sympathique de sa joie de vivre. Ô sans doute était-elle un peu trop naïve, de penser que tout le monde accepterait de se prendre au jeu des délicatesses, mais elle ne voulait pas abandonner, car tout le monde méritait de sourire au moins une fois par jour, dans sa tête. Balais alors serré entre les fins doigts, mains dégageant vaguement l'une de ses mèches, elle cligna tout doucement des yeux avant de l'observer un peu plus. "Hmmm...Tu fais la fermeture aujourd'hui ? On a encore un peu de temps...alors autant en profiter non ?" qu'elle tenta d'en balayer légèrement ce qu'il avait pu voir : car tout n'était qu'illusions ; alors que brillaient les prunelles merveilleuses qui ne voulaient que pouvoir se détendre un peu plus.

Ombre qu'elle n'avait pas vu, enfermée dans sa bulle comme pour en oublier le monde qui l'entourait, elle naviguait dans la salle, enfant des plus innocente : jusqu'à en remarquer les douces présences, de celui qui avait toujours été là. Et elle rougissait à vue d'œil, d'en avoir été si détendue entre les tables vides pour simplement s'amuser un peu ; regard timidement lancé, avant de ne rire finement sous les embarras. "N-Ne t'en fais pas ! Désolée à moi de devoir t'infliger...mon manque de talent en danse !" qu'elle rigola alors tout doucement. Car elle n'était que des plus maladroites dans le moindre de ses gestes, Ash, malgré la douceur qu'elle pouvait y mettre. Pourtant, elle était en quelque sorte rassurée, de ne pas être seule entre les murs du café ; solitude qui l'effrayait, tandis qu'elle en appréciait d'autant plus le jeune homme auquel elle s'était vite habituée à la présence. Gentillesse débordante, pour en faire sourire la douce. "Oh vraiment ? Fais toi plaisir ! Après tout personne ne nous regarde !", car même elle ne faisait pas attention à ce qui pouvait l'entourer.

profiter de l'instant ;
jusqu'aux heures tardives.

Alors se mouvant tout doucement, finissant de nettoyer quelques coins en compagnie du plus grand, elle s'en détendait, sur les musiques changeantes : pour en ravir les tympans. Présence qui lui fit tout doucement relever ses yeux scintillant, tête se penchant délicatement tandis qu'elle lui souriait sans doute bien trop, elle laissa éclater un léger rire, faisant glisser timidement ses doigts contre les paumes bien plus grandes. "Hmn ! C'est vrai ! Puis de toute manière on a presque fini pour aujourd'hui alors on a bien le droit !" qu'elle commença tout doucement à bouger leurs bras en rythme, pas réellement talentueuse dans ce domaine. Mais après tout, le principal était de s'amuser, non ? "Je serais toi je ferais quand même attention à mes pieds...On sait jamais !", qu'elle préféra s'amuser, tandis qu'elle en laissait ses épaules se balancer tout doucement, avant de regarder un instant son partenaire de jeu, étoiles entre les prunelles.

"T'aimes bien danser ? Je trouve que ça déstresse pas mal non ? Surtout que la musique est cool !", pour en effacer les journées chargées qui pouvaient s'attacher sur leurs épaules. Et pourtant les mains se voulaient délicates, elle qui apprenait à vivre par elle-même à présent. "C'est dommage qu'on se croise que pendant les heures de travail...Je suis sûre qu'on pourrait s'organiser un truc avec tout le monde pour apprendre à mieux se connaître ! Un pique nique peut-être ?" Toujours innovante, la plus petite qui elle ne voulait que sourire un peu plus aux côtés de tout le monde. "E-Enfin si l'idée t'en dis !" Mais ce soir, elle ne ferait que laisser les vocales sortir, sous les amusements partagés, alors qu'elle tenta de le faire tourner sur lui-même malgré leur différence de taille : pour simplement rire ensemble.

Rires égayant les visages, écarlate sur les jours pour en balayer les nuits : car il n'y avait qu'eux, silhouettes se libérant entre les espaces clos. Sourires collé au visage ; alors qu'elle en tentait de faire s'éblouir leurs pas. "Parce que tu penses que les miens sont plus doués que les tiens ? Mais pieds sont catastrophiques !", qu'elle plaisanta un instant, enfant qui faisait pourtant attention à ne pas infliger les douleurs. Car les rires enrobaient la salle,  car les anxiétés de dissipaient, et personne ne pourrait le leur reprocher après avoir travailler toute une journée entière. "Pourtant j'ai bien l'impression que tu t'en sors bien moi ! Puis on s'en fiche du regard des autres, du moment que tu t'amuses à danser comme tu le souhaites ! C'est pareil pour tout en réalité !", loi qui fonctionnait aussi bien pour la danse que pour toute autre activité, car Ash savait que si le coeur y était, alors tout ne pouvait être qu'effusion agréable.

Mouvements se faisant plus lents, timidité reprenant le dessus sur les visages de satin, elle en gardait pourtant ses sourires, celle qui n'y voyait là que léger moment à deux. Regard étincelant, sous son avis bien trop important, et elle se mit à sourire encore plus : bien trop heureuse de voir qu'il était en accord avec sa proposition. "N'est-ce pas ? Je me dis qu'on pourrait vraiment passer un bon moment ensemble ! Après tout tout le monde est adorable alors on s'amuserait bien je pense !", car elle était persuadée que tout ce petit monde ne pouvait que rayonner ensemble sous quelques activités des plus appréciables et délicates. Délicates envies de simplement entendre les vocales du jeune homme, elle en tentait les pas de danses vaguement réalisable, car de sa grande taille, elle n'avait pu que faire catastrophe sous les légers rires embarrassés. "D-Désolée ! Mais quelle idée d'être aussi grand...!", qu'elle rigola tout doucement, alors que le corps se mit à tout doucement tourner pour en faire éclater un peu plus les vocales. "Tu vois ? Beaucoup plus doué que moi ! Faut que je grandisse, sûre que c'est la technique !" Et au final, elle était sans doute des plus heureuses, de pouvoir en calmer les myocardes si peinés.

Joies partagées ; sous les arts délicats.

Danse qui semblait en rassembler les esprits, faisant sourire la belle comme pour en illuminer un peu plus le visage de son partenaire : car c'était là, le plus important du moment. "V-Vraiment ?" Café qui en était devenu sa seconde famille, visages qu'elle ne pourrait oublier, car ici, elle se sentait si bien à pouvoir côtoyer les plus délicates des figures. "Ca pourrait tous nous rapprocher ! D'ailleurs si ça se faisait, t'aimerais qu'on fasse quoi tous ensemble ? Un pique-nique ça irait tu penses ? Cinéma ? Autre chose ? Faudrait que je demande à tout le monde !", pour faire en sorte que tout le monde soit à l'aise dans ces simples rencontres. Car à cette simple idée, sans doute en était-elle bien trop heureuse. "J-J'espère d'ailleurs que je te retarde pas avec mes idées...H-Hésite pas si jamais !", alors qu'elle essayait d'en suivre les mouvements, pensant d'ores et déjà aux moments à passer avec ceux qu'elle ne faisait qu'apprécier bien trop. Car de les voir sourire, en était le plus important.

Monde qu'ils composaient ;
et qu'elle voulait chérir.

A essayer de jouer aux plus grandes, celle si miraculeuse, gamin sylphides aux sourires si bienveillants, à s'essayer aux douces joies des nocturnes si fragiles : car ils avaient bien assez travaillés, tous les deux, à venir alors s'offrir moment de répits pour les heures à venir. "Alors j'essaierais d'organiser ça ! Ca va être sympa ! Je sais déjà où on pourrait faire ça !", qu'elle s'extasiait, la douce, à s'accrocher un peu plus à lui comme excitations à partager. Et elle ne voulait que pouvoir partager un peu plus les instants avec tout le monde, comme amitiés déjà si facilement ancrées entre les peaux. A être ici chez elles, parmi les senteurs âpres des cafés délicats.

Joues alors gonflées ! A ses gestes qui la faisaient rire, à le laisser jouer de ses douces joues, à s'arrêter dans ces danses si amusantes pour finalement le regarder un instant. Enfant admirant les astres dans ses iris, à ne pouvoir faire qu'acquiescer, sous ses mots si vrai. "Hmm...C'est vrai c'est vrai ! On mérite un peu de repos, t'as bien raison !", qu'elle ne faisait que rire, à ces vérités si exposées, à finir alors par reprendre ses esprits de ces songes si chaleureux. "Oui ! Finissons ça rapidement ! De toute manière il reste pas grand chose à faire non ? Moi j'ai plus qu'à nettoyer le buffet et relever les chaises et ce sera bon je crois..." Et se détachant finalement de lui, léger geste de la main comme pour lui dire à bientôt, elle se remit en marche, à laisser ses jambes valser par moment, à laisser ses yeux s'illuminer comme cieux infinis. Et ô, elle pourrait rester ainsi durant si longtemps, la belle, à simplement profiter des lumières tamisées des lieux, ainsi que des présences si douces qui en emplissaient les pièces.

pour la faire toujours plus rayonner ;
pour le voir sourire lui.

S'activer, encore et encore, jusqu'à ne faire que le voir ressortir des réserves, à en offrir là les bonheurs sur les figures, de son balais en main déjà posé pour en soulever là les dernières chaises persistantes sur les sols. "Oh ne t'en fais pas ! Tu dois être épuisé non ? Il me reste qu'une table à relever !" Et de ses petites jambes, à presque trottiner pour ne pas le laisser venir l'aider, elle en retourna les dernières chaises avant d'élever ses bras en l'air, lippes étirées pour en laisser les vocales s'échapper. "Tadaa !", mélodieuses harmonies, à venir fièrement en observer les boutiques si ordonnées. "On a bien bossé ! On peut fermer du coup ?", qu'elle retira sagement son tablier pour discrètement venir le ranger dans son casier, et revenir finalement auprès de lui pour en ouvrir les portes vitrées. Instrument sur le dos, retour dans les fraîcheurs des nuits, et elle lui tint la porte, pour l'inviter à la suivre. "T'habites loin ? Je peux te raccompagner si tu veux ! C'et peut-être sur mon chemin qui sait...", car même cela n'avait pas été le cas, elle aurait proposé là d'en faire les traversées ensemble. "En tout cas je suis contente, d'avoir pu faire la fermeture avec toi ! On s'est bien amusé non ? ", qu'elle réajusta son violoncelle sur ses épaules pour en fermer alors tendrement les portes des refuges qui les avaient accueillis.

à ravir les regards ;
des merveilles constellées.

Rire amusé, à ne faire que s'esclaffer et s'amuser dans les lieux qui n'étaient que merveilles, car à ses mots elle ne faisait que trottiner partout pour ne rien retarder : pour rentrer avec celui qui la faisait tant sourire. A en fermer les bâtiments, à vouloir se cacher dans les nocturnes. Car travail terminé, épaules plus apaisées, à s'en retrouver ensemble dans les rues si délicates. "C'est vraiment gentil...! Même si tu sais ça ne m'aurait pas dérangé, de te raccompagner ! ", qu'elle se penchait vers lui de ses fines figures, prunelles toujours bien trop rayonnantes. "J'habite à Nam-gu. C'est à l'opposé de chez toi...Mais si tu veux on peut prendre le bus ! Il devrait pas y avoir grand monde à cette heure là...Enfin je pense ?", et à réflexion faite, elle ne savait pas réellement, la plus petite, car toutes la ville semblait s'animer en permanence une fois les soleils tombés sur les sols.

divergent les regards :
jusqu'aux pavés des rues.

Pas se faisant légers, à en apprécier sans doute bien trop encore les attentions offertes et présences, elle s'en sentait détendue, presque trop, à se dire que les confiances en étaient si rapidement offertes comme s'il n'y avait rien à craindre du monde. "Je suis sûre qu'on pourra refaire ça bientôt ! Comme j'ai cours en journée je fais souvent les fermetures, alors tu sais. Ca pourra que se reproduire !", quitte à s'arranger avec ses collègue, à arranger les horaires pour en accorder les soirées. Car elle s'était sans doute bien trop amusée, durant ces quelques heures qui parfois pouvaient en sembler si corvées, et qui en étaient pourtant là simple passe-temps.  "Oh mon violoncelle ? C'est pas très intéressant tu sais ! C'est juste que...J'en joue ?", rire subtile, à pourtant s'amuser à imiter ses grands pas, quand elle devait en faire bien plus à chaque lancée. "Je suis étudiante au conservatoire, du coup on peut dire que c'est un peu mon tout ? Ou alors...Une deuxième partie de moi ? E-Enfin ça doit être un peu ennuyeux je me dis...puis y'a pas grand chose à dire dessus je trouve..."

Et les épaules se haussant, à sourire pourtant de parler de ces passions qui continuaient à la faire tenir debout, elle tira timidement sur la manche du jeune homme pour lui en montrer un arrêt de bus. "Tu penses que d'ici on peut faire les deux destinations ?", qu'elle demandait de ses joues rosées, à presque trottiner pour en vérifier les horaires et se retourner vers lui presque convaincue. "Et toi du coup ? J'ai l'impression de parler que de moi pardon ! Tu fais autre chose à part le café ? J'imagine que oui non...? Etudiant aussi ?" C'est qu'elle s'intéressait, la douce, à celui qui la faisait s'illuminer tant. Et quand de quelques bruits elle en entendit les roues du véhicule dans son dos, elle se permit tout doucement de l'embarquer avec elle, main emportant avec elle le bras du plus grand comme pour ne pas le laisser trop s'éloigner d'elle : alors qu'elle en était le plus souvent celle se perdant dans ses pensées si étranges. A se mettre dans un coin, pour partager les trajets ensemble sans sentir apeurée : de ces nuits contrastées. Avec celui qui de ses douceurs, ne pouvait que la rendre heureuse.

Et les sourires venaient de nouveaux en gracier les visages, quand tout ne faisait que rayonner autour d'elle. Peut-être qu'elle parlait un peu trop, la douce, à s'animer de ces joies intempestives qui ne faisaient que se déchaîner en permanence. Car de ces voyages, viendraient s'ajouter les douceurs du temps, celles intempestives Chaleur à partager, quand les villes s'en faisaient de plus en plus froides. Quand le monde changeait bien trop facilement de ces couleurs à devenir grisâtres. Hocher la tête, quand les prunelles ne faisaient que briller, à se dire qu'il devait avoir raison, celui qui l'accompagnait dans ces petites expéditions nocturnes.

"Ah oui ? Sûre que c'est tout aussi bien !" , à sourire comme si tout ne pouvait être que parfait, quand les doigts osant les approches ne faisaient que faire s'en faufiler les corps dans les bus si légers. A braver les quelques personnes pour en trouver places assises. "du droit de l'enfance ? Mais c'est trop bien ça ! E-Enfin ça doit être compliqué ... Tu t'en sors alors ?" , car elle en resterait admirative, la douce, face à celui aux études si importantes. A y voir beauté dans ces lignes et pages à apprendre pour en aider les plus fragiles. Car bien trop souvent négligés, et elle ne faisait que s'en douter sans ne laisser paraître aux autres qu'elle n'était que pureté parfaite. A en connaître les vices, de ce que les rues en apportaient à ceux en détresse. "Je suis impressionnée...C'est pas tout le monde qui saurait faire ça ! T'as du courage !", elle, qui ne faisait que le trouver remarquable par dessus tout.

car de ses doigts,
elle ne savait qu'en faire les musiques :
à honorer les tympans si fragiles.

Tête finissant par de nouveau l'observer, rire délicat quand les joues s'en faisaient légèrement colorées, elle observa de nouveau autour d'elle : à détailler tous ceux qui les entouraient. "C'est vrai...! Mais ça fait de l'animation tu trouves pas ?", à n'y voir que du bien partout , Ash. "Oh...! Moi je descends dans deux arrêts ! Mais t'en fais pas j'habite pas loin ! " , qu'elle voulait le rassurer, à pourtant tout doucement se préparer à quitter le véhicule si chaleureux. "Dans tous les cas on se revoit au travail ! Merci pour ce soir...je suis contente que t'aies été là...! Je m'en serai jamais sortie sinon !" Et ô les doigts s'agrippaient tout doucement aux rambardes alentours comme pour en attendre les freinages. "Ah ! Et fait attention en rentrant ! Passe une bonne soirée !" Sourire offert ! A s'étirer jusqu'aux oreilles, de ces douceurs qu'elle ne pouvait que lui adresser alors qu'avant de descendre, d'un geste rapide, elle en sorti un simple bonbon de sa poche pour le lui glisser au creux de la paume : et s'évader des véhicules aux arrêts comme pour fuir de ces enfantillages.

car elle savait : qu'ils se reverraient bientôt,
dans ces ambiances si réconfortantes.