timeless

c’est que les ombres murmurent.
entre les rivages, entre les murs des cages.
à emporter sur leur passage les beautés mélodieuses.
résonnent les infinis, à toujours l’emmener loin, la faire s’échapper des monde où tout n’était que mirage. ô et quand les doigts s’auraient-ils s’émanciper, de ces horreurs, à juste en combler les routines de ces luxueuses prisons : à en vouloir pourtant les bronzes et simplicités. c’est que les regards avaient beau s’en poser sur les horizons ; tout n’en ressortait que fade. quand les mains s’amusaient à effleurer les airs pour en attraper les vides, à sourire dans les solitudes des plaisirs les plus simples. sans doute était-elle restée un peu enfantine, derrière ses airs si solides, quand les cheveux détachés, elle quittait ces rôles de jeune femme pour en devenir fantôme urbain à la recherche des passions. car c’était là, que tout résidait, sans ne jamais la faire flancher de ces quotidiens mécaniques. alors Jaehee se désagrégeait, finissait entre les coins de ces ruelles ; près des fleuves, sur les ponts : à se pencher vers les précipices pour ne faire que sentir les airs plus purs. gamine vue un peu folle (( à l’être surement )), quand tout tapait, entre ses tympans fragiles.

et un jour
je rayonnerai.

qu’elle pensait sans ne jamais en voir le bout. mais les pas la menait toujours : dans ces lieux chaleureux. là où la tranquillité n’en était que plus belle, là où les saveurs savaient en glisser sur les lippes de ces froids nocifs. enroulée dans ces écharpes en mailles, à se dissimuler de ses élégances particulières, elle gardait la tête haute : en permanence ! pour ne jamais rester aux proies aux inconnus. pourtant elle ne faisait que les fréquenter, car ô table bien connue, à s’installer, à toujours y retrouver là souvenirs et ambitions, quand d’un carnet abandonné, en venait réciter les cœurs les tragédies les plus intimes. sans ne jamais en connaître le visage, sans ne même savoir si la prochaine fois qu’elle reviendrait, les pages en seraient remplies. habitude prise de venir ici sans ne réellement en savoir pourquoi. car tout semblait si futile, à présent. et pourtant les mots en semblaient tels que remèdes à ses yeux sans ne jamais ne le dire ((se l’avouer)). à écrire beautés pour en répondre aux plumes mystérieuses, à toujours en savourer les moindres mots quand les poèmes en étaient si doux.


lueurs, de ces prunelles si noires, ô jamais étincelantes, toujours craintives quand les ombres l’enrobaient, elle en avait perdu ces airs de reine, à rédiger dans son monde les récits du temps. car personne ne la verrait ainsi, car tout n’en serait que trop étrange : si les couronnes s’en voyaient être perdues. prestance infime, finesse des poignets, fils cendrés à descendre sur les tempes pour en abîmer les visions des pages, et ô tout n’était que grâce : quand elle ne se préoccupait pas du monde qui l’entourait. à ne plus apercevoir que ces lignes écrites sur ce carnet, ,à parfois y déposer touches de parfums pour en illustrer les mots, fleurs de temps en temps délaissées là pour les rendre immortelles. comme ces phrases, qui la faisait s’alléger sans en comprendre pourquoi. réalité morose, à venir pourtant en cajoler ces myocardes défaillant. froideur aux joues, quand tout semblait se briser entre les esquisses du temps.

♡ busan vibe & olympia (icon) ♡

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Sentier de gloire ; ô se dessiner dans le creux de ses mains, phalanges nacrées à la beautés divine. A en faire rougir les divins ;
Les dieux penchés à ses épaules, ils y murmurent les délices de la vie, et de leurs doigts puissants ;
Sculptent l'or dans ce corps d'enfant qui n'a jamais su réellement vieillir ; à la gueule d'un ange, quand le cœur n'est que fermé ; sans jamais accueillir les espoirs, sans même vouloir porter sur ses épaules le poids des amours fragiles qu'il ne pourra jamais glorifié.
Il n'est pas fait pour ça, seul talent usé sur le grain, où il y dépose ces quelques mots, sans qu'ils ne trouvent leur sens. Ou bien ont-ils déjà trouvé le chemin ; celui d'un coeur, celui d'un esprit torturé.

Ô hiver ; caresse sur la peau fragile et pâle, dans le regard où les étoiles ne viennent pas encore rayonner. Vie éphémère ; fragilité dans l'air du temps, le souffle du vent qui bataille avec les mèches sombres de ses cheveux, et au loin il n'y aucun avenir plus heureux. Il n'y a que des tempêtes à l'horizons, pourtant elles sont si loin.
Pourtant, elles sont si proches à la fois.
Les pas sont rapides ; il est toujours pressé, quand il y a des démons qui vagabondes à ses pieds, ils veulent s'emparer d'un peu de plus, qu'un peu de son être, dévorer son âme de leurs mains sales ;
Il a le pas rapidement, pour fuir une solitude dans laquelle il est né ; enveloppé dans ce froid éternel, sans qu'aucune chaleur ne vienne le trouver. La peau est glacée, et le coeur ne bat pas dans sa poitrine.
Il n'y a que ce joyau cristallin ; et personne ne s'est jamais battu pour le conquérir ;
Amour inutile,
Amour légendaire ;
Mais rien de tout cela n'existe.

Il y a des billes noires à la place des yeux, c'est l'enfer qui s'y reflète, il n'a jamais l'air là, toujours vers des ailleurs plus sombres, car la beauté ne semble pas lui être destinée. Elle n'existe qu'à travers ses écrits, à travers ses rêves qu'il ne vient jamais compter à personne. Boite de Pandore, si bien fermée.
Il y a tous les maux du monde à l'intérieur ;
Il y a Jihk, lui aussi, enfermé.
Et il n'y a rien pour lui, ailleurs.
Ô café où il a l'habitude de venir, y découvrir les dernières proses apposées sur ce carnet de cuir ; il y a tant confié, tant partagé avec l'inconnu dont il ne sait rien, pas même l'illusion d'un visage ; n'est que mirage à travers les montagnes enneigées.
Aucun signe de son printemps.
Et pourtant, illusion presque parfaite, quand entre les doigts de la plus belle des nymphes, il y revoit ses rêves, le grain qu'il connaît si bien, d'un sourire qui se dessine lentement sur son visage, réalisation soudaine.
Elle est si belle.
Muse sublime ; elle est divine.
Créature ou bien chimère de l'au-delà, il laissera pourtant quelques secondes lui échappant avant de s'approcher, tirant lentement la chaise vers lui pour s'y installer, briser le calme apporté par cette femme ; bien plus que réelle.
Irréelle.
Je me suis toujours demandé à quoi ressemblait la personne derrière cette écriture. La voix est calme, jamais grave, jamais violence, peut-être un peu fatigué, un peu lassée de toute une vie sans but, sans destinée. Il n'y a rien pour lui donner envie d'un lendemain sucré ; ou bien d'un futur rosé. Le souffle s'écrase tendrement contre ses lèvres. Je ne suis pas déçu. Vous êtes à la hauteur de ce carnet. Vous semblez l'apprécier.
Et les curiosités rongent l'âme ; le fond de sa gorge cendrée, alors qu'un sourire ne s'envole plus de ses pulpeuses ; maître de ce visage d'ordinaire trop froid.

♡ busan vibe & olympia (icon) ♡

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griffonnent les doigts sur les papiers de soie. à répandre paroles comme de ces passés à éreinter. et sans doute que celui lisant les mots sans sens en savait là plus que n'importe qui. un peu trop, toujours trop, laisser les cœurs se livrer quand tout saigner bien trop. quand dans les onyx sans âme en rayonnait les ténèbres, pour celle aux doigts graciés ; aux yeux pourtant maudits. et de ces écrits, s'en délivraient senteurs magiques, qui de tous ces poèmes n'en étaient qu'irréels. songe des nuits, à déverser sur les rives du stix : car il n'y avait que là qu'elle habitait, Jaehee, quand de ses élégances se berçaient les regards d'illusions maniaques.

à bercer les mondes :
de cauchemars permanents.

alors elle écrivait : encore et encore, de ces concentrations sublimes, aux mèches errants contre ses joues si fragiles et pâles. quand ses saisons à elle n'en étaient qu'hiver infernaux ; ô glaciation si perfide quand elle en frappait les épidermes. à ne pas la faire souffrir : car elle n'avait jamais rien eu de chaleureux, la belle aux épines si piquantes. à s'en briser le bout des doigts, à toujours en faire perler les vermeilles, quand d'elle même elle s'en heurtait les peaux si froides. et pourtant en coulait là les bourgeons aux couleurs si vives.
de ses attentions capturées,
quand mouvements devant les yeux :
pour lui en faire relever le visage.
surprise ! qui se dessinait comme tableau exposé. œuvre d'art devant les yeux quand en clignait les prunelles, à presque en cacher et refermer les pages du livre aux contes si secrets. c'est que les gestes étaient incompris, à finir par se demander si elle n'avait pas fini par en voir là les fantômes du monde. de ses doigts cachant là les trésors si hantés, à l'observer lui, de ses regards ancrés dans les rêves. "comment ?", de ces voix posées, alors que celles voisines en captivaient les tympans. et ô jamais Jaehee, en avait eu l'impression d'être surprise. car jamais n'avait-elle pensée : qu'elle en rencontrerait là les auteurs des proses. quand les joues s'en teintaient de vagues carmins,  à se redresser de ses postures si droites, pour ne pas en perdre les prestances. "je vois...alors ce carnet est à vous je me trompe ? et à quoi vous imaginiez-vous hmm ? si vous n'êtes pas déçu...", supposition des rêves...


"je ne pensais pas que j'en verrai un jour les visages se cachant derrière ces pages.", murmuré de ces calmes latents, à venir délicatement pousser les carnets au milieu de la table. "mais effectivement, je me suis prise au jeu. " car les roses en étaient des plus charmantes, à toujours devoir être entretenues : à pourtant se protéger du monde derrière ces tiges et ronces aux couleurs du monde. et jaehee, n'avait que s'ouvrir face aux pages et monologues si parfaits. à avoir su l'apaiser quand tout en semblait dévasté auprès d'elle. "tenez. je n'ai pas de raison de le cacher. et puis il vous appartient.", quand de ces journées, elle ne s'était pas doutée un seul instant que les présences en seraient presque semblables. de ces visages aux perfections assurées ; elle en repassait les mèches si lisses derrière les oreilles si fragiles.

et de ces visages ;
elle en retiendrait les voix
aux octaves mélodieuses.

"je peux peut-être vous offrir de quoi vous réchauffer ? je doute que vous ne m'ayez rejoins que pour me surprendre sur le fait.", que les lippes s'étiraient dans ces froideurs pourtant admiratives, à en délivrer de ces frigides visages les glaces en reflétant les éclats. car elle brillait, de ses élégances si pures ; à ne jamais rien dire sur ce qu'en réservaient les pensées en proies aux monstres. et en serais-tu rédemption, ô visage inconnu qui en avait bercé les journées, de celle qui d'une vision n'arrivait plus à en détacher les regards. à n'en citer qu'une dernière parole derrière ces tasses saisies entre ses doigts si fin. "jaehee."

qu'elle en murmura les prénoms
comme importance si fugace :
qu'il n'avait pas à retenir.

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Y'a des topazes contre ses phalanges ;
Et il y a la mort dans le fond de sa gorge, quelques trace sur sa chair. Y'a les proses gravées sur ses lèvres, poésie sublime ;
Ô suprême.
Jolie gueule, dans le fond de ses yeux, y'a rien de plus qu'un univers vide. Là où les cœurs se savent pas battre.
Se débattre.
Il n'y a plus rien qui brûle.
Âme simplement, ici, abandonné au centre d'un empire, il n'en reste que des ruines. On l'a laissé ici, guerre délaissée.
Ou bien,
Jamais entamée.
On n'a jamais rien parié, si ce n'est que ce silence, pesant, comme une tempête qui s'annonce dans l'air ! Sans jamais rien promettre. C'est le désert. On y aurait vu, autrefois, des armées d'amour, des armées sucrées, quand dans les songes se dessinaient tous les désirs d'un enfant.

Le poids d'hier sur ses épaules ;
Et sa peau tremble d'un froid fatal ! Quand chaleur se retrouve, déposé sur le grain, entre ces lignes à y confier, des rêves d'antan. Quand il chante, solitude, que tout était mieux avant ; quand tout était encore vivant. Quand tout savait encore briller.
Briller.
Briller.
Et toi, est ce que tu brilles ?
Etoile au bord de l'implosion.

Et dans les orbes, se dessine impératrice glorieuse, d'une beauté jamais connue ! A y croire presque, que ces nymphes légendaires existent, ailleurs que dans son esprit où vivent ces âmes jamais vivantes.
Des mots qu'on posent seulement sur des carnets.
Des morceaux de papier.
Des morceaux de coeur ; à l'avoir déchiré ici et là,
Entre les rues de Busan, gardienne de ses secrets, petit poucet y à semé la clé de son monde ! Tant pis si j'ai froid.
Je ne sais pas.
Il n'y avait rien de plus, dans son esprit, d'une âme sans visage ; un corps sans rien vide. Mais énigme ! A se trouver face à lui, quand loin d'être banal, quelque chose de trop particulier. A vouloir y résoudre tout ce qu'il n'y comprend pas. Incompréhension.
Je ne m'imaginais pas quelqu'un d'aussi mystérieuse.
Sans que mots trouvent sens, à parler aux dieux.
Peut-être à elle.
Peut-être à lui même, sans jamais offrir paroles souveraines, des tendresses qu'il ne connaît pas ; ô mur de froid, quand il y a des flocons qui tombent de ses lèvres, il y a la neige éternelle, sur le bout de ses doigts.
Je suis ravi alors. Je ne pensais que quelqu'un se prendrait à ce drôle de jeu. Et pages repoussées en sa directement, quand les mains restent dans le fond de ses poches, d'un sourire qui lentement vient naître sur les belles ;
Dans le coin, sans jamais offrir plus de lui.
Seulement le son de sa voix ;
Quelques gestes.
Quand ses doigts se dévoilent pour repousser le bien en sa direction. Gardez-le. J'estime qu'il est tout à vous à présent. Je vous remercie de m'avoir autant transmis à travers vos mots. Sans avoué qu'il aimait ça ;
Pouvoir en découvrir toujours un peu plus,
Sans poser de nom, sans jamais imaginer un visage ! Et il aurait, égoïstement, voulu ne jamais le découvrir.
Car ça fait battre son coeur, tout ce qu'il ne connaît pas, qu'il ne peut avoir ; inaccessible secret. Avec plaisir. Je prendrai un café. Noir.
Quand amertume est adorée !
Sur sa peau dorée ;
S'y dessine comme un désert.
Contre sa langue, où le vent soulève des templiers. A ne jamais rien aimé, menteur, de ces sucreries tant chéries ! Quand viendra un jour ;
Où il se laissera lentement apprivoiser, docile.
Trop sauvage ; trop loin pour être capturé.
Jihk. Soufflé comme échange équivalent ;
Et de son sac, se dévoile carnet abîmé par le temps, encre qui rapidement y peint des mots, sans jamais en dévoiler leur profondeur. Il est silencieux, toujours trop. Dans ce calme qui le possède.
Dangereux.
Quand il pourrait soulever des montagnes par volonté ;
Ambitions ! Brûlantes.
Vous aimez écrire ? Vous avez une façon de vous exprimer très intéressante. Vous avez appris ça seule ? Et les yeux ne se lèvent plus en sa direction, nymphe loin d'être captive, elle n'est que liberté quand il ne lui donne ;
Jamais assez de son attention.
Pour tous ses sens n'attendent que sa voix ; et que ses lèvres dansent dans l'air, pour en dévoiler des secrets, encore.
Bien plus que nécessaire.
J'ai tant lu de vous. Et pourtant, je n'ai jamais vu quelqu'un qui paraissait aussi...Secret après tout.
Et tête se relève en sa direction, main fine s'arrêtant d'écrire.
Fascinant.
Pourquoi ?

Dis-moi,
Pourquoi tu sembles si proche de moi.
Pourquoi j'te sens à des années lumières de moi !d

♡ busan vibe & olympia (icon) ♡

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et dans les lignes :
il y avait eu poussière d'étoiles.
rires ,, pleurs ,, fougues.
à se déverser comme si en ouvrant les paumes, s'illuminaient les traits des avenirs. quand de leurs éclats aveuglants, à raviver les peines du passées, elle n'y voyait que douceur des tracés, courbes élégantes à venir dessiner les mots comme bijoux ornant les papiers magiques. et si on y écrivait les vœux, viendraient-ils se réaliser ? de ces syllabes résonnant dans les têtes merveilles, dans les larmes offertes à celles qui en absorberaient les salins en silence. car tout ce qui en avait été rédigé n'avait été que paroles des miasmes posés sur les cœurs. enchanter les inconnus : à se prendre à ces jeux malicieux, quand jamais elle n'en avait imaginé les visages aussi harmonieux.

à espérer les diables
dans les froids des cœurs ;
à mourir sans les chaleurs.

car elle n'avait jamais brillé, jaehee, jamais. à perdre tous ses éclats une fois les nuits tombées, quand les journées : le soleil ne faisait qu'éclater les iris, brûler les peaux si fragiles qui ne croyaient qu'aux monstres de minuit. et peut-être qu'entre ces pages, elle y avait vu décadence, passions non fortuites à en faire revivre les myocardes. vivre dans les ombres, de ses passions naissantes, encrées dans les peaux. à se piquer les doigts, laisser les vermillons couler : pour en signer les odes aux regrets. alors il n'y avait qu'enfermée : qu'elle en connaissait les éclats éteints. car peut-être n'en porterait-il jamais les mêmes regards ; quand elle lui montrerait les créatures des limbes.


alors à se faire grande, fleur aux pétales pourris, à ne jamais les montrer au grand jour,  à juste mourir en silence. "moi mystérieuse ? et bien, je prends cela pour un compliment.", que les voix posées en voulaient là comme mélodies, à susurrer les poésies gracieuses, à étreindre les vides des corps qui en hantent les rêves bleus. "et bien vous vous trompiez.", quand de ses doigts si fins, elle en recevait les présents comme les récits d'enfant. à les chérir, les protéger, des maux les plus improbables. "je...vous remercie également.", qu'elle n'avouerait jamais en avoir confié là les infamies d'une vie, les souvenirs d'enfants : comme si tout n'était que conte parfaits.

main délicate levée :
pour commander les boissons des anges,
à en rejoindre un jour les enfers.

de ces caféines qui faisaient sourire, de ces odeurs balbutiant les avenirs. que les souffles n'en effleurent les aurores, que les pissenlits ne s'envolent aux vents si dociles : et un jour, ils arriveraient à en attraper les graines pour les replanter ailleurs. car de ces créations, elle à créer les beautés, lui à faire fleurir les étoiles : jusqu'à en relier les constellations des cieux. dieu en face de lui, à raviver les endroits rêvés , de ses solitudes palabres. à les oublier, quand ses épaules, en semblaient si fragiles. prénom retenu : pour en combler les regards. de ces feuilles entreprises, à laisser les regards curieux en parcourir les écrit. discrets, à ne jamais s'imposer, quand elle voulait pourtant en savoir, ce que racontait les proses sublimes. "hmm ? oh. je n'écris pas réellement souvent. à vrai dire, je n'ai jamais écrit pour personne.", quand ce n'était là que les mots des chansons apprises.

des sensations brûlant les peaux :
à l'aveugler sous les écrits.

tasse réchauffant les paumes, quand tout s'entrechoquait, quand les feux d'artifices réanimaient ses yeux morts depuis si longtemps. "je dois dire qu'entre tous, vous êtes celui qui sait en manier les mots. vous êtes un littéraire ?", car elle en avait lu, des proses, car les livres étaient passés sous ses doigts : pour en occuper les heures loin du monde. et que les regards se relevaient ! pour en gracier les visages mensongers, jusqu'aux paradis inaccessibles. "et bien...sans doute car...j'ai choisi les bons mots. comme vous. j'en ai pourtant bien trop dit sans doute.", que les éclats venaient en embellir les visages : jusqu'à l faire se pencher un peu plus sur la table. "mais je dois dire que vous aussi, vous êtes secrets. vous devez être inspiré, pour en écrire juste là, devant moi. quel est le thème ?", de ces stylos effleurant les papiers sous ses curiosités. et les cafés fumant devant les yeux, trésors aux onyx brillant, peut-être n'était-ce là que les diamants des poètes.
à ouvrir les regards,
intriguer celle :
si perfide.
"alors dites moi.", à murmurer entre les douceurs, laisser pencher les mèches si noires sur les pommettes fragiles. "qu'est-ce qui vous pousse autant à écrire avec une inconnue ? je dois dire que je suis surprise.", intriguée."Jihk. peut-être que si vous m'en dites plus, je vous en dirais également ce que vous voulez savoir sur moi." c'est qu'elle jouait de ces jeux mélodieux. à n'être qu'attraction : sans le vouloir. elle, où les yeux ne s'étaient jamais posés. elle ne savait pas sourire ((faux, tout était faux.)) elle ne savait pas rire. ((quand tout brûlait les gorges)). alors dis moi : pourquoi tu en intriguais autant les regards.

pourquoi avec toi,
entre les mots,
les soleils ne blessaient plus.

♡ busan vibe & olympia (icon) ♡

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Le monde est fade, sans aucune couleur. Le gris s'écoule contre ses phalanges, il n'y a plus rien de beau, plus rien de rayonnant. Il n'y a peut-être jamais rien eux, dans ses orbes sombre, ni joie ni bonheur. Il n'y a jamais rien eu comme l'excitation d'une nouvelle journée, ou comme les désirs de parcourir le monde, d'en découvrir ses secrets.
Il a peut-être tout oublié.
Laissé ces souvenirs dans le fond d'une malle, dans un vieux grenier où plus personne ne vient, pas même pour en récoler les morceaux d'étoiles brisées.
Il n'y a plus rien, pas même ces espoirs qui frappaient son corps d'enfant, qui éveillaient son esprit. Il n'y a plus rien, et il n'y a jamais rien eu de chaud dans sa poitrine.
Pas d'amour.
Parce qu'il s'en moque, de ces affections qui brûlent sa peau.
Il préfère l'hiver et son froid. Il préfère le silence, les flocons qui recouvrent les corps nécrosés, les fleurs endormies.
Il préfère la solitude, Jihk, quand il a apprit à l'aimer ! L'adorer, l'arborer avec fierté sur ce visage beaucoup trop fermé. Il sait qu'il n'y a que lui, et lui seul, dans cet vie où pourtant, des astres brillent à ses côtés, trop aveugle pour en voir leur éclat, voir les mains qui agrippent ses bras pour le tirer vers des mondes nouveaux, pour en découvrir les aventures à la lisière d'un bois merveilleux, pour en observer les nymphes récolter les fleurs divines.
Non, il se perd seul, dans les limbes, observe les cendres à ses pieds, au bout de sa chair qui devient charbon ! Il observe, la déesse qui s'élève faiblement face à lui, mystérieuse, sans un sourire, ô sans un rire pour en briser les glace.
Jamais ? Vous avez beaucoup de talent alors. Vous devriez continuer, même si c'est seulement pour vous. Pour enfin mettre des mots sur les maux qui transpercent les battants, pour un jour, trouver rédemption entre ces pages, contre le grain doux de ces carnets ! Pour un jour, en trouver muse, en trouver oreille pour confier les douleurs profondes,
Les plaies qui ne se refermeront jamais. Alors il continue de l'observer, les mains trouvent chaleur contre la tasse, quand l'autre laisse les proses courir contre le papier. Hm, en effet. A vrai dire, j'étudie les langues étrangères. Mais j'ai toujours porté un grand intérêt à la littérature. Je trouve les mots fascinants. Pas vous ? En laissant les lèvres se courber faiblement, face à la curiosité de ses paroles, de ses yeux qui pourraient bien briller dans le noir, ces deux billes sombres qui renferment pourtant tant de choses qu'il voudrait déjà découvrir, conquérir ! Je pense que j'en ai inconsciemment trop dit également. Mais tout est bien fermé, ici. Entre nous. Vous. Alors que les yeux se relèvent,
Pour en observer sa beauté,
Sa douceur comme le froid qu'elle vient lui infliger.
Elle n'est pas comme toutes les autres, elle est bien plus particulière,
Singulière.
Les paroles sont calculées, pourtant jamais mauvaise pensées. Elle est joueuse, et il aime peut-être ça, quand ça fait vibrer ses entrailles, courber ses lèvres, les pommettes blanches, sans une trace de faiblesse, c'est son coeur qui finira par saigner. La solitude. La solitude me pousse à écrire. Vous savez, je ne peux pas dire que je suis réellement seul. J'ai des amis, une famille, un frère. Pourtant, et j'espère que vous pourrez le comprendre. Mon coeur est vide, un peu froid. Comme un immense trou dans la poitrine. Plus rien n'a de gout, plus rien n'est beau. Tout est fade, tout est gris. Qu'en pensez vous ?

Quand lui aussi, lentement, vient se pencher vers elle,
Curieux de sa réaction,
Curieuse de ses mots.

Vous ne vous sentez pas seule ?

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les mots tanguent :
sans significations.
le monde divague,
sans ses couleurs.
et elle, à n'y voir qu'ombre sous les soleils, peut-être qu'en se couvrant les yeux, elle pourrait enfin y voir là ses éclats si merveilleux. car plus rien n'avait de saveur. de ces sucreries d'antan, à ces mets les plus raffinés. visions obscurcies, à s'imaginer n'en faire que rondes permanentes. de ces coudes accrochés à ceux d'inconnus, à faire valser les chevilles, sourires éteints : sans en connaître les raisons. mais quand de ces lumières tamisées, elle en croisa les regards d'une silhouette au loin : à en reconnaître les iris, quand tout ici n'était que subterfuge. mélancolie, à le connaître sans ne l'avoir jamais rencontré. rêve perfide, où toutes les vérités en avaient été dévoilées. à y avoir glissé les larmes d'un myocarde embué, dans ces pages qui en avaient été lues.
et que restait-il d'elle ?
quand les lumières s'éteindront.
quand il en viendrait à l'oublier.
car elle vivait par procuration, dans ces louanges créées de toute pièce ! c'est qu'elle était si belle, sur les photos de famille, à se tenir comme princesse adulée, comme enfant au coeur si grand : qu'il en viendrait à exploser. car trop volage, gamine à vouloir voyager, voir les horizons se colorer de toutes ces formes de bleus. aux azurs jusqu'aux turquoises, à virer aux beiges crépuscules, quand tout en viendrait s'éteindre également. sentiments inévitables ,, ((恋の予感)) : de ces mots intraduisibles ! quand en forment les proses du bout des doigts. alors Jihk : sais-tu de quelles couleurs viendront emprunter les étoiles pour les déposer dans ses yeux ? quand pourtant elles en étaient si mortes, dans ces opales sans fond.


que les masques avaient été retirés ! et elle ne faisait qu'en observer celui aux devants comme s'il pourrait lui en confier d'autres secrets. et comment faire, pour tout oublier ? de ces peines, aux cauchemars : à en avoir tout confié, dans ces lignes si pures. "à quoi bon ? si c'est pour que personne ne les lise.", quand elle en renfermerait avec elle, tout ce qu'elle n'avait pas pu encore avouer. elle, qui préférait parler aux étoiles ! car personne ne l'écouterait, même si elle voulait en confier tous les secrets. "oh. cela vous correspond bien. mais pour les mots...ils sont fascinants quand bien utilisés. autrement...", à pencher la tête, quand il n'y en avait eu qu'entre ces pages qu'elle avait pu trouver réconfort.
à presque la faire rire,
sous les gestes :
comme boîte refermée.
car tout en était à présent entre leurs doigts, à faire s'évaporer les souvenirs sous les regards. quand plus rien n'en fleurissait, dans ces paumes où les vies n'étaient plus. "c'est bien vrai.", qu'elle en sourirait presque, à se perdre derrière sa tasse, pour y cacher les lueurs entre les pommettes. "entre nous.", qu'ils en joueraient sur les mots, ô merveilles inventée, pour en resplendir les paroles. qu'elle en croiserait les regards ! à ce dire que rien n'était coïncidence. elle n'y avait jamais cru sans doute, à ce que les fils rouges pouvaient provoquer. quand il s'entrelaçaient, venant étrangler les nuques jusqu'à en relâcher les derniers soupirs. mais trop fragile, sans doute, quand les visages l'interpellaient, venaient la captiver, sous ses silences infernaux.

car tout résonnait ,
se teintait de ces couleurs oubliées,
aux frissons imperceptibles.

"oh...", que le dos s'en redressait, à s'en sentir émotive ((percée à jour)). "je vous...comprends sans doute mieux que vous ne le penseriez.", à ne pas reculer les visages ! le contempler, de ces lippes étirées si délicatement. "je le suis, seule. seule avec ce que vous ne pouvez pas apercevoir. seule avec très peu de personnes à mes côtés.", et quant bien même tout lui convenait, à celle de glace : ô les poitrines en étaient creuses ! quand elle voulait se persuader que personne ne pourrait en briser les cages de cristal. "mais vous savez...", qu'elle le regardait comme merveille des cieux, celui qui en faisait vibrer les écrins d'or dans ces prunelles fatiguées. "il faut un rien pour redonner goût à la vie.", qu'elle s'approcha de nouveau, à en poser sa paume sur le torse du jeune homme. "la. juste ici. ça bat encore. alors il n'y a qu'à attendre. on peut attendre ensemble, si vous le souhaitez.", car elle aussi : tout en semblait si mort.
à se lever !
précieuse fleur,
aux fils d'ébènes
entourant les visages.
et personne, n'en briserait son cœur inexistant. "vous m'accompagnez ?", à n'avoir nul part où réellement rentrer. gamine infatigable. "avant que le temps ne se dégrade." l'inviter à parcourir les allées avec elle, retourner dans ces froids immondes jusqu'à n'en crève un peu plus les espoirs. mais accompagnée : que pouvait-elle craindre ? et même que peut-être, les gris s'en transformeraient en azurin, sous leurs pas assemblés.

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Ode aux légendes et aux histoires merveilleuses, à en avoir conté contre les oreilles ; à la frontière du sommeil et de ses songes pour en éveiller les rêves et les joyaux de l'esprit ! Caressant ce doux visage, pour rappelant que l'amour est roi, l'amour est empereur, quand bien même il faut y croire. Ne jamais perdre espoir, ou alors son coeur finira par lui aussi sombrer dans les abîmes ;
Aux côtés des démons.
Et Jihk a perdu tout cette innocence, toute cette passion qui l'habitait lorsqu'il n'était qu'un enfant trop innocence. Il a tout abandonné, troqué contre quelques carnets, quelques feuilles pour en écrire, apposer les mots sur le grain, les pensées qui se promènent dans sa tête, morceau de son âme. A en délivrer les secrets somptueux. Les désirs jamais prononcés, ces douleurs invisibles dans le myocarde, parce que plus que tout ;
Il est fade.
Sans couleur.
D'une solitude qui le ronge.
Il est dévoré par ses démons, par ses pensées, il est dévoré par cette vie sans sens, sans rien pour lui permettre d'avancer. Il est dévoré, par la nécrose du monde, par le poison qui s'écoule dans ses veines comme un sang maudit ! A vivre à travers des fantômes. Personne ne reste éternellement, tout le monde part un jour, tout le monde l'abandonner, quand lui reste là, sans jamais abandonner les promesses faites, sans jamais froisser ces dieux !
Il est seul, plus qu'on ne le pense, et la solitude est reine des damnés, à en noyer les rêves, quand il ne reste plus rien dans le fond d'une carcasse, quand les oiseaux ont tout mangé, son coeur et avalé son âme.
Y'a plus rien.
Pas même de l'or.
Pas même de l'argent.
A peine du bronze.
Il n'y a rien.

Vide.

Mais peut-être qu'en elle, il finirait par trouver rédemption ! La clé de son mal-être, la clé d'une existence où les fleurs finissent par fleur de nouveau. Peut-être qu'il existe des jours meilleurs, des instants plus beaux, des présences solaires comme lunaire ; celles qui ne sont pas sans sens, pas vide.
Pas grise.
Il espère.
Car en elle, il voit le mystère, le mystère qu'il ne peut pas percer. Il voit les mots qu'il ne peut pas deviner, le mal qu'il ne peut pas (encore) soigner. Je peux dire que vous savez très bien les utiliser alors. D'un sourire qui brise le froid de l'hiver, alors que dans ses yeux, il n'y a rien de pétillant. Il n'y a rien de vivant, pas même l'éclat du soleil, pas même l'éclat des étoiles ! Elles sont toutes mortes, elles aussi. Vous ne méritez pas une telle solitude. Les mots sont soyeux, soigneusement prononcés, délicatement enveloppés, comme du cristal, de peur qu'on les briser !
Qu'on vienne en froisser les paroles, en froisser les significations. Il y a des âmes qui ne méritent pas la solitude.
Ni même l'abandon.
Elle en fait partie, quand il pourrait l'entendre pleurer, tout au fond de son être. Il pourrait en voir l'enfant dans son coin, la peur au ventre de vivre ;
De déployer ses ailes.
Et il aimerait sûrement lui dire que tout ira bien, qu'il n'y aura plus jamais de douleur, de cries. Mais il n'en sait rien, car trop aveugle d'un combat qui semble fait rage en elle. Aveugle ; son savoir ne se limite qu'à ses livres et ses mots.
Pas aux coeurs.
Cet organe en qui il ne croit plus.
Alors il la regarde se pencher, déposer sa main contre sa poitrine, la laisser en entendre le battant, le sentir contre sa peau, chaleur qui vient l'atteindre, il ne bouge pas. Vous y croyez réellement ? Mais... Je veux bien attendre avec vous. peut-être que ça en vaut le coup.
Prononcé comme doucereuse promesse, il n'abandonne personne Jihk. Il est toujours le dernier debout, le dernier que l'on voit, lorsque l'on regarde en arrière. Il est toujours là, à tenir des paroles dont tout le monde se moque. Les yeux déposés sur la silhouette qui se lève, alors qu'il l'observe sans plus de mot. Signe de la tête alors qu'il vient l'imiter, corps qui se lève avant de lui tendre son bras. Avec plaisir. La nuit arrive vite en hiver. A en savoir les rues sauvages ! La sureté qui ne semble plus exister dans ce monde, quand à chaque coin, le diable se cache, la faucheuse tend déjà les bras pour en accueillir les âmes délaissées. Où désirez vous allez ? Sans s'en méfier, laissant les pas frapper les pavés, l'air caresser son visage, quand le froid ne sait pas l'atteindre derrière son long manteau. Vous n'avez pas trop froid d'ailleurs ? Si c'est le cas, dites le moi. Je ne voudrais pas que vous attrapiez quelque chose chose. A en laisser le visage sourire, les lèvres courbées quand les attentions sont dirigées vers elle, si frêle, aux allures pourtant si fortes. Dites moi, que faites vous dans la vie ? A tenter d'en deviner les horizons, jusqu'à ce qu'il doive se séparer de sa route.

♡ busan vibe & olympia (icon) ♡

timeless

et les papillons s'étaient échappés.
un à un,
de ces cages fermées.
à ne jamais vouloir rentrer ! ne jamais vouloir revenir ! quand tout y faisait si froid, quand tout y faisait si sombre. enfers déguisés, dans les regards des nymphes, à venir y prendre au piège somptueuse illusion. qu'un jour, elle s'en écorcherait les doigts, à fuir ces mondes invisibles de tous. à courir sans que personne ne puisse la rattraper : car tout au loin, près des précipices, il n'y avait personne qui l'attendait, celle aux iris morts depuis l'enfance. quand les mains n'en attrapaient plus que les froids des hivers, quand de ses doigts, plus aucune chaleur ne s'en dégageait.
car elle était morte, Jaehee.
de ce cœur à ne plus battre.
à se débattre pour survivre.
à avoir pensé ne jamais rien ressentir, en cacher les émotions, derrière ses visages bien trop froids. et pourtant les mots avaient voulu s'y faire une place, se frayer un chemin contre ses peaux pour en réchauffer les poitrines. pour en découvrir finalement : que la seule cage restante y abritait le dernier des papillons. et il battait ! encore et encore, à ne plus se laisser dévorer, quand pourtant tout semblait si dérisoire. et il s'acharnait ! à vouloir vibrer de ses couleurs, quand tout venait à en reprendre goût. quand les papiers l'ayant touché, elle en avait trouver les chemins vers les horizons.

à ne plus courir,
juste s'arrête :
pour fixer les visages.

à le regarder lui, de ses mots si bien trouvés. quand elle s'y retrouvait, dans les peines silencieuses. quand tout semblait en être miroir ! à s'être si bien accrochés, de ces solitudes accrochées à leurs chevilles. et crois-tu aux coïncidences ? quand finissent par se retrouver les esprits sous les mêmes cieux, quand en face d'elle, elle ne pouvait qu'apercevoir frissons et espoirs. "merci alors. si c'est vous qui le dites.", à ne pourtant rien y croire, quand les plumes la détestaient bien trop facilement. à la faire se briser un peu plus, quand tout en semblait si doux. de ses yeux presque étonnés ((touchés)) là où elle ne l'aurait jamais cru. et pourquoi tout sonnait si juste ? quand les vérités en étaient prononcées par lui. "qui sait. peut-être que je ne suis pas aussi sage que vous ne le pensez. mais cela à parfois du bon, vous ne trouvez pas ?" , d'en avoir les esprits libres ! à divaguer, voyager en solitaires, sans en avoir d'obligations collées sur le dos.
à se demander,
si lui aussi :
en aimait les frontières des rêves.
à la réalité.
car sans doute que les myocardes s'en étaient resserrés, à avoir si mal, au fond d'elle, que personne ne pourrait en soigner les blessures. c'est ce qu'elle avait fini par pensé : à n'être assez bien pour personne, à faire fuir le monde, et même lui un jour, quand elle finirait par s'attacher à ces battements sous le creux de sa main. à en montrer délicatesse, curiosité : de ces vies régnant en maître dans leurs corps. car Jihk, toi aussi, tu en étais vivant, qu'elle viendrait lui prouver comme pour se le prouver à elle même. "hmm. c'est peut-être la seule chose en laquelle je crois d'ailleurs. alors autant faire cela à deux.", car elle n'en laisserait derrière elle personne. juste elle, et ses couleurs. à les perdre au fur et à mesure de ses marches, au fur et à mesure de ses pleurs. alors elle voulait y croire, elle, à ces promesses volatiles, à se demander si lui aussi, l'abandonnerait, quand déjà les doigts posés sur son bras ne voulais plus en lâcher les côtés si rassurants. ô ne font que sonner les douces paroles, à ces touchers fragiles : à celui qui en redonnait vie à son quotidien.

jusqu'à se perdre :
à croire rêver éveillée.

"c'est vrai. ça fait tout son charme, à cette saison, non ?", de leurs pas presque trop lents. à vouloir en arrêter le temps ! à espérer ne pas avoir à rentrer avant que ne sonnent les carillons. "hmm...cela dépend d'où vous auriez dû aller avant de me croiser. je ne voudrais pas vous embêter plus longtemps.", murmuré contre les froids, à venir le regarder discrètement. en apprécier les délicatesses de profils, de ses fins sourires si rares. "un endroit qui nous plait à tous les deux. vous aimez le bord de mer ?", car tout viendrait y faire là, bel endroit d'adieux. "oh...non tout va bien. ne vous en faites pas pour moi. je ne faisais que passer, puis je suis très peu frileuse. si j'avais su que je tomberai sur vous sans doute aurai-je tenté de m'habiller plus chaudement. mais la prochaine fois sera sans doute mieux préparée.", à venir mentir !
car ô les corps,
en était si fragiles :
réchauffés de ses présences.
"je suis tailleuse-couturière. je vous montrerai une prochaine fois mon atelier, comme vous m'en avez montré vos récits.", venir promettre là nouveau jour : car tout semblait si triste, à devoir s'arrêter si loin des paysages tant aimés. "j'espère en tout cas que vous vous êtes amusé un peu en ma compagnie.", que les regards s'en faisaient si calmes, que les pas s'arrêtèrent pour lui faire face sans en perdre ses droitures. "on se reverra, n'est-ce pas ?" et tout en semblait si malédiction. peur au ventre, d'en avoir effrayé le seul à en connaître les mondes. à vouloir elle, le recroiser quand les têtes en seraient plus chaleureuses encore. quand tout doucement, à se pencher vers lui de ses pointes de pieds : elle en embrassa l'une de ces joues frappées par les vents, à n'en faire que délicat baiser aux parfums de printemps. simple au revoir, de ces merveilles parcourues. à sourire, comme signe de retrouvailles.
à avoir si peur,
d'en détourner
le dos.

♡ busan vibe & olympia (icon) ♡