CHAPTER 1 ,, love until it burns

et même les plus belles fleurs :
mourraient.
à faner ,, flétrir : sous les touchers. pâlir ,, perdre de leurs belles couleurs. car le cœur ne battait plus comme avant, car les maux en étaient plus impossibles qu'avant. quand les papillons en avaient volés autour d'eux , pour lier les doigts sous les plus beaux des cieux : jusqu'à en avoir perdu leurs ailes une à une. et il les avait arrachées de ses doigts, jusqu'à les rendre inertes. jusqu'à ce que plus rien ne bouge. comme elle. de ces cols roulés, à venir camoufler les peaux ,, ô elle en avait pris habitude, la belle : de ne plus porter légèreté sur les peaux brisées. car le myocarde ne battait plus, face à lui. car les sourires étaient si faux, face au monde. et elle en cachait bien trop son jeu, Ash. à ne rien dire de ces secrets, car personne ne voudrait le savoir sans doute, ce qu'il se cachait derrière les joies tempétueuses.

à ne pas poser de question :
rire et danser ,,
devant les pleurs.

car de ces pieds à rentrer, elle fuyait, elle ne faisait que se cacher. courir pour survivre, après les travails, d'un instrument sur son dos, quand sa plus grande peur était qu'il en prenne des coups. le cacher précieusement ! le protéger comme petit animal, quand au final il n'y avait qu'elle qui viendrait devenir galaxie. car les mains n'en frappaient que ses épidermes ,, que ceux d'une blancheur si pure : que n'importe qui voudrait pouvoir y retracer constellations délicates. alors elle s'était effondrée ,, relevée ,, quand les têtes en avaient pour la première fois cognée les meubles. à avoir tout pardonné ; même quand les bleus en avaient pris sur ses épaules pour se répandre sur les dos éthérés. laisser ses doigts si fin effleurer les marques devant les miroirs, de ces peaux douloureuses ,, aux côtes cassées : elle en fuyait les réalités. car les amours n'étaient plus sans le savoir réellement, à elle vouloir croire qu'elle n'était pas que solitude : quand pourtant elle n'en avait que mensonges auprès d'elle.
alors elle camouflait,
maquillait les pleurs ;
évitait les contacts.
car chaque geste en venait à l'effrayer. sursaut ! quand amis inconnus en venait à toucher ses épaules, à dissimuler les peurs de sourires et de rires. c'est qu'elle en viendrait à se recueillir auprès des fleurs, doucement en sentir leur parfum, quand même les doigts en avaient du mal à jouer sur les cordes. terrorifiés ! ils en faisaient tomber tasses au travail à faire passer pour maladresses. à trembler en permanence, fuir les appartements jusqu'à si tard avant de n'être forcée à rentrer. et quand les cris résonnaient ,, elle viendrait à se cacher de nouveau sous les sanglots.
fuir
mourir ,,
effrayée...

♡ busan vibe ♡