upside down

Hyean était encore dans une espèce de brouillard après avoir perdu Sieun. La scène se redéroulait sans cesse dans son esprit et la colère — elle était si grande, cette colère. Hyean croyait devenir fou à ressentir une colère pareille. Mais il y avait aussi de la frustration, de l'injustice de l'avoir perdue ainsi. Mais aussi de la tristesse ; parce qu'il l'avait aimé ; fort. Elle l'avait aidé sur de nombreux points. Elle l'avait protégé. Elle lui avait permis d'être lui.

Il avait dit qu'il pouvait supporter d'être maltraité, d'être battu, mais pas de la perdre. C'était la seule chose qu'il ne voulait pas et elle ne l'avait pas écouté.

Alors quand il voit cet inconnu au sol, il revoit Sieun s'effondrer. Il revoit le sang s'étaler autour d'elle. Ses pieds le guide jusqu'à la scène et la colère s'empare de lui.

Son poing vole et peu importe les conséquences. La douleur vive qui se propage dans son bras le ramène à la réalité cependant. Ce n'est pas Sieun. Sieun n'est plus et de toute façon elle ne reviendra pas ; quoi qu'il fasse.

Peu importe les conséquences ; Hyean fait ce qui lui semble le plus approprié, avant de sommer à l’autre de dégager avant de lui en coller une autre. Plus jamais il ne permettrait quelqu’un de se comporter ainsi sous ses yeux. Plus jamais il ne permettrait quelqu’un de le persécuter ; parce qu’il savait maintenant que ceux qu’il aimait pouvaient en payer les conséquences.

L’autre s’en va rapidement, mais le mal est déjà fait ; l’inconnu est déjà bien amoché, tuméfié, ensanglanté. Hyean ne sait pas trop quoi faire, mais il prend sa main doucement dans la sienne dans une entrave qui se veut rassurante. La personne semble encore consciente, mais à quel point ?

— Il est parti. C’est fini. Ca va aller, il dit.

Il fait une pause.

— Tu peux bouger ?

Sa voix se fait douce, plus que d’habitude en tout cas.

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upside down

flou ! dans les regards embrumés. c'est qu'il avait soupiré aux rues : de l'épargner juste une fois. à toujours se fourrer là où les visages n'en étaient que trop détestés, et daehyun se demandait parfois, s'il ne valait pas mieux tout arrêter.
pour en épargner
les corps
déjà
tremblant.
quand les jambes n'en bougeaient plus sur les sols, à attendre les coups de grâce ! à pourtant en en voir autre scénario se dessiner sous ses yeux, poing élancé, à faire fuir les monstres des nuits. et lui ne savait pas quoi en dire, quand il devait en sembler si faible pour les autres. honte sans doute au bout des lèvres, à vouloir dissimuler les plaies, essuyer les visages ! quand ils en étaient à présent disgracieux. à ne plus pouvoir en bouger les corps ! à juste en sentir les idées se disperser dans ses pensées, à à peiner en avoir la force de réellement regarder le visage de celui en face de lui.

main pourtant tenue, à tout doucement la serrer. car daehyun en était douceur, malgré les airs amochés. "c'est...rien.", à essayer de se redresser juste un peu, tousser, pour en dégager les poumons, quand les gentillesses s'en dégageant en était des plus réconfortantes. "juste...un peu...j'imagine...", que les mots en étaient un peu hésitants, à pourtant en sentir les jambes défaillir. "je vous remercie...d'être intervenu...", que la voix s'en faisait si fébrile, à pourtant essayer de s'en relever en vain. "v-vous êtes pas blessé ?" s'occuper des autres, quand lui en était sans doute en piteux état à regarder. qu'importe : car il en avait mêlé les inconnus aux histoires si perfides.

à juste être détesté,
de ces visages douloureux.

"il...vaudrait mieux...pas rester là, non...?", articuler faiblement les syllabes, quand de ses soupirs il en exprimait les douleurs, à juste vouloir fuir ! pour ne pas en paraître plus absent de ces corps endoloris, de ces têtes tournant si facilement, à l'abris des regards.

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upside down

Sans s'en rendre compte, les larmes lui sont montées aux yeux. Sieun n'est plus. Il est seul, il le réalise. Il n'y a personne qui pouvait aussi bien le comprendre qu'elle.

Il se bat, Hyean, pour de vrai ; sans savoir vraiment, juste des réflexes acquis après quelques années de harcèlement scolaire. Hyean s'est promis de ne plus jamais se laisser faire, alors il laisse son instant prendre le relais, quitte à mettre un coup de tête à l'assaillant et se retrouver avec le nez qui saigne. Le jeune homme n'aura pas moins de bleus, pas moins de douleurs qu'avant, mais il aura eu le mérite de ne pas se laisser faire, pour éviter que le passer ne se reproduise.

Si seulement il avait été comme ça dès le départ...

Il ne le réalise que quand une larme traître roule sur sa joue. Le jeune homme semble confus, essuie hâtivement son visage. Un mélange d'un grand nombre d'émotions, difficiles à qualifier. Un moment d'égarement, et Hyean reprend ses esprits, reprend cet air si imperturbable qu'il porte habituellement. Ce n'est pas le moment de flancher, il a beaucoup plus important à faire dans l'instant que de se morfondre sur la perte qu'il a subi. Il aurait tout le temps qu'il veut pour le faire, simplement, pas maintenant.

Il se tourne alors vers son interlocuteur pour lui venir en aide dès que les malfrats ont déguerpi. L'inconnu essaie de se redresser, en vain. Il ne peut pas se lever dans cet état.

— Ne t'occupe pas de moi, il dit doucement. Je ne suis pas important en ce moment.

L'autre lui fait noter qu'il ne vaudrait mieux pas qu'ils restent statiques, ceux à quoi le métisse acquiesce vivement.

Hyean se penche en avant et soulève le jeune homme sans trop de difficultés. Il se met ensuite en marche, le plus rapidement qu'il peut, avec la ferme attention de ne le lâcher qu'une fois qu'il sera en sécurité ; c'est-à-dire à l'hôpital.

Pas de temps à perdre, le bilan vital de la personne est peut-être en danger.

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que les douleurs en avaient été si frugales ! à ne s'inquiéter que pour les autres, par peur de les mêler à tous ses problèmes. erreur des plus fatales : quand il aurait voulu en être seule victime de ces nuits insolentes. mais Daehyun, tu n'étais capable de rien, seul. à juste s'attirer problèmes partout, à faire croire au monde : qu'il en était plus que cela.
quand les corps si faibles,
n'en étaient capables :
de rien.
"comment je pourrais...pas m'occuper de toi....alors que tu m'as défendu...?", rire maladroit, quand les regards en semblaient si vides, quand au final : il ne savait pas réellement quoi dire, lui. "pff...n'importe quoi....", quand lui n'arrivait qu'à peine à en bouger ces corps martelés. jusqu'à ce que les mouvements ne s'en fassent brusques ! à se sentir soulevé, quand il n'en avait rien demandé. douleur à l'abdomen, à s'agripper sans ne vraiment comprendre. "qu-qu'est-ce que...tu fais ... ?", que les doigts venaient à s'en agripper aux épaules, à juste vouloir tenter de marcher, quand il n'en était pas aussi faible. "je- je peux...marcher !", qu'il en tentait alors de descendre. trop peu raisonnable, sans doute, quand les mots en remplaçaient souvent les gestes.

à tout doucement bouger,
malgré les douleurs.

"t-tu...vas...où ?", souffle éreinté, à ne pas avoir la force de se débattre. car peut-être que tout cela ne rimait à rien, au final. à se demander, ce que faisait celui qui s'en montrait inconscient. plus que lui, moins que d'autres encore, à ne rien comprendre aux situations, quand tout en était encore flou ! et lui en serait encore fardeau à porter sur les épaules, tant qu'il se laisserait faire ainsi sans se défendre. sans se reprendre, après tout ce temps perdu. "j-j'espère...que tu penses pas...à m'emmener....à l'hosto...? je te préviens...je préfère...rentrer.", enfant pathétique ! à faire celui qui pouvait encore négocier quand pourtant il ne pouvait rien faire. à juste se plaindre, lui qui en était pourtant bien trop souvent si enjoué et calme. et à en être encore là, que trop peu habile dans ses gestes. jusqu'à se perdre dans les regards, de cette nuits trop mouvementée.

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Hyean ne se préoccupe pas du sang qui coule le long de son visage, puis sur son cou. Son propre état n'est clairement pas sa priorité par rapport à l'autre personne, qui est en plus mauvaise posture que lui.

— Je te porte.

Le jeune homme répond à chaque question avec une simplicité évidente, sans artifices, sans explication quelconque ; juste les faits, sans arrières-pensées. L'autre s'aggripe, tire sur son tee-shirt mais n'en fait rien ; il a bien le droit de s'accrocher après tout.

— Ne mens pas.

Parce qu'il ne le peut pas, vraisemblablement, marcher.

— Et tu vas faire quoi chez toi ?

On retourne la question, on déstabilise peut-être sans le vouloir. Il marque une pause :

— Agoniser tout seul ? Jusqu'à que la fin arrive ?

Une autre pause de la part du coréano-japonais. Plus long, peut-être plus réfléchi. Le sang dans son cou finit par atteindre son tee-shirt, le tâche de manière définitive. La texture poisseuse lui est plutôt désagréable.

— Je sais ce que c'est.

Il marque une pause. Mais impossible pour lui de le décrire avec des émotions concrètes à son interlocuteur.

— D'être un poids pour quelqu'un.

Mais les faits, ça il peut en parler. Il omet la partie où la personne est morte parce que l'idée, ce n'est pas que l'inconnu se mette en tête que s'il l'aide il va mourir. Sieun est un cas bien particulier, en rien comparable à ce que Hyean fait.

L'objectif est peut-être d'attiser la curiosité, l'empathie, pour le pousser à oublier le reste, et surtout qu'il l'amène à l'hôpital actuellement ; poursuivant son chemin.

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simplicité évidente : à ne faire que constater les faits, les affirmer ! comme s'il ne savait ce qu'il se passait, Daehyun. à tenter de se libérer de celui qui en avait décidé de l'emmener là où il ne voulait pas, à juste tenter de fuir de nouveau ,, quand pourtant les intentions en étaient si délicates. à ne pas s'y être attendu : quand il en aurait pensé être si seul. "J-Je...vois ça ?!" et il aurait pu en rire, dans une autre situation. pourtant "Bien sûre que si ! Je peux ... juste m'accrocher à toi. M-Mais laisse moi descendre !" qu'il trouvait réponse à chacune de ses paroles, chacun de ses mots, comme pour le déstabiliser. "J-Jusqu'à la fin ? B-Bien sûr...que non...? juste me reposer...!" c'est qu'il ne comprenait pas réellement, Daehyun.
pourquoi :
tout semblait si grave ,,
dans ses mots.
à finir par se questionner, à se demander ce qu'il avait bien pu voir pour en penser ainsi. "p-peut-être...! mais toi aussi...tu saignes.", d'une moue au visage, à tousser tout doucement quand finalement il tenta plus vivement de redescendre, à pourtant essayer de ne pas lui faire mal. "P-Puis même si...je suis un poids lourd...y'a qu'à me faire descendre !", qu'il continuerait à débattre, à tout doucement venir essuyer du bout de sa manche le cou de celui qui ne semblait pas vouloir lui donner raison. c'est qu'il finirait par s'attacher, à le voir aussi dédié, quand le monde tournait bien trop étrangement autour d'eux. curiosités qu'il ne voulait pas laisser s'échapper pour ne pas poser trop de questions.

tenter d'en trouver ;
stratagème :
diversion.

"C-Chez moi...c'est mieux ! J-Je pourrai.....te soigner....t'offrir un café....ou un thé !", qu'il en tentait de ne pas trop grimacer, à s'agripper pour ne pas tomber ,, quand les mots en devenaient complexes la tête vers le bas. c'est que le corps en était douloureux, c'est que tout semblait vaguement tanguer de là où il était. à presque en avoir le mal de mer : quand pourtant les yeux se fermaient de fatigue. "Ca...sera plus tranquille aussi...", à en être persuadé, qu'ils n'auraient pas besoin d'aller là où le monde était trop blanc.

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upside down

— Arrête de gigoter, il dit platement.

Le fait qu'il bouge dans tous les sens ne l'aidait pas, l'empêcher de marcher convenablement, l'obligeant à ajuster beaucoup plus régulièrement la manière dont il le porte, à le repositionner et éventuellement, à lui cause davantage de douleurs.

— Tu veux t'accrocher mais tu peux pas marcher. Tu vas te faire plus mal qu'autre chose, c'est pas l'idée, ok ?

Il était agacé Hyean ; parce qu'il essayait de faire bien, de faire mieux, il essayait de protéger, de faire en sorte que le passé ne se répète pas et que le passé ne se reproduise pas.

— Je saigne juste un peu du nez, c'est rien.

Il soupire. Au pire, il a le nez cassé, mais il devrait s'en remettre, comparé à celui qu'il porte, qui est dans en état bien plus lamentable que le sien.

— J'étais pas en train de dire que t'étais un poids. Laisse tomber. Et pourquoi tu m'essuies juste pour gigoter dans tous les sens ?

Il se laisse faire, Hyean, cependant, parce qu'il sait qu'il ne lui veut pas du mal, et qu'il veut lui montrer qu'il accepte l'aide qu'on lui propose.

— Ecoute. Là, je pense qu'il faut vraiment que tu ailles à l'hôpital. Et ils pourront s'occuper de mon nez aussi.

Un argument de plus. Une façon de dire qu'il ne serait pas seul aussi, qu'il resterait lui tenir compagnie, un temps du moins.

Ils n'avaient pas besoin d'être tranquilles, ils avaient besoin de soins avant tout. Hyean continue à marcher, accélérant le pas quand il voit que l'autre commence à perdre connaissance ou du moins à perdre sa lucidité. Il l'ajuste de nouveau dans ses bras.

— Arrête de prétendre que tout va bien. Tu vois bien que c’est pas le cas.

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à tout doucement se calmer, sous les autorités si calmes ,, quand les bras n'en faisaient plus que se tenir à son cou du moue au visage. "pff. toi aussi tu peux à peine marcher dans ce cas...", qu'il ne voulait pas être vu en tant que victime, Daehyun, quand les états en semblaient tout aussi compliqués. abîmés ! à comprendre qu'il ne voulait que bien faire.
sans jamais :
en remettre en doute ,
ses attentions.
"je vois bien...que t'essaies d'aider mais...c'est pas nécessaire.", quand il avait toujours réussi à s'en sortir, Daehyun. ne pas dépendre des autres, simplement se débrouiller par lui même pour atteindre tout ce qu'il désirait. et sans doute n'avait-il tout simplement pas l'habitude que l'on ne s'occupe ainsi de lui : surtout par un inconnu. à se calmer peu à peu, quand il en détestait les hôpitaux, celui apeuré du monde. "c'est pas rien...de saigner un peu du nez.", qu'il en bouderait presque, de ces maux de tête, à en faire l'enfant têtu qu'il n'avait jamais été. "et si on essuie pas...tu vas être couvert de sang.", quand il aurait lui en éviter toutes ces horreurs : pour ne pas le mêler à ses erreurs à lui.

naïf ,,
à se penser seul :
face au monde.

"j'ai pas la force...de me battre avec toi.", qu'il en soupirait, à essayer de se maintenir au mieux, quand pourtant il en était si fatigué, le danseur ,, à devoir croiser les regards avec n'importe qui. "fais ce que tu veux...", quand lui ne voulait que rentrer chez lui, à juste préférer pouvoir se blottir dans ses draps, retrouver celui qu'il aimait : sans ne plus avoir à penser à cette journée.
être sans doute un peu maudit,
à en attirer,
que malheurs.
"je te préviens....j'y resterai pas longtemps...", que les murmures se faisaient légers, à resserrer ses doigts autour de ses épaules. "j'aime pas...les hôpitaux.", nez froncé ! quand tout lui paraissait si lointain. "je peux pas rester dehors...pendant que toi...tu soignes ton nez ?" , à tenter de négocier ! à être presque enfantin, quand les situations ne s'y prêtaient pas.

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upside down

Celui qu'il porte finit tout de même par se calmer, et à cesser de se débattre, finissant par s'accrocher à son cou, ce qu'il laisse faire de gré.

— Je marche pas avec mon nez aux dernières nouvelles.

A souligner la remarque ridicule de l'inconnu, et c'était vrai, avoir le nez qui saigne ne l'empêche pas de marcher en soi, et puis le saignement commençait déjà à se calmer ; peut-être que finalement, son nez n'était pas cassé. Le medecin lui dirait ce qu'il en est tout cas.

— Comment tu comptes faire, si je t'aide pas ?

Il était impossible pour Hyean de l'abandonner à son triste sort.

— C'est pas grave, je porte que du noir, ça se verra pas. Pour le reste... Ca partira.

Comme s'il avait réponse à tout, et pourtant, il n'a pas tort, Hyean. Il n'exagère pas, dit simplement des faits avérés. Trop rationnel dans une situation comme celle-ci.

— Je resterais avec toi.

Il dit simplement, parce qu'il se dit qu'il n'a pas envie d'être seul, qu'il a peur peut-être. Mais Hyean n'en sait rien au fond, les émotions c'est pas son fort.

— J'ai pas dit que tu devais rester longtemps.

Du moment que les soins était apportés et qu'il s'en sortait, pour le reste, ça lui importait peu.

— Non. Ca n'ira pas. Il faut te soigner aussi, pour que tu restes en bonne santé. C'est important.



Jeune homme têtu, qui refuse d'abandonner un inconnu à son triste sort. Hyean refusera toute tentative de négociation.

Ils rejoignent alors une rue plus animée, non pas sans attirer les regards, mais s’ils veulent aider, grand bien leur fasse. Personne ne le fait cependant, et Hyean se rapproche dangereusement de l’hôpital, alors que ses bras commencent à fatiguer, en témoignent les tiraillements qu’il éprouve. Il ajuste l’inconnu de nouveau dans ses bras, soulageant sa peine seulement quelques secondes avant que ça ne tire de nouveau.
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upside down

à arrêter de bouger ,, faire comme s'il ne pouvait plus rien y faire à présent : ô peut-être finirait-il par bouder toujours plus, finalement, sous ce qu'il ne pouvait pas contrôler. à finir par le regarder seulement de temps en temps ! de son nez froncé, de ses sourcils hérissés. "pff, fais pas comme si tu comprenais pas ...", soupiré là, comme presque trop exténué pour débattre. "hmm...me débrouiller ?", car en réalité, il n'en avait jamais autant été aidé, autrefois. alors de tous ces arguments donnés, il ne savait pas réellement quoi en dire, quand tout en semblait si absurde.

à ne pas vouloir ,,
réfléchir plus :
à la situation.

à bouder alors comme enfant, quand pourtant le jeune homme tentait d'en rassurer celui qui en était bien trop irritant sûrement. "hmm...", alors murmuré, quand pourtant il en clignait des yeux pour rester concentré. "pourquoi tu trouves ça si important, de m'aider ?", à se demander, au final, pourquoi il en faisait autant pour lui alors même qu'il ne le connaissait pas. "puis regarde tu fatigues. fais moi descendre, je te suivrais, pas besoin que tu finisses par perdre tes bras parce que je suis lourd...", qu'il plissa tout doucement du nez alors même qu'il l'en sentait tout aussi épuisé. "y'a une pharmacie juste là...c'est plus proche et plus rapide. ils sont tout aussi doués tu sais ? puis on aura pas à marcher plus...", même si l'hôpital n'en était sans doute pas très loin du tout ,, tout était bon à prendre. "puis je suis sûr que mon cas est pas si grave...mais le tiens...tu saignes presque plus que moi..." et il ne ferait que se répéter : qu'au final, lui importait peu.

"puis tu sais, c'est cher l'hôpital...surtout à cette heure là...autant faire une pierre deux coup non ? comme ça on pourra récupérer des médicaments...au passage...puis faudra bien que je te remercie...?", tentative désespérée, à essayer de venir mettre les pieds au sol pour ne plus se laisser transporter si facilement. car si celui qui venait l'aider en était aussi téméraire, alors peut-être que lui n'en serait qu'agaçant face à tout cela.
à pourtant :
ne vouloir qu'aider un peu,,
lui aussi.

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upside down

Il pensait constamment à Sieun, à tous les regrets qu'il avait, de ne pas avoir réussi à la protéger. Cette impuissance le rongeait et il était hors de question qu'il laisse les erreurs du passé se reproduire. Ca le rendrait malade de revivre ce pour quoi il est déjà passé. Il savait que sa vie avait été particulièrement horrible – il avait d'ailleurs compris qu'il se devait d'en parler le moins possible, tout le monde n'étant pas prêt à entendre tout ce qu'il avait traversé.

— C'est vrai, il rétorque simplement.

Non, définitivement, Hyean ne semble pas comprendre ce que l'autre souhaite réellement dire. Après tout, il n'est pas doué avec les émotions, que ça soit les siennes ou celles des autres, et il est souvent très mauvais pour comprendre les sous-entendus. Soit parce que son cerveau ne fonctionne définitivement pas comme celui des autres, soit parce que son père l'a vraiment bien cassé.

— Te débrouiller, hein....

Le silence réside un petit moment entre eux, avant que celui qu'il porte lui demande pourquoi il met autant d'énergie à l'aider.

— Parce que...

Il hésite un moment, se mord la lèvre, avant de choisir la réponse honnête.

— J'ai pas pu aider celle que j'aimais... Elle se faisait harceler.

Il choisit la version courte. Parce que la vérité, c'est que lui aussi il en était victime de ce harcèlement. Il était le premier à en avoir souffert, et c'est en voulant le protéger qu'elle en était devenu victime aussi.

— Je sais que ça n'a rien à voir avec toi. Mais ça a voir avec moi.

Un long silence s'en suit de nouveau. Effectivement, ça ne regardait pas l'inconnu. La culpabilité qu'il éprouvait à l'égard de son premier amour qu'il n'avait pas pu sauver ne regardait que lui, et personne d'autre. Hyean avait probablement cassé l'ambiance aussi, mais il est loin de s'en rendre véritablement compte, toujours un peu à côté de la plaque.

— Bien sûr que je fatigue, tu gigotes dans tous les sens. Ca serait plus facile si tu te tenais tranquille.

Pas de filtre, Hyean dit simplement la vérité. A ne pas vouloir être porté, il s'agite dans tous les sens.

— Non. On sait pas, peut-être que tu as quelque chose de cassé ou autre chose de grave.

Il est têtu, le coréano-japonais, à vouloir absolument aller à l'hôpital. Ils attendraient autant de temps qu'il faudra, mais il fallait qu'il voit quelqu'un pour être sûr qu'il va bien. Il ne voulait pas partir sans s'en être assurer.

Hyean réajuste le blessé dans ses bras une nouvelle fois, puis continue son chemin vers l'hôpital.

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et peut-être que Daehyun devrait en laisser tomber le morceau : à voir le jeune s'accrocher autant qu'il le faisait à vouloir l'aider. étrange dans son regard ! à n'avoir jamais vu inconnu y mettre autant de soi pour en aider quelqu'un d'autre, alors la voix s'apaiserait, finalement, à tenter d'en comprendre chacun des gestes et mots. "hmm me débrouiller...", quand même son voisin n'en semblait pas convaincu ! à peut-être ne plus l'être trop non plus lui aussi, finalement. d'un silence installé : à venir pourtant en confier là ce qui pesait tant sur les épaules. ô peut-être n'aurait-il pas dû demander, Daehyun, quand les vérités prononcées...

tout semblait
s'écrouler !

à l'attrister tout doucement, à en être bien trop empathique, il finirait par se laisser faire ,, si cela pouvait en apaiser un peu les âmes. "oh je vois...je suis...désolé. t-t'es pas...obligé d'en parler...après tout on se connait à peine...", qu'il ne voulait pas insister plus ! à juste finir par se terre pour ne plus en creuser un peu plus les catastrophes. regard qu'il ne savait pas où poser réellement,  sans que les inquiétudes ne viennent s'attaquer à lui. peut-être aurait-il dû finalement : se faire muet ! jusqu'à ce que les rires pourtant ne viennent tout doucement s'insinuer dans les discours, quand lui viendrait presque s'en amuser. "pft...désolé Monsieur...mais peut-être que si tu me laissais au sol je bougerai plus !", qu'il sourit tout doucement, à pourtant ne plus bouger,  s'accrocher juste un peu pour finir par reprendre. "c'en est presque mignon.", qu'il l'observa un instant.
corps réajusté :
dans les bras ,,
jusqu'aux destinations.
du bâtiments atteints, il tapota tout doucement l'épaule du jeune homme, à pencher un peu la tête en arrière fatigué. "ton calvaire est fini ~ pose moi maintenant...au moins sur une chaise tu veux ? sûr qu'on va s'occuper de nous.", qu'il prononça tout doucement, sans trop faire de bruit ((car les têtes en étaient douloureuses)) "y'a que ton nez qui a pris ? t'es sûr ?", qu'il le fixa un instant des yeux, avant de tenter d'interpeller un infirmier qui traînait par là en en montrant le visage du plus grand comme pour l'inviter à le regarder en premier. car il n'avait rien de cassé, Daehyun, a le savoir si bien ! quand il en avait déjà subi les pires horreurs : et celles-ci n'en étaient rien du tout, au final. alors juste un instant, il en reprendrait conscience ! à privilégier celui qui l'avait transporté ici, sans ne même réellement lui en laisser le choix : quand il savait qu'il ne se laissera sans doute pas faire, là aussi.

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Et Hyean n'avait aucune idée à quelle point sa révélation pouvait être lourde pour son interlocuteur. Dire la vérité lui semblait simplement la chose la plus appropriée dans cette situation, bien la cruelle réalité que cette vérité pouvait bien représenter. Peut-être qu'il n'aurait pas voulu savoir ça.

— Ca me dérange pas d'en parler... Je crois.

C'était plutôt difficile à dire pour l'étudiant en cybersécurité. Ses émotions vis-à-vis de cet évènement étaient très complexes, beaucoup plus imprévisibles qu'il ne le croit.

Le silence se prolonge pendant un long moment, et c'est au bout de ces longues minutes qu'il comprend qu'il a peut-être jeté en froid en étant aussi franc.

Hyean continue à avancer, et la discussion finit par reprendre naturellement, l'inconnu se met même à rire, l'appelle monsieur. Il ne manque pas de sourire à son tour, un peu plus sur la réserve, ne sachant pas réellement pourquoi il doit rire.

— Hyean. C'est mon prénom.

Il s'entête à préciser, comme si ça n'était pas suffisament évident. Puis il marmonne :

— Je ne vois pas en quoi...

Mais au moins, celui qu'il porte a arrêté de remuer dans son dos. Le chemin se poursuit, encore et toujours. Il ignore depuis combien de temps réellement il marche et depuis combien de temps il le porte. Finalement, Hyean se sent fatigué. L'adrénaline qui commence à redescendre peut-être ? C'est maintenant l'hôpital qui apparaît au loin, et après encore quelques minutes de marche, ils seront tous les deux rendus. Son compagnon n'hésite pas à lui rappeler, une fois de plus, de ne surtout pas oublier de le poser, ce qu'il ne manquera pas de faire.

— Oui. Sur une chaise.

Il accentue la fin de la phrase. Il entre dans le bâtiment des urgences, puis il le pose directement sur un siège, avant de se laisser tomber à côté. Le jeune homme ne dit rien, il ne sera pas le premier à tendre le bâton pour se faire battre.

— Oui je crois. Le reste est juste fatigué je suppose.

Un infirmier fini par arriver rapidement, alarmé très certainement par leur état déplorable. Son interlocuteur fait en sorte qu'il soit ausculté en premier, mais Hyean s'y oppose fermement.

— Lui d'abord. J'ai du le porter jusqu'ici. Je peux encore attendre. Ca va. Je dois juste avoir le nez cassé.

Il savait que l'infirmier privilégierait le cas le plus grave un premier, et un nez cassé n'en faisait pas partie.

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upside down

moue au visage à prendre place comme si rien n'allait, à froncer toujours plus du nez comme un enfant mécontent. c'est que perché là haut, sans ne savoir comment réellement aider, n'était pas vraiment ce qu'il préférait faire. gamin à avoir besoin de bouger, de ne plus réfléchir à ce qui l'entourait quand les corps en empêchaient les mouvements : pourtant pas jusqu'au point de ne pas pouvoir se déplacer. de ces sujets pourtant effleurés du bout des doigts, il en avait cessé ses enfantillages ,, pour essayer d'en percer un peu les silences si pesant. "hmm...mais je veux pas que tu te sentes obligé...après tout c'est forcément le genre de truc dont on veut parler aux autres...même si c'est plus facile avec des inconnus apparemment ?", épaules à tressauter, car en réalité il ne savait pas vraiment de quoi il parlait.

lui qui n'en connaissait ,,
que bonheurs :
presque parfaits.

"Hyean alors...enchanté. moi c'est Daehyun !" sourire aux lèvres pour en saluer les quelques présentations finalement faites. "puis si ... ! aider quelqu'un comme ça et être aussi têtu. on peut dire que c'est mignon.", qu'il affirma sans ne même hésiter, presque légèrement détendu. vérité à ne faire que sortir en permanence, il ne mentait pas souvent, au final : sauf quand cela s'imposait. mais réfléchir ainsi avait le don au moins de lui faire passer le temps, pour celui qui n'était pas dans la situation la plus complexe encore. Hôpital enfin atteint pour en reposer les quelques poids sur les épaules, il le regarda un instant en acquiesçant avant que quelqu'un ne les approche sans qu'il ne puisse en dire un mot. "et moi c'est pas si grave !", d'un avis qui ne compterait pas finalement : quand il en serait pris en charge en premier.
longues minutes ,,
à s'écouler :
si lentement.
quand d'une béquille il en reviendrait en atèle et couvert de quelques bandages sans que pour autant il n'en perde son visage boudeur. "pff. regarde le résultat....", nez à se froncer quand il l'observa un peu plus en se penchant vers lui. "au moins je peux enfin voir ton visage ! c'est pas plus mal vraiment..."[/b, d'une main à venir frotter tout doucement sa nuque, avant de n'en reprendre : à beaucoup trop parler. [b]"ils ont regardé ton nez du coup ? parce que même si c'est juste cassé c'est quand même important...ils t'ont donné de la glace ?" c'est qu'il s'inquiétait, de l'avoir entraîné dans tout cela, celui aux couleurs toujours accrochées sur les cheveux. enfant toujours perdu, à vouloir en voir les sourires ravir les visages, malgré les situations bien trop critiques. à avoir peur : de tout briser de nouveau.

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upside down

Il réfléchit longuement le jeune homme, laisse le silence plâner sans se soucier du temps qu'il dure. Il penche la tête d'un côté, pensif, puis de l'autre, avant de dire :

— Je peux en parler. C'était il y a longtemps. J'ai l'habitude...

Il a un petit sourire triste, l'air de dire : "je me suis habitué à son absence". Et c'était vrai. Sieun lui manque terriblement, tous les jours. Cependant, il ne se sent pas aussi dévasté qu'au début, son coeur ne lui fait plus aussi mal. C'était dur d'oublier la personne qu'il avait jamais réellement aimé, mais surtout, qui l'avait aimé en dépit de tout, et c'est pour ça que Hyean, encore aujourd'hui, lui accordait toujours autant d'amour. Après tout, elle était aussi la première.

— Ils l'ont tuée... il explique simplement.

Il ne sait pas quoi dire de plus. C'est difficile pour lui de s'exprimer auprès des autres, de se faire comprendre – et c'était ça qui avait amené à la disparition de sa bien aimée.

— Daehyun, il répète, comme pour s'assurer qu'il a bien enregistré l'information.

Hyean a du mal à dire qu'il est enchanté également ; c'est bizarre comme expression, à ses yeux, et il ne fait qu'esquisser un léger sourire à ses dires.

— J'ai fait ce qu'il fallait faire.

Pragmatique, ni plus ni moins, réponse dénuée d'émotion. Il hausse les épaules. Hyean est un personnage pour le moins particulier, à lui tout seul, et peu de personnes acceptent sa personnalité alambiquée et prennent le temps de le comprendre. L'étudiant ne ment jamais ou du moins, pas intentionnellement, et il a parfois tendance à être trop direct ou franc, en grande partie parce qu'il a dû mal à faire la différence entre le bien et le mal.

Daehyun est finalement importé par le personnel médical à peine quelques minutes plus tard. Hyean se retrouve alors seul un petit moment, avant qu'on vienne le chercher de nombreuses minutes plus tard. Il passe de son côté ses propres examens, est soigné par les médecins qui prennent soin de lui.

— C'est fêlé juste. J'ai de la chance apparemment.

Il hausse à nouveau les épaules.

— Il dise que ça aurait pu déformer mon nez. Que c'était dommage. Je sais pas pourquoi...


Il se gratte l'arrière de la tête, un peu gêné. Un nez ce n'est pas si joli non ? Finalement, Hyean semble assez peu préoccupé par son apparence, aussi étonnant que cela puisse paraître.

— J’ai mis de la glace mais c’est plus très froid…

Le sachet était déposé à côté de lui sur le siège.

— Et toi, alors ?

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upside down

longue réflexion ,, quand les discussions en semblaient prendre des tournants bien différents ; il laissait le temps de parler, Daehyun, à ne rien vouloir forcer, à ne pas vouloir brusquer les mots. alors il écoutait, alors il fronçait un peu du nez, tête à se hocher dans ces souvenirs de temps presque trop lointains : et pourtant qui en semblaient gravés dans les peaux sans ne jamais disparaître. "c'est pas parce qu'on est habitué à quelque chose...que ça reste pas douloureux....", qu'il murmura légèrement, à s'accrocher un peu plus quand de quelques paroles il se tendu pourtant un peu plus. "oh...je vois..." et pourtant il n'y comprenait rien ! à simplement s'imaginer le pire sans vouloir trop en demander. "ça doit être dur quand même..." blessure qu'il ne pouvait même pas imaginer ,, à ne sans doute pas pouvoir comprendre ,, quand lui n'avait jamais perdu personne dans ce sens. et peut-être était-ce lui-même, qui avait été tué, quand il n'était plus réellement ce qu'il voulait être depuis les accidents. à en avoir douleurs bien différentes !
encrées là ,,
sous les épidermes
déchiquetés.
d'un prénom prononcé comme le mémoriser, il en traça énorme sourire sur ses lèvres, légers rires pour acquiescer : quand tout en semblait plus délicat encore. "ce qu'il fallait faire...peut-être ! mais j'en pense pas moins !", c'est qu'il en était presque convaincu que bien que calme et silencieux, le jeune homme en avait cœur bien plus grand qu'il ne le pensait. opposé de celui : qui ne voulait que bouger encore et encore. et finalement, à devoir être rapidement séparés par les médecins, il avait presque hâte d'en retrouver son ami d'une soirée, à en avoir presque couru : habile des béquilles ,, à les connaître par cœur. ""félé...? quand même..., qu'il en avait presque l'air plus triste que le jeune homme, avant de n'en rire tout doucement. "ça c'est parce que tu as un beau nez ! avec un beau visage ! c'est harmonieux...! ça aurait été dommage...", qu'il hocha vivement de la tête.

convaincu :
de ses dires.

"tu veux que j'aille en demander un nouveau ? de sac de glace...", qu'il observa celui vide, avant de s'asseoir à côté de lui pour en reposer un peu sa jambe. "oh euh..j'ai une petite entorse. rien de bien méchant. et quelques trucs foulés mais bon c'est rien. ça m'empêchera pas de bouger partout !", à vouloir en faire le fort ! quand il en avait l'habitude de ces quelques douleurs. "je veux te remercier ! t'as faim ? ou alors t'es pressé peut-être...après tout je comprendrai que tu veuilles te débarrasser de moi !" et il aurait aimé pouvoir payer pour lui les quelques soins reçus, à ne pas vouloir partir les mains vides ainsi : alors qu'il n'avait encore rien fait ,, pour en montrer ses gratitudes les plus infinies.

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