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demons in the night | saebyeok
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Sujet: demons in the night | saebyeok -- Dim 8 Nov - 14:29
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imposture des anges immortels,
défaite des empyrées illusoires.

ô et c'est le chaos qu'elle crée quand elle marche dans les rues de la ville. masque noir dévorant le visage, cheveux en batailles car elle se moque bien de ce chignon qui ne ressemble à rien. et sur le dos, le sac remplit de ces bombes colorées qui lui permettent de laisser place à ses plus belles créations, murs devenant son terrain de jeu.

et tu te crois invincible gene,
mais tu n'es qu'un cafard que l'on piétine sous le poids du monde.
démon dans les yeux de cette société nécrosée par la technologie.

alors elle trace son chemin, route qui la mène jusqu'à haeundae district, quartier où souvent elle se laisse déborder par les imaginations échelonnées qui prennent place dans le cerveau meurtri. car elle veut hurler au monde entier, gene, la douleur qui l'accuse de l'intérieur quand elle est responsable de sa propre souffrance. gamine qui s'est délaissée de sa vie de luxure et de dorure pour une menée à des kilomètres de son pays natal, de sa famille avec qui elle a rompu tout contact. ô car le frère est mort, et plus rien, ne sera jamais plus comme avant. les ronces sont venues s'accrocher aux pores de l'épiderme, aux poignets décharnés et suinte au travers la chair les remords gangrénés. mais ce soir, ô elle n'a pas envie d'être seule la gosse esseulée, elle veut que les âmes la rejoignent pour une nuitée où les conneries viendront s'amonceler comme chaque fois qu'ils sont réunis ; même si au fond, il n'y en a qu'un seul qu'elle veut réellement voir, sae. duo infernal, duo incontrôlable, à eux deux, ils sont les pires terreurs que busan puisse compter. insupportables s'ils se retrouvent dans un même lieu car c'est à celui qui inventera la plus belle erreur à commettre, la meilleure solution pour déchainer les foudres des dieux sur leur mont olympe.

ô c'est qu'elle cherche la gamine,
la haine qu'on vient lui marteler dans le crâne.


et peut-être que c'est ce qu'elle mérite,
peut-être que c'est tout ce dont elle a besoin.

juste pour exister.

alors le téléphone entre les paumes ravagées.
le sourire au creux des lèvres,
et les doigts qui s'acharnent en tapant à toute vitesse.

hey sae,
ça te dit de me rejoindre à haeundae ?
je suis au parking désaffecté.

et peut-être qu'elle a préparé son coup la brune.
peut-être que cette histoire était déjà déterminée.

comme prédestinée.

mais elle est jamais patiente, gene, c'est pas dans ses gênes, c'est pas dans ses habitudes, d'attendre, de laisser les autres dicter et conduire sa vie. alors elle se dépêche de rejoindre le mont de ses merveilles, là où les bombes viennent se perdre contre le sol et où la musique résonne dans les oreilles. alors qu'elle laisse les phalanges s'agitaient rapidement pour commencer à tracer les contours de sa nouvelle oeuvre. toujours pour mieux réduire à néant le dark vice et sa corruption impromptue. celle qui infecte les battants, celle qui détériore les pensées de toute une population qui se croit libre de voir les choses par elle-même. ô comment ils se trompent, car s'ils voyaient de quoi ce système est capable, peut-être prendraient-ils tous la fuite ? peut-être qu'ils regarderaient d'un oeil différent cette application qui s'appelle vice. et elle se marre, la candide, car rien que le nom, devrait laisser entrevoir, que les intentions premières, n'ont jamais été les bonnes.

mais qu'importe,
ce n'est pas elle qui est à leur merci.
mais tout un monde qui se doit d'enfin ouvrir les yeux.
Yoon Saebyeok
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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Lun 9 Nov - 19:26
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Amertume d'une journée sans fondements, délicatesse d'un boulot qui lui ne faisait que le fatiguer encore et encore, comme les idées néfastes qu'il refilait à ceux qui osaient l'approcher de trop près. Mais il était nécrose pour les lippes si diffuses, alors qu'il naviguait sur les flots du Styx en permanence, pour y sombrer encore et toujours. Ô mais il plongeait, et il n'en ressortait jamais, car lui ne faisait que couler sans que personne ne le rattrape, sans que personne ne veuille rattraper ces mains si désastreuses. Ô cauchemar éternel qui ne faisait que faire craindre les foules sans avenir. Lui ne voulait que hanter les esprits qui le faisaient fuir le jour. Car il était celui qui massacrait les rêves; aux côtés des âmes en peine qui l'accompagnait, sous les astres luminescents qui effleuraient leurs échines si délicates. Alors il se laissait aller celui aux facettes de ces nuits sans fins et si dissipées. Et travail enchaîné, heures qui s'articulaient sous ses mains si habiles, il y avait eu ce téléphone qui avait vibré, dans les poches si ridicules. Yeux qui naviguaient, alors que le temps ne lui laissa que la peine venir écrire paroles sans sens, aux yeux d'une créature si délicate. Et Gene, car les beautés ne faisaient qu'émerveiller ceux qui en avait les cœurs brisés. Morceaux parsemés, alors que les doigts se déchaînaient.

J'arrive.

Sous les paroles ridicules, lui qui avait fuit le travail : car ô tout le monde savait que les heures, il n'en faisait que trop. Charme inéluctable, d'une fine figure qui dans la nuit, disparaissait comme ces silhouettes sur les murs décharnés. Et peut-être était-ce la seule personne qu'il arrivait à supporter au quotidien. Peut-être était-ce seulement parce que les astres se ressemblaient sous les mêmes étoiles, les mêmes constellations : tristesse des soirs où l'ivresse disparaissait sur les fêlure d'un monde délabré par les vices et la corruption. Alors les pieds se déchaînaient sur les bitumes éteints, ceux qui grésillaient d'un doux son les semelles amochées d'un gamin bien trop fureur. Poison qu'il laisserait l'envahir si quoi que ce soit n'osait s'approcher de lui d'un peu trop proche; car il les connaissait, ceux qui naviguaient pour dégrader les âmes trop pures. Mais il ne fallait pas se laisser avoir : car lui n'était qu'un démon dissimulé sous les visages angéliques, qu'un monstre comme l'on en connaissait.

((court, court, gamin, avant que les ombres ne t'attrapent.))

Et les murs l'entouraient, pris sous ce masque dissimulateur : car il l'a cherchait de ses opales si éteintes. Il aurait pu lui donner un nom, celui de méfaits de la jeunesse, mais respect étrange qu'elle avait su imposé, sur les pulpeuses d'un ignorant comme lui. "T'es là ?" qu'il laissa s'enfuir, lui si ironique de ces mots incertains. Et il parcourait des yeux, ceux risibles qui n'exprimaient que la haine d'un brasier éternel. Sans doute était-ce lui qui brûlerait en Enfer par ses vices contraignants. Voix qui résonnait sous ces murs de béton, noirceur d'un bâtiment bien trop vide pour y faire comprendre la loi. Délicatesse des brises d'une carcasse dévastée par le temps, où seul les murmures du temps l'entraînaient. "Gamine ?", car lui ne connaissait que l'affection des surnoms maladroits, aucune poésie qui devait en agacer certains : mais il n'y avait pas à y voir une quelconque dégradation. Car il l'utilisait avec affection, chose qu'il ne savait pas exprimer, chose qui l'effrayait, mais qui pour autant étaient marquée dans chacun de ses gestes contradictoires, chacun de ses regards, chacun de ses souffles.

((jusqu'à ce que les myocardes ne crèvent encore.))


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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Mer 11 Nov - 17:46
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calomnie des dieux
ô olympe devient tartare des nymphes

mélodie qui semble bercer les songes éphémères de ces nuitées où perlent les harmonies abstraites d'un monde renouveau. et tout devient futile à ce que les regards ne cherchent observation dans cet univers dénudé de sens. peut-être, est-ce cela qu'elle souhaite, gene, retrouvé un semblant d'une vie passée qu'elle a souhaité effacer pour ne plus jamais y retourner. fille de l'excès, dépravation de cet argent coulant à flot. voilà qu'elle n'est plus qu'une simple marginale qui se retrouve au bord d'un gouffre sans fond — et le noir l'engloutira-t-elle si elle saute ? elle voudrait connaitre les réponses aux questions qui ne cessent de venir enfermer l'esprit dans un parallélisme diffamatoire. car serait-elle ici, aujourd'hui, entre ces murs à repeindre les fragrances mordorées d'une haine subtile s'il était encore là, à ses côtés. peut-être bien qu'elle n'aurait jamais quitté sa suisse natale pour se perdre dans les ruelles maudites de busan. pourquoi d'ailleurs avait-elle fait ce choix là ? rien ne la reliait à ces lieux, rien ne laissait à croire que si ce n'est prendre la fuite et ne jamais être retrouvée, elle y passerait une partie de sa vie. quatre ans ont passé et elle n'est pas repartie pour autant, se créant une place dans ce pays où elle avait obtenu après une lutte décharnée la nationalité qui ne lui sied guère.

et qui crois-tu être, gene ?
enfant de luxure
devenue
enfant de la rue.

alors voilà qu'elle s'est transformée d'un cygne majestueux, en un corbeau aux ailes abimées. animosité populaire qu'elle diffuse dans ses dessins qu'elle signe d'un trait : illusion car c'est tout ce qu'elle est, un faux miracle que l'on croit tombé du ciel quand il est tout droit sorti des enfers. et le corps qui se manifeste dans des élans de plénitudes là où la musique résonne dans les tympans nécrosés de ce bruit sourd qui continue en boucle. car la déflagration n'est jamais partie de cette ouïe meurtrie alors qu'elle a tue à quiconque croisant sa route, que les acouphènes ne font que percer l'audition, supplice qu'elle se dit mériter. pour avoir oser tuer, provoquer la colère des dieux et de leur clémence impartiale. ô c'est qu'elle aurait dû y laisser à son tour la vie, et peut-être qu'un jour, viendra son exécution. peut-être qu'un jour elle payera pour ses crimes passés, et pour ceux qu'elle exerce présentement dans une illégalité des plus totales sous les étoiles vacillantes.

mais est-elle réellement responsable de ces actes rancuniers ?
de ces paroles qui traversent les parois des endroits dévastés.
elle est vénéneuse la gamine, qui se croit presque indomptable.

mais tu n'es rien, gene.
juste un parasite.
du superflu, une sangsue qui s'accroche à la vie.

enfant de satan qui est descendu sur la terre pour tout brûler, réduire en cendres ce qui reste d'humanité ; car elle l'a vu s'écrouler dans les bribes de ces technologies mensongères, arracheuses de rêves, briseuses d'éternité volatile. et l'ancien temps lui manque, celui où il n'y avait pas tout ces bruits superflus de cette soit disante love alarm. et qu'a-t-elle donc de si précieux pour que les êtres humains porte dans leur coeur cette envie de crier au monde entier leur amour soudain. et elle se limite presque à dégobiller son repas en pensant à tout ce qui la dégoûte, alors que les phalanges s'activent encore plus vite pour exécuter l'oeuvre du diable.

jusqu'à ce que sa voix vienne flouer les tympans.
douceur mélancolique qui lui rappelle les instants passés avec le défunt frère.
sae, par ici. et le sourire qui s'incline sur le visage alors que derrière le masque, il ne peut l'entrevoir.

ô ne fais pas semblant,
de paraitre être un ange,
quand tout au fond, ne sommeille qu'un démon.

et peut-être est-ce là, le pourquoi ils se comprennent aussi aisément, s'entendent aussi facilement. car tout deux ne donne leur coeur à personne, n'ouvre leurs portes qu'à ceux qui sont comme eux. des furies, des harpies qui tournent autour de leur proie comme des vautours autour des charognes. myocarde ballant qui ne demande qu'à ce qu'on lui laisse la paix, et qu'on ne cesse de la martyriser en vain. alors comment s'est passé ta journée ? et elle fait mine d'être polie, gentille, comme si c'est ce qui l'intéressait alors que d'une main elle vient saisir une bombe et la lance dans les airs à son compagnon de défi. ça te dit de repeindre les murs de cet endroit bien triste ? et de lui donner de la gaieté. celle des miséreux comme eux.
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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Sam 14 Nov - 14:59
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Et sous les étoiles il dansait, celui qui ornait les rues de cette présence si ductile. Cauchemar dont les regards pouvaient pétrifier, de ces airs juvéniles sur ce visage semblant si doux. Mais il n'en était rien pour ceux qui le connaissait, car ô splendeur des jours passés qui hantait les vies d'un gamin réprimé : rien de plus beau que les désastres de ses mains sur les bâtiments qui pouvaient de leurs ombres dessiner ces monstres sans âme : futilité délicate aux cœurs si amochés qui ne faisait que refléter les dégâts d'une ville sous les écrans allumés. Car ils jonchaient les cieux, mur luminescents qui déglinguaient les prunelles, doigts accrochés aux appareils dévastateurs. Ô cruauté des plus grands qui se jouaient des esprits beaucoup trop naïfs : car il n'y avait rien de gratuit, dans la vie, et rien ne devait venir y faire contrôle. Liberté revendiquée, pour celui qui n'était rien. Moins que rien celui qui n'était qu'un idiot têtu, aux doigts ridiculement incapables. Oui, lui qui pourtant voulait délivrer ces poison si incandescents sous les feux brûlants d'un myocarde nécrosé. Bonté des astres, d'orner ces cieux si risibles : noir insoutenable, sous les lippes de ceux envoûtés qui pouvaient orner les peaux les plus ridicules. Fantôme d'une nuit, qui ne faisait que rejoindre les rivages de celle qui n'avait que l'appeler.

((Et les pléiades l'attiraient sous la pénombre glaciale des couloirs.))

Bâtiment qui le faisait frémir sous les vents heurtant les murs de cette sombre carcasse. Et lui ne fit que la chercher de ses opales, celle qui qui savait apaiser les nuages brumeux qui vivaient dans sa tête. Sans doute était-ce parce qu'il ne la comprenait que trop bien : rage immense de vouloir vivre comme ils le désiraient, sous les destinées écrasées entre leurs doigts si fins. Pourtant ils s'étaient bien trouvés, bien cherchés, quand les voix s'élevaient pour laisser déferler les pensées envahissantes. Ô mais lui ne cherchait plus à négocier, car tout brûlerait qu'il ne le veuille ou non. Choix inexistant qu'il imposait aux autres, tyran aux mains immaculées. Alors la voix avait fait écho dans cette tête si ridicule, car elle seule se permettait de trouver un chemin vers lui. Doux visage de celle aux envies de créations qui s'échappa de ces axes linéaires, il s'approcha d'elle sans une once de regret, car sans doute n'y avait-il que le passé qui méritait regards oubliés. "T'as ramené ton matos hmm...Ca m'étonne même plus..." qu'il se mit à sourire doucement derrière son masque, comme pour dissimuler les douceurs éprises.

Mais ses mains rattrapèrent ce lancer si parfait, alors qu'il ébouriffa ses mèches décolorées pour se mettre dans l'ambiance. Douleur artistique où lui ne ferait que peindre les néants visibles. "Ma journée ? Banale. Et trop longue. Mais on est pas là pour parler de ma vie non ?", car on ne les faisait pas à lui, manières désobligeantes qu'il préférait largement ignorer. Sincérité inexistante dans les politesses si moindre et futiles. Visage grimaçant d'une moue calme, haussement d'épaules, il fixa sa bombe d'un intérêt bien étrange. "C'est vrai que j'ai toujours eu la fibre artistique.", qu'il plaisanta avant de reprendre vaguement sur le même ton plutôt de bonne humeur. Chose rare pour celui qui savait hausser la voix pour un rien. "T'as pas intérêt à dépasser sur ma partie de mur..." Et tout s'articula sous ses doigts délicats, bombe qui colorait le mur fissuré comme pour venir teindre de rouge un monde déjà cramoisie. Colorer le monde pour pouvoir en soutirer les tristesses si vagues.

Et les créatures prenaient vie, les mots se rédigeaient, sur les colombages souffrant. "Ta journée à toi, ça allait ? Me dis pas que t'as passé des heures à tout préparer hmm ?", car les taquineries avaient un sens, qui avec lui pouvait être assez amère. Mais ô qu'elle savait qu'elle n'avait pas à prendre cela sincèrement : car avec elle rien ne sonnait comme reproches. Alors il taguait ce qu'il restait de leur univers, et il défigurait les semblants de passivité qui resteraient gravés dans les enceintes des Enfers. "Dommage qu'il y ait plus rien à casser dans cette grotte." qu'il soupira, jamais content, "Mais c'est plutôt un endroit sympa...Faudrait qu'on vienne plus souvent...Histoire de...s'amuser un peu." Même si lui ne connaissait pas les amusements habituels : vengeance dans le sang, bouillonnant comme si rien avait changé. Et pourtant, ils en étaient là, à juste profiter de la présence de chacun comme si elle leur était réellement nécessaire pour survivre; mais solitude permanente, pour les cœurs en peine qui ne survivaient que par les gèles des hivers à venir. Alors il murmurait les pléiades des anges déchus comme pour délaisser ces sentiments si faibles.

((Et pourtant ils chantaient toujours, les lippes envenimées pour ceux autour de lui.))


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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Jeu 3 Déc - 17:31
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symphonie divine
brille sous les ignominies

impact immédiat.

et le monde sera souverain, d'une nécrose putride qui prend de l'ampleur à chaque nouveau battement d'aile ; car il s'éteindra dans les bras de la faucheuse. et tout ce qui est beau deviendra d'une laideur sans nom, et tout ce qui est haut deviendra ridiculement petit, car d'un revers de la main, elle dessinera de ces traits les fondamentaux que personne ne souhaite écouter. elle fera de ces abjections, les plus belles déchéances. elle fera des affronts, les plus merveilleuses souillures. car elle deviendra gangrène au-delà des frontières. majestueuse reine impériale, elle sera de ceux qui ne prennent position que lorsque les choix deviennent primaires, car elle détruira tout ce qui se trouve sur son chemin. tyrannie despotique qui prendra place sous les accords médusés, car de ses phalanges qui taguent les murs noircis, ô en ressortira les mots muselés sous les lippes scellées.

comme un oiseau en cage.

pensées malmenées qui deviendront phénix,
et l'oiseau de feu qui renaîtra de ces cendres.

songes d'été qui se nourrissent de l'hiver avenant, car l'automne s'approche de sa fin certaine et la gamine a besoin de renouveau, sur ces murs tâchés à l'encre sale, elle veut leur laisser une seconde chance, deuxième vie qu'elle vient créer de ses doigts qui s'activent jusqu'à ce que l'âme-jumelle la rejoigne. sourire vacillant sur le visage caché, alors que le rire cristallin se fait entendre dans les résonances tu sais comment je suis à force que le ton se veut mielleux. hum, j'apporte toujours mon matos avec moi, on sait jamais, imagine je trouve une pépite comme ici. et elle le sait gene, que tout ce qu'elle coule entre les paumes d'argent ce n'est pas légal, qu'elle fait face à une adversité mortelle qui pourrait lui rendre la monnaie de sa pièce. mais elle s'en moque.

car elle n'a rien à perdre.
car elle n'a peur de rien.

mais que crois-tu, enfant de satan ?
que tu es immortelle et intouchable ?
que la vie ne viendra pas te pourfendre ?

alors les doses putrides deviennent comme chant de l'amour étouffé. hum non en effet. et l'honnêteté tranche, parce qu'elle est ainsi la walsh, toujours vive sur les mots prononcés, toujours franche dans les paroles déblatéraient entre les pulpeuses décharnées. et elle rit la gamine, elle laisse les louanges venir repeindre les échos du silence alors que les mots de saebyeok détonne sur les vices proscrits. hum ta partie du mur, deal, je déborde jamais moi taquinerie lancée comme un avertissement, parce qu'elle se sait maitresse de son art quand lui n'est qu'élève qui doit encore apprendre à dépasser le maitre. ma journée ? oh eh bah figure-toi que j'ai trouvé un travail autre que repeindre tous les murs de la ville. car la belle a déposé cv dans des endroits où elle se saurait apte à aider et l'un d'eux l'avait recontacté dans la journée. mais sinon si, j'ai mis deux bonnes heures à tout préparer. choisir le lieu parfait, les couleurs adéquates. c'est tout un art tu sais. la recherche de la perfection, l'envie de bien faire et de laisser les cris se teindre sur les murs muets. le désir de laisser imploser son art pour qu'il parle au plus grand nombre. hum je suis sure qu'on peut trouver des carcasses de voitures ici. que la voix se murmure à tue tête, sachant parfaitement ce qu'éprouve le jeune yoon, ils ont la même nécrose putride dans le sang qui coule, roulement des yeux quand elle se dit que peut-être tout repeindre n'est pas la meilleure des idées. oh emmenons les autres la prochaines fois. car elle sait quelle genre de débâcle pourrait avoir lieu dans ce genre d'endroit renfermé où personne ne se rend.

destruction totale,
satisfaction partielle.

tu sais, ils font aussi des courses illégales ici. alors j'me dis que ça peut être sympa de venir foutre le bordel ou chercher d'autres personnes contre le dark vice. et tout ce qui va avec, de cette haine ravagée qui est provoquée par toutes ces technologies devenues impératrices d'un univers dans lequel ils se refusent à vivre. et c'est pour cela que c'est celui sur lequel elle sait pouvoir compter le plus, la gamine paumée, perdue dans un monde qui ne lui convient plus. enfin j'dis ça j'dis rien. car c'est lui le boss, lui qui mènera à bien chaque opération. et elle attend toujours son feu vert, sauf quand il s'agit de se transformer en illusion.
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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Mar 8 Déc - 7:47
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Etoiles meurtries, sous les murs en béton qui décoraient les voies lactées imaginaires. Car sans doute était-il de ceux a pouvoir empoisonner les astres d'un seul regard, à pouvoir mes nécroser et leur faire perdre leurs éclats insoupçonnés sous les murs à faire briller. Et il les dessinerait, de ces doigts maudits, les estampes incontrôlées que personne ne comprendrait : comme les prunelles sous les chandelles des Enfers. Mais ô combien il se fichait, de pouvoir se perdre dans les folies, lui qui ne savait déjà rien faire, ô combien il préférait pouvoir dégrader les délicates attentions, les mots qui beaucoup trop doux à ses oreilles, le mettaient hors de lui. Il savait très bien Saebyeok, que tout n'était qu'éphémère, dans les antres du diable en personne. Alors ils redécoreraient ensemble les misérables roches, qui à l'ombre du jour, s'en verrait sûrement bien gardées.

((car le soleil, ne faisait que ruiner les sacres colorés.))

Lèvres dissimulées sous les rictus incontrôlables, envies de détruire de ses paumes les pléiades qui se glissaient à ses oreilles, il était sans doute vrai qu'il ne connaissait que trop bien celle qui l'avait invité ici. Matériel toujours à portée de main, opportunités qu'ils ne faisaient que trouver encore et encore sous les jougs de la lune. "Et bien et bien. Disons que j'ai réussi à te cerner depuis. Mais bon tu fais de bonnes trouvailles alors pour une fois je ne peux rien dire.", mots articulés comme s'il ne s'étonnait plus de rien venant d'elle, mais en réalité, c'était sûrement bien plus qu'une connaissance de la personne : habitude de vie à laquelle il s'était adapté, à laquelle il n'y voyait plus d'inconvénient. Et les rires ne purent qu'éclore, sous les paroles vives et maîtrisées : sous les poisons infâmes. Car plus rien ne le touchait, lui, héros évincé, ange déchu, dont les ailes avaient été arrachées bien trop tôt. Ô mais il ne fallait pas se fier au visage des archanges, car il ne faisait que dissimuler arnaques et vérités tranchantes aux goûts amères. "On verra si tu ne débordes pas.", mais lui ne lui promettait rien, car il était de ceux qui aimaient chercher leurs partenaires de crime.

Puis il n'était qu'un novice, dans les arts muraux pour illuminer des lieux néfastes comme il les appréciait. Et il comptait bien, ne pas rester dans les silences qui composaient les lieux. Car les sanglantes peintures, qui se répandraient sur les murs entachés, ne pourraient que provoquer chaos et déni. Manque de s'étouffer, nouvelle qui lui fit hausser un sourcil, il ne put s'empêcher de venir poser les opales mortes sur la fine silhouette. "Un travail ? Et bien...J'imagine que je vais devoir cuisiner plus souvent alors." qu'il s'amusa tout doucement : même s'il était content. Ne jamais rien dévoiler, sous les masques délicats. "T'auras moins le temps de trouver des bouts de murs si tu bosses. Et je te préviens je veux pas t'entendre râler en rentrant du boulot." Ô mais il ne savait toujours rien lui, alors qu'il était le premier à s'acharner sur tout le monde. Sans doute se disait-il que tout irait beaucoup plus facilement à présent. Et la peinture sur le mur recouvrait les surfaces, alors qu'il ne faisait que des aplats sans âme. "Ca doit pas manquer. Je ferais un tour après.", car viser les vitres : les éclater en diamants vermillons, lui s'en réjouissait. Comme exploser le monde en de milliers de fragments, implosion néfaste des ors blancs : des myocardes constellés.

Hochement de tête, sous les doigts déjà repeints de ces couleurs beaucoup trop vivantes, technologies les entourant qui lui tapait sur les nerfs, il trouvait pourtant la proposition bien tentatrice, alors que les écrans explosaient sous ses regards impurs. "Hmm...On pourra y jeter un coup d'œil. Pour venir foutre la merde. Beau plan, gamine. Finalement tu sais réfléchir un peu.", mais il ne le savait que trop bien, qu'ils n'avaient plus rien à perdre. Gamine qu'il affectionnait malgré ses dires, gamine qu'il savait bien plus forte qu'on ne le pensait : car lui savait, lui la connaissait, et il ne se permettait là que de chercher les abysses de ses lippes. Car elle était intelligent : mais antiphrases auxquelles il se préféraient, pour ne pas montrer d'attachement. Alors il fallait déchiffrer, décoder, car lui ne se donnerait pas la peine : car il se contentait de les voir sourire de loin, et non à ses côtés.

Folie qui le traversa, et qui du bout de ses doigts vinrent tâcher la joue de la demoiselle, il pouffa calmement comme pour la sortir de sa stupeur. "Hmm. Ca te va bien c'te couleur.", trace de peinture, sur les épidermes en peine. Mais ô il ne faisait là que jouer un peu, celui qui ne râlait pour une fois pas. Sans doute était-il paisible, sous les lumières tamisées nocturnes. Bombe qui explosait sur la surface, comme de ces traits censés avoir une signification, lui ne dessinait que les visages méconnaissables de ceux qu'il appréciait sans réellement s'en rendre compte. "Mademoiselle l'artiste que comptes-tu nous faire ? J'espère que ça sera pas trop moche." Prunelles joueuses, de lueurs qui moins violentes, réchauffaient partiellement les ardeurs des plus doux. Rareté d'un échange jovial, sous les paumes glacées, et les cœurs fissurés de bonheur.

((et il n'y avait qu'à leurs côtés, qu'il trouverait refuge.))



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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Sam 20 Fév - 19:15
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nostalgie des temps précieux
ô mon ange tu te meurs sous les nécroses

car de ce semblant de vie qui ne lui appartient plus, ne reste plus que les souvenirs éparses d'un instant figé sur le béton ; mélodie silencieuse des cris qui s'éveillent sous les empyrées noircies. et plus rien ne tourne rond sur cette planète bleue qui a succombé au désarroi des rives d'un styx bien trop profond, car les limbes aussi précieuses soient-elles ne sont que des astres déchus de leurs voutes célestes. et combien de temps faudra-t-il avant que les âpres irréversibles deviennent des chants compréhensibles aux tympans des mal-aimés qui se laissent pourfendre par la grandeur des procédés de satan. car ne sommeille plus que les diables importuns au-dessus des éloges édifiées sous les dorures d'argent.

et ment aux amants
car de ta splendeur tu résonnes

et si elle pouvait tout oublier la gamine, ne laissait plus que le vide faire écho dans les entrailles dépouillées, alors peut-être bien qu'elle ne sera pas là aujourd'hui, si sur l'échine détruite séjournait le cruor des massacrés. car voilà qu'elle n'a plus qu'à faire offense en traçant les traits de sa peinture de cette mort qui suinte et qui succombe, de cette faucheuse qui domine et prévient les avertis. et la once de bonté qui demeurait dans le myocarde abasourdi s'en est allé, pour ne faire plus qu'un avec le tartare des meurtris. wow monsieur yoon saebyeok a réussi à me cerner. cela relève-t-il de l'exploit ? et le rire se tord, le sourire implose, car dans le silence des damnés cogne les profondes blessures non épargnées. comment pourrait-il prétendre la connaître quand il ne sait que sous ses onyx, gît une meurtrière de sa propre chair, de son propre sang. que le carmin a coulé jusqu'à ce qu'elle en perde haleine, qu'elle a fui les responsabilités jusqu'à disparaitre d'une surface plane. et ses parents, ont-ils déjà tenté de la retrouver ? elle, désormais, à l'autre bout du monde, loin des calomnies incendiaires qui l'ont mené à cette résurrection décharnée. car la repentance ne sera jamais la bienvenue, elle qui ne peut pardonner son acte immonde.

et sous les astres lunaires,
tu n'es devenue plus que l'ombre de toi-même.

haha, je fais toujours de bonnes trouvailles darling. c'est juste que je ne te montres pas tous mes jardins secrets. car elle a besoin de garder le secret de certaines oeuvres, celles qu'illusion a peinte sous les décombres des ruines d'un coeur en miettes, piétiné par cette existence frivole qui n'a aucun sens, aucune valeur. et peut-elle encore prétendre à cette magie stellaire qui coule dans ses veines, quand l'ange déchu vient chaque nuit engourdir ses phalanges dans les rêves chimériques. elle imagine ( se confier ) livrer les peines qui englobent le pulsant gangréné, la rage qui gronde à chaque nouvelle figure dessinée. mais elle tait les maux qui l'assaillent car elle ne se sent jamais légitime de cette colère qui ne fait qu'être retardée dans les tripes. ne fais-tu donc pas confiance en mon expertise pour ne pas ruiner ta beauté ? car elle pourrait l'attaquer de cette bombe qu'elle tient fermement entre les paumes souillées. mais elle n'est pas ainsi faite, la gamine, bien trop artificielle sous les couches qui cachent les vérités étriquées. eh te moque pas, c'est peut-être un truc tout pété dans un bar, mais au moins j'pourrais avoir du flouz. mais les lippes se retroussent et son rire à elle qui éclos dans les airs putrides. hum je suppose que je pourrais préparer de quoi te nourrir en avance. après tout un travail dans un bar c'est plus souvent de nuit, non ? comme si elle découvrait la vie et ses valeurs, la vie et ses responsabilités, qu'elle a toujours tenté de fuir, jusqu'à aujourd'hui. parce qu'elle n'a plus le choix, ne peut plus faire marche arrière comme si de rien n'était. ô gene, voilà que les anges ont cessé de te suivre.

et l'amertume fini par prendre la place sur la langue alors que les lèvres s'humidifie sous le long soupir empoisonné. gneugneu, je râlerais pas t'en fais pas. puis je pourrais toujours trouver du temps pour peindre, c'est pas un problème ça. innocence aveuglée de ce que la vie de grand lui réserve, car elle refuse de croire qu'elle ne sera plus qu'un fantôme vacillant dans les ruelles d'une ville endormie. qu'un brouillard lancinant des éclats percés au travers des cieux étoilés, non elle sera reine succube à la couronne tâchée d'épines de roses profanes. hum yes, fais-toi plaisir. alors que l'attention se dégage et que les phalanges continuent les abysses provocantes des nymphes étouffantes. et c'est qu'elle ne sait jamais, la signification donnée au dessin jusqu'à ce qu'il en soit pleinement terminé alors que le regard se pose délicatement sur la fresque éloquente de l'ami démon, de l'âme-soeur lésion. eh qu'est-ce que tu crois, j'ai toujours de bonnes idées. jusqu'à ce que la gangrène s'enfonce dans le pieu du coeur malmené, car elles ne sont que déchéances incrédules d'un monde en perdition. et jamais, à son grand damne, elle n'osera venir affronter les réalités éphémères qui persistent dans les creux écorchés. j'espère que ça plaira à la bande. car elle ne veut pas les décevoir, elle ne veut pas se retrouver seule, abandonnée, délaissée. comme si le miroir de son âme viendrait à scintiller dans les reflets d'or et montrer sa véritable nature dévastatrice.

mais tu sais,
les crevasses sont profondes.
et si tu tombes,
qui viendra alors te rattraper ?


alors les iris basculent sur sa toile à ciel ouvert, sur les ombres chatoyantes qui dansent contre les murs captifs de sa passion affolante. et peut-être réussira-t-elle à exprimer ces cris qui saignent de l'intérieur, ces éraflures qui bousillent les battants imperméables au déni des évasions. mais les pensées cramoisies sont vite échappées par le rire qui tonne dans les airs brûlants alors que la stupeur se lit sur le visage quand enfin elle comprend. eh c'est pas du jeu, c'est le mur que tu dois peindre. et elle feint une moue boudeuse, elle prétend que ça la blesse quelque part ce jeu d'enfant qui ont grandi trop vite dans le souffle de la vie. mais le sourire fini par dépeindre les lèvres charmeuses alors que le son cristallin s'évade des cages thoraciques. attend faut je vois à quoi je ressemble. téléphone emprunté comme bout de verre glacé, car quand bien même elle fuit ces technologies malsaines, elle en garde une partie sur elle comme pour ne pas entièrement se déconnecter d'une réalité subversive. hum j'avoue que ça va bien à mon teint. et elle rit, se moque ouvertement de sa propre candeur, parce qu'il n'en reste que des éclats abimés après tant de chutes impromptues. que des cendres froissées sous les breuvages démoniaques. et la torpeur s'instruit quand la voix tonne et que les pulpeuses se mordent. qu'a-t-elle donc bien pu dépeindre dans ces étonnements de droitures où ne reste que des bribes d'un passé mensonge. hum ça sera forcément moche à côté de ton oeuvre d'art. obligé de s'éloigner pour contempler, pour s'assurer que les astres sont venus côtoyer les divins arrachés. et peut-être bien qu'elle trouvera le moyen opportun pour à son titre laisser glisser le doigt sur l'épiderme pour l'encrasser de ces paillettes éternelles. haha voilà que revenge est assouvie. jusqu'à ce que le corps se mette en branle et que les pieds commencent à fuir les lieux, par peur des représailles, par peur d'avoir réveiller la colère des dieux. mais l'amusement ne fait que surplomber les rires épousailles du silence qui est roi.

car seuls dans ces abysses,
ils sont souverains nés.
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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Jeu 25 Fév - 20:06
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Et les gamins riaient, sous les épopées risibles, lui ne faisait qu'essayer d'admirer les nécroses répandues sur les murs insolents. Car il ne faisait que se brasquer, se renfermer sur lui-même, comme pour se détruire lui-même de ses crises permanentes. Alors peut-être était-elle l'une des rares à venir le supporter volontairement, tandis que sous les regards lui ne défaillait que partiellement : comme pour ne faire que s'éteindre encore et encore sans ne chercher à se sortir des marrées noires. Sourires qui fleurissaient, sous les mots lancés, comme si ce qu'il avait devant les yeux n'était que précieux et diamants à protéger. Car à ses yeux, tout le monde devait faire attention à ses arrières, et sans doute était-il un peu trop sur ses gardes en permanence, à venir veiller sans même qu'on ne le remarque sur ceux qui l'entouraient. Possessivité maladive, car les peurs ne faisaient que le hanter en permanence jusqu'à ce que tout ne se détruise entre ses doigts ridicules. Car Saebyeok n'était rien, il ne l'avait jamais été, fantasmes construits par les illusions de ceux qui ne faisaient que poser les yeux sur lui. Imaginaire fabuleux dont même lui pouvait reconnaître les immondices.

Mais sous les rires, il avait l'impression d'être quelqu'un, et sous les yeux illuminés, peut-être n'était-il pas aussi désespéré qu'il ne pensait l'être. Seuls, entre les cauchemars et insomnies, comme pour faire siennes les rues qui les entouraient.   "Rigole rigole, mais pendant ce temps là c'est le seul compliment que je te ferais.", car il n'était pas du genre à se laisser bercer par les illusions risibles. Et pourtant il savait que la jeune femme n'était faite que de secrets. Lui-même avait les siens qu'il ne confiait pas, et qu'il ne dissiperait en aucun cas. Mais les rires s'esquissaient au bout des lippes, car ils en oubliaient leurs problèmes, juste pendant quelques minutes, quelques instants, qui les faisaient glisser dans les angéliques pléiades insoumises. Car les gamins étaient libres, en ces instants si éphémères, et souvent bien trop courts ; profiter des temps perdus pour combler les myocardes défaillants de bonté inestimée. "Te faire confiance ? Oh si tu savais. Je suis sûre que tu serais capable de me repeindre la tête.", même si cela ne faisait que le tenter plus dans les vices inarrêtables. Et il le dissimulait, derrière ses ironies abstraite : ô fierté pour celle qu'il pouvait admirer en silence, car il était en réalité heureux pour elle malgré ce qu'il pouvait en dire.

Alors les yeux se voulaient taquins, mais il ne faisait que sourire malicieusement, de pouvoir la voir s'épanouir au monde. "T'en fais pas pour moi va, je sais très bien me débrouiller sans t'avoir dans les pattes. Puis bon si c'est pour te voir moins traîner sur le canapé alors c'est tout bénéf." qu'il plaisanta, même si les mots n'étaient pas réellement exact : car il appréciait pouvoir partager un peu de son temps malgré tout ce qu'il pouvait lui dire. "En tout cas c'est cool, si tu t'es trouvé un truc. En espérant que tu te fasses pas virer dès le premier jour. Ô toujours dans la malice, celui qui ne faisait que sortir les mots nécrosés, toujours dans les excès, et pourtant il fallait en découper les mots, venir les démembrer pour en comprendre les simples inquiétudes qu'il pouvait exprimer envers ceux auxquels il s'attachait. Catastrophes des anges qui l'avait rejeté ; lui aux ailes arrachées, comme monstre rampant en dehors des désastres embrasés. Et ô il avait peur que les instants ne se brisent, de ne plus pouvoir partager les innocences, comme par peur de ne faire que la perdre elle parmi les brouillards incandescents.

Sourire fier, car il parvenait à la faire râler comme il le désirait : si facilement. "Pas besoin de travail au final si tu râles d'avance." qu'il se mit à sourire tout doucement entre les ombres, tandis qu'il espérait qu'elle ne dise vrai. "Si ça se trouve tu vas finir accro au boulot. Qui sait." Car le temps tournait si vite, car le temps ne laissait que trop peu de possibilités ; et peut-être ne faisait-il que le gâcher, lui à essayer de cacher ce qu'il ressentait réellement. Et pourtant ils étaient là, à ne faire que profiter un peu comme pour venir en détruire les malédictions des rues ; celles qui les avaient vu grandir.  "Sûr que ça leur plaira. De toute manière je leur donne pas le choix.", parce qu'il savait que chacun ne ferait qu'apprécier sans se plaindre, et que peut-être finiraient-ils pas simplement pouvoir s'amuser sans n'exploser aucune étoile : même si lui ne savait faire que cela en regardant bien. Gamin brisé qui aimait détruire les autres, comme s'ils ne méritaient que cela. Alors tous liés, sous les cieux éteints; eux qui d'un même regard ne faisaient qu'embellir leurs soirées sans pourtant en prononcer le moindre mot.

((et les gestes comme pour éviter une triste réalité))

Car les doigts vinrent s'agiter pour effleurer celle de couleurs enchanteresses : raviver les flemmes enfantines qu'il ne laissait que trop rarement sortir. Enfance brisée qu'il n'avait jamais eu et qui profitait de quelques instants seulement pour simplement contredire ce que l'on pouvait penser de lui. Cauchemar entier qui n'en restait pas pour autant délicat. Et tandis qu'elle contemplait les dégâts de celui qui n'avait voulu que ravir discrètement les sourires enfantins, lui n'en fit qu'admirer les ouvrages créatifs : car la toile s'était transformée d'un mur à un visage rayonnant. "Et bien tu vois ? J'ai un bon goût pour les couleurs je savais que ça t'irais à la perfection." qu'il soupira un instant avant d'en secouer la tête. "Je crois que tu m'as jamais vu dessiner gamine. C'est pas mon truc. Je préfère faire des trucs plus éclatés si tu vois ce que je veux dire. ", car il n'était subtile que dans les gestes, alors que les sens artistiques n'étaient qu'inexistant. Pourtant tressautement, en sentant les doigts de celle qui s'était prise au jeu, regard interrogateur ; ô lueur joueuse pour n'en faire que briller ceux qui n'était plus que cendres entre les nébuleuses nocturnes.

parcourant de leurs regards;
les innocences perdues;
amères et si délicates.
 

Cours, étoile délicate, car lui ne fit que rire tout doucement comme pour n'en protéger que les délicatesses : car elle était sans doute la seule à le voir aussi charmant. "Yah ! Reviens là morveuse !" Mais les murs résonnaient, mais les pieds détalaient, car ils étaient maîtres en ces lieux décharnés. Pourtant il n'était que trop bon sportif : astuces bien plus présente alors que d'un geste simple il laissa de ses doigts s'enfouissant dans son sac en sortir biscuits bien trop doux. Ô mais il courait pour rattraper la belle qui s'enfuyait de ses rires tragiques, agitant alors les papiers pour n'en faire qu'attirer les regards. "Dommage ! ça me fera plus à bouffer...Fallait me dire si t'avais pas faim, après tout avec tes doigts tout dégueu je t'en filerais aucun.", chercher les risibles, pour simplement attirer les appétits. Lui qui ne voulait que faire éclore les bourgeons fanés. Alors les jambes s'arrêtèrent, venant narguer la nymphe en croquant les sucreries interdites. "Mais bon faut les mériter. Pas sûr que ça soit ton truc.", qu'il lui lança un regard, alors que pourtant le bras ne fit que lui tendre en guise de trêve les douceurs éparses. "Ramène toi ou je te balance la bombe de peinture entière dans la figure. Tu seras encore plus sympathique à regarder.", extrêmes infinis : car il ne voulait pas qu'elle s'éloigne, car il ne voulait pas la voir se perdre, ô Reine des nuits que lui préférait admirer de loin, sans ne jamais se démarquer. Pour ne faire que jouer de ces démons qu'il tentait comme il pouvait de retenir.

((jusqu'à la fin des temps.))

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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Mar 4 Mai - 19:15
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rose épineuse
sublime le chaos

de ces mots mensongers qui domine les pensées, de ces astres bousillés qui acculent le pulsant, sous les précieuses empyrées de satan l'olympe charnière. vagabonde silencieuse qui dépeint les futilités abstraites de ces autres qui n'osent plus dire ce que tout haut ils pensent tout bas, phalanges souillées sous les peintures colorées pour faire revivre les débris engoncés dans les mémoires saturées. elle se demande, la gamine, si ici-bas un dieu existe, déité divine qui pourrait lui accorder un souhait, car si elle se met à prier, répondra-t-il à son appel à l'aide ? écoutera-t-il les louanges qu'elle veut entonner dans les nuitées obscurcies par le noir. à quémander un pardon qu'il y a bien longtemps elle aurait du énoncer, à courber l'échine et laisser le destin choisir à sa place — faiblesse de l'esprit à avoir voulu fuir. loin de tout, loin d'eux et de ces visions maudites.

mais jamais elle ne pourra se laisser calomnier, de ce passé décharné qui la suit à la trace, ombre latente d'un boulet qui se traine ( accroché à sa cheville ) comme les prisonniers qui empruntent le chemin jusqu'à la potence ; car elle tait les blessures éclatées et les cicatrices qui suppurent. et seul résonne les rires des divins là où se poétise les cristallisations de leur voix d'enfants, à pourfendre les cieux et défier les diables décharnés, malice épurée qui se lit dans les coeurs joueurs. au moins je peux me vanter d'en avoir reçu un. à tirer la langue et sourire pleinement, à continuer les illusions et faire abstraction de tout ce qui pourrait pourrir le myocarde. car seul eux comptent dans ce monde où personne ne peut venir les rayer de la carte, où le mal n'existe pas et le bonheur n'est que croissant de lune qui perce sur les lippes frêles. à voguer au gré des aspérités, à déguiser les faux semblants par des illusions utopiques ; prétendre à une réalité qui n'appartient qu'à eux seuls. oh mais une autre couleur que le blond t'irais surement à merveille. à rire aux éclats, à l'imaginer avec des teintes bien plus farfelues que celle pour laquelle il a opté — du rose, du bleu, de la lumière arc-en-ciel pour embellir les organes vitaux nécrosés. peut-être que tu pourrais opter pour du noir ? ou alors on part complètement à l'opposé et tu te fais du jaune fluo. à tenter de pousser les vices au-delà des limites, à ne plus s'arrêter de s'esclaffer de ses dents qui se montrent fièrement et de ce corps qui se sent vivant.

à en oublier les douleurs,
à en effacer les égratignures ;
à baratiner les anges des abîmes — non je ne souffre pas.

quand elle se ment à elle-même, à la terre entière, à eux ( sa famille ) sans ne pouvoir rien y faire, car elle prétend que tout va bien, que dessiner sur les murs et désossés les briques de la ville la font aller mieux. mais pour combien de temps encore ? avant que l'armure se fissure, qu'on la prenne à l'usure, que le masque façonné se casse la figure. hum, si tu l'dis. j'espère juste que tu foutras pas le feu à l'appart, même si en soit jm'en fiche vu que c'est pas le mieux. à laisser les tortures s'aiguiser sur le bout de la langue, à sourire frivolement des mots qui abusent des pulpeuses cachées, alors que les phalanges n'ont de cesse de s'activer, à toujours plus esquisser les sculptures des limbes orchestrées. gneugneu, d'où je traine h24 sur le canap' ? pourquoi tu mens comme ça, c'est pas beau de mentir, t'as le nez qui pousse pinocchio. à toujours plus éclabousser des morsures, alors que le venin est inoffensif, parce qu'elle mord pas réellement la gamine, juste un peu pour y laisser sa trace, pour marquer ses soit-disant territoires — il n'en est rien, car elle pourrait être un poids délaissé à chaque instant passant. hum oui, je suis assez fière de moi. satisfaite d'une certaine façon, à voir qu'au bout de quelques années, elle s'est finalement faite à cette vi(ll)e. pourquoi j'me ferais virer dès le premier jour ? arrête de critiquer mes capacités. à tenter de le nier, qu'elle est douée de ses dix doigts, seulement pour saccager les murs de béton qui se dressent devant soi.

à dégringoler sans rappel, jusqu'à ce que les pieds touchent enfin le sol ; à s'égratigner lamentablement, jusqu'à ce que le corps quitte son enveloppe. eh il suffit, je ne râle pas. tu mens encore pinocchio. à répéter le surnom insupportable, à tirer davantage la langue en sa direction avant de baliser complètement, face à ce mur et sa peinture, face à l'épouvante qui se perd dans la tourmente. enfin, on verra bien. pas sure que j'passe ma vie derrière un bar à servir des alcoolos cinquantenaires. à ne pas vouloir s'imaginer prisonnière de cet univers, elle qui suinte de chaque pore une liberté mensongère, à bouleverser les existences de sa simple respiration. jeu de détournement sur les conversations, alors qu'elle espère que les démons aimeront l'endroit sauvagement dégoté, à vouloir faire percer sur le creux des pulpeuses les sourires maladifs, comme s'ils pouvaient devenir son ultime libération de ce monde bien trop sombre. hum, en ont-ils déjà eu un. à pousser les supplices, à franchir les limites, enfants destructeurs qui ne connaissent que l'enfer, qui ne vivent que pour le cataclysme qui s'éveille, qui s'active savamment sous les mains gangrénées par les souillures évasives.

un déluge anarchique,
de ton corps qui vacille — foutoir ordonné.

à toujours tressauter face aux oeuvres incomprises, de ces nymphes qui se dansent à ces succubes qui se tanguent, là où les sylphides se font tendres et les serpents sont offenses. elle admire les chaleurs épousées par les doigts qui cherchent manière de s'exprimer, expliquer les pourquoi de ces nuances qui se targuent de n'être que d'éphémères songes animés. en effet, mais faut pas trop en abuser hein. à jouer les satyres d'une histoire sans martyr, car elle n'est que muse qui se cherche dans les constellations vouées aux échecs cinglants. toi et tes explosions, une vraie histoire d'amour, n'est-ce pas ? à crier sans mégarde vengeance de surcroit, car elle se laisse prendre au jeu avant d'attraper ses jambes à son cou, course effrénée qu'elle mène dans les couloirs où le vide se fait maitre, silence roi où seul la voix de sae vient à percer au travers. et elle rit la gamine, si fort que les murs pourraient en trembler, que la nuit pourrait la soupçonner de ne plus savoir comment se taire, à prier imperceptiblement qu'on les laisse dans la paix, à se choyer du regard et à se nouer aux rires des hasards. VIENS M'CHERCHER SI TU OSES. à laisser la voix se porter, c'est qu'elle pourrait presque en hurler, alors que les échos se font résonance et que les éclats se font décadence. elle en perdrait presque son souffle, si elle ne cessait pas de fuir constamment — à revoir les souvenirs passés.

semblant d'un temps,
position décisive qui se tend.

eh c'est de la triche, t'as pas le droit. à revenir à l'assaut, main en avant pour capturer les délices sucrés tout en courant au loin pour ne pas se faire attraper ; elle est vive la petite, quand elle veut obtenir quelque chose. et elle le regarde en arrière, s'ébouriffe la chevelure avant de ne pas savoir qu'elle va rencontrer le mur. la tête qui se cogne et que le corps se balance, penchant vers l'arrière avant que les fesses ne touchent le sol. aie ça fait mal. à paraitre presque comme une reine du drame quand le corps s'étale et que les bras se bousculent à l'arrière, les gateaux échappant à son attention souveraine. hum, j'crois faut que j'apprenne à regarder droit devant moi. pour savoir où elle va, pour ne pas rencontrer les obstacles qui se tiennent sur sa route cabossée. tu crois que je les ai mérité cette fois ? à jeter un oeil à l'ami, étoile qui brille et châtiment qui se veut limpide, soupir qui se dessine au-delà des lèvres, alors qu'elle s'assoit et se retourne pour lui faire face. ou alors peut-être je méritais mon triste sort. à tacher les louanges de fausses larmes qui ne sont que joie implosée sous les joues rougies des saccages. aaah saesae donne à moi, j'ai faiiiiiim. à se plaindre comme une enfant le ferait, à revoir les visions de ces stupides avec son frère, à sentir le coeur léger se serrer dans la cage thoracique, vouloir en parler, se délester du poids engoncé, mais ne jamais savoir comment faire sortir les palabres coincée dans la trachée. parce que t'as joué au pinocchio avec moi, j'devrais avoir le droit d'en avoir. juste pour ça. à croiser les bras sur la poitrine, à frémir l'insolence et faire mine de bouder, tirant la moue en gonflant ses joues. presqu'une envie d'en rire, pitoyablement, à se sentir incontrôlée. mais surement qu'elle ne dira pas au garçon, que tous les soucis s'envolent en sa compagnie, présence bienfaisante qui calme le pulsant.

car moi je ne suis pas sure de mériter
toutes les éloges écourtées.
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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Lun 7 Juin - 13:42
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Et les jeux s'éparpillaient, entre douceur inespérée et amitiés inavouées : car comment en avouer qu'il en appréciait bien trop les présences ? Gamins menteur, au rythme des rires étincelants, faiblesse d'esprit, que de n'en fondre face aux dulcinées si précieuses. Pourtant ; jamais ô jamais il n'en viendrait à quitter les fanfarons des nuits. Car myocarde attaché, car valeureux cauchemars qui s'en allaient sous les menaces des anges ; et qui à leurs côtés semblaient si fabuleux dans ces réalités réinventées. "Te vante pas trop non plus. Tu vas avoir les chevilles qui vont gonfler.", pour en calmer ardeurs, alors que la belle n'avait rien à mériter sortant d'entre ses lippes : car sans doute ne savait-elle que trop bien ce qu'il pensait en réalité. Elle, qui de nocturnes venaient en frapper les évidences, comme les astres surplombant en permanence les dulcinées. Alors les regards s'illuminaient de ces vices imprononçables, et il écoutait la nymphe murmurer les couleurs blafardes face à celui désintéressé. "Tu te prends pour une coiffeuse maintenant ? Pourquoi, si je choisis une couleur tu vas me la faire ?" pour pousser un peu plus vers les inconsciences. Et les défis étaient là, sous leurs yeux, pour en ravir les prunelles de ces tendresses bien trop longtemps refoulées.

passions effleurées ;
jusqu'aux abîmes.


Et pourtant, terre entre les mains pour en écraser les futurs incertains ; maîtres du temps entre les lieux sacrés pour leurs prunelles évincées, ô peut-être y trouveraient-ils repos éternels, quand les présences se satisfaisaient  de l'une et l'autre pour se bercer encore plus d'illusions. "Moi mettre le feu à la baraque ? J'ai pas que ça à faire de repayer un appart'.", et il en était plus habile qu'il ne le laissait paraître. Alors de coeur et d'âme, entre les ombrages éternels sur les murs : il en laissait entrapercevoir les sourires enfantins face aux réactions de la douce charmeuse. "Pinocchio ? Et tu t'es vue ? Mon nez est minuscule par rapport au tiens. " qu'il en laissait le bout des doigts venir en effleurer délicatement son museau. Chercher encore et encore, la gamine pour laquelle il rentrerait toujours. "Puis je ne critique pas j'énonce des faits. Regarde, au rythme où tu vas sûr que t'arriverais même à râler sur tes clients." , alors que lui se le permettait bien trop souvent. Conseil inavoué, chose à ne pas faire, alors qu'il savait pertinemment en réalité qu'elle était capable des plus grandes œuvres : autant sur les murs, qu'entre ses paumes.

Mais peut-être ne faisait-il plus que craindre les solitudes, lui qui s'était finalement habitué à devoir supporter les rires d'enfants bien trop joyeux. Peur de la voir s'évanouir entre les banalités d'une vie, pour en rester en arrière, sans ne jamais retrouver les bons chemins. Pourtant il en était heureux, lui, de l'en voir s'épanouir entre les monstruosités des rues, car Gene, ô douceur incomprise, méritait les pléiades de ceux qui ne remarquaient que les pavés incolores comme simples pierres. "Qui sait, peut-être que t'aimeras ça, servir des alcoolos cinquantenaires. Ou peut-être que t'en deviendras même une.", plaisanterie sous les simples images, qui en ravivait souvenirs immortels.  Alors rires délicats, sous les visions de tyran qu'il en dégageait ; prêt à tout pourtant pour en ravir ceux qui l'accompagnaient. "Tu me prends pour qui, évidemment qu'ils peuvent choisir. Mais ça veut pas dire que je les écoute.", mensonge, car il ne faisait que cela, lui, de se bercer de leurs douces paroles. Impermanence qui en venait à plaire à celui qui s'amusait à se détruire lui-même en emportant les autres sur son passage, comme pour en gratifier les immondices de leurs présences si caractéristiques.

Arts sur les murs, qu'il préférait observer que créer, lui qui n'était qu'implosion entre tous : et ô qu'admirer ce que la gamine pouvait en créer était sans doute des plus intéressants sans même qu'il n'en prononce les mots. "Peut-être. Mais je trouve ça fun les explosions.", comme synonyme de ce qu'il ressentait et qu'il ne parvenait tout simplement pas à exprimer comme il le désirerait. Lui, prisonnier de ses propres émotions : alors qu'il en laissait pour une rare fois dégainer les rires enfantins qui le composaient. Epaules détendues, sous les vocales de la belle, car ô combien il aimait en entendre les sonorités sans l'avouer, lui, rabat-joie qui en restait des plus sensibles. Alors court, jusqu'à en être essoufflé, jusqu'à en perdre la tête ; pour simplement en montrer les bonheurs bien trop souvent dissimulés. Tentative risible de l'en ramener à lui ; pour en apaiser les cœurs déchaînés, qui sous les sourires joueurs en déballait nourriture, il observa pourtant la créature :: joie et maladresse ! Mur rencontré, pour en faire lâcher un fin rire au jeune homme qu'il dissimula de ses tendres mains. "Bah alors gamine ? On sait plus marcher ?" qu'il préféra s'en amuser ; avant d'abdiquer sous les moues boudeuses d'une enfant qu'il arrivait à trouver adorable ; et pourtant si niaise.

Corps s'approchant alors de la douce, alors que sous les surnoms il ne fit que grimacer, il en haussa les sourcils, sous les mines dépitées. "Saesae ? Donne à moi ? Mais t'as quel âge sérieux ? Je savais que ça devait pas dépasser un certains chiffre mais quand même.", et pourtant il en riait, de ces innocences qui le dépassaient, lui et tout autre destin funeste. Jambes finissant par se plier devant elle ; accroupi pour en observer les visages délicats, tandis que d'une main, il en ouvrit les paquets de sucreries pour en offrir à la nymphe. Et de l'autre, tendresse inestimée, venant frotter les fronts de la douce comme pour en observer les dégâts. "Tu vas être belle tiens avec une bosse.", car il n'y avait plus que les inquiétudes, comme pour la divertir de ces simples nourritures qui en remplissaient les estomacs. Yeux se plissant, alors qu'il n'en bougeait pas des devant de l'enfant qu'il surveillait, joue qu'il tira délicatement sans pour autant en blesser les délicates peaux, et il s'en retrouvait à en devenir sans doute bien trop agréable pour dénouer les habitudes si fortement ancrées. "J'espère au moins que tu fais pas la gamine avec tout le monde, parce que ça risque d'être très drôle si on te voyait comme ça.", pourtant, il n'en prendrait aucune preuve : limites à conserver sous les jougs des prunelles si délicates. "Ou t'aime juste te montrer sous ton vrai jour avec moi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour devoir me coltiner une enfant à surveiller hein ?", rire délicat ; car pour une fois, il ne s'en voulait pas catastrophe des nuits, lui qui pourtant méritait châtiments les plus affreux.

désastre ambulant ;
voulant rallumer les étoiles.


Pourtant ils en étaient là ; à admirer les passages du temps, comme pour rétablir les douces vérités mensongères. Sucrerie qu'il se permit de voler, finissant par lui laisser le paquet, il s'e laissa tomber en arrière, sans pour autant bouger d'en face de la douce : comme pour en confier les réalités les plus marquantes. "En tout cas, je suis content pour toi. Pour ton boulot.", car il ne les avait pas prononcé clairement : les joies de voir qu'elle parvenait à briller peu à peu. "Puis qui sait. Peut-être que j'arriverais aussi à trouver un boulot plus stable à force. On y croit." qu'il haussa les épaules avant de grimacer un peu. "Juste parce que j'ai pas envie d'être le dernier à trouver un boulot. Après tout si même toi tu y arrives.", et ô il savait ce qu'il voulait faire en réalité, lui : mais les caractères déjouaient les plans du colérique, car rien ne parviendrait à en faire rayonner les prunelles. "Hmm...Miss peinture. Ca te dit pas qu'on aille finir ton œuvre d'art ? Tu pourras finir le paquet. Pas mon truc les machins pour enfants.", et les pics étaient lancés, alors qu'il finit par doucement s'en relever, pour en tendre les doigts à la douce : piège ou honnêteté ; pour ne pas en finir par tomber. Car si les jeux continuaient, il finirait sans doute par orner de sourire les regards ignorants, de ses poisons momentanément dissipés.

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Sujet: Re: demons in the night | saebyeok -- Mar 23 Nov - 14:55
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fracas innocent
de ces consciences

à tenter d'en retenir positivité émergée, à ne jamais réellement sombrer. probablement un peu trop, quand tout devient obscurité autour d'elle. à n'en voir la lumière que lorsqu'ils sont à ses côtés ; gamins imprudents à venir en repeindre le monde, en morceler chaque brise perdue. gene, elle avait trouvé sa raison de vivre, d'exister vainement pleinement, à en entendre battre l'organe voleur. à en aspirer à ces merveilles délicates, se dire que tout finira par mieux aller — quand l'esprit saura comment apaiser les peines engoncées. mes chevilles vont très bien, regarde à en montrer là les peaux vivaces, à se laisser surprendre par les sagacités. et peut-être que quelque part elle n'en cherche juste qu'approbation de l'ami libérateur. à se perdre dans ces jeux bienheureux, à en laisser là sur les pulpeuses le sourire s'esquisser. non, du tout ! mais pourquoi pas, ça peut être amusant de te peinturlurer le crâne n'en voir là qu'enfantillages, se dire qu'elle grandira plus tard ; quand les maux ne tortureront plus l'esprit vagabond.

et toujours plus le chercher, à le titiller sur les terrains vagues, ceux qu'il ne maitrise pas. se dire qu'elle pourrait en rencontrer déboires, s'il venait à tout incendier ; capable de tout même d'en brûler les ailes déjà coupées. certes, mais imagine si t'es pas doué et que ça prend feu c'est qu'elle ne fait que jouer gene, à toujours plus tenter les diables, à un peu plus convaincre les démons de danser à ses côtés. comme s'ils ne lui tenaient pas déjà la main. eh laisse mon nez tranquille à venir en toucher les narines, tenter de se convaincre qu'il ne fait que la taquiner — parce qu'elle l'a cherché. mais qu'importe, car seul son rire teinte les airs pollués, sonorité cristalline qui s'en évade dans les apogées. à faire mine de vexation, à soupirer longuement et laisser la moue boudeuse s'affichait sur le visage. eh c'est pas vrai ! j'suis grave gentille avec les clients à pourtant se souvenir, d'avoir parfois envie de tout envoyer valser ; dégoût de ces hommes au regard de rapaces.

à prier que ça ne dure pas,
qu'elle trouve enfin sa place.

car il n'y avait que le dépit qui l'avait propulsé entre les lieux, à en voir là désespérance de ne jamais savoir quoi faire de sa maudite carcasse. moi aussi je brillerais à vouloir s'en convaincre, quand elle ne faisait pourtant que peindre des murs blafards pour en redonner couleurs à ces vies moroses. mouais, pas convaincue jamais réellement moi alcoolique ? haha même pas dans tes plus beaux rêves car elle ne voulait pas se voir là être ravagée par les boissons tantôt divines tantôt poisons. à simplement se contenter de cette adrénaline quand elle se poussait dans les illégalités factices — et faire de cette ville, un paradis. à toujours les embarquer dans ces aventures, démons vacillants entre les ruelles de busan. hm des fois on dirait pas à venir en rire, de cette fausse dictature ah tu vois ! donc tu fais genre ils ont le choix mais en fait, pas du tout. c'est malin à venir en chanter éloge insolente, c'est qu'elle le connait presque trop bien.

à se laisser bercer,
éprouver plaisir volontaire.

quand les maux deviennent douceurs, quand les palabres valsent dans le creux des airs contaminés. j'avais cru remarquer ça à ne pas avouer qu'elle aussi, elle se plaisait à tout détruire, venir saccager les carcasses fumantes, anéantissement de ces valeurs abjectes, objets en faisant les frais, mais c'était préférable à ce pulsant défoncé. à toujours un peu plus prétexter qu'elle finirait par le réparer ; sans jamais savoir comment. parce que tout était déjà trop cassé, de ce coeur à sa tête, de ce corps fracassé contre les architectures, à en souffrir vivement et toujours s'en amuser, se dire que c'est le poids de sa misérable vie qui retombe sur ses frêles épaules. rigole pas, ça fait mal à en laisser sourire retombé, comme pour en offrir ses plus beaux puppy eyes, alors qu'elle n'en ressentait nulle douleur — simple frivolité.

à le voir s'avancer, en observer posture élancée, à sourire encore plus quand les mots deviennent soyeux à en délester tout un pan de sa personnalité. c'est que gene au fond, n'est qu'une enfant que l'on a détruit, forcé à grandir trop vite. quoi t'aimes pas saesae ? à ne pas en apprécier particulièrement les surnoms donnés, vouloir simplement l'en agacer. j'ai 5 ans à montrer ses doigts, prétendre ne pas savoir compter quand elle en affiche seulement quatre avant d'en sortir un cinquième. au moins j'suis pas un vieux ronchon moi quand les âges étaient pourtant si proches ( si lointains ) l'un de l'autre. sae comme grand frère à venir en donner friandises sucrées, à en frôler le front pour s'assurer que rien ne faisait trop mal. hm ouais, génial une bosse, j'vais ressembler à un oeuf et en rire, car c'était les seules harmonies qu'elle aimait à entendre — ça en apaisait le myocarde décharné. de cette joue finement tirée, à l'observer faire un semblant de délicatesse, et aimer ça, quelque part, qu'on prenne soin d'elle. comme si les anges veillaient sur sa personne. hm, y a qu'avec toi que je me le permet à en énoncer fragilité, donner une partie infime de ce qu'autrefois elle fut. mais j'suis sure que les autres me trouveraient giga mims si je le faisais devant eux. à annoter dans un coin de sa tête, qu'elle pourrait le faire plus souvent ; à en trouver soutien infaillible. et vouloir le serrer dans ses bras, ne pas vraiment le faire, en maintenant les distances. j'sais pas, t'as la tête d'un papa et venir en rire, de ce sérieux qu'elle perd en un claquement de doigts. non je plaisante, mais je sais pas, j'aime bien pouvoir être moi-même avec toi parce qu'il est celui qui l'a recueilli quand la terre s'effondrait — tu es mon ange gardien.

à ne jamais vraiment l'avoir avoué,
qu'il est celui ayant misé sur sa vie,
que depuis leur rencontre, elle brille.

à venir en capturer entre les phalanges les offrandes, à se laisser perdre dans les empyrées. goût sucré qui vient combler le palais, à venir en redescendre de ces louanges. et l'observer rejoindre les sols, calomnié les instants présents. à toujours plus en offrir ces croissants de lune, de ses yeux scintillants. merci sae soufflé dans une sincérité dorée, à en apprécier les vestiges amoncelés. bien sur que tu trouveras, je crois en toi. tu finiras par être pleinement heureux dans un travail que tu aimes à venir l'en taquiner en poussant son épaule aux palabres piquantes gneugneu, tu seras pas le dernier t'en fais pas. puis même moi, ça durera surement pas. car elle finirait bien par en abandonner les postes, à rêver d'un jour avoir son nom dans ces galeries fantasques. et l'écouter, s'embellir, accepter cette main tendue à venir en relever le corps, à se diriger vers l'oeuvre entamée — jamais terminée. et reprendre les pinceaux, colorer les murs de ces constellations stellaires. allons-y, on finira la tienne plus tard, hein. comme à en promettre qu'ils reviendraient ici, qu'ils resteraient dans cette bulle d'éternité.

et refaire le monde,
de leur propre manière.
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