Adrenaline keeps on rushing in

Les pas frappent le sol de Busan dans leur course ; sans jamais pouvoir s’arrêter. Le cœur qui explose des vérités presque avouées dans les messages, et tout pourrait devenir éclats de couleurs dans le ciel ! De l’amour secret, caché depuis si longtemps, et ce sont des bourgeons qui se cessent d’éclore dans ses entrailles, aujourd’hui semble différent d’hier.
Pourtant, il y a la peur qui prend possession, il sait pourtant les intérêts partager, alors pouvoir tout fait trembler ses fines mains d’artiste ? Pourquoi à l’intérieur, tout vivre ?
Pourquoi, dans sa gorge, les saveurs sucrées viennent l’envahir ? Ô, c’est que son monde se colore d’un rose pastel, du ciel s’écoule un sirop de rose, et sur des nuages au gout de barbe à papa, il saute, ne cesse de rebondir, jusqu’à ce que le chemin vers le cœur nécrosé se fasse naturellement. Il n’y a plus de temps à perdre ! C’est ce que les anges chantent dans ses tympans, ils dansent dans l’air, autour de lui alors que le rire est bien gardé au fond de ses entrailles, ne pas paraître, il l’est seulement d’un amour sans limite envers le plus jeune.
Battant qui se serre à mesure qu’il s’approche du lieu,
Et il ne sait pas ce qu’il va bien pouvoir lui dire, comment lui avouer en face que les sentiments sont réciproques, lui qui n’a jamais eu à faire ça, il est le premier à capturer son cœur, à vouloir le faire sien, il est le premier à qui il ose offrir tout son royaume, univers dont il est souverain, petit roi au drôle de syndrome ;
Il ne veut pas grandir, il pourrait rester dans cette innocence pour toujours, laisser les songes porter ses rêves, ne jamais se réveiller de ce doux rêve, car dehors, il sait que les douleurs n’attendent que de se jeter sur lui. Il sait qu’il pourrait avoir mal ;
Que l’on pourrait écraser le pulsant sous des coups mauvais, des jalousies comme de la haine que l’espèce humaine garde en elle. Ils sont tous coupables de quelque chose ! Pourtant, aujourd’hui il n’y a que la paix qui mérite d’exister. Ô, sur le chemin, il se sera arrêté, histoire de prendre quelque chose à manger, quelques sucreries à partager, qu’il offrira à celui qu’il souhaite voir devenir amoureux sous les rayons d’un soleil envoûtant, princier entre ces nuages de cotons merveilles.
Escaliers montés dans la précipitation, à presque tomber, à louper des marches, mais les genoux se font force lorsque jamais ils ne faiblissent, et il affrontera cette porte du silence, porte derrière laquelle il se trouve tout ce qu’il doit affronter aujourd’hui. Son regard et ses mots. Mains moites alors que la respiration se fait profonde dans les jeunes poumons, les joues qui gonflent comme pour donner du courage à l’âme en panique. Poing qui s’écrase tendrement contre le bois, dans l’attente d’une réponse,
Aujourd’hui.
Aujourd’hui, il va lui dire de vive voix.
Que ses mots n’étaient destinés qu’à lui.
Que l’amour est né, peut-être trop candide.
Il veut qu’il sache, qu’il ne le laissera pas s’échapper.

♡ busan vibe ♡

Adrenaline keeps on rushing in

Importance des mots, sous les visages dissimulés, car lui ne savait que faire, des paroles poétiques. Alors il ne se retenait plus : gestes avant tout pour en faire parler les émotions, sans en faire autrement. Blesser encore et encore, les corps et esprits indécis, et il s'y appréciait, lui, à glorifier les démons insoumis. Alors regards perdus, sur les murs d'une pièce bien trop silencieuse, solitude d'un jour où les travails n'en faisaient que régner entre les nocturnes, les ennuis soudains. Saebyeok, habitués aux déboires agités, où les nuits n'en faisaient que se déplaire de ses actes de sagesses inouïs. Pourtant : les messages avaient parlé, et lui, n'en était qu'idiot au travers des étoiles. Car il ne savait pas, même si les faits étaient là,  ce que les mots pourraient signifier entre ses lippes. Sourcils froncés, alors que les pas se faisaient en boucle sur les sols nettoyés, répétant en boucle les messages comme pour essayer d'en deviner les sens. Incompréhension : car il n'en méritait pas les bontés, au divin bien trop doux et innocent.

ironie amère ;
au bout des lèvres.

Et il avait voulu le détruire, et le voilà qui ne voulait plus qu'en rattraper les temps. Courir, encore et encore après les âmes : lui courir après pour le rattraper, lui éviter d'en faire les erreurs. Mais que pouvait-il bien y faire ? Les myocardes ne mentaient pas, et sans doute se trouvait-il des plus à l'aise, sous les mains d'un gamin devenu bien trop grand. Lui qui avait avoué : sans réellement le lui dire ; lui qui aurait sans doute voulu faire les choses différemment malgré tout. Mais quand la porte résonna, prunelles attirées vers les inconnus, lui s'en précipita, inspirant calmement pour en reprendre les visages sombres et ternes ; vides de toute expression. Et les visages illuminés, ne faisaient qu'en rappeler les mots : ses mots. Blague prise car les significations lui échappaient, lui, gamin tempétueux qui ne voulait que s'acharner le temps des simples envies; celles d'n comprendre les sens. Comme pour lui dire qu'il tenait à lui sans pour autant en afficher les mots. "Qu'est-ce que tu fabriques là toi hein ?" qu'il en laissa les vocales s'élancer, avant d'en observer les traits, d'un myocarde bien trop rapide : bien trop perdu face à lui

car les prunelles ;
l'envoutaient silencieusement.

"J'imagine que je suis censé te laisser entrer hmm ? Tu connais déjà le chemin, pas mal la mémoire." qu'il sourit vaguement avant de se pousser de la porte, observant les mains du plus vieux. "T'as ramené un truc ?", sourcil haussé avant d'en refermer les lieux : juste à eux pour les heures entières. "Je...J'imagine qu'on doit parler ? Tu veux qu'on fasse ça maintenant ou alors qu'on mange un truc ? Enfin si t'as pas mangé, j'en sais rien. ", voix perdue, alors que les doigts en effleurait doucement la nuque sous la nervosité à l'appui. "Enfin j'espère que t'es pas assez fou pour te pointer ici sans bouffer, parce que sinon ça va être des ramens.", et même s'il savait les cuisiner, sans doute que les moments n'étaient pas réellement choisis pour en développer les saveurs. Ou simplement pour en retarder les mots : pour en faire finir plus vite les attentes insupportables. Et pour une fois, la violence des mots ne résoudraient que malentendus.

♡ busan vibe ♡

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Y’a des anges contre ses tympans, caressent la peau de cristal. Y’a des oiseaux qui chantent et qui dansent dans son petit monde, tout est beau,
Les artifices sifflent dans les cieux, d’une ode à l’amour qu’il s’apprête à offrir à une étoile qui ne brille pourtant que lorsque le fléau sonne. Une étoile qui semble éteinte, mais Hyo garde espoir, ça éclate en lui,
De mille couleurs,
Des saveurs sucrées, et tout ce qui rend un monde plus beau ;
Plus rose.
Lui qui fait fuir les démons qui menacent dans les limbes, il protège, veille sur l’innocence d’un gamin qui ne devrait même plus en avoir, souillé par la cruauté des mots et des univers ! Pourtant Candide s’accroche, à ses rêves et ses désirs d’ailleurs ; avec lui, car jamais sans lui.
Que d’espérances, l’absence qui s’agrippe au cœur,
Vide de sens lorsqu’il se sent loin de lui,
A danser avec l’amour, un peu de miel sur ses lèvres.
Il est prêt, prêt à affronter une tempête, ou bien les douceurs, ce que les dieux auront décidé pour lui, ce qui finira par le frapper de plein fouet,
Il n’y a que les battements de son cœur pour résonner dans sa poitrine, il a peur ( presque trop ) qu’on l’entendre, qu’on perce à jour les secrets si bien gardés, Pandore veille, divine à garder cette boite fermée ;
Jusqu’à ce que les mots trouvent le chemin des vérités.
Porte qui s’ouvre ;
Paradis soupiré, rayon de soleil, pourtant, face à lui, il n’y a que la lune et ses facettes dissimulées, il n’y a que l’éclat de la nuit ( il n’en reste pas moins sublime ! ). Visage qui se tord, doucement, sourire qui illumine, fait briller ses orbes sombres, la candeur qui n’est plus cachée, parce que devant lui ;
Il n’a pas à se cacher,
Il n’a pas à prétendre ce qu’il n’est pas.
« Je rigolais pas quand je t’ai dit que j’arrivais. » Insolence insoupçonnée, alors que le rire, tendrement, fait éclater les sonorités entre les pulpeuses, c’est comme des perles de sucres qui roulent dans sa gorge, comme un sirop délicat, jamais acide,
Ravalé dans le fond de ses pensées.
Signe de tête enfantin alors qu’il ose lentement rentrer à l’intérieur, chaussures qu’il retire alors qu’il pose de nouveau les yeux sur un endroit qu’il a déjà visité, toujours lorsqu’ils n’étaient que tous les deux. « Hmhm. » Qu’il marmonne avant de reposer son regard sur lui, les joues rosées, le battant qui s’agite, ( trop a m o u r e u x ), et comme pour le dévier, il soulève le sac aux pâtisseries avec cet air si malicieux dans ses yeux. « J’ai pris des trucs sucrés, y’a un peu de tout alors t’en fais pas pour mon estomac, il va très bien ! » Toujours soigné, à prendre soin de lui aussi, veiller à ce qu’il ne manque de rien, ou pas de lui. Nervosité qui ronge doucement son être, il le sent, et avec la légèreté d’une plume, une main se glisse contre la sienne. « On peut parler en mangeant. On a notre temps. Ok… ? » Presque plus mature lorsque le ton devient plus sérieux, il ne perd pourtant jamais son ignorance. Les pas se meuvent vers le centre de l’appartement, sachet déposé sur la table alors qu’il en sort un carton où sont gardés les délices. « Viens. Tu veux quoi ? » Qu’il demande, relevant la tête vers Sae, doux sourire formé sur son visage. « Y’a un gâteau à la fraise et un au caramel. » Le corps qui s’occupe d’aller chercher deux assiettes, comme s’il vivait déjà ici depuis longtemps, avant qu’elles ne soient déposées sur la table.

♡ busan vibe ♡

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Et les mots se suivaient sans aucun sens, et les poésies n'étaient plus et n'avaient jamais été : car lui n'était qu'un idiot sans aucune retenue. Alors quand les douceurs aperçues n'en faisaient que rayonner devant lui, simple sourire qui en réussit à pointer sur ses lippes infructueuses, il en était touché, de ces simples merveilles qui éclataient entre ses prunelles des plus délicates. Car le myocarde en devenait sensible, avec lui, car les ironies du monde ne seraient jamais plus fortes que ce qu'il pouvait en ressentir en l'observant. Beauté désastreuse cachée sous les traits d'un gamin qu'il voulait pourtant détester encore et encore : si c'était pour le revoir toujours plus, encore plus, si c'était pour le faire sourire de son caractère tempétueux et imprenable. "Je vois ça.", et les rires qui s'en échappaient lui laissait penser qu'il n'était que merveilles ; lui qui pourtant ne détenait que les malheurs des autres entre ses paumes pour en détruire les doux espoirs. Mais ô créature qui parvenait à le faire sourire : entre les paniques inexprimées. Alors corps entré ; esprit perdu ; il en observa le sac apporté, comme attention si précieuse. "Tss qui a dit que je m'en faisais ?" qu'il marmonna faussement avant d'en relever la voix. "Au moins on mourra pas de faim, c'est pas mal.", car il ne l'avouerait jamais, qu'en sa compagnie, il en cherchait mille moyens de l'agacer un peu plus.

Mais ô incompréhension aux épidermes si délicats, frisson qui d'un coup le frappa de ses plus simples appareils, quand furtive main s'en déposa sur la sienne pour lui en faire détourner les yeux. Car rougeurs qui le prenaient pour une fois : peau brûlant sous les simples touchers. Et qu'est-ce qui lui prenait, à lui, de ne plus savoir en contrôler les émotions ? Ô Saebyeok, désastre ambulant aux habitudes bien trop renfermées, qui pourtant ne savait plus quoi en dire sous les vérités. "Hmm. On peut faire ça.", peu convaincu que les simples pâtisseries en détendraient les épaules si crispées. "Enfin à voir. Pas comme si c'était important.", et les paroles n'en étaient que mensonges : car il n'y avait plus rien qui comptait à part lui, dans son esprit maladroit. Boite de Pandore ouverte pour en laisser les gourmandises se dessiner, il haussa les épaules en soupirant, mains qu'il ne savait plus où placer sans vouloir en perdre les sensations délicates. "M'en fiche. Tu préfères quel parfum ? Ou alors on coupe les deux en deux. Pas besoin de se casser la tête comme ça. A moins que monsieur ait une préférence." Et les poisons ne coulaient plus, calme étrange résonnant entre ses douces paroles, tandis qu'il en observait un instant le plus vieux en faire ce qu'il désirait : car lui ne maîtrisait plus rien.

ni même son myocarde ;
ni même ses sentiments.

S'installant alors sur les sols, table à la hauteur, il en déposa un simple coussin, confort seul pour le plus délicat d'entre eux, pour finalement y tapoter sa main près de lui. "Viens là." Et il se sentait idiot, lui, de ne simplement pas savoir s'y prendre tandis que d'une simple cuillère il commença à piocher dans un des gâteaux. Gamin perdu, qui de minutes en minutes n'en faisait que plus soupirer encore, jusqu'à finir par craquer tout doucement et d'en faire claquer sa cuillère sur la table. "Qu'est-ce que tu me ferais pas faire, sérieusement.", et tandis que le visage fermé rivé vers lui, il s'en approcha brusquement : comme pour en intimider les quelques frayeurs restantes. "Je vais pas attendre 50 ans à bouffer un gâteau, c'est pas ça qui fera passer la chose. Alors mettons les choses au clair maintenant." Paroles brusques, car il ne savait pas comment s'y prendre, tandis que d'un mouvement discret le bras n'en faisait que se glisser sur le rebord du canapé : jusqu'à en entourer les épaules. "T'es vraiment bizarre, tu le sais ça ?", murmure simple pour en calmer un instant les ardeurs. "J'espère pour toi, que tu regretteras pas.", car ô imbécile était-il : lui de s'en être épris.

et les touchers délicats


Ô délicatesse inouïe que personne lui connaissait, douce paume en venant entourer la mâchoire délicate : jusqu'à en offrir un semblant de douceur. Baiser éponyme d'un myocarde perdu, car comment le lui dire, que lui n'avait toujours eu d'yeux que pour lui. Et quand les douces finalement retirées, et que le visage préféra s'en cacher contre l'épaule du plus vieux pour en dissimuler les quelques rougeurs : seules paroles prononcées, au détriment de ses doigts nerveux. "T'es vraiment idiot...", tout comme je le suis.

♡ busan vibe ♡

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Il neige.
Il neige ces petites perles de sucre.
Ca ricoche sur les peaux, vient adoucir le coin de ses lèvres.
Il neige, l’amour et les aveux, le soleil lui aussi est là, comme acteur principal de cette symphonie aux mélodies sublimes, divines, à croire qu’elles accompagnent les cieux en ce jour si spécial. Car ô, jamais il n’aurait pensé qu’il arriverait. Les sentiments qu’il tentait de garder pour lui ;
Et qu’importe s’ils n’étaient pas réciproques !
Hyo n’est heureux qu’à ses côtés, même lorsque ça fait mal, même lorsque ça brûle. Il est heureux, là. Avec ses mots et son poison, avec sa douceur dissimulée et son regard qui en dévoile bien plus que les épines contre sa langue, les gestes qui se font toujours doux ; comme de peur de le briser, de le perdre dans un enfer qu’il n’a jamais mérité.
Et peut-être qu’enfin, aujourd’hui, Hyo se dit que tout ça n’était que les prémices d’un amour inavoué, qu’ils n’ont fait que se baigner dans la douceur de l’un et l’autre. Sans jamais se lâcher la main, il ne veut pas le perdre. Le cœur se briserait, le cœur ne pourrait plus battre.
Les notes ne chanteraient plus de la même façon.
Et il aura beau nier, de sa voix qui résonne, toujours tendresse dans les tympans du plus vieux, à faire rougir la peau rien qu’à l’entendre, à savoir qu’elle n’est peut-être que pour lui, et se dessiner tout un monde avec lui dans son esprit, alors qu’il laisse son corps valser dans l’appartement, levant parfois les yeux au ciel à ses propos. « C’est important ! » Qu’il ose venir rétorquer, reprendre les paroles de Sae, car à l’intérieur, y’a tout qui vibre, y’a tout qui éclate et tambourine. « Je sais que pour toi aussi. »
Et tu ne pourras pas me mentir.
Face aux délices, cuillères déposées sur la table avant que l’idée du plus jeune ne lui fasse relever la tête, comme un éclair de génie qui vient se loger dans le crâne, et le corps s’exécute, à la recherche d’un couteau, de quoi couteau chaque part en deux ; puis recoller les morceaux, avec l’un et l’autre. C’est décousu, un peu comme eux, c’est différent ;
Mais ils se complètent.
Métaphore de ce qu’ils sont ensemble.
Et quand il s’apprêtait à s’installer face à lui, les yeux se levèrent de nouveau pour se loger dans les siens. « Oh. » Les joues éprises de nouveau de ces doux pastels contre la peau, et lentement l’enfant se meut jusqu’à ses côtés, les mots coincés dans le fond de sa gorge, la timidité qui reprend le dessus sur tout son être alors que lentement, la cuillère s’enfonce dans les merveilles sucrées, jusqu’à les porter à ses lèvres.
Étrangement.
C’est amer.
Le silence est long et lourd. Il ne sait plus parler, ça coince, et il a peur de ce qu’il pourrait avouer, il a peur, et il suffirait d’une seule étincelle pour le rassurer, lui permettre d’enfin s’ouvrir sur les battements du pulsant, en laisser les vérités s’en échapper. Sursaut à la cuillère qui claque contre la table alors que le visage surpris se tourne vers lui. « Hein ? » Tout est brusque, mais toujours à sa façon, les joues qui deviennent bien plus rougeâtres qu’auparavant, à voir son visage s’approcher tandis que les mots sont poisons, bras qui glisse autour de ses épaules ;
Il sent son cœur battre ;
Il sent la course folle en lui,
Le sang qui pulse.


Ô enfin, tout explose, lorsque les lèvres viennent se lier pour la toute première fois, que les peaux ne se font plus aussi timides qu’avant. Le temps s’arrête, laisse les pulpeuses danser ensemble, un moment. Un moment qu’à eux. Et c’est doux, bien plus doux qu’il ne l’avait imaginé.
Étrangement,
C’est sucré.
La douceur de sa main contre sa peau, alors que ses propres doigts viennent lentement se frayer un chemin autour de sa délicate taille, à s’y accrocher d’une légèreté candide ; à rêver que ce moment soit éternel ; immortel.
Et il le sera, dans leur mémoire. Et toutes ces prochaines fois.
Union sacrée, pourtant prend fin, le visage qui vient se réfugier contre son épaule, et le sourire ne fait que renaître sur les lèvres, s’étire, alors que dans le coin de ses yeux, quelques larmes d’un bonheur jamais abusé, naissent. Phalanges qui se glissent lentement jusqu’à sa nuque, avant qu’avec une tendresse des anges, les mains viennent soulever le visage, admirer son regard. « Oui. Je suis idiot. » Qu’il admet enfin. « Mais je suis aussi amoureux. »
Et qu’importe si son visage ne ressemble plus à rien, dominée par les couleurs chaleureuses ;
Qu’importe s’il est ridicule.
Il sait que c’est la vérité qui trouve enfin son chemin jusqu’à l’être aimé.
C’est qu’un gosse, qui pourtant se risque lui aussi ; à venir retrouver ses lèvres, comme pour sceller tout ce qu’ils ont entrepris. La beauté du paradis et des limbes qui s’unissent, d’une paix inespérée, les dieux eux même n’en croient rien. Mais lui ;
Hyo, il ne cesse d’y croire.
Croire en Sae.
Croire que le bonheur existe pour eux.
De ses lèvres qui dansent de nouveau, des souffles qui s’égarent ensemble.
Il y croit.
Contre ses lèvres, alors qu’elle se séparent un instant, les paupières qui se rouvrent légèrement.

♡ busan vibe ♡

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Pulsions invivables, qui aux creux des doigts en faisaient se délivrer les idées les plus néfastes : pour en protéger un myocarde qui avait toujours été des plus enfermés. Ô lui n'en était confortable qu'à ses côtés, à ce gamin bien trop innocent qu'il savait pourtant intelligent. Idiot qui n'était que lui, à vouloir en abîmer les éclats, à vouloir en protéger les essences de vie ; mais les capturer et emprisonner comme douceurs éternelles n'en était que les solution de facilité. Lui ne faisait que se protéger lui de l'inconnu d'un myocarde bien trop ancré dans les sentiments de haine : qu'il ne voulait pas laisser pleuvoir sur lui, étincelle des journées bien trop sombres. Pluie sans couleur, entre les prunelles qui n'avaient fait que s'illuminer en le voyant là, simple figure qui de ses graciles vocales en comblait les lieux pourtant si ternes et moroses. Hyo ; créature obnubilant les myocardes comme cauchemar et rêves dans un océan de tendresse. Alors les ironies devenues mensonges en étaient sans doute des plus claires pour celui habitués à ses ridicules paroles.

car les années avaient défilé ;
à ses côtés.

Beautés infernales qui s'en échappaient à chaque fois qu'il en ouvrait les lippes. Et ô lui en riait, de le voir comprendre si facilement en clore les propos si absurdes : car il le connaissait si bien. "Hmm si tu le dis. A croire que tu as le don de me contredire.", alors qu'il en souriait doucement, celui qui lisait en lui bien trop facilement. Alors il courait dans tous les sens, le plus vieux ; tandis que lui en restait immobile à contempler les quelques délicatesses qu'avait bien pu rapporter le seul qu'il laissait effleurer ses épidermes. "J'espère que t'es pas trop violent avec un couteau entre les mains.", simple remarque alors que le corps ne voulait que le sien auprès de lui, catalyseur des poisons pouvant se répandre à la moindre occasion. "Fais pas le surpris. A moins que tu veuilles manger à trois kilomètres de là. Pas que ça me dérangerait." Ô que si, car les moindres centimètres en trop en étaient douloureux sans même qu'il ne s'en aperçoive. Factices étaient les pensées que tout irait bien : sans l'avoir en vue.

seule main fine ;
qu'il voulait garder entre ses doigts.

Et tout se percutait, dans sa tête, et tout se mélangeait, comme pour en noter les quelques notes disharmonieuses qu'il voulait pourtant lui livrer. Ô et si les mots en sortaient si facilement, comment en faire parvenir les quelques pures vérités qu'il déguisait sous les mensonges. Car silence destructeur avant d'en laisser sortir les pensées : et les gestes impulsifs avaient fini par parler, et les idées confuses ne faisaient plus que rébellion face aux logiques interminables. Et sans en attendre plus longtemps, délicatesse dont était dépourvue les mots retrouvés dans les gestes sur le corps si précieux : et ô amours faisant violence contre les simples lippes qui d'un murmure en avait confirmé les faits. Douceur qui en provoquait les simples sensations les plus banales, inconnues à celui qui pourtant ne faisait qu'en découvrir ce que signifiait les quelques syllabes si utilisées par d'autres, mais si rare entre ses lèvres.

délicate danse ;
aux parfums sucrés.

Doigts en effleurant les nuques découvertes, paume chaleureuse bien qu'empoisonnée contre les joues si légères, et lui ne voulait plus s'en décoller, et lui ne voulait que faire valser les rosées contre les siennes. Réconfort étrange à ces simples contacts qu'il avait toujours trouvé superflus : et le voilà qu'il en deviendrait presque sensible. Jeu pour lequel il ne pouvait que se cacher, embarrassé de succomber aux faiblesses d'esprit qu'il avait si longtemps repoussé. Mais ô quand de ses touchers, le corps en restait immobilisé, seul qu'il autorisait à une telle proximité avec lui, seul qu'il voulait sentir à ses côtés pour en comprendre un peu mieux le monde. Yeux finalement rencontré, sous les gestes insupportables qu'il aurait autrefois balayé d'une main : et le voilà qu'il s'en montrait des plus risibles. "Tss...On dirait que t'es traumatisé...J'embrasse si mal ?", lui qui faisait tant d'effort pour ne pas en paraître indélicat. Et de ses pouces beaucoup trop rustres, en effleurait les quelques cils humides de ces cristaux salins si délicats. "Et arrête de dire des bêtises..." ; car les mots sonnaient beaucoup trop beaux à ses tympans.

Cieux qui en accordaient répit, aux constellations retrouvées : unies comme pour en combattre les étincelles bien trop fortes qui risquaient d'en faire imploser son myocarde à lui. Et les bras glissant, autour des puretés si imprédictibles : ô embrasse moi tant que je n'en suis pas encore fou. Car à chaque fois l'épiderme s'en hérissait, car à chaque fois que les murmures soufflés en effleuraient les humidités intimes, lui en resserrait les calmes tailles. Fines et tendres, que même lui ne pouvait convoiter. "Ah ? J'avais pas cru comprendre...Merci de m'éclairer un peu plus." qu'il soupira alors tout doucement, pratiquement amusé des rhétoriques usées. "Et j'imagine...que les discussions importantes ont été élucidées, n'est-ce pas ?", car lui ne savait plus où regarder, iris pourtant rivés sans honte dans les siens, pour en faire imploser les uniques merveilles : lui. "Je continuerais à dire que t'as très mauvais goût. Sauf peut-être en pâtisseries. ", comme pour en calmer doucement le palpitant inépuisable. "Qu'est-ce qu'on est alors ? Des...amoureux ? C'est tellement niais que je pourrais en rire.", et poésies sans méchanceté, lui qui pourtant en demeurait le roi des chaos, qui pourtant ne voulait plus qu'embrasser les douceurs d'un monde plus joyeux. "C'est trop tard pour toi maintenant. Va falloir encore plus me supporter, je pensais pas que t'étais aussi maso..." Courage à trouver pour les lui dire : ces quelques mots qu'il ne saurait prononcer. "Il se pourrait bien que je t'apprécie plus que je le voudrais.", car ô moi aussi...

♡ busan vibe ♡

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La douleur, il a toujours préféré en rire.
Quand ça venait de lui, il a toujours préféré la chérir, car dieu sait quand il s’échappera, quand il glissera loin de ses phalanges, quand il laissera son cœur refroidir d’un amour enfantin. Sae, comment est ce qu’il peut l’aimer lui aussi ? Il n’a rien de spécial, Hyo, un peu invisible, un peu sensible ;

Un peu inutile.
Ça l’bouffe de l’intérieur.
Parce que son existence ne prend sens que lorsqu’il se tient à ses côtés.
Pas avant, et après ( est ce qu’il y aura un après ? )
Qu’est-ce qu’il fera, s’il part ?
( Il ne veut pas l’imaginer, il ne veut pas le peindre sur les toiles de l’avenir ).

Parce qu’il s’est entiché de ses lèvres contre les siennes, de son toucher contre sa peau laiteuse. Il en est encore tombé amoureux, un peu comme la première fois qu’il a croisé son regard, qu’il s’est dit que c’était plus aussi innocent qu’avant ;
Que son cœur battait d’une drôle de symphonie.
( Maman a dit que c’était l’amour ; papa a dit que c’était merveilleux ).



Il ne veut plus s’éloigner, il ne veut plus se passer de lui, car ô crime de l’humanité ! Que de lui retirer sa précieuse étoile, même si elle brille de son chaos qui brise ; massacre. Mais ses mains douces, contre lui, arrivent à recoller les morceaux de son âme en miettes. « Tu n’embrasses pas mal. » ( C’est parfait ), qu’il glisse, au coin de lui, à ses yeux qui s’perdent dans les siens, à ce contact qui le rend soudainement plus fort, comme s’il pouvait de nouveau y croire ( à cette vie idyllique tant imaginée ).

Y’a des étincelles, avec lui.
Son feu, ses lèvres dansent, avant de signer l’acte de paix, à s’éloigner encore un peu, à se donner rendez-vous vers des ailleurs encore plus beaux, quand elles finiront par se manquer, que les sucreries hanteront des corps de gosses. Rire doucement transporte, alors que les joues sont colorées de l’orange des lampadaires de l’hiver, un peu aussi, comme les fraises d’une fin de printemps. Délicates. « Je suppose, oui. Sauf si tu veux poser des mots sur celles-ci. » A sentir la chaleur monter, bouillir en lui, parce qu’il ne quitte pas non plus son regard. Il a trop peur que ces instants ne soient que des illusions, éphémères, et qu’ils s’envolent lorsqu’il aura cligné des yeux. « Tu n’as pas bon gout non plus. » Petite moue boudeuse, avant de rire, toujours plus, toujours ces notes qui valsent contre les tympans des anges. « Mais au moins, je t’ai pour moi. »


Des amoureux, ô voilà, donc ce qu’ils sont.
Et c’est plus beau quand ça sort de ses lèvres,
Quand c’est lui, qu’il vient confier cette question qui fait exploser son battant.
« Tu es mon amoureux. Hey ! » Doux coup de coude, à déjà venir le chercher. « C’est pas niais, c’est… » Ça l’est, pourtant, il voudrait lui donner une autre définition. « C’est apaisant, de l’être. » Doigts qui reviennent s’emparer de la cuillère, à découper lentement un morceau de son gâteau de lui tendre. « Mange, tu diras moins de bêtises. » Car le visage est déjà rouge comme les rubis, ces joyaux tant convoités, quand le sien ne bat que pour lui. « Maintenant, ça veut dire qu’on peut faire des trucs d’amoureux. » Il semble réfléchir un instant, avant de venir faufiler sa main contre sa sienne, laissant ses doigts s’entrelacer aux siens. « Comme ça par exemple ! » Sourire qui s’empare de lui, à ne jamais le quitter, il finirait par ne plus être lui s’il ne souriait pas.

Petite lumière qui vient naître, soudainement semble l’émerveiller.
« Il y a quelque chose que tu veux faire maintenant ? Je veux dire, un truc que les amoureux font ? Il y a pleins de choses c’est sur, mais moi, je vais pas ce que je veux en premier. »

♡ busan vibe ♡

Adrenaline keeps on rushing in

Et le monde pouvait imploser : plus rien à ses visions ne comptait. Peut-être car il ne s'était jamais laissé emporté par les sentiments d'une évidence sans pareil. Méchancetés qui avaient résonnées, dans les souvenirs lointains, comme pour échapper au funeste myocarde qui n'en demandait qu'à être aimé. Par lui, ô regard innocent ancrée dans les pensées décharnées : car il n'y avait que lui qui venait en illuminer les lueurs. Douceur réservée et conservée pour le seul faisant apparaître les harmonies, car il en était secrètement sa symphonie cachée. Chaos intérieur plongé dans le silence, pour simplement penser à l'instant ; à lui. Alors les yeux scintillaient, de pouvoir l'observer de si proche sans en être gêné, doigts effleurant les épidermes comme pour ne pas le voir disparaître ; cauchemar éteint dévoilant les seules attentions qu'il pouvait lui offrir. Un peu plus, toujours plus, jusqu'à disparaître contre ses chaleurs brûlantes.

Passion dévoilée ;
faisant sourire les monstres.

Et que voyait-il, dans ces iris, si ce n'était les ruées de couleurs et d'étoiles qu'il n'avait jamais pu constater avant ? Car tout s'y dessinait, car tout s'y mélangeait, et ô malédiction il ne pourrait jamais s'en détacher au risque d'en perdre les horizons. "J'espère bien.", car lui n'existait que pour le détruire, mais encore plus le faire rayonner de ses joies si subtiles. Car tout valsait, car les doigts s'agrippaient comme pour essayer d'en comprendre là moindres gestes, moindres significations : autre que les mots qu'il n'arrivait pas à dire. Pourtant tout explose ; paroles teintées d'amusement face à celui qui en rigolerait presque, de ces moues bien trop fragiles. Alors comme pour l'empêcher de penser, il se laissa convaincre de venir en embrasser une de ses commissures, car combien de temps allait-il réussir à lui offrir autant de douceur ? "C'est dommage alors, si on a tous les deux des mauvais goûts." qu'il en murmura discrètement avant d'en laisser les prunelles rayonner furtivement. "A toi hmm ? Parce que t'es possessif ?", rire léger ; plus qu'habituellement, même si étrangement les taquineries se faisaient veines face aux envie de douceur : qui pour une fois venaient en prendre le dessus.

Et tout était contradictoire, à ses oreilles qui n'avaient connue que guerres et intrépides malheurs. Ô tendresse qui le dépassait alors que sous les fausses grimaces, il en était pourtant des plus touché : de ces simples syllabes qu'il n'aurait jamais imaginé pouvoir attribuer à quelqu'un. Fixe, étaient ses opales sur les pâtisseries tendues, alors que les rires gênés s'en dégageaient de ses simples vocales comme pour l'assommer d'un coup. "Qui dit des bêtises hein ?", qu'il prononça avant d'en prendre la bouchée proposée sans même hésiter. Nez se fronçant légèrement, sous les gestes qu'il tentait d'analyser : tout confondre pour se fondre contre lui. Idées floues, perdues, entre les dédales insoutenables qui lui parcourait la tête ; jusqu'à ce que tout ne s'effondre pour en afficher un peu plus son visage face à lui. Univers se construisant petit à petit de ses sourires et rires inoubliables. "Des trucs d'amoureux ?" qu'il l'interrogeait, presque surprise des innocences traversant les idées du plus vieux alors que de ses doigts effleurant les siens, il en observa d'un léger sourire leurs mains liées, avant de resserrer sa paume contre la sienne. "Si c'était que se tenir les mains...Fallait demande plus tôt.", aisance déconcertante pour lui qui n'en avait pourtant jamais testé les douceurs, alors que son pouce en caressait les délicats épidermes.


Laissant alors les lippes trouver le dos de sa main comme simple geste de tendresse, alors que son nez se fronça délicatement, il haussa un sourcil : comme si tout n'était que compliqué dans sa tête. Découverte des anges, pour quitter les limbes et se laisser porter par les instincts. "Tu sais pas ce que tu veux ? Qu'est-ce que j'en sais moi...J'y connais rien. Du moment que tu me fais pas grimacer en disant des trucs mignons.", car il n'en avait jamais offert les myocardes, lui. Regard cherchant alors désespérément ce qu'ils pouvaient faire, il pencha la tête avant de le fixer un instant, presque perplexe. "T'es trop innocent pour quoi que ce soi." qu'il commenta alors avant de s'allonger à moitié contre ses genoux en croisant les bras, continuant à le fixer de sa main dans la sienne. "Ca fait quoi, les amoureux hyper niais pour toi ? Apprend moi." Ne rien savoir, juste l'admirer plus honnêtement qu'il ne l'avait jamais fait. Temps défilant sous les cieux si calmes : changeant de ses habitudes bien trop violentes. Car Hyo était son seul repère entre les désastres, seule lueur dans les stupeurs d'effroi : car seul astre à ses yeux méritant ses attentions. "On peut tout faire maintenant, alors te gêne pas. Enfin pas que je sache ce que t'as derrière la tête. Je te laisse carte blanche. Enfin même si tu l'avais déjà, pas comme si je t'avais déjà empêché de faire quoi que ce soit." Et il ne savait pas depuis quand, ni même pourquoi ; mais les épaules s'en montraient si frêle avec lui, comme si tout était possible, comme si les poisons pouvaient s'en dissiper un peu plus ; seulement en étant ensemble.

apprend moi ;


à vivre.

♡ busan vibe ♡

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Comme la plus belle des roses que l’on vient cueillir ;
Arrachée aux doigts de la vie, l’accueillir dans les bras de la faucheuse.
Sae, et ses doigts empoisonnés, caressant l’âme de l’enfant perdu sur ce chemin, les pierres roulent à ses pieds, alors que les lèvres se courbent des sourires offerts, le cœur s’est paré d’un amour sublime, d’un amour candide.
Mais qu’importe, si les roses deviennent ténébreuses à ses côtés.
Si le poison brûle sa peau.
Qu’importe, parce qu’il ne pourra jamais céder sa place.
Malgré la peur qui l’emporte au fond de son estomac, il fait en sorte de l’endormir, quand l’euphorie prend possession de lui. C’est tout ce qu’il souhaitait, caresser ce bonheur du bout de ses doigts, être prisonnier de lui, dans ses bras, ne plus jamais le laisser s’envoler malgré les souffrances d’antan. Il a besoin de lui, pour respirer cet air salvateur.
Il a besoin de lui, pour continuer à peindre les douceurs des cieux, pour rêver de toutes ces grandeurs, à penser leur avenir ( grandiose ). Rire qui emportent le cœur, la gorge qui vient se déployer, toujours plus. « Bien sûr que je suis possessif. » Qu’il vient admettre, parce que le cœur se montrerait bien jaloux de tout, à ne le désirer que pour lui. Peut-être que c’est lui, Hyo, le démon entre eux, celui qui l’enferme dans cette cage dorée.

Petit roi !
Quand minuit vient, à s’amouracher de son âme.
Sae, que lui.
Il lui dédiera des odes, des toiles, et sa vie.
‘Jveux l’aimer toute ma vie.’ Comme un enfant, à jurer face aux dieux,
Aux cieux,
Trop précieux !


Le nez se retrousse, la malice dans ses yeux, glissant sur ses lèvres encore enfantines, à peine souillé, à peine dévoré. La peinture l’emporte, c’est joli, dans son petit monde, il couronne Sae comme unique roi, lui à ses pieds, prêt à tout lui offrir, des joyaux merveilleux comme à son courage argenté ! Les doigts entrelacés, c’est doux et tendre, c’est tout ce qu’il n’imaginait pas ( plus ). « J’avais peur que tu ne veuilles pas me prendre la main. Ou même des trucs qui font trop amoureux. » Trop blessé, peut être. Trop méfiant, il ne voulait juste pas le casser, l’abîmer comme lui l’est.

La délicatesse, Hyo, il est né entre ces mains sublimées des nymphes, la tendresse, pourtant il ne veut jamais s’habituer à celle de Sae. Il veut pouvoir redécouvrir ce côté de lui chaque jour, laisser le cœur sursauter comme à cet instant, comme la première fois. Il ne veut pas que ça soit son quotidien, il veut que ça soit tous les jours nouveaux. « Tout ce que je sais, c’est que je te veux toi. Mais je vais essayer de pas te faire grimacer. » Notes qui s’échappent délicatement alors que les yeux brillent ;


Ô Hyo, toujours trop coincé dans son enfance,
Sae a raison.
Trop innocent, trop pur pour laisser les pensées se souiller complètement.
Alors, fausse mine boudeuse, il ne répond pas, laissera seulement le rire s’échapper une nouvelle fois, le cœur rempli de toutes ces jolies choses, de tous ces rêves. Et il l’accueille, délicatement, contre lui, sa main libre qui vient caresser les délicates mèches de ses cheveux, parfois en détaillant de nouveau son visage du bout de ses doigts. « Hmmm… Eh bien, ça passe parfois des après-midi ou des soirées au lit, à regarder des films, des séries, avec des trucs à manger... Puis aussi, aller au restaurant, ou juste se promener en se tenant la main. Ca se dit des mots d’amour, des je t’aime, et aussi ça rêve ensemble ! De l’avenir et de tout ça ! » Il n’y connaît pas grande chose,
Se contente de ce qui se dessine dans les clichés, dans les images qu’il prend le temps d’admirer devant la télé, ou face à ces peintures où l’amour est roi, mais ça ne sera jamais comme avant.
Pourtant, il veut l’aimer, intensément, et qu’on s’en souvienne jusqu’à raconter des légendes sur eux, sur leur amour et ce qu’ils étaient. Candide. « Tu pourras passer tout ton temps chez moi, ça sera un peu comme chez toi aussi, même si je vis avec mes colocs ! » Il rit,
Mais il sait qu’il rêve déjà trop,
Des ambitions, à vouloir tout faire à ses côtés,
Vivre comme pleurer.

« Et toi, il y a quelque chose que tu veux faire en particulier avec moi maintenant ? » Baiser déposé sur son front, ses phalanges plongent de nouveau dans ses cheveux, lisses, doux, ça sent comme le paradis, son paradis. Il voudrait lui dire, qu’il l’aime, mais le cœur n’est pas encore courageux ! « Je veux juste être avec toi, tout le temps. »

♡ busan vibe ♡

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Attraper les astres du bout des doigts, pour en admirer les éclats permanents. Et ô myocarde plus léger, comme si les peines s'étaient envolées aux simples confessions : car il n'avait rien à cacher, face à celui connaissant les moindres secrets gardés derrière les lippes. Poésie ternie de ses propres mots, car lui n'en connaissait que violence à faire éclater : tâches impures qu'il venait pourtant faire exploser loin de lui ; pour ne pas en perdre les éclats si merveilles. Car il en réchauffait les cœurs, Hyo. Antidotes aux venins infectes, adoucissant les touchers et rendant silencieux les horreurs prévisibles ; avec lui, simples admirations des lueurs permanentes ; amoureux de le voir sous ses traits radieux de ces sourires à graver.  Pétale à chérir, éclat à préserver : pour en offrir les sentiments si complexes. Rédemption à trouver à ses côtés pour en purger catastrophes commises, pour tenter d'en faire pardonner les poisons déverser pour se perdre lui-même dans ses iris.


Rires ornant les espaces, de ces iris n'en faisant plus que se poser sur lui, et il se questionnait : car il ne comprenait pas pourquoi tout s'emballait ainsi. Et au final, il s'en trouverait presque horrible d'être lui face à une telle délicatesse : car il n'en méritait aucune bonté. Seulement lui, admettrait qu'il en laissait les cœurs se faire posséder, preuve unique pour l'indomptable qu'il était devenu : car il voulait le voir sourire toujours plus. Valsent les étoiles détruites qui en fleurissaient de nouveau comme printemps irrégulier, pour en laisser sortir ce qu'il n'avait fait que garder en lui. Amour à offrir à l'unique ciel qu'il souhaitait observer, œuvre d'art forgeant ses propres faiblesses, lui, le seul pour qu'il se battrait sans doute.
"Si toi t'es possessif...Alors qu'est-ce que je suis hein ? J'aimerais bien voir ça.", s'amuser de ses facettes à découvrir, car il regorgeait de couleurs ; nuancier élégant qui en révélait là sa présence.

Ô toucher divin. Evités ! Pour sombrer de nouveau. Peur de ces contacts dont il n'avait jamais eu le droit ; monstre des étangs surgissant pour s'en transformer en ce qu'il n'avait jamais été : amour à offrir derrière les façades imbuvables. Car les doigts s'y accrochaient comme pour ne pas le voir fuir, comme pour ne faire que le garder là sans ne jamais le voir partir. "Hmm. J'aurais sans doute refusé, c'est vrai.", ne jamais l'avouer de ses propres lippes, que lui n'avait fait qu'en mourir d'envie de ces doigts entre les siens. Pourtant Saebyeok ne voulait qu'en garder les visages sans couleurs, pour ne jamais trop s'attacher ; capable d'en arracher les peintures pour en arracher les ailes de ceux voulant s'envoler toujours plus. Et tout s'échauffait, sur les épidermes. Mots qu'il découvrait car trop peu entendus à ses tympans : car il ne s'était pas attendu aux intrépides courages dont seul le plus vieux semblait vouloir lui offrir. Inepties harmonieuses ! Sombrent encore plus ses délicats sourires qui ne faisaient qu'apparaître sur son propre visage sans en prendre conscience. Car il était tout à présent pour lui, comme perdant aux jeux des amours auxquels il ne pouvait plus dire non. "Tu me veux moi hein ? Fais gaffe je pourrais mal interpréter tes mots.", nuances à apporter ; car lui ne faisait que lui apporter les innocences qu'il n'avait fait que voir à travers ses opales irisées. Lui qui ne voulait pas en souiller le seul à l'accepter de ses violences transformées en tendresses.

dit moi dans les yeux ;
qu'il n'y aura que nous.

Dessein à créer ensemble, nouveau chapitre à rédiger et à ne plus détruire de ses phalanges passées ; depuis quand était-elle devenue si douce, cette main contre la sienne ? Car les gestes n'étaient qu'illogismes, car le corps se laissant glisser contre le sien ne pouvait qu'en fermer les prunelles de ces frissons insolents. "Boude pas gamin.", moue factices, pour en libérer les longues énumérations : eux qui pouvaient tout faire à présent. Frémit, la peau de ses doux touchers, alors que les regards se posaient sur ces visages si inspirés face à ce que lui ignorait. "Et bah t'as l'air de t'y connaître.", rictus léger alors que tout ne faisait que l'amuser. "On dirait que c'est pas si dur alors. D'être amoureux. On pourra faire bien plus que tout ça. Après tout on a le temps, maintenant, non ?", pour en faire devenir nacre ses lippes sous les siennes, pour le voir devenir roi des lieux et maître de ses actions. "Chez toi y'a du monde. T'auras qu'à venir ici. Gene est jamais là. Un appart pour nous tout seul, juste à deux, ça t'irait ? Mais t'imagines rien. Comme ça si je supporte plus que tu me colles j'irais dans une autre pièce.", menteur ; lui qui ne voulait déjà plus se détacher de lui. Imaginer avec lui : alors qu'il ne faisait qu'en devenir des plus enfantins à son tour. Langue claquée ; presque embarrassé de lui-même. "Tss. Qu'est-ce que tu m'as fait hein ? J'ai l'air complètement débile.", juste avec toi, pour ne plus en voir les larmes.


Main se resserrant : sous les fronts charmés de découvertes ; car le corps se retourna légèrement pour en laisser les bras l'entourer et le rapprocher. Nez s'enfouissant alors finalement pour l'en sentir bien plus contre lui. "Laisse moi...déjà m'y habituer. Et sentir ton odeur. Puis on avisera.", car il n'y arrivait pas encore : à réaliser les bonheurs si soudains. Manière à lui de tenter d'en reprendre les contrôles des paroles qui lui échappaient bien trop souvent, pour ne pas en arracher là les émotions de ses Enfers à enfermer. "T'as qu'à rester là. Cette nuit." qu'il en murmura alors sous les quelques soupirs de bien-être qu'il laissait s'échapper. "Enfin si t'as pas peur de rester seul avec moi. Après tout qui sait, je pourrais vite changer d'avis. J'espère en tout cas que tu sais choisir les films. Ou séries. Enfin, si on en regardera." ; car rien ne collait : car il ne faisait que le vouloir là sous les provocations lancées. Ne part pas ; reste là. Mots bien trop niais pour sortir de sa bouche, alors il s'en contenterait des propositions offertes pour tenter de ne pas sombrer un peu plus dans les inconnus. "Puis soit pas si heureux. Je sais pas ce que c'est d'être en couple. Alors je risque d'être encore plus insupportable maintenant.", car il ne voulait pas le décevoir. Alors efforts qu'il ferait pour en apaiser les esprits et en garder les violences sans pour autant se dénaturer : ô combien en réalité il ne voulait que le voir des plus heureux. But à atteindre pour ne pas en perdre les horizons si fébriles.

juste le temps d'une soirée ;
juste le temps de pouvoir profiter des euphories des premiers instants.

♡ busan vibe ♡

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Et si tu n'es plus là ;
Je crois que je pourrais me perdre à jamais.

Dans un labyrinthe abyssal, sans aucune sortie existante. Dans le tartare où les démons ne veulent que dévorer les âmes en perdition. A soudoyer les dieux ; à soudoyer le puissant diable pour avoir la vie sauve !
Mais peut-être que de cet enfer, c'est lui le roi. Sae.
C'est vers lui qu'il vient s'agenouiller, prêter allégeance éternelle, fidélité pure et candide.
Et dans ses bras, il veut se noyer, sans même avoir envie de retrouver son souffle. Contre lui, il veut exister, bien plus qu'avant. Sentir son coeur battre, sa respiration rencontrer la sienne. Ses lèvres épouser les siennes ; d'un fantasme longtemps inavoué, aujourd'hui vivant.
Le regard qui s'accroche, et qu'elles sont belles ces joues rosées ! Qu'il est beau ce sourire qui ne s'épuise pas, qui reste empereur sur le visage enfantin. Il ne veut pas que ce jour cesse. Il ne veut pas que la nuit se couche, ou bien que les corps se séparent. Il a besoin de lui, bien plus qu'hier. Bien moins que demain. Il a besoin de lui, de sa main dans la sienne pour avancer, de sa voix pour le projeter dans les cieux.
Rire princier, à ses mots dont il ne vient pas répondre, à ne pas chercher la guerre. Il laisse une main, ses phalanges, venir caresser la peau doucereuse de son visage, comme si toutes les frontières n'étaient plus ; il a le droit de l'approcher.
Le droit de n'être qu'à lui.
C'est vrai ! On a tout notre temps maintenant ! Peut-être même toute la vie. Espoir grand et fort, des ambitions chaleureuses, sans même en mesurer leur grandeur, il n'y a que des étoiles dans ses yeux, il n'y a que des désirs de lui. Hm, d'accord. Je passerai plus de temps ici. Puis que tous les deux... Ca me va. Je me sentirai moins gêner ! J'aurais peur que mes colocs passent leur temps à sourire parce qu'elles sont contentes... Je veux aussi n'être qu'à toi. C'est un peu égoïste, peut-être ?
Et les joues portent encore et encore leur maquillage de fête, alors que ses yeux vacillent de son regard à ailleurs, presque timide maintenant. Pourtant si heureux.
Rien, c'est la fée de l'amour.
Enfant qui n'a jamais su grandir, il rit, il laisse les sonorités joyeuses s'échapper de ses lèvres comme si demain n'importait pas ; comme si les malheurs n'étaient plus que des futilités. Car s'il est là, alors il peut bien affronter le monde entier.
S'il est là, il est plus fort que tout le monde.
Il peut partir à la guerre, il reviendra victorieux !
Etreinte qui se resserre, sa chaleur l'emporte, et les yeux se ferment, à la simple idée de profiter de cet instant, de sa tendresse trop rarement connue. Sourire gravé qu'il ne peut déjà plus effacer, et la langue pleine de ces mots d'amour qui n'attendent que de s'exprimer. D'accord, je te laisse tout le temps que tu veux. Il murmure, d'un baiser déposé sur le haut de son front ; protégé qui devient presque protecteur pour le bien d'un être qu'il ne veut que protéger.
Demande qui le surprend, mais il ne montre autour panique, aucune surprise, le serrant seulement un peu plus fort contre lui. Hm, je reste là. Je n'ai peur de rien car je suis avec toi.
Vérité sublime ; aucun poison existant. Il n'est que plus fort en tenant sa main, en étant si minuscule dans ses bras, pourtant si grand d'un amour si pur. Pourtant ; carcasse qui se décolle lentement, les yeux se rouvrent pour se plonger dans les siens, il tient son visage de ses mains douces et délicatesses, toujours trop petites pour tenir le poids du monde. Non moi non, je sais pas ce que c'est. Mais ce que je sais, c'est que je veux être avec toi. Premier baiser rapide sur ses pulpeuses, il est apaisé ;
Pourtant, à l'intérieur son coeur brûle tout entier de ces sentiments inégalables. Et c'est déjà beaucoup à mes yeux. J'ai de la chance de t'avoir, qu'importe ce que tu penses. J'ai de la chance de t'aimer.
Tant que tu es là, tout ira bien Sae. Et voilà que les divines se posent bien plus  longtemps sur les siennes, ses bras scellant leur étreinte autour de son cou alors qu'il laisse ce moment durer. Quelque secondes, peut-être plus. Il ne sait rien. Il ne veut pas savoir. Il veut simplement profiter de cet instant.
Et toi, sois prêt à vivre l'impossible avec moi. Et ça commence par : On fait quoi ce soir ?
Propose ce que tu veux, je te suis.

♡ busan vibe ♡

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Ne rien comprendre, à se perdre dans les étreintes, à en sentir les joues picoter de ces sentiments nouveaux. Car il ne savait rien, Saebyeok, à n'avoir fait que s'accrocher à celui qui n'avait pas fuit, celui qui en restait là. Calme inquiétant, à ne pas savoir s'y prendre, de ces douceurs qui ne lui ressemblaient pas, de ces gestes si peu maîtrisés. Et ô sans doute aurait-il dû prévoir le coup : que le coeur ne tiendrait pas si facilement, à vaciller, chanceler, à vouloir se montrer fort, idiot encore et toujours, à tenter de rester ce qu'il avait toujours été. Mais sans doute le rendait-il bien trop épuré, de ces crises à ces simples tendresses, de ses innocences à ses espiègleries. Car les vocales aux tympans en sonnaient reines ; à combler les écarts et à en rendre docile les abominations. Trace là les sourires, comme pour en rattraper les temps perdus.

et que vois-tu ;
entre tes iris ?

A croire que tout était si facile, à l'entendre, à se demander là : s'il n'était pas utopiste de s'imaginer là futur avec lui. Malheurs à toujours s'abattre, à pourtant vouloir serrer ces mains contre ses pommettes. Et quelle chance était-ce là ? De ne plus avoir à en cacher les mots, à simplement le garder pour lui comme égoïsme le plus aigu. Car ce n'était que ce qu'il avait fait depuis si longtemps : à presque trop le protéger, trop le couver, comme enfant à cacher du monde. "Toute la vie ? Déjà essaie de voir si t'arrives à tenir une semaine avec moi et on verra.", à pourtant le vouloir lui aussi, si secrètement. "Tss tes colocs seraient pas un peu bêtes ? Mais tant mieux. Soyons égoïstes à deux alors.", à chérir les instants fébriles : pour ne pas les briser.

jconstruire quelque chose ;
sans en détruire le moindre morceau.

Tenter d'en contenir les palpitants écorchés, à ne pas vouloir en gâcher les moindres moments, il se laissait tomber, Saebyeok, contre les corps si fragile. Sentir les chaleurs sur les peaux, à se laisser capturer un peu plus par ses douceurs, ô les colères s'étaient enfuies si loin pour en laisser là visage si paisible au grand jamais montré face au plus vieux. A se dire, que plus jamais, il en viendrait à blesser les fragiles pétales ouverts. Mais ô, il en était que trop avide, à demander ce qu'il n'avait jamais fait, à vouloir devenir tout autre avec lui. Laisser les lippes effleurer les peaux, à finir par le resserrer quand de ses douces mains il en viendrait presque à grimacer, de ces surplus d'amour. "Tss -", a avoir à peine le temps de ne dire quoi que ce soit, de ces baisers rapides le faisant taire, il en garda sourcils froncés, de ses joues finement colorées.

et dire que de simples gestes ;
venaient en teindre les visages blafards :
jusqu'à le faire chavirer.

"Vraiment n'importe quoi.", qu'il souriait, cependant, à en sentir finesse des gestes, à se laisser perdre dans ces éclipses malicieuses. Bras autour des tailles ((à ne plus vouloir le lâcher)), clos étaient les onyx, à se laisser bercer des lèvres contre les siennes. Doux, fugace instant, à ne rien précipiter, à juste en laisser tomber un peu plus les barrières. Et peut-être que le cœur n'en tiendrait pas le rythme, à ces allures si merveilleuses. "Ton impossible commence par une simple soirée ? T'es bien facile à vivre, dis moi.", qu'il tentait de réfléchir et de trouver, gamin ennuyeux qu'il était à pourtant ne savoir que détruire les vitres absolues. "Hmm...Une série dans le lit ?", épaules haussées, commencer simple sans ne rien brusquer, à ne pas vouloir déverser là les impuretés sur ces corps tant aimé. Et ô, tout n'était que simplicité : pour les débuts d'une nouvelle histoire.

"A moins que tu ne veuilles faire autre chose. Je peux te prêter des fringues pour dormir aussi. Ou je peux dormir sur le canapé aussi...enfin si tu veux pas.", qu'il se décolla tout doucement de lui, à le fixer un instant, à plisser des yeux : avant de se lancer pour en embrasser furtivement sa joue, et de se lever. Préparer les chambres, installer cocon pour en embellir les regards. A attendre, se demander s'il le suivrait : pour se blottir contre les couvertures et ne plus en quitter les écrans. Comme pour en camoufler là, ces tendresses inattendues. Caresse des paroles qui en faisaient frémir les épidermes ; car il était si faible, face à lui. A vouloir le garder contre lui, à vouloir ne jamais le lâcher. Et il en avait été le premier à se détacher pour en confectionner les maisons à partager.

♡ busan vibe ♡

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Les lèvres brûlent et les coeurs battent à l'unisson ; comme une symphonie divine à respecter, à faire vibrer les peaux de ces damnés, à faire trembler les sentiments qui ;
ce soir, ne sont plus tabous.
Des sentiments aussi pur qu'un cristal de la nuit, à briller si fort dans les cieux, comme dans les entrailles de la terre.
Il y a deux opposés. Il y a la lune, la si belle, de son froid éternel, de sa lumière de grâce, de ses mains argentés, elle vient tout sublimer de son amour. Et la lune s'est éprise d'un amour inconditionnelle pour le plus beau des astres.
Soleil brûlant au centre de l'univers, il n'est qu'un chaos abusé, il n'est qu'une boule de feu qui ne demande qu'à exploser, quand lentement il ne fait qu'imploser dans un silence inquiétant.
Tempête violente, c'est le silence entre ces deux atres, quand il n'y a que l'Eclipse pour réunir les amants maudits.
Les comètes n'en cessent d'en rire, quand ils tendent pourtant leurs bras pour s'atteindre l'un l'autre, laissant les lèvres s'épouser sur l'Autel de la vie. Quand si bas, on voudrait les voir dans le déclin, à s'crever contre le macadam jusqu'à ce que les corps finissent par pourrir de tous leurs pêchés inavoués. Et si aimé est un crime, alors Hyo, il veut continuer à être ce criminel qui se bat pour leur liberté nécrosée.
Je suis sûr que j'en suis capable, tu crois juste pas en moi ! Car lui, il serait capable des pires sacrifices pour rester à ses côtés pour toujours. Il pourrait trahir bien des âmes célestes, pour fuir. Fuir et se fondre dans ses bras brûlants, jusqu'à calciner sa peau. A l'aimer, l'aimer comme Icare est tombée amoureux de cette divinité suprême ( Elio l'accueille dans son enfer rayonnant )
Il aime, il a toujours aimé le contact, les étreintes rassurantes quand les visions n'étaient que cauchemars à ses yeux, jusqu'à fait frissonner la peau fragile, pourtant délicate.
Mais quand c'est lui.

Quand il vient graver son nom sur ses lèvres ;
A le rendre immortel.
Hyo sait que c'est lui, quelque part, ça a toujours été lui. Comme une évidence, il a refuser de s'en éloigner. Refusant de tirer un trait sur lui. Il était, ô il est toujours son plus beau caprice.
Sa plus belle comédie !
Sa plus belle toile.

Les sourires ne peuvent trahir ce qui bouillonne dans leurs entrailles, les touchés ne se repoussent pas, il n'a plus peur.
Parce qu'il le sait à ses côtés, aujourd'hui, et il ira prier ! Pour que demain il soit toujours son roi.
Parce que l'impossible, c'est facile au début, mais après ça devient plus difficile. Et moi, je préfère quand c'est facile. Enfant qui s'exclame, à claquer de ses mains alors que le son mélodieux d'un rire s'échappe de sa langue ; de cette gorge sucrée, jamais amère. Une série au lit, c'est très bien ! Et il tentera de cacher les rougeurs encore naissantes de cette proximité qu'il n'avait imaginé que dans ses songes ; que dans un avenir misérable, qu'il n'aurait jamais pu atteindre avec ses mains si pales, si faibles. Et les cheveux volent délicatement, quand la tête se secoue avec tendresse ; d'une délicatesse marqué sur son visage amoureux. Ca ne me dérange pas de dormir avec toi ! Et je veux bien que tu me prêtes quelque chose, s'il te plaît. Doigts qui s'entremêlent entre eux, alors qu'il le regarde s'éloigner, la sensation que ses lèvres sont encore posées sur les lèvres, de ses doigts qui viennent recouvrir la chair tout en souriant, fier de cette victoire qu'il a toujours cru échec. Enfant qui sait si facilement suivre ses envies, à laisser le corps se relever et les pas détruire la distance entre eux, quand pour la première fois il pénètre dans cette chambre aux allures si différentes de la sienne. Intimité jamais visité, il laisse les yeux vagabonder un instant avant de venir s'écrouler sur le matelas, riant comme le Candides et ses naïvetés. Lentement, se faufiler sous les couvertures alors qu'il le détaillait, d'un regard si malicieux, pourtant rempli d'une innocence angélique. On regarde quoi ? Moi j'aime tout, sauf les trucs d'horreur, mais tu es là, ça m'ira ! Qu'il laisse échapper alors qu'il vient le capturer de nouveau dans ses bras, n'ayant que faire de tout ce qui les entoures. D'un manque déjà évident de son contact, si longtemps privé de tout ce qu'il désirait, à avoir laissé les mains seules trop de fois. Oh, tu pourras me montrer ta série préférée ? Je crois que tu m'en as jamais parlé ! Pensée furtive, marquant une légère pause. Peut-être que tu en as pas en fait... Je suis bête ! Il rit de bon coeur alors que les larmes d'une joie intense sont nichées dans les coins de ses yeux.
Moi j'aime bien, c'est vieux hein te moque pas ! Mais les disneys, j'aime trop ! A batailler avec sa propre langue, laissant les mots se mélanger aux rires doucereux, sans jamais plus avoir peur de son regard ;
De son touché.
J'espère que tu m'en voudras pas si je m'endors hein...
D'un trop plein d'émotion, qu'il sait, viendra l'emporter.

♡ busan vibe ♡

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Fleurissent les âmes, dans ses seuls regards, à ne plus que le regarder lui, à en sentir les palpitants s'animer comme sous les jougs des promesses éternelles. Et méritait-il même tout cela, lui ? Alors qu'il n'avait été que tornade à faire valser les joies, détruire les espoirs, jusqu'à regretter que les doigts ne se posent sur les frêles épidermes. Mais ô Saebyeok, jouer avec le feu, jouer avec les gens, quitte à s'écorcher lui-même. Sauf que Hyo, seul créature à faire luire les regards : car il ne voulait qu'enlacer les peines jusqu'à les faire disparaître. Echanger toutes celles qu'il possédait, pour les accumuler aux siennes. N'en garder entre les paumes étoilées, les seules joies des présences, comme trésor absolu à chérir.

Et savais-tu, Hyo.
que tu en étais le seul,
à faire sourires les lippes éteintes ?

Noir, à toujours tout traverser seul, à l'avoir embarqué par mégarde dans les descentes. Mais il en garderait la tête haute, aux surfaces glacées, juste pour montrer qu'il en était capable d'aimer quelqu'un. Juste pour lui. "Je crois en toi.", murmure fin, empli d'espoirs, car lui voulait y croire : à ces fins heureuses. Faire disparaître les monstres, jusqu'à en animer douceurs, faire en sorte d'être meilleur, pour les douceurs à ses côtés. Et c'était en lui, qu'il ne croyait pas, de ce myocarde putride jusqu'aux moindres artères, de ces lippes venimeuses qui viendraient en abîmer la seule personne qu'il aimait. Misère des dieux à faire s'abattre sur eux les calomnies du monde, et pourtant, ils n'en étaient que joies certaines, à survivre entre les lueurs disharmonieuses. Se lever pour fuir les scènes, de ces doigts lâchés par dépit pour en perdre là les moindres chaleurs. ((pour mieux les retrouver ensuite.))

Tout semblait lui convenir, à alors tout installer pour en former les Paradis perdus. Et un jour auraient-ils sans doute ces endroits où revenir, quand de ses bras il se sentait si esseulé, quand de sa voix il n'entendait que mélodie. "Je te pose tout sur le lit alors.", quand de vêtements, il en entendait les doux pas du plus vieux, à le faire discrètement sourire comme étincelle si miraculeuse. Et de ces silhouettes apparaissant, à lui en jeter un coup d'oeil, il pouffa finalement sans réellement pouvoir s'en retenir. Ô symphonies nécroses, qui au bout de ses peaux n'en étaient que radieuses, car peut-être qu'avec lui, il ne ferait que parvenir à s'épanouir bien plus. "On dirait que t'as jamais vu un lit.", qu'il prononça, de ces iris si lointains. "En plus il est pas très confortable alors t'extasie pas trop.", à en casser les rêves, malgré les conforts offerts. Poser les yeux dans les siens, orbes si malicieuses ; onyx aux amours passions, à faire brûler les écarlates déesses : qui en avaient empoisonné les cœurs si fragiles. Car de ces visions si charmantes, à le trouver angélique ; il n'était que faiblesse pour les cils battant.


Surprise ! Yeux clignant de ces étonnements magnifiques, à venir laisser les joues se teinter d'anomalies rougeâtres, quand de ses paumes venant encadrer son visage, il ne bougea plus de contre lui. A le laisser faire, venant lever les doigts entre les mèches si délicatement par peur d'en briser le moindre de ses éclats, car de ses tendresses, il en venait à se perdre dans ces aberrantes étreintes. A les lui rendre, à venir embrasser les têtes si fragiles pour finir par se fondre contre lui. "Un jour. Je te montrerais. Mais pas ce soir. Puis évidemment que j'en ai une ? Qui n'en a pas de toute manière tss.", bras entourant avec pudeur les corps qui en réchauffait les siens, main libre qui venait en jouer des claviers sur les ordinateurs installés face à eux. "Pas d'horreur, pas de trucs qui font peur, mais des Disney. T'es un enfant ?" Et de ses rires lui se mettait bêtement à s'en sentir apaisé, tête qu'il colla à son épaule alors qu'il en remettait les couvertures sur le dos : comme délicatesse offerte seulement à lui. Légèreté des animations à faire apparaître aux écrans : de ces films qu'il trouvait enfantins pour simplement l'apaiser lui.

comme simples réalité :
à vouloir le faire sourire même dans les sommeils.

"Je mets un Disney. Mais je te préviens si tu t'endors, je te fais bouffer l'écran. Et encore plus si tu ronffles.", mensonge, car il ne ferait que le couver, de ces bras si fragiles, à l'entourer encore, à venir glisser son nez dans son cou pour en ignorer les écrans. Profiter des simples envies de le sentir contre lui : comme bonheur absolu. A ne pas en connaître les réconforts, à n'être que bien qu'à ses côtés, et ô jamais, il ne laisserait ses mains disparaître d'entre les siennes. "Mais t'a qu'à dormir. Ca fera un bruit de fond au pire.", car lui ne raterait pas l'occasion, de profiter des chaleurs offertes comme seule raison de vivre. Car Hyo en avait changé les moindres rythmes. Et quand les poésies viendront faner entre les lippes, lui ne voudrait que mourir contre lui. A laisser les âmes s'amoindrir, pour simplement respirer les parfums tant aimés.

♡ busan vibe ♡