Breaking dawn

22/11/2020

In this suffocating darkness

Jolie poésie ;
Lorsque l’amour est roi,
Dans le palpitant.
Jolie symphonie, lorsque les mots s’épousent,
Que les regards se croisent, à la lueur de la lune,
Sous la chaleur du soleil.

Ode aux sentiments, se font divin dans la poitrine, sans jamais avoir imaginé éprouver de telles émotions, mais Hyunae s’est faite douceur, malgré les curiosités ;
Tout ce qui le poussait à l’approcher, à la recherche d’une vérité nécrosée ! Il s’est perdu dans un labyrinthe du fléau, car au loin, des nuages approchent, lentement. Jamais éclatant comme on le voudrait, ils annoncent le pire ;
La déchéance, les craintes,
Les souffles qui perdent sens.
Mais aveugle aux douleurs qui se font discrètes,
Bonheur fait fleurir le cœur, le corps d’une légèreté, astre qui file, file encore et encore, marquant les esprits ; la perfection qu’il veut offrir et les déceptions qu’il voudrait éviter, à l’erreur, il n’a pas le droit. Il finirait rejeté de l’Olympe, rejeté des dieux ;

Paradis des nymphes fermé à lui ;
Impensable.

Et d’un battant dont il s’est déjà emparé, il veut encore le choyé, voir le sourire apparaître sur le visage de celle qui rend sa vie si tendre, des merveilles insoupçonnées, dans ses yeux, brillent tous les bijoux de l’univers ! Admiration qui brûle ses doigts ; et dans cette quête amoureuse, il aura emporté avec lui une autre étoile ;
Chaotique de ses doigts qui viennent tout détruire, de ses mots poison, mais jamais l’un sans l’autre ( et si le chaos sonne ;
Tend moi ta main ).
Des pas qui foulent les pavés de Busan, ville désabusée, des rues qu’il connaît sur le bout de ses doigts, ces heures perdues à en découvrir les beautés, comme les immondices. Parfois seul,
Parfois accompagné, des monstruosités qui ne cessent d’accompagner ceux maudits par la faucheuse ;
( Jamais elle ne reviendra ;
Fardeau qui pèse, jusqu’à s’crever sur le sol ).
Tiré, jamais de force, car se laissant trop faire, hors de son refuge. Des gamins qui passent devant les vitrines, aux désaccords qui feront sûrement sonner les voix, hurler les divins. Soupir qui s’extirpe alors que les mains s’échouent dans les poches de sa veste en jean. Râle qui cogne les cieux, nervosité d’un présent pour celle qu’il admire ( danser dans le noir, sous les astres silencieux ). « Bon. T’as une bonne idée ou pas ? » Agacement, les yeux roulent jusqu’à l’ami à ses côtés, faussement vexé de n’avoir encore rien trouvé. « Tu penses que c’est quoi le mieux ? Genre… Tu offrirais quoi toi ? » Conseil – avis demandé, pourtant, il sait ;
Qu’importe sa réponse, il ne sera jamais satisfait.

@Yoon Saebyeok Breaking dawn — Sae 716627631

codé pour Busan Vibe

30/07/2020

In this suffocating darkness

Honneur entre les routes insolites : bruit résonnant entre les merveilles désabusées, et ô les cauchemars ambiants n'en étaient que misères et volatiles comparés aux Paradis volés. Prisonnier des poisons provoqués par les nécroses d'un myocarde bien trop attaché, et ô il en avait été pris à son propre jeu, celui qui voulait en faire brûler le monde toujours plus. Pourtant : pas décidés à se perdre dans les méandres des maudites rues, regards épris sous les vitrines en dissimulant les silhouettes décharnées. Et les étoiles brillaient, sous les quelques visions qu'il en avait de cette simple ville aux allures infernales : car tout tournait, car tout s'émouvait, et lui sans doute s'était beaucoup adouci. Car ô les douceurs des joies n'en étaient que plus maladroites, sous les instants présents éternels et merveilleux ; sentiments incompréhensibles pour en faire vriller les instants.

miracles et désespoirs ;
cachés entre les paumes.

Tueur de cieux ensorcelés, pour en écorcher les beautés sans nom : ô divine mélodie qui en faisait sonner les cloches nocturnes et sans vie. Car de ses présences absentes, celles d'un être des plus agréables qu'il ne cessait de tyranniser comme se voulaient jeux enfantins et idiots. Et quand les voix s'en élevaient, mains entre les poches qui en ignoraient les résonances assurées, il n'en faisait que passer pour désintéressé. "Hein ?", imbécile jusqu'au bout, perdu parmi les pensées d'un simple visage qu'il trouvait des plus délicats. Alors réalité qui en frappait de ses brusques horreurs, épaules se haussant comme un gamin désabusé auprès d'un frère qui n'en faisait que le questionner sur les inhabitudes. "J'ai un tête à savoir moi ? Qu'est-ce que j'en sais, tu la connais mieux que moi." qu'il soupira, nez se fronçant alors doucement tandis que le dos s'en redressait pour en observer le plus compliqué. "Tu sais pas réfléchir tout seul ?" qu'il se laissa pourtant prendre au jeu du démon. "Je t'aurais bien dit un couteau de poche, au cas où elle te supporte plus trop. Mais pas sûr que ça te plaise." Lame pour s'en protéger principalement : utilitaire au contraire pour en sauver les âmes.

risibles moments ;

incroyables passades ;

aux amitiés engagées.

"Moi ? J'en sais rien. Une peluche, un bijoux, je sais pas. Un truc inutile. Ca lui ferait sans doute plaisir...", main qu'il laissa porter à sa nuque pour l'en frotter tout doucement, car sans n'aurait-il pas su quoi lui offrir à son tour. "Le plus simple ça reste de te débrouiller tout seul. Parce que de toute manière je suis nul en idée de cadeau. Je sais même pas pourquoi tu m'a traîné là." Ô lui n'en faisait qu'admirer les alentours comme pour en réjouir les mondes sans fin. "Si ça se trouve tu trouveras même pas là. Quelle idée. Tu veux pas qu'on se pose ? Ca sert à rien, surtout que pour l'instant on dirait juste un gamin qui fait une crise. Enfin, c'est toi habituellement." qu'il soupira en bâillant un instant, ignorant des instants si discrets : et pourtant si importants.

joies à partager pour en faire rayonner les prunelles.

@Koh Sei

codé pour Busan Vibe