True loves last kiss

J'peux pas changer le monde.
Eloigner ces démons qui bouffent les âmes autour de lui. Eloigner les mauvaises pensées ; les divines vengeances. Il ne peut rien faire, l'impuissance d'un humain, guidé par ce complexe divin qui ne fait que le dévorer ;
Encore,
Encore,
Jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien de lui,
De ce monde,
D'un peu d'amour !

Sei, il ne sait pas attraper les mains qui se tendent dans les ténèbres, il n'entend pas ces voix d'ordinaire rassurantes ; il est sourd à la misère, sourd à ses propres hontes. Il traîne les pieds, sur le sol de Busan, sans jamais se retourner, sans jamais regarder devant lui. La musique qui résonne dans ses écouteurs, il est vide, et c'est l'écho de sa souffrance que l'on entend chanter au loin. Personne ne peut pourtant l'entendre.
Il joue avec ces bagues dans le fond de sa poche, sans réelle signification, c'est que les affections deviennent rapidement ridicules à ses yeux, alors que les doigts finissent par les sortir, observant leur beauté loin d'être unique, sous les rayons du soleil immortel.
Sourire qui tord son visage,
Il marche souvent sans but, ne sait jamais où aller, jamais où finir, ni même avec qui. Son téléphone ne sonne pas, sa tête est vide, Ash n'est pas là. Les soupirs se collectionnent contre les lèvres, et ses pas se remettent en marche, changeant de direction jusque chez le meilleur ami ; qu'il soit seul ou non, il viendra le déranger, comme toujours.
Il a besoin de l'entendre ; indifférent ou bien en colère.
Il a besoin qu'il vienne faire taire les voix dans son esprit, remplacées par la sienne, seule qu'il voudrait entendre jusqu'à la fin, pour se sauver un peu, trouver l'espoir de rédemption. En vain.
Il y a des idées qui traversent sa tête ; elles ne sont pas toujours bonnes, pas toujours mauvaises non plus. Ô c'est l'envie de rire qui dicte ses gestes, ses pas, quand il s'empresse un peu plus pour enfin arriver à sa porte, veste qu'il remet rapidement en place, cheveux balayé en arrière, se retenant de rire, quand la misère le guette.
Sonnette maltraité alors qu'il pose un genou à terre, venant de nouveau chercher l'une des bagues qu'il tend vers la porte ; dans l'attente qu'elle s'ouvre enfin !
Et quand il voit enfin sa silhouette se dessiner face à lui, il ne peut attendre.
Epouse moi Sae.

Idiot.

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True loves last kiss

et les mots se faisaient silencieux, entre les murs. quand de ces épaves, il en voyait parfait bonheur, Saebyeok. à s'aimer, s'amouracher, laisser les pas le mener quand les corps n'en étaient qu'absence. c'est que tout finissait par lui manquer, à lui, d'en avoir vécu des journées entières à ses côtés, à en sentir presque les manques entre toutes ces heures. tourner en rond, cercle vicieux, sentir les oreillers, s'affaler entre les draps : à s'ennuyer. de ces miaulements intarissables, quand le félin s'en couchait sur son ventre, à presque le faire bouder. sensibilité à tout épreuve, quand les flots le submergeaient. et les cauchemars avaient été passés ; à toujours autant se détester.

gamin impétueux.
fierté anéantie.


alors les pleurs comme mots ; à en attendre les retours, retourner les appartements pour tout nettoyer, tout ranger. et sans doute que Nana serait fière de le voir bouger ainsi, et peut-être que les affaires en reviendraient joncher les sols pour en animer les vies des endroits. maniaque, quand de ses doigts il voulait en faire bien plus, lui. décocher les flèches, armer les bras : de ces précisions révolues. car de ses rencontres, il en avait retrouvé là les envies de redécouvrir ce qui l'avait toujours animer quand il ne venait pas à en briser les fenêtres. quand les doigts ne faisaient pas tout détruire comme tempête intempestive.


famille au bout des doigts, à presque ne faire plus que penser à eux. c'est qu'il avait changé, Saebyeok, à s'adoucir bien trop ; à se dire que plus rien ne lui ressemblait. se perdre dans les palpitations, dans les fugaces sentiments : les merveilles du temps. car s'écoulait les âmes ! antidote contre les poisons, à ne plus les délivrer. faire comme s'il n'était qu'abîme à présent, pour en plaider les amours. cocon brisé ! quand les sonnettes maltraitées en arrachaient presque les oreilles. c'est que râlait les créatures dans les antres avant d'en ouvrir les portes. regard blasé vers les amis innovants, à en laisser soupir sortir avant d'en refermer la porte sans réellement réfléchir. sourire retenu ! à pourtant venir la revenir juste pour les comédies, tête se secouant, à en laisser les vocales se disperser.

car avec lui
il ne faisait que trop s'amuser.

"bah alors sei ? t'es si désespéré que ça ?", qu'il secoua la tête tout doucement, à en saisir les précieux entre ses doigts pour élever les bagues dans les airs. "t'as trouvé ça où hein ? il est où le piège ?" à rire : à pourtant en apprécier les attentions si délicates. "puis relève toi j'ai honte. imagine un voisin te vois, je vais en entendre parler.", dépit faussement affiché : à juste en aimer les amitiés. "je vais devoir dire à ash que c'est mort pour vous deux...elle sera contente !" et tout doucement , à en observer les anneaux comme trésor merveilleux, alors qu'il n'offrait là que les airs d'ignorance complète. "rentre gamin, j'espère t'as ramené une dote sinon je te fous dehors."

à l'accueillir de nouveau :
à en sortir boissons et grignotages.

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True loves last kiss

Il avait des rêves d'évasions ; à tendre les mains, se brûler les yeux face au soleil. Tendre les bras, désireux d'y capturer le soleil entre ses phalanges délicates ; ambitieuse. Sans jamais y parvenir. Les risques sont immenses.
Il y a des créature dans son esprit ; et ça l'emmène dans le fond des abîmes, là où le respire plus, le diable trône sur sa poitrine, et ses poumons éclatent sous le poids. Ils ne pourront jamais le voir, à quel point ça fait mal. Il a un trou dans le trou, béant, on a volé son coeur, déchiré, écrasé. Bouffé par les rois sombres. Mais peut-être que toi, tu peux le voir.
Si tu ouvres un peu plus grand les yeux.

Il a tant envié, de ces douceurs destinées à ces autres âmes ; d'autres corps, sans qu'aucune chaleur de vienne enlacer son corps frêle, sans qu'aucune caresse ne vienne effacer les larmes ruisselantes contre ses joues. Jusqu'à elle, tendresse au creux de ses entrailles, il y a des fleurs qui fleurissent dans sa gueule ; des roses dans sa gorge, et leurs épines bousillent sa peau, leur poison s'infiltre en lui ;
Sombrant lentement les délices d'une folie chaleureuse.
Et contre ses lèvres ; elle y a laissé quelques pétales, sans même avoir besoin de les frôler ; un nom, quelques rires.
Suffisant pour garder la vie précieuse dans cet écrin.
Sans qu'il ne s'en aille trop loin.
Mais solitude rongeant, elle s'infiltre dans ses pores, dans ses plaies, et il y a ses maux qui s'infectes, le sang qui explose, la pourriture qui ne demande qu'à le tuer de l'intérieur ; ô victime de ses propres frayeurs ;
Regarde moi sombrer ;
Est-ce que le spectacle te plaît ?

Des bagues au bout de ses doigts, tendues, et le coeur qui ne bat pas d'amour ; seulement d'une amitié à chérir, bien trop précieuse, sans qu'il ne vienne avouer les émotions du bout de ses pulpeuses. Il est bien plus qu'un simple ami, meilleur ami dans ce coeur où s'acharnent les souvenirs. Frère sans que le sang ne soit partagé, partenaire dans ses crimes les plus sombres.
Et si tu tombes,
J'viendrais bien te sauver.
Et le rire éclate, il est bruyant Sei. Jamais discret, quand la porte se referme aussitôt. Il ne le connait que trop bien, savait que cette porte ne resterait pas éternellement fermée. Incapable de résister à son charme.
C'pas du désespoir, c'est de l'amour, tu vois pas ? Je te fais une vraie demande là. Alors que le rictus est malin dans le coin de ses lèvres, légèrement courbées pour y déceler la malice. Laissant les bagues s'échapper vers des mains nouvelles alors que le corps se relève à la voix de l'ami. J'ai plus 20 ans, j'me suis presque pété le dos. Alors qu'il s'étire un instant, abus significatif de lui-même. Y'a pas de piège, tu crois que j'ai que ça à faire ? De l'amour je te dis, tu sais, l'a-m-o-u-r. Et a se rapprocher, observer lui même les précieuses alors qu'il se sent fier, de l'intérêt soudain qu'il porte aux anneaux, quand il n'espérait même pas un regard ; peut-être mal jugé. Elle a dit qu'elle adorait l'idée. Elle soutient notre union, t'es pas ok avec ça ? La tête qui se rapproche alors qu'il finit seulement par lui souffler au visage ; mirage qui s'échappe déjà dans l'appartement une fois l'invitation faite. Laissant chaussures et veste à l'entrée. Il en connaît tous les recoins, se souviendra toujours des soirées passées sur ce canapé, là où il s'installe une nouvelle fois, quand il l'observe à la tâche, le ventre qui réclame déjà nourriture ; peut-être que tu prends plus assez soin de toi.
C'est vachement rangé. T'as foutu Nana et Hyo dehors parce qu'ils foutaient trop de bordel ? A l'applaudir, sans jamais se lasser de cet éternel combat ; comme des chiens et chats, cherchant à se battre, haine jamais véritable. Ou alors... Il se penche légèrement en avant, faisant mine de réfléchir, quand il attrape quelques gâteaux avant de les glisser à ses lèvres. Tu t'ennuyais et je suis ton sauveur ? Alors qu'il vient de nouveau claquer des mains, l'idée lui plaît, illumine son esprit, l'attention se portant de nouveau sur l'ami ; roi des enfers. Alors, oui ou non ? Tu m'prends pour époux ? Si oui, rends moi au moins une des bagues. Clin d'oeil en sa direction, le dos s'enfonçant de nouveau dans le sofa, mains agiles attrapant le félin endormi entre quelques coussins. Toujours là toi, hm. Il doit t'aimer le petit Sae au final. Comme s'il n'existait déjà plus, quand les yeux se posent sur l'animal.

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True loves last kiss

rêves avortés : pour en trouver bien mieux. car il n'était pas à plaindre, Saebyeok. dans ces univers crées de toute pièce, à en enlacer les rencontres de si loin : à être presque gâté par les présences. solitude abandonnée, pour les chaleurs si fragiles qu'il tentait de ne pas briser de nouveau. car cette fois-ci : il en était décidé à tout protégé, le monstre des nuits. à être rédemption, dans ces écarts si légers, à en apprécier les vies offertes, dans ces simplicités factices. et ô il en viendrait presque à ne plus rien regretter, celui qui dans ces cocons en avait à présent les mondes au bout des doigts. venins éphémères, rangés entre les organes, pour ne faire que s'empoisonner lui de ces douceurs inconnues ((à redécouvrir)).

alors sei,
les présences en faisaient
sourire les cœurs.

de ces humours révoltant, à jouer la comédie pour en amuser les galeries, car derrière : il en entendait les rires, les chants des anges, à travers les portes. à finir par tout doucement revenir auprès de celui aux manières si étranges, quand les sourires ne pouvaient simplement plus se cacher. et sei, en était sûrement là les épaules les plus fières à ses côtés, à ne vouloir perdre cela pour rien au monde quand les habitudes venaient à en s'éprendre des présences. alors de ces anneaux tendus : à presque y voir blague de mauvais goût, sans doute, pour en cacher là que les bagues en seraient trésors des cieux.


"de l'amour hein ? depuis quand t'es devenu romantique ?", qu'il en croiserait presque les bras si les doigts n'en étaient pas occupés à observer là les bagues inconnues. ami si étrange, à presque se demander ce qu'il lui passait par la tête : si tout n'avait pas été que solitudes, pour enivrer les myocardes de ces poisons. car pour une fois, il n'en était pas le maître des douleurs, lui, à juste vouloir en alléger les jours quand tout semblait sombrer dans les eaux si noires. "je t'ai rien demandé. si tu voulais faire la serpillère t'aurais mieux fait de rentrer directement. au moins t'aurais servi à un truc. mais ouais tu dois t'ennuyer pour faire ce genre de trucs.", à l'embêter jusqu'aux aubes, à en aimer les péripéties, quand sans doute il en était là meilleur ami jusqu'aux fins. et sei, comment faisais-tu pour le supporter ? celui qui en avait été si longtemps horreur dans ces rues infâmes.

à dévorer les autres,
pour survivre.

que les yeux étaient captivés, par les bagues, à presque ne plus en lâcher celle offerte, car les regards semblaient rêver, de ces fins si joyeuses. à alors la chérir, comme il les appréciait eux. "moi pas ok ? je suis ravi. je vais pouvoir lui mettre sous le nez.", qu'il jouait avec lui, sans ne jamais le remercier pour tout ce qu'il avait pu faire pour lui. souffle contre le visage ! à grimacer alors pour en refermer les portes, il le suivait des yeux, lui, à se dire que les journées allaient en être épuisantes : avec lui dans les demeures. "ouais si on veut. je vais devoir te foutre dehors aussi alors, y'a un gros truc au milieu du canapé.", quand de ses sourcils haussé, il ne pouvait s'empêcher de rire tout doucement. "tss. m'ennuyer alors que maintenant je vais devoir te supporter ? c'était pas plus mal finalement.", que les corps finirent par s'installer auprès du plus doux, à toujours jouer de ces jeux légers.


et les décisions prises, à lui en tendre deuxième anneaux comme pour en conclure les pactes, et ô sans doute ne savait-il pas qu'en faisant cela : il devrait le supporter jusqu'aux bouts des temps. "hmm. tu me divertis bien. on peut dire que oui. mais fais gaffe je pourrais te faire bouffer ta bague si t'es trop chiant.", à ne jamais en avoir les plans en tête pourtant. alors viendra le jour où les sourires se feront sincères, à n'être plus que famille à ses yeux enfantins. chaton repéré, entre tous ces bruits familiers, à froncer du nez avant de soupirer et d'en secouer les visages. "je vais croire que la bestiole est plus intéressante. t'es venu pour lui c'est ça ? me donne pas de raison de divorcer aussi vite.", quand les rires se retenaient : archanges entre les doigts, à renier les ombres d'entre les mots. "tu veux faire un truc ? si t'es venu ici c'est pas pour rien faire non...? à croire que tu bosses jamais."

et il ne faisait que l'embêter , sae , à savoir que trop bien : que sei n'était qu'ami des livres. à en préparer les têtes à délivrer les inconsciences. "ou alors parler ?" déceler les vérités, quand les maux en assommaient les têtes.

et saebyeok n'était pas idiot.
face aux visages si pâles.
car ami à côté : à bercer les myocardes
de ces conforts oubliés.

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True loves last kiss

Ô sans jamais en avoir trouvé, dans ces mondes chaotiques, un endroit pour reposer son âme, quand elle est trouée, ici et là. De ces balles qui n'ont fait que le perforer, sans jamais l'achever. Seulement pour le torturer un peu plus.
Faire saigner ses plaies.
Regarde comme tu es minable, Sei.
Regarde toi.
Oseras-tu me dire, que tu y crois encore ?
Quand esprit douloureux, et le coeur en miettes, devenu cendres dans les mains des nymphes. Quand fierté et gloire bouffées.
Quand on l'a piétiné, jusqu'à ce que la colère ronge ses os, jusqu'à ce que la haine vienne tourmenter ses nuits, à le tuer à petit feu ! A hurler ; quand ces vilains plantent leurs crocs dans sa nuque ;
Se réveiller encore et encore, criant toutes les peines du monde.
Sans jamais trouver réconfort, tout est vide.
Tout froid, dans ces draps qui n'accueillent plus personne, si ce n'est que son corps chimère ; que l'on a réparé, encore et encore. Pour toujours mieux le casser.
Quand Sei, ô poupée merveille, autrefois enfermée dans cette vitrine, gamine que l'on ne pouvait toucher, fragile, aux ambitions nécrosées, quand il voulait simplement toucher les cieux de ses doigts.
Toucher les cieux.

Le voilà bien bas.

A trainer les pieds ; dans cet enfer qui n'attendait que lui ; démon.
Ô damnés au nom que l'on ose plus prononcer.
Et toi, pourquoi tu n'as pas peur ?
Ash.
Il ne vaut plus rien.
Joyau souillé.
Il n'est plus d'aucune utilisé, ici rongé, à en avoir perdu toute sa valeur d'antan. boite à musique qui a perdu sa clé, il n'y a plus rien pour la remonter. C'est terminé, qu'ils chantaient ! A souhaiter son déclin !
Malheur évident ; quand tout ce qu'il vient capturer entre ses phalanges n'est que pourriture ;
Destruction. Petit à petit.
Tout ce qu'il a toujours aimé ; à s'évaporer avec le temps.
Et toi, Sae, est ce que tu finiras par pourrir aussi ?

J'ai toujours été romantique, tu devrais prendre exemple sur moi. Main portée à sa poitrine ; ô coeur juré ! Quand plus rien ne vit en lui, quand l'amour a quitté ses veines, il n'en reste que des ruines que l'on tente de reconstruire, des mains fragiles, de la douceur d'une fleur. A y déposer des pansements, ici et là, sans grand espoir. Ils ne pourront jamais reboucher les trous béant.
Cause toujours le gremlins. A toujours s'amuser de lui ! Le laisser parler quand plus rien ne sait l'atteindre, rien n'a jamais su l'atteindre, des paroles du meilleur ami. A n'y voir aucun violence, seulement attachement certain.

Des bagues offertes, à les observer comme trésor unique. Comme plus beau présent ! Je suis sûr que Hyo sera heureux de voir la mienne aussi. Toujours chercher plus loin, quand battant a besoin de combler ce vide.
D'aimer un peu, tout ce qu'il reste autour de lui.
Quand tout finira par disparaître.
Toi aussi, Sae.
J'en suis sûr.
A en prier les saints et les astres !
Qu'on ne lui retire plus personne, il est déjà au sol. Déjà mort.
Déjà sans vie.
Il est simplement là.
Perdu dans le brouillard, sans lumière.
Sans aucune voix pour le guider, et dans sa tête, il n'y a que des fantômes qui chantent. Qui pleurent les erreurs d'antan. Et si tu n'es plus là ;
C'est peut-être ma faute.
A l'ignorer quand les mains se fondent dans les poils du félin, des baisers déposer pour se réchauffer de sa chaleur doucereuse. Quand propriétaire qui ne sait faire que râler, de ses menaces imaginaires. En avoir rien à faire. Divorcer ? Hm. Tu m'aimes trop, tu feras rien. T'es aussi inoffensif que... Hyo. Le plus dangereux ici c'est... A brandir l'animal quand il ne fait que miauler, cherchant seulement à jouer, récréant cette scène mythique, roi lion. Pluton ! A en rire quand les paroles viennent se planter dans ce qu'il reste de lui,
A le ramener vers lui, le serrant un peu plus fort,
Laissant les ronronnement le captiver.
Capturer son attention ; quand le regard se perd.
Je sèche. Pour une fois.
J'me suis perdu sur le chemin.

Sans que ça soit réellement faux.
A avoir repensé à trop de souvenirs ; d'un passé encore trop chaud.
Trop présent, et cet avenir sur lequel il a dû tirer un trait, trop violemment.
Je pensais à elle.
Lèvre mordue alors qu'il n'en dira rien de plus, les yeux voguent sur l'appartement, à en redécouvrir chaque détail, sans cesse. Mais on va faire un truc. Hm... A ignorer toutes les tentatives de poser des mots dessus.
Il n'est pas prêt.
A tout laisser sortir.
Quand la plaie est déjà trop infectée.
Les ronces font trop mal autour de sa peau ; de son cou.
Condamné à ne jamais parler.
Nana avait pas tabliers mignons ? On pourra cuisiner, rien que pour le plaisir de te voir là-dedans. Clin d'oeil destiné.
Je dois apprendre à cuisiner pour moi seul, je peux pas manger tous les jours des ramens à 2 balles.
Confié ; quand les doigts laissent échapper le chat, et que ses pas trouvent refuge dans la cuisine ; comme chez lui.
Appartement refuge.
Pour échapper à son démon.

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True loves last kiss

c'est que les pleurs avaient cessés. appartement si calme : quand il n'y en avait que les monstres des nuits. mais saebyeok, il s'était habitué, à ces présences, à ces amours. joies et rires qui résonnaient encore, dans les pièces, heurtant les murs, comme si plus rien n'en valait la peine. car à présent, il ne voulait que les sourires sur les lèvres ! à ne plus en voir les perfides galaxies sur les pâleurs si fragiles. à aimer, tellement, jusqu'à en mourir. alors quand en soufflait les présences ! à ses côtés. nouvelle ère débutée à venir en questionner les regards : et sei, tu en serais amitiés les plus précieux à ses yeux, quand de ses durs mots ne faisaient que promettre les étoiles dans les cœurs. imploser ! exploser ! les myriades célestes, à ne pourtant y voir là que peine dans ces iris faussés.
et il le connaissait si bien :
sei, aux sourires vermeilles,
à faire flancher,
les papillons les plus fragiles.
alors peut-être finirait-il par pourrir, sae, mais ô jamais de leur faute : eux, qui en repeignaient les mondes de couleurs. tout avait été si gris, délavé, sans sens, à s'animer quand les vies en prenaient place à ses côtés. et peut-être n'en étaient-ce là que les véritables éphémérides, à en faire battre les pulsants, quand il n'y avait plus qu'à leurs côtés, qu'il en trouvait refuge. de ces amours, à ces familles recrées, aux mains toujours tendues ! à vouloir les chérir des passions écarlates, aux senteurs si florales, quand elles n'en pourrissaient plus. "non merci sans façon.", car les paroles n'en étaient que vaines, quand les sourires qu'il en voyait fleurir sur son visage en étaient si précieux, à hyo. alors dit moi : comment les faire apparaître toujours plus, sans ne rien briser de ses doigts risibles.


alors humours enchantés ! à faire rire si aisément les vocales, il ne voulait rien faire cesser, celui aux carmins accrochés sur les visages. quand les yeux se relevaient ! pour en observer les œuvres d'art sur le bout des doigts, car lui aussi, avait du mal à ne pas en admirer les anneaux magiques. "bah voyons. tu fais ça je t'étouffe sous un coussin, tu captes ?", à toujours le chercher, sei, quand il y parvenait si bien. à se dire, qu'il n'y avait que lui ,, pour parsemer les vocales de ces jeux si enfantins. car ô jamais, il ne voudrait en lâcher les mains liées maintenant.

à s'imaginer,
hurler entre les villes :
les démons bouffons les
c a r a c a s s e s

presque oublié ! pour la créature à poils, à faire sourire les plus forts, adoucir les pulsants, quand les maux en étaient puissants. "n'importe quoi...comment ça aussi inoffensif que hyo hein ? tss...", à laisser les miaulements saisir les instincts : relever les visages, pour en dissimuler les rires. "vous préférez tous le chat de toute manière. je vais finir par devenir jaloux." , murmurer les agacements, quand pourtant il en aimait les visions de douceurs face à lui. quand de ses regards, il s'en perdait sur son ami, à laisser les mèches lui tomber devant les yeux. révélations ! mystères dévoilés, à inquiéter les épaules, quand pourtant il savait si bien : que tout changerait à nouveau, dans ces mondes imparfaits. "c'est du passé. essaie d'aller de l'avant.", à en donner conseils, quand il n'y connaissait rien, sae.
vexer les cœurs,
rendre idiot les mœurs,
quand sifflent les horreurs.
à se lever ! pour en glorifier les lieux. et sae, il ne savait que dire face aux ambitions si fragiles. "parce que tu veux cuisiner maintenant ? me dit pas que c'est pour la gamine ? puis hors de question que je mette un de ces trucs sur moi." venir le suivre, fouiller dans les placards, pour lui tendre là les plus beaux tabliers à fleurs. "tiens il t'ira très bien.", venir fouiller dans les placards, jusqu'à avoir idée soudaine si étrange. "bon...j'ai une idée, vient pas te plaindre si c'est dégueulasse." et téléphone magique ! à en suivre les étapes comme si tout était des plus simples ! montrer les écrans à celui le plus inspiré, à se dire qu'ils en auraient chacun un bout. "un gâteau aux crêpes....ça te tente ? je te préviens je sais pas faire des crêpes. mais vu que tu veux apprendre, démerde toi." venir sortir les ingrédients ! quand les doigts saisissant les oeufs, il ne faisait que grimacer encore et encore, froncer du nez, jusqu'à relever la tête vers le plus bruyant d'entre eux.

comme si lui :
pourrait l'aider à comprendre,
comment faire.

"aller épate moi. sûr que tu sais même les faire sauter, les crêpes. ça va être drôle.", quand des pesées ! à vouloir en mesurer les farines...ouvrir le paquet bien troo rapidement, pour faire s'envoler les poudres blanches au visage. colorer les joues, le laisser perplexe, et sae, voulait déjà en balancer les paquets sur les sols. car la pâtisserie : n'en était que cauchemar intense, à faire pâlir les visages.

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Et dans un monde où tout s'écroule ; il vient trouver repère aux côtés de ceux qui s'élèvent comme des étoiles promises dans son monde. Il vient se réfugier dans des bras où les chaleurs sont plus tendres que la solitude qui l'enveloppe lorsque la nuit arrive, lorsque les démons murmurent à ses tympans les crimes qu'il n'a jamais commit, les horreurs qui ne cessent de hanter son esprit.
On ne lui rendra jamais son passé.
On ne lui rendra jamais sa paix.
Jamais cette amour.
Famille désarticulée, tout fait peur lorsque les pierres roulent, massacrent tout sur leur chemin, jusqu'à en détruire les corps. Les espoirs.
Et moi, moi je n'ai plus rien.
Pas même toi.
Pas même nous.

Et si un avenir meilleur existe ;
Il voudrait s'en emparer ! Le dérober entre ses mains pour fuir loin de tout, en attraper ces mains candides autour de lui. Sae, Ash. Il partirait, sans jamais se retourner, tant qu'ils sont avec lui. Tant qu'ils n'abandonnent pas son coeur. Quand ils viennent tout sauver en lui sans le savoir.
Et Sae, sais-tu à quel point tu es précieux ?
Même lorsque tes mots ne sont que des maladresses précieux de ton coeur.
Ne m'en veux pas d'être inconscient.
Oui oui, essaye toujours. D'une main secoue dans l'air alors qu'il rit, vient l'ignorer pour toujours plus l'enrager, en écouter ses plaines quand il ne cesse de laisser les sons s'échapper de ses lèvres dans une harmonie des plus douces ;
Le monde est toujours plus beau à ses côtés.
Est-ce que tu le réalise ?
Sonne moi le jour où tu seras jaloux, t'es déjà trop amoureux pour en vouloir à Hyo, et tu sais très bien que je suis l'amour de ta vie. Pichenette lancée sur le bout de son nez alors qu'il se recule rapidement pour ne pas en subir les vengeances, le corps qui s'envole dans la cuisine quand il en ignore sa remarque, des poignards dans le coeur. C'est trop difficile, il le sait.
Rapidement suivit, il fait faussement une mine boudeuse alors qu'il cherche lui aussi les tabliers, célèbres, de Nana. Non non, enfin si, mais non, t'inquiète. Alors qu'il lui tend déjà celui à fleur, mine qui change rapidement, visiblement dégouté. Pourquoi j'ai les fleurs et toi un correct ? Tu me hais ou quoi ? Alors qu'il vient l'enrouler autour de sa nuque et de sa taille. Prochaine fois je t'en offre un avec un homme nu dessus... Hyo nu... Oh non cette vision me dégoute. Réflexion alors qu'il fait semblant de vomir un instant, accueillant rapidement l'idée qui sort de nul part de Sae, sourcils froncés, tête qui se penche alors qu'il en découvre recette sur le téléphone. Tu connais ça toi ? Mais ok. Jte fais confiance... Mais bizarre... Qu'il avoue, s'occupant lui de sortir tout le nécessaire, bols, saladiers, fouet, balance et d'autres objets qui n'ont probablement aucun rapport avec la recette. Oula tu comptes trop sur moi. Le regard rivé sur le lait qu'il verse dans le verre doseur, sursaut quand il aperçoit tête farine dans le coin de ses yeux. ... Oh fuck, t'es mignon comme ça... Attends... Quand sans attendre !
Il empoigne farine pour lui lancer sur son visage, venant tout asperger de poudre blanche, poumons qui s'exclament rapidement pour rire jusqu'à en exploser les tympans. Att, je prends une photo pour Hyo, bouge pas, me tue pas...
Qu'il s'apprête à sortir son téléphone pour en récupérer preuve de ces gamineries.

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True loves last kiss

magnifique explosion !
quand ici ,,
il ne voudrait jamais partir.
explorer les couloirs comme si tout n'était que chaleur à l'enrober, il viendrait en accueillir plusieurs vies ! toutes celles qu'il voulait chérir sans ne plus avoir peur d'en briser les innocences. et la nuit ne pourrait rien lui reprocher, cette fois-ci : car il en avait compris, que rien ne pourrait en écorcher les amours. au fond, le passé ne ferait que s'effacer ! pour venir illuminer les beautés d'un monde si nouveau. yeux à se poser plus souvent sur les figures, à détailler les visages comme s'ils en étaient à chaque fois nouveaux ,, pour simplement se souvenir : qu'il en était bien trop heureux, à présent. d'une famille où les sourires étaient si sincères, où loin d'eux il se sentait si seul.
car plus jamais ,
il ne viendrait en rire :
d'eux.
à les aimer ! sans ne jamais en détester un seul ,, à vouloir en repentir tous les maux qu'il avait causé ((sans que rien ne soit jamais assez)). alors les cris ne se feraient plus entendre, les pleurs ne seraient que secrets : et il en chérirait chacun des instants de ses maladresses, come des plus virulentes des sincérités. Sei imité ! mimique sur un visage si grincheux, à secouer la main comme lui, il plissa pourtant des yeux ,, car ensemble : il n'y avait pas plus belle mélodie ! à toujours rire et sourire, sous les glas du temps. et Sei, il en chercherait toujours ta main. comme repère pour les temps trop durs, où les rires pouvaient si facilement se faufiler dans les voix. "c'est vrai. je peux pas en vouloir à Hyo. mais prend pas trop tes rêves pour la réalité Sei... tu vas en avoir le coeur brisé...!", d'une pichenette offerte à venir tenter de lui en arracher un cri d'un coup raté sur son épaule, il le dévisagea un instant, nez à se plisser ! quand les colères n'en étaient qu'amusement.

retomber dans les enfances :
à tout faire chanceler !

"non si mais non ? t'as quel âge...?", quand de quelques rires, d'un visage à se décomposer sous les simples beautés d'un tablier. "bah quoi ? ça te va parfaitement bien je trouve. un problème ?", à rire de tout jusqu'à en tirer visage et grimace ! à presque grincer des dents quand il s'en imaginait là tissus aux éponymes figures ((Hyo)). "arrête tes conneries. il mérite bien mieux qu'un tablier où tu t'essuies les mains. bizarre toi et tes idées." à en taper l'arrière de sa tête ! comme pour en replacer les pensées si peu nettes, pour les remplacer par sucreries si appétissantes. "quoi ? c'est si étrange ? j'adore bouffer, normal que je connaisse.", à n'en connaître pourtant aucunement la recette, regarder son téléphone : comme si tous les ingrédients pouvaient s'en mélanger tout seul. gamins à s'imaginer ,, rois des pâtisseries ! "évidemment, à quoi tu sers sinon...?" à bien des choses. faire rayonner les âmes , jusqu'aux printemps. jusqu'à ce que les hivers n'interviennent ! à saupoudrer les visages de farine comme neige. "hein..?" quand bataille à venir vaincre !
ineptie aux bouts des lèvres,,
à s'acharner :
contre les destins.
et il viendrait lui en faire manger farine à son tour, à en remplir les paumes, pour en claquer délicatement sa main contre sa joue, jusqu'à ses cheveux. "t'es qu'un emmerdeur, Koh Sei. je te tuerai après ça. pour la peine je te laisse casser les œufs. ah et tu nettoieras la cuisine aussi.", qu'il frotta ses mains tout près de son visage, avant de tenter d'en peser quelques grammes. "j'crois on aurait dû acheter des crêpes toutes faites... tu sais casser des œufs au moins ?", à tout remettre en doute : de leurs décisions à leurs compétences culinaires.

quand ici ,,
deviendrait :
champ de bataille !

♡ busan vibe & childish (icon) ♡