You are the one

A courir dans les champs, à laisser les rires s'envoler ; ô s'échapper dans les cieux,
Jusqu'à colorer les nuages de ces nuances sublimées par l'amour ! Jusqu'à laisser les fleurs pousser, dans le fond des entrailles jusque dans les poumons, à laisser les pétales caresser les lèvres, y'a encore la rosée du matin ! Y'a la brise d'un printemps qui s'annonce ; quand pourtant l'hiver est roi dans l'air. Sur les paysages tristes,
Y'a la neige, sur le sol humide, où la vie n'existe pas pendant quelques mois ( mensonges murmurés ), et au bout de ses doigts,
Des bourgeons viennent naître.
Y'a le vent froid ; qui irrite ses joues, que trop fatiguées de rire, de rougir aux attentions merveilleuses. Car rien n'est plus beau ! Période de fêtes, de cette fin d'année qui s'annonce, à l'aube d'un renouveau.
D'une nouvelle ère.
Jamais sans lui.
A le garder si près de lui, à ne s'envoler qu'avec lui.


Y'a l'coeur à l'aventure, et gamin, il aurait crié en brandissant son épée, la poitrine déployée, à rire encore et encore. A s'imaginer toutes les batailles gagnées face aux vilains ! Y'a l'esprit qui a toujours voulu vivre de grandes légendes ;
A s'être envolé loin de la cité ; ô Busan tu n'es gardienne que de mes douleurs. Et sa main ! Plus jamais seule, elle a attrapé la sienne dans un dernier espoir, se sauver d'ici ; se sauver des démons qui rongent les peaux, quand la sienne ; nacrée, soignée de ces sentiments soufflés contre la chair.
De ses baisers uniques.
Contre ses lèvres, à y sentir des constellations exploser.

Et ce soir ; c'est un peu spécial.
Un peu de toi.
Un peu de moi.

C'est nous.

A fêter les anniversaires, de ces deux âmes que tout opposait, enfants du froid, quand l'un annonce renouveau des astres ;
Quand l'autre annonce déclin d'une ère passée. A s'être épousé, les bras se refermant sur ces corps, qui ne demandaient qu'à être aimé ! Adoré, quand ils sont les seuls à pouvoir s'aimer. A pouvoir tout s'offrir, des murmures aux désirs candides. Tout planifié sur cette carte du coeur, à n'avoir laissé aucun détail s'échapper.
Maquiller le stress, de cette excitation, quand le rire n'a fait que bercer cette soirée sublime. Repas soigneux ; sans jamais avoir osé le préparer. A s'aimer, plus dans ces regards que dans ses paroles.
Quand il n'y aura jamais rien de plus important, que chacune des intentions portées.

Attendre minuit !
Pour en fêter les années passées.

Quand soigneusement, il viendra murmurer à ses oreilles, les amours présents. Quand il lui offrira, surprise gardée secrète depuis des semaines. A sentir son coeur s'emballer, à y repenser, et l'estomac qui se tord. Il a des rêves trop grands pour lui ! Innocence que de vouloir l'aimer toute sa vie.
A le promettre.
A s'avoir qu'il s'y tiendra.
Et toi ?
Tu m'aimeras longtemps ?

Table débarrassée, tout est soigneux, des doigts du plus jeune, habiles pour toujours tout ranger. Quand maladresse de l'aîné l'aura aidé, laissant pourtant la tête vagabonder ailleurs, musique douce et calme qui hante l'espace, à vouloir depuis plus profiter de ces instants, à le rejoindre délicatement dans son dos, entourer sa taille de ses bras fins, quand menton déposé sur son épaules ! Encore joyeux anniversaire... Quand il est encore temps, les minutes s'écoulent. Tout sera bientôt inversé. A ne jamais l'aimer assez pour une journée. Demain sera mieux !

Paupières fermées ; s'imaginer bien des comos.
Bien des jours, et des nuits, seulement avec lui. Laissant le silence les envelopper dans la tendresse de toute une vie ; un quotidien jamais abandonné. Baiser déposé contre sa joue, délicieuse ;
Délicate.
Viens !
Voix qui monte, quand ses doigts se glissent dans les siens, à l'entrainer ailleurs, vers ce salon chaleur, cheminée à en laisser les braises danser dans la noir, à l'attirer, toujours plus contre lui, quelques pas maladroits sans jamais savoir comment s'y prendre ; juste vouloir profiter.
Danse avec moi Sae. Pour ces quelques secondes restantes.
A y danser l'amour.
Accueillir les bénédictions.
Mains glissées à ses hanches, quand sourire courbe ses lèvres ;
Regard qui sombre toujours plus dans le sien. Le plus doux de mes rêves ; ça a toujours été toi.

Coeur gonflé !
A n'avoir jamais été si heureux.
Merci d'être là.

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You are the one

c'est que tout fond ! de ces flocons, à se faufiler entre les airs, à s'écraser tout doucement contre les sols grisâtres, à embellir les paysages : où ici tout était plus beau. plus délicat. comme lui, à fleurir malgré les gels, à s'embellir malgré les temps. et ô tout en venait à se murmurer à leurs tympans, les beautés fragiles qu'il n'aurait jamais pu imaginer. de ces rires aux escapades, de ces calmes aux excitations ! tout se heurtait, se mentait, pour en faire rougir les joues face aux froids. et gamin amoureux, à ne plus rien regarder.

sauf lui.
lui sous les cieux d'hiver ;
à en être étoile polaire.

ornant les portes ! les couronnes de ces sapins qui en étaient roi, et ô, saebyeok, jamais n'en avait-il aimé les fêtes. à toujours les avoir fuit, les avoir détestées, pour s'en retrouver auprès des feux dansant contre les murs. valses intimes, quand les doigts en imitaient les harmonies, de ces airs perdus, à nettoyer : remettre en place, les flocons abandonnés dans les coins des tables. à l'admirer lui, sans en perdre jamais les lueurs dans les regards. l'aimer, comme les sucreries du passé, à en découvrir toujours plus les parfums ((les merveilles)).
car dans les pièces halées,
se confondent les aurores.
à dessiner les iridescentes
à leurs pieds si légers.
de ces repas finis, à l'accompagner vers les infinis, frotter les verreries et porcelaines comme trophées entre ses doigts si précieux ! jusqu'à en sentir les étreintes, sur les adagio mélodieux. laisser les bras l'entourer, venir y poser tout doucement ses doigts : comme caresse des vagues contre les épidermes sacrés. car tout était précieux, chez Hyo. soleil mélodieux, brillant un peu trop sans doute, pour celui aux regards si violents. sauf quand posés sur lui, à en devenir épopées ,, quand les iris venaient s'en balader sur les moindres parcelles de son visage, de sa mâchoire : de son cou. "hmm.", à n'être pas assez habitué, sae, à entendre les vœux si légers : quand bientôt les lippes en prononceraient les mêmes mots. et il en était le seul, hyo, autorisé à le lui dire. comme promesse éternelle, à le vouloir à ses côtés.


à en effleurer les peaux du bout de ses doigts, quand baiser déposé sur les joues, il se laissa entraîner dans ces mystérieuses rondes. "Hyo...j'ai une tête à savoir danser peut-être ?", à ne pas en perdre pourtant la moindre seconde, quand les doigts liées, les chaleurs au creux des paumes, à venir en devenir plus brûlantes que ces flammes en créant ombres et chancelantes silhouettes. quand les pas s'en faisaient peu habiles, quand d'or et orées, il ne faisait que basculer les corps sans en comprendre les mouvements, laisser les bras se faufiler sur ses hanches, à baisser les visages pour en poser les fronts sur les épaules. ô splendeur du temps : à le faire tout oublier.

car hyo,
tu en étais jouvence :
des pulsants.

"tss. t'es bien le seul avec qui j'aurais dansé dans ma vie.", à presque le faire rire, quand il en devenait presque mélancolique. à en relever les regards : pour croiser le sien, dans les nuits fragiles où seule les flammes en reflétaient les visages délicats. "merci.", qu'il en laissait le bout des lèvres murmurer ; à déposer les poisons sur les pulpeuses. effleurer les soleils de toujours plus près, à s'en faire éblouir de ces éclats bien trop brillants. alors peut-être finirait-il par disparaître , pour le laisser respirer toujours plus. à ne faire que l'embrasser ! quand les sourires s'en traçaient sur ces visages bien trop oubliés. bien trop chéris.
à vouloir retracer les constellations :
de ses lippes à son nez,
de ses iris à ses doigts.
enlacés comme les plus délicates choses au monde, à le garder simplement contre lui, à tout prix. "pas trop froid j'espère ?", que les doigts venaient s'en glisser dans son dos, contre lui ! à juste espérer que ne brillent un peu plus les lueurs d'hiver. laisser les visages si proches : pour en observer les œuvres d'art qu'il était. pour en réalité, graver les traits, comme souvenir indélébiles. et si tu savais, que les touchers n'en étaient qu'aimants, à animer ses peaux de ces frissons imaginaires ! rêves impensés , à pourtant le tenir entre ses bras, comme réalités si parfaite. à presque vouloir le réchauffer : s'il le fallait.

car ce soir,

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

A en perdre la tête ! Dans ces champs de neige, à en laisser les jambes danser, les pieds valser, sauter, à la rechercher du bonheur ; à en vouloir attraper les jolies notes de ses doigts fragiles,
Irrités par le froid.
Et si seulement,
Je pouvais les réchauffer dans tes mains.
A en laisser les bras réchauffer les corps congelés, par ces nymphes hivernales ; elles ont déposé des flocons dans leurs cheveux, comme des perles cristallines, elles ne seront jamais dorées, car ce sont les coeur qui en sont couverts ;
A brûler toutes les peines comme le soleil et ses plaies.
Comme le soleil et ses doigts éclatants !

Et Hyo, il a perdu l'équilibre, une.
Deux.
Trois fois.
A se rattraper à sa main ! Dans ce désespoir qui n'a fait qu'hanter ses pensées, et pourtant, ne jamais plus la lâcher, quand il a peur de la solitude, peur de la chute, où tombera-t-il ?
Il a peur de l'enfer.
Il a peur du noir, sans lui.
Quand ange qui apporte unique lumière.
Dans le fracas, il ne veut pas l'abandonner, après les maux ;
Malgré les mots.
A les avoir oublier (jamais réellement).
A en dessiner les courbes sur le grain, pour ne se souvenir que de la beauté de son visage, de ses yeux qui n'étaient que destin tragique ! Le voilà plus doux.
Le voilà, l'amoureux et ses perles contre ses lèvres.
Dans l'écrin de sa poitrine, coeur à jamais destiné à celui qui n'a fait que créer des cauchemars, jusqu'à ce qu'ils deviennent des rêves ; des réalités. A s'endormir dans ses bras, se réveiller par ses baisers.
Quand l'enfant en lui ; n'aurait jamais pu y croire pleinement.


Sonnent les trompêtent dans les cieux !
Il a enlacé son corps, encore et encore, jusqu'à en connaître tous ses secrets, jusqu'à glisser à ses tympans ;
Merveilles et promesses. Pour que plus jamais le battant se sente seul, pour que plus jamais, la peau se sente si froide, à en avoir trouvé un foyer. Il a tout créé pour lui ; ô château céleste !
Tu es roi ;
De mon univers.
Tout lui offrir, jusqu'à sa propre vie.
Son âme, un peu de son souffle, quand il se perd, dans les infinies de sa chaleur, de ses effluves, là où l'on dépose les douceurs furtives sur les joues ! Avant de s'échapper vers des horizons, à en laisser les corps valser, danser, d'une joie qui le consume ; l'embrase.
Quand lui rêve de l'embrasser jusqu'au levé du jour.
Que les étoiles regardent, en soient jalouses !
Elles ne trouveront jamais rien de plus beau.
Que cet amour immaculé.
Hm, c'est pas grave, tu fais comme moi, c'est simple. En murmurant, de peur que les démons finissent par les entendre ! Quand les bras, s'enroulent d'une délicatesse propre aux plumes d'une colombe ! L'accueillir toujours plus près de lui, sentir ses doigts contre ses hanches ;
Il n'y a rien de plus doux.
Rien de plus beau.
Il ne va pas mourir, ici.
Il ne fait qu'exploser d'une vie qui brille.
J'espère bien, que tu ne danseras qu'avec moi. Je veux être le seul. Jalousie ; égoïsme, ne jamais vouloir le partager, car il se sentirait déjà partir ! Déjà mourir, ailleurs que dans ses bras. Il en a trop rêvé, désiré, pour imaginer d'autres sourires. Et mots sublimés, de ses lèvres, quand contact est divin, il ne veut pas que cet instant se meurt. A le graver dans ses songes, dans sa mémoire, et peut-être qu'il finira par en dessiner les visions, quand paroles tendresses déposées contre ses lèvres. Jamais trop, jamais assez. Laissant les pulpeuses ! Danser, aussi délicates soient-elles.
Que se mélangent les souffles, et que se courbent les lèvres à l'annonce de ce bonheur ultime, il sent des papillons dans ses entrailles.
Il sent des roses dans le fond de sa gorge, elles n'ont pas d'épines.
Elles n'ont pas de poison.
Elles ont le gout d'amour.
Ô rougeurs sur les pommettes, quand s'ouvrent les paupières, à ne jamais vouloir regarder ailleurs, jamais plus loin, c'est lui, ça ne sera jamais personne d'autre. Laisser les sourires l'attendrir. C'était déjà lui, au commencement.
Et ses doigts qui viennent retracer des constellations contre ses joues, se perdre dans le fond de ses yeux ; de son regard qui ne fait que l'envouter ! Sorcier, aux pouvoirs si mystiques, et je l'aime ainsi.
Lui et ses mystères.
Non, c'est parfait.
En murmurer, contre lui, contre ses lèvres.
Sentir son coeur tout chambouler dans le fond de sa carcasse, comme la première fois qu'il a posé les yeux amoureux sur lui ; comme la première fois que baisers se sont échanges. Mais aujourd'hui, tout est bien différent.
Le diable n'est pas là.
Les chimères non plus.
Il n'y a qu'eux.
Il n'y a que lui, Hyo, et ses phalanges amoureuses.
Je... A laisser les mots se surprendres.
Ils n'ont pas besoin d'être prononcés, quand seul le sourire s'étire, à en laisser les lèvres dans le silence, quand elles viennent seulement épouser leurs jumelles. T'aime.
A le garder contre lui ; a se garder contre lui.
D'une main abandonnée, perdue dans la douceur de ses mèches, l'autre ne peut quitter son visage, comme pour le graver dans sa paume, ne jamais l'oublier même lorsque les yeux seront fatiguées ; qu'ils se fermeront dans la nuit !
Même dans ses rêves, à en dessiner, en peindre les imperfections de lui.
Ce soir.
Ils sont roi.

Quand sonne minuit ! Dans les cieux, ô empereur qui annonce renouveau d'une ère, quand les artifices s'élèvent à l'extérieur, sans même détourner le regard.
C'est toi, ma plus belle oeuvre.
Et sans jamais se séparer, n'imposant que quelques millimètres de distance, car trop serait l'assassiner !
Bonne année.
Quand elle sonne, la belle ;
Nouvelle !
A commencer, avec lui.
Sans jamais plus le quitter, sans jamais s'imaginer sans lui.
Voilà comment est la vie.
Ici, entre ces deux corps enlacés, quand tout brille contre ces poitrines.
En laissant les rires délicats s'échapper !
Je suis heureux, Sae. Merci pour tout. J'ai hâte de ce qu'on fera cette année. Ensemble.

Ta main ne sera plus seule.
Ton coeur non plus.
Je suis là.

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

c'est que les paysages : n'en seraient jamais assez froid.
à ne jamais recouvrir les visages, ne jamais faire perdre de ses chaleurs ,, à ces lieux pleins de vies. et c'était grâce à lui, sans doute. ô hyo, roi des paradis, à vouloir le faire se précipiter à ses côtés en permanence. car de ses doigts, il voulait capturer les essences, enlacer les corps, sans ne plus jamais le lâcher. peur permanente, qu'il n'en casse les fleurs si douces, car entre ses paumes : il pouvait si facilement en briser les feuilles. et pourtant, à faire vivre les pulsants, quand il en était seul refuge, hyo.
car de ses amours :
il lui en offrir chaleur.
de ces étreintes :
les mondes en vibreraient.
car sae ne pensait plus sans être avec lui. à avoir tout brisé ! tout cassé ! pour pourtant en reconstruire là les abris. pluie ne frappant plus que les goudrons, quand de ses mains il en protégerait les visages des enfants solaires. car hyo : tu en étais celui, qui éblouissait les journées à présent. à vouloir tout te cacher ! de ces surprises déguisées, à vouloir te promettre l'infini ! quand il ne savait en réalité rien faire. et ce soir ,,  en serait les adoubements de ces aubes. ((à aimer)) les refrains dessinés entre les têtes ; quand mes mots en étaient déjà tout prêts. et il en délivrerait les poèmes, de ses pouls perturbés à chaque fois qu'il en croisait les regards emplis de candeurs.

et de ces horizons,
à découvrir les valses aimantes,
quand il n'en connaissait
que les coups.

humer les parfums, qui des feux se dégageaient, pour en caresser les nuques. l'observer lui comme plus belle merveille face à lui. vouloir en effleurer les peaux en permanence, sentir les bras se refermer autour de sa taille, quand de jeux innocents : il finirait par tomber encore amoureux. ronde infinie, à en faire palpiter les myocardes, à vouloir entourer son visage de ses paumes, pour lui montrer qu'il ne serait jamais seul, lui non plus. car au creux de ses lippes, il y déposerait rêves oubliés, comme promesse d'en poser sur les têtes les couronnes de laurier. et hyo : à ses yeux, tu en étais son monde entier.


à le suivre n'importe où, même dans les pas hasardeux. à se saisir de ses doigts, car il n'en manquerait pour rien au monde les quelques touchers. à vouloir en caresser les peaux jusqu'à s'endormir, le serrer contre lui sans ne jamais le lâcher, car il l'accompagnerait dans le moindre de ses voyages ! des chaleurs jusqu'aux nuages, à voler dans les douceurs pour en toucher toujours un peu plus les cieux. "simple hein...?", que murmurent les cœurs ! jamais ô trop fortes, jamais trop bruyantes. car il avait peur d'en effrayer les sourires merveilleux. quand les doigts ne faisaient que s'en poser sur ses hanches, à sourire, lui aussi : de le garder aussi proche de lui. pourtant les rires s'en dégagèrent ! à l'entendre exprimer les jalousies. ô saveur si glorieuse, quand il n'y avait pourtant rien à craindre. car les yeux ne s'en poseraient plus que sur lui. car hyo tu étais le seul à faire vivre les démons. "de quoi t'as peur hein ?", et les joies n'en seraient jamais aussi belles auprès d'un autre.
à juste l'aimer lui,
pour en faire cogner les souffles contre les siens.
épouser les lippes !
à ne jamais vouloir les voir pâlir.
alors danse, papillon timide, à effleurer de ses ailes colorées les joues du plus précieux. car lui ne manquerait pas : de venir y glisser joyaux infimes sur ses peaux. glisser les lèvres, ne jamais le quitter, comme si chaque mètre l'éloignant de lui n'en était que souffrance permanente. "tu es. et seras le seul.", à lui promettre les mondes : quand il en respecterait au mot ses dires. à venir lui montrer ! et un jour tu verras, qu'il serait toujours à tes côtés. qu'il viendrait bercer les rêves, de ses gestes ; à pallier les manques, compléter les vides, en venant en éloigner les solitudes. car les doigts n'en lâcheraient plus jamais les siens. de ces minutes si parfaites, à en laisser les douceurs se déposer sur les visages, quand il en fermait les yeux sous les touchers réchauffant les joues.

et enfin ouverts !
dansent les étoiles dans les regards.

car de ses mots, à ses tentatives, d'en faire découvrir les langages inconnus. cligner des yeux, pour se laisser emporter sous les baisers. ô à s'agripper à lui, enlacer les tailles, sans ne jamais le laisser s'écarter. quand contre lui, il en murmurerait les curiosités infaillibles. à jamais à lui ! sans même n'en comprendre les manèges déjoués là. "tu...?", à souffler contre les visages les magies des mots. un peu trop bête, saebyeok, à en comprendre intimement les significations pourtant. à plonger sur les visages, à en effleurer les moindres parcelles de bonheur : quand les lèvres posées sur les mâchoires, s'en perdaient les insolences merveilles.


de ces lumières faisant renaître les cieux, et eux s'envoleront, de ces horaires parfaits atteints. car renouveau d'une année à se faire ! comme les plus belles merveilles du monde. "hmm. bonne année...", que les mots se faisaient si proches de lui ! à ne faire que murmurer les faiblesses. "et joyeux anniversaire.", merci, de te tenir devant moi. d'être né : d'être resté à ses côtés. plus beau des cadeaux, quand les marches s'en étaient faites si longues entre les vallées, entre les ombres. aveugle à tout ce qu'il l'avait entouré : sauf lui. ô hyo, il savait qu'il viendrait en tuer tous les monstres, pour lui en montrer les fidélités. à jamais.
à ne pas échapper aux rires !
capturé, sae, dans ces bonheurs infaillibles.
alors il l'aimerait : jusqu'à ce que les mondes ne s'écroulent.
à sourire de ses mots, remonter les doigts contre les mâchoires pour en embrasser les vermeilles. simple réponse : quand tous les mots voulaient s'en insuffler. moi aussi, je t'aime., qu'en murmuraient les précieuses. à vouloir simplement partager un peu plus de ces chaleurs si fébriles. "je suis heureux. si tu l'es." que les regards s'en montraient bien trop sincères : bien trop honnêtes, quand il n'en avait toujours qu'été que mensonge, lui, à déjouer les vérités. "j'espère que t'es pas trop fatigué.", quand les bras ne le lâchaient plus, quand de son front collé contre le sien : il pourrait lui en offrir l'univers entier. brûlent les cendres face à eux, et ses doigts ne feraient qu'enlacer les corps, ce soir. alors il n'y avait qu'à murmurer au creux de ses tympans : les accords si parfaits. "qu'est-ce que tu veux, pour ton anniversaire ?", quand il en avait déjà préparé, le plus beau des présents à ses yeux.
amour solennel !
quand il en avait prêté serment : de l'aimer à l'infini.
à juste le garder contre lui, aimer le contacts de ses doigts contre sa peau, à les laisser se faufiler sous les hauts d'une pure discrétion. car tout y était si chaud, quand les paumes posées sur les épidermes : venaient à en soigner tous les maux.
et ce soir : ce ne serait qu'eux.
hyo ,, à éternellement en tenir
les mains.

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Océan d'une beauté légendaire ;
Laissant les naïades s'y plonger comme divinités sublimes,
Laissant les étoiles s'y refléter dans cette absolution éternelle.
Observant les amours y grandir, dans ces coeurs que l'on ne pensait plus sauver. Dans ces poitrines qui ont vécu des guerres épuisantes, à en laisser les cadavres pourrir contre le sol. Des peaux pour qui on ne voulait plus se battre, aucun nom à proclamer ; quand il n'y avait à clamer,
Que ces amours sincères.
Contre les lèvres, où le sel s'est échoué, entre le sable et les coquillages.
Contre ses paupières, où il y a encore des étoiles de mer.

Comme renouveau, ou divine fin ;
Quand les pieds se perdent sur l'immensité des plages, où autrefois il faisait trop froid pour y vivre. Quand la nuit semblait immortelle, à supplier le soleil de venir le réchauffer, quelques secondes, quelques minutes s'il se montrait clément !
Quand la roche était torture, à laisser les doigts s'écorcher à leur contact.
Il faisait froid.
Si froid.
Mais âme solitaire, échouée à ses côtés, d'un faible rayon de soleil, à en avoir brisé les ténèbres de solitude. A avoir désiré en percer tous les secrets, et confier les siens contre ses tympans ;
Comme des chants murmurés, gardés par Pandore et sa curiosité.
A en avoir panser les plaies, d'un lucifer en déclin !
Pour en découvrir, les beautés imaginaire dans ses yeux ;
Jusqu'à en avoir rendu jalouse, la nuit bleues et ses fées, quand lèvres épousées ne se sont plus jamais quittées.

Et contre ses mains ! Il viendra échouer son visage encore et encore, comme récompense contre tous les maux du monde, pour se noyer, dans sa douceur, capturer sa chaleur ;
Y dessiner des merveilles du bout de ses doigts, de peur,
Que demain il ne soit plus là.
Le gravant dans sa mémoire, jour après jour, laissant le coeur gonfler de ces amours terrifiants !
Mais quand tu es là ;
Je n'ai plus peur de rien.
Je pourrais défier le monde.
A lui avoir offert courage et force ;
Amour et confiance. En eux.
En lui, Sae.
A en avoir signé des pactes célestes, avec les dieux, promettre de le garder pour lui ; ne plus jamais le laisser sombrer. Âme abandonnée, celle que l'on ne voulait pas, plus.
Et moi, je t'ai aimé dès la première seconde.
Et moi, je t'aimerai jusqu'à la dernière.
Promis.


De toi, si loin.
De toi, dans des bras que je refuse d'imaginer.
Sans jamais confier ! Que les cauchemars sont éternels dans ses songes, qu'ils sont là pour lui rappeler, qu'il pourrait bien fuir ;
L'imaginer contre d'autres lèvres,
A alors en laisser le coeur pourrir, mourir. D'un manque qui déchirerait ses entrailles, de ces rivières qu'il refuse d'imaginer.
Il est égoïste, douce étoile, à le vouloir seulement pour lui, jalousie rongeant ses doigts, possessif,
Trop précieux pour le laisser voler loin, quand il veut valser dans ses bras, jusqu'à ce que les corps ne soient plus que poussière cendrée.
Jusqu'à ce qu'ils n'existent plus que des souvenirs ;
Des consciences effacées.

tu es. et seras le seul.

Avoué ! A en avoir laissé les sourires graver ses courbes, et les rougeurs renaître dans un éternel recommencement, comme la vie et la mort,
Se jouant d'eux, maudits et pourtant.
A en laisser les lèvres s'épouser, s'aimer, se déchirer quand les souffles se quittent quelques instants, assez pour en murmurer les secrets, jamais assez pour laisser les mots troubler cette paix.
Car les aveux sont invisibles, muets, il n'y a que dans ces gestes plus doux ;
Pour attentionnés, quand veut lui dire,
A quel point il l'aime.
Ô quand sonne l'heure, des illuminations célestes, a en laisser les coeurs exploser, dans son pulsant où les artifices éclates par nuances ;
Des couleurs par centaines !
Il est roi de chacune d'elle, Sae.
Il est empereur de tout son être, l'emportant dans cette faiblesse sensible. Et tout recommence, cette année, cette ère.
Mais tout est différent.
Tout commence avec lui ;
Ensemble.
Car froid de l'hiver ! Ne laissera jamais plus les enfants voguer sans chaleur dans ses flots ! Quand l'eau est maintenant calme, et que les corps s'y baignent sans jamais plus s'y noyer.
Quand il n'y a dans gorge que des pétales ;
Le sel l'a quitté.
Il y a bien longtemps.

Et il voudrait rester là, à l'écouter murmurer, encore et encore.
Dans cet instant qui se grave en lui.
Il voudrait rester là, à l'écouter, lui et jamais un autre. En saisir les mots, en saisir les baisers et leur signification ! Car il comprend, Sae.
Il n'ira jamais plus loin, plus loin que ses bras, à en laisser les fronts amoureux, l'observer, de cette proximité où il grave ses imperfections,
De cette muse cent fois trop dessinée dans ses rêves ; contre ses doigts.
Du bout de son crayon.
Alors restons heureux pour toujours. Restons ensemble pour toujours.
Et même dans la morts, je te veux à mes côtés.
Quand nous ne seront plus que des lueurs de l'infini ;
Aime moi encore.
Non, je suis en pleine forme. Pour ne jamais venir en gâcher ces moments de bonheur, car il est vrai ! Energie jamais épuisée, quand il vient toujours la retrouver dans ses bras.
De ses doigts qui doucement viennent caresser ses joues, baiser volé le temps d'une seconde ! A s'échapper lentement dans ses cheveux, visage cachée contre son cou, contre l'épaule, celle sur laquelle il viendra toujours se reposer. Merci.
Pour tout ce que tu as su faire.
Tout ce que tu feras encore.
Pour ces fleurs qui renaissent encore contre sa peau.
Tu en es leur dieu.
Se redressant légèrement, laisser les lèvres épouser sa doucereuse mâchoire, laisser les doigts caresser son visage. Tu es déjà mon plus beau cadeau. Je n'ai pas besoin de plus. Je suis déjà comblé. A lentement, murmurer les tendresses contre sa peau ;
Des vérités cachées des malsains.
Pour ne pas qu'on lui vole, ce trésor trouvé ! Si bas.
Il n'y aura jamais rien de plus beau, que cette perle légèrement brisée, que personne n'aurait jamais voulu cajoler ;
Mais Hyo, il n'est que trop amoureux, de tout ce qui se brise.
Tout ce qui fait mal.
Tout ce qui brûle dans son estomac.
Quand les flammes l'emportent, l'été arrive.
Lentement, sûrement.
Se laisser porter, par la douceur de ses doigts contre son épiderme, dont il sera toujours admirateur, le laisser faire de lui,
La plus belle des poupées, plus beau des joyau.
Rien ne sera plus beau qu'entre ses mains, qu'entre ses bras.
Ici, là, contre sa poitrine où son coeur bat.
Celui que l'on entendait plus.
Si calme, pourtant prêt à en déchaîner des tempêtes.
Et main solitaire ! Capturée entre ses doigts, quand petit boite vient trouver maître entre ses ses phalanges, d'un présent bien plus que trésor ! Quand il a passé des nuits,
A se demander s'il en voudrait.
Anneau fragile autour de son doigts, à l'imaginer, laissant les désirs de l'avoir à ses côtés pour toujours, se graver une fois de plus dans son esprit.
Joyeux anniversaire.
A tout s'offrir ! Dans cette harmonie symphonique, où il n'y a plus qu'eux.
Où il n'existe rien de plus qu'eux.
J'espère que... Ca te plaira.

Pulsant dévorant la jeunesse ;
Cachant de nouveau son visage contre lui.
Ne pas lui laisser cette chance d'en découvrir les paysages rosés.

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

que les guerres devaient avoir peur !
de ce qu'ils affichaient aux yeux du monde.
à parcourir les sols, arracher les erreurs : comme de ces mauvaises herbes desquelles ils devaient se délester. de maux en aiguilles, à travers les neiges persistantes ! à ne jamais en lâcher ,, de ces opales brisées : celui qui en ravivait les éclats. alors il s'était éteint, saebyeok avant. à frapper les âmes, parcourir les hivers comme seule âme en peine. à n'être pourtant que misérable ((bourreaux)) de ces dieux, comme amusement les plus festifs. mais il n'y avait rien ! rien d'aussi beau sans doute, rien d'aussi soyeux, que ses peaux à lui, que ses sourires qui en imitait les lunaires, quand n'en étaient complètes que leurs auréoles d'or. et Hyo, que sais-tu, de ces pulsants s'abattant dans les cages ? quand ils n'en appartenaient qu'aux plus vertueux. ((à toi.))
et les naufrages s'étaient abattus,
et lui en avait été ému :
quand les sirènes en avaient attrapé là,
le plus rebelle de tous.
calmer les ardeurs, rendre douceur à ces doigts infestés, comme pour en soigner les malédictions. car il ne serait jamais aussi bon qu'avec les figures à embrasser, car lui ne serait qu'amour pour celui au cœur à protéger. et ils se suivraient même quand les neiges fondues viendraient en disperser leurs pas. et lui, en tiendrait ses mains, pour les garder au chaud. loin de ces malheurs perfides, loin des cauchemars du quotidien. à vouloir en devenir ces mélodies qui en soigneraient toutes les blessures. et de leurs lippes scellées, il lui en promettait loyauté ! car de ces années, il n'aimerait jamais autant : que ces épaules si apaisantes. à en aimer les courbes, les odeurs, les sons, qui peut-être autre fois en auraient été si dérisoires. de ces sourires, qu'il avait pu trouver si idiots, et qui à présent en étaient raison de vivre. de ces rires aux sons angéliques trouvés si puériles, quand ils en étaient en réalité, cadeaux des cieux.


c'est qu'il voulait à tout prix, lui offrir ce qu'il n'avait jamais fait. faire en sorte de se faire pardonner de tous ces vices perfides. enfant ayant grandi bien trop vite encore, quand il en redécouvrait les sucreries de jours plus joyeux. de ces lèvres acidulées, de ces couleurs dans les regards: joyaux irisés, à changer de formes sous les soleils candides. et lui voulait en conserver en mémoire, chacune de ses formes à lui. les plus belles comme les plus douloureuses. attraper du bout des doigts les nuages pour en enrober les corps de ces chaleurs les plus concrètes.
car dans les cieux,
brillent les éclats !
de ces nouveaux jours
à  v e n i r
quand de ces bras il ne se lasserait jamais, de ces regards, il se noierait toujours. antagoniste des jours heureux, quand de ces mots, il en faisait rédemption pour en offrir les myocardes. rire léger, quand tout en semblait si léger. un peu trop simple peut-être : mais il espérait lui aussi, ne jamais avoir à regarder en arrière. quand de sa tête hochée, à le regarder comme drôle de créature ,, quand il n'y avait rien de plus beau, que ses rêves d'enfant. "hmm, on va essayer. mais je le veux aussi.", à avoir peur, de ne pas en tenir les promesses, quand pourtant : il ferait tout ce qu'il pouvait, pour le garder à l'abris des monstres. "c'est vrai que t'as l'air bien énergique.", car le temps passait si vite, car les secondes s'envolaient déjà ! à lui en voler baiser, quand lui en resserrait les doigts autour des siens. à pourtant finir par accueillir les visages contre les épaules, embrasser les tempes, pour y glisser le temps d'un instant, sa paume solitaire.

car de frissons :
il en ressentait calme,
de ces contacts.

de ces baisers, à le regarder de nouveau. presque sourire ! quand les mots en semblaient presque trop innocents. "pff. fais gaffe je vais finir par croire que t'as appris des lignes toutes faites, tellement t'as l'air...niais.", mots si doux, à présent, quand ils en étaient dirigés vers lui. car Hyo pouvait l'être, n i a i s, à aimer cela sans doute un peu trop, quand les joues finissaient par en chauffer finement. alors peut-être n'en serait-il jamais réel présent, lui, quand dans ses yeux à lui, il se contenterait d'en voir son visage. grâce offerte, de ces agitations discrètes, et il en était intrigué, le plus jeune, à essayer d'y apercevoir les tours de magie si fragiles. "qu'est-ce que tu me sors là hein ?", à l'observer, lui et sa boîte, à se dire, que rien ne pouvait-être coïncidence. alors tout doucement, de gestes si fins, il ne put qu'en ouvrir l'écrin. cacher derrière sa main les sourires, quand de gestes furtifs il en embrassa fragiles commissures. car sans doute bien trop touché, en réalité, à ne jamais en afficher faiblesses ! quand pourtant tout s'échauffait, sous les paupières graciles.


rire ! de ces harmonies, quand sans en perdre les regards lumineux, il sortit des poches à son tour simple petit sac au nœud de satin camouflant les bagues émerveillées. à devoir oublier les projets, quand tout en semblait corrompu. "à croire que tu déteins vraiment trop sur moi. ça fait peur." bagues échangées, à y voir là plus que symbole, quand le sien n'en avait pas attendu très longtemps pour être orné du bijoux le plus précieux. a être à présent, porteur de bonheur ! aux parfums des rosées, où les lucioles ne feraient que se stopper pour en illuminer les étreintes. alors de ce visage de nouveau caché, à venir tout doucement le prendre entre ses paumes pour le soulever : il ne ferait que l'embrasser, amoureux, avant d'en donner lui aussi les présents. "tiens prend ça. je vais pas être très original pour le coup.", quand lui aussi : y avait imaginé trésor des dieux. à s'en frotter la nuque presque timide, nez froncé, à vouloir tout lui dire à présent. "ah et t'as pas à t'en faire...", murmuré presque boudeur ! quand saebyeok ne savait réellement pas comment le lui dire.
que tous les deux :
vivront encore ,
dans ces idylles.
"j'ai...trouvé un vrai boulot. je voulais te le dire mais je savais pas trop quand." et il avait voulu attendre pour lui dire ! et peut-être en était-ce enfin les moments propices. où les nuages qui en avaient enrobés les corps s'étaient enfin éclipsés pour laisser les pluies s'échouer sur les corps, pour faire résonner les joies dans les enceintes merveilleuses. "enfin bref. j'espère que celle que j'ai choisi et pas trop nulle...ou moche. parce que la tienne est sublime et du coup je vais sans doute avoir l'air idiot à côté." et ô, à ne déjà plus pouvoir la quitter des yeux, à presque en trouver ses mains bien plus belles à présent : orner de ses deux souvenirs préférés. à finir par croire que tout ce qui le touchait venait à en devenir sortilège. estompe les peines, efface les anciens monstres de la tête ,, quand d'amour venait se dessiner les sourires permanents.
et ô Hyo,
il ne viendrait jamais assez te remercier.
à travers ses sourires :
ses baisers.
quand de simplicités, il ne voudrait jamais en lâcher tes doigts.
à l'aimer, jusqu'aux infinis.

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

A travers les âges,
Les âmes voyages.
Elles se perdent dans des mensonges ;
Jusqu'à ce retrouver dans leurs songes.

Il y a des légendes, il y a des mythes qui traversent le temps, viennent se murmurer contre les tympans de ceux qui veulent y croire ! Pour en laisser naître les espoirs dans ces coeurs acharnés, bousiller avec le temps, quand les secondes sont meurtrières ;
Quand les secondes sont des poignards qui se plantent dans les battants.
Mais il y a ces histoires, qui disent que les âmes s'aiment pour toujours, qu'importe la vie et la mort. Qu'importe le temps, qu'importe la fin de tout ; de l'univers et des croyances infimes. Il y a ces paroles que l'on chantait il y a des centaines d'années.
Et peut-être l'a-t-il aimé dans une réalité qui ne leur appartient plus. Peut-être a-t-il manqué de temps pour le chérir, lui montrer ! A lui et au monde, que leur amour pouvait tout vaincre.
Les batailles ; les combats.
Les maladies et les craintes.
Peut-être qu'avant, il n'y avait rien.
Peut-être étaient-ils deux âmes solitaires, à la recherche d'une flamme, d'un semblant d'artifice pour laisser les passions s'enchaîner, laisser les promesses trouver leur chemin à travers les limbes, jusqu'à se lier à ses poignets d'un fil rouge indestructible.

Et s'il ne l'était pas ?
S'il venait à se briser ?

Alors il regarderait son corps plonger, dans les abîmes hurlants de l'océan. Il le regarderait couler, du haut de ses cieux. Une enclume contre ses poumons, pour ne jamais plus respirer. Le poids de ses peines. Le poids de ses maux.
Parce qu'il refuse de l'imaginer, quand nouvelle ère se dessine, que les jours passent, le soleil éclaire avant que la lune ne vienne caresser leurs joues encore candides. Là où l'on dépose les baisers amoureux, encore timides, comme des gamins qui ne veulent pas grandir ! S'aimer comme des enfants.
Et se jurer, que pour toujours, ils existeront.
Sous les étoiles de minuit, sous les années qui se gravent. Et approche alors cet anniversaire, quand bientôt, ils pourront célébrer le fruit de l'amour, d'une date marqué au fer rouge contre le pulsant !

De ses doigts chauds, déposés contre ses pommettes, à déposer contre ses lèvres des baisers sucrés, des sucreries contre le bout de son nez. Laisser les sourires s'étirer sur ces visages rayonnants ! Dans l'hiver qui ne sait pas l'atteindre, car son corps est brûlant des sentiments, de ces braises qui vivent en lui. Hm. Je suis juste très très amoureux je crois. Désolé. En laissant les harmonies vibrer dans sa gorge, cachant son visage quand le présent est offert dans ses mains ! Le coeur battant, plus fort, plus vite. Jamais longtemps, quand il observe ses réactions, les joues peintes d'un rose poudré, et que les lèvres sont dévorées, à la surprise de cette bague qui signifie tant à ses yeux. Quand il voit, quand il comprend, à quel point il est heureux, dans ce regard où il pourrait admirer les étoiles exploser, imploser, pour toujours, jusqu'à la fin de tout un univers, tout un monde. Contre ses lèvres épousées des siennes. Je savais au fond qu'elle te plairait. C'est ton genre. A en avoir deviné les désirs, les amours ! Quand il ne fait que le connaître un peu plus, jour après jour, sans vouloir l'abandonner. Admirer la belle autour de son doigt alors que rapidement, ses pulpeuses épousent les siennes quand il ne cherchait qu'à fuir cette timidité ! Quand dans ses mains, douceur se dépose, à en sentir son coeur s'arrêter, une nouvelle fois. Dès lors qu'il murmure, dès lors que ses gestes hurlent des je t'aime. Hm ? Tu... ? Sans savoir quoi dire,
Que ses mots s'enchaîne déjà, les yeux relevés vers lui, ses lèvres qui annoncent !
Les nouvelles tant espérées, l'avenir qui ne cesse de se construire à ses côtés. Il sent la fierté en lui, il sent la gloire et les merveilles ! De le voir briller dans les cieux de nouveau, quand il n'a fait qu'espérer le voir un jour redevenir cet ange qu'il aurait toujours dû être. Loin des démons. Attends Sae. Ca fait beaucoup d'informations. On va y aller petit à petit, si tu veux bien. Affection doucereuse, furtivement déposées contre ses lèvres quand son corps abandonne sa chaleur pour s'affairer dans la chambre, où il vient en ramener coussins et couvertures qu'il laisse tomber sur le sol, devant le feu qui illumine la pièce. Main qu'il vient trouver jusqu'à le serrer contre lui, l'inviter à lui aussi prendre place face à lui contre les douceurs installées.
Doigts qui viennent en découvrir le présent, d'une bague bien plus belle que son imaginaire ! Quand il y a des comètes dans ses yeux, des cristaux dans le coin de ses yeux, main qui recouvrent un instant ses yeux, pour en laisser les faiblesses couler, dévaler le long de ses joues. Qu'est ce que tu racontes... ? Elle-elle est magnifique Sae. Je sais même pas si je mérite ça. Merci Quand les sanglots prennent possession de ses épaules tremblantes, ses bras venant entourer son cou, en laissant son visage s'échouer contre la carrure fine. Laissant le silence bercer ses pleurs quelques instant, quand la tristesse n'est pas reine, quand il n'y a que les joies au monde !

Venant doucement se redresser pour en laisser le bijou glisser contre sa peau, autour de son doigt où il vient prendre place ; bague souveraine, impératrice de leur amour ! A ne jamais avoir imaginé en arriver là.
Et pourtant, il y croit. Jour après jour.
Il croit en eux.
Je pouvais réellement pas rêver mieux. C'est plus que tout ce que j'aurais pu imaginer. Tu fais de ma vie, un doux rêve malgré les cauchemars.
Paumes fragiles, à en récolter les précieuses contre ses joues pour sécher ces rivières qui n'étaient que merveilles de joyaux puretés ! C'est son regard qui concentre de nouveau vers lui, ses mains en possession ses siennes, à les caresser doucement, du bout de ses doigts. Raconte moi tout. Pour ton travail. Je veux tout savoir. Sourire innocent ! Divin contre ses lèvres, sur ce visage rayonnant de douceur et d'amour. Lèvres tendrement embrassées. Je suis fière de toi mon amour.
Et le souffle se coupe !
A ces quelques mots prononcés, dans la réalisation de ses paroles.
Quand le visage se poudre de poussière de fée.
Rosée du matin.

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

c'est qu'il viendrait presque à rire,
de ces merveilles affichées,
à en être bien trop heureux.
celui aux couleurs dans les yeux. à devenir irisés ! à devenir galaxies, quand son monde en était composé plus que d'une planète, et de bien trop nombreuses étoiles. à se demander, combien de temps allaient-elles rester avec lui. à parcourir les environs, les mondes indescriptibles : à rire ! de leurs joies partagées, sans ne jamais plus penser à ce qu'il pourrait arriver. naviguer à l'aveugle, à en sentir les chaleurs dans les pulsants, et Sae en était bombe à retardement ; à ne plus savoir contrôler les maux quand il en venait à changer pour vibrer dans les mêmes univers que lui. c'est que tout pouvait vriller, au moindre faux pas, à avoir peur, d'en perdre ce qu'il n'avait jamais eu : de ces amours, à ces tendresses, à ne vouloir être nul part ailleurs qu'avec lui.

à l'aimer bien plus :
que prévu.

quand tout semblait si harmonieux, si délicats, de ces parfums floraux, aux chaleurs des feux de bois. c'est que le monde changeait, tout comme eux. à grandir bien trop vite, toujours ensemble. car les doigts s'étaient habitués aux siens, à ne pas vouloir s'en séparer, même pour quelques secondes. c'est qu'il en était devenu bien trop attaché, à ces chaleurs rassurantes. et Hyo, sais-tu à quel point il en était heureux, de simplement pouvoir en observer les soleils à deux, de pouvoir en entendre tes rires sans avoir à se cacher. car tout en semblait si beau, à présent, près de lui. et il espérait que Hyo ne le comprenne, de ses regards si certains, à vouloir simplement tenter de lui en montrer, qu'il ne serait jamais de trop. alors de ses paroles il souriait, à presque se dire, que jamais il n'aurait cru pouvoir, en apprécier les instants de douceurs. à se mentir lui-même, quand il ne faisait que lui dire que tout était si insupportable. ((pour son cœur.)) "t'excuse pas.", quand il y voyait là amour débordant.


à en voir les doigts se parer de beauté ! quand tout le trahissait, dans son regard. car il pourrait venir lui dire qu'il en détestait là les présents, quand personne ne viendrait le croire, de ses lueurs sur le visage. à l'aimer lui, bien plus que les signes démontrés. "mon genre ? et c'est quoi mon genre ?", qu'il viendrait l'embêter juste un peu, avant d'en confier les secrets. "mais oui. c'est mon truc. bien joué gamin.", à lui sourire : comme cadeau délicat. à ne jamais s'éloigner de lui, l'embrasser comme si tout était si fragile, comme si tout pouvait prendre fin en un instant. pourtant les regards n'en trompaient pas : et lui aussi, voulait lui en offrir les mondes entiers. de ses horizons à ses couleurs, de ses merveilles comme ses tristesses, il lui en offrirait tout. bien trop fier, de pouvoir lui en offrir tout ce qu'il n'avait jamais pu avant. alors de ses airs perdus, il releva les mains dans les airs, rire sans fin quand les lippes retrouvées, il le laissa bouger loin de lui pour en revenir tout près. à ne faire que l'admirer de là où il était, à ne jamais pouvoir rêver mieux.
à le voir créer,
univers pour eux deux :
seulement e u x.
"pff. bah alors tu suis plus le rythme ? tu te fais vieux gamin...", de ses bras contre lui, à se laisser entraîner ! dans les chaleurs merveilleuses. laisser le corps retomber, à venir tenir du bout de ses doigts ses épaules : jusqu'à y voir diamants contre les iris. lèvres étirées, de ses bras à le resserrer contre lui, il viendrait presque lui en chanter berceuses, à le voir aussi heureux pour une simple bague. mais bien plus que cela : presque promesse éternelle. à simplement embrasser sa tempe, venir le caler contre lui sans ne jamais plus le lâcher. "pleure pas...je vais finir par croire qu'elle est vraiment horrible...", qu'il ne faisait qu'en embrasser sa tête, le serrer si fort contre lui comme par peur de le voir disparaître. "puis évidemment que tu mérites. tu mérites tellement.", que les murmures s'en faisaient si doux, contre lui, à planter son visage contre ses cheveux, pour en fermer un instant les yeux. "alors ne pleure pas."

et à le voir,
il viendrait rêver ,,
de l'aimer tous les jours.

"elle te va bien.", à le regarder au bout de son doigt, presque sourire trop discrètement, quand il pourrait venir y cacher son visage derrière sa main. "exagère pas non plus...", quand lui voulait lui en offrir bien plus, que de simple symbole. à lui en offrir les étoiles, qu'il détruisait autrefois, pour ne plus en faire pleurer les cristallins. alors à lui laisser ses mains, venant déposer ses lippes sur l'une de ses joues humides, il en posa sa tête contre son épaule, à ne juste plus bouger, quand il resserra ses doigts contre les siens. "tout savoir ?", qu'il en vint à sourire avant de se stopper, à en sentir le dos frissonner : de ces mots qu'il n'avait jamais entendu. regard relevé vers le plus vieux, à le regarder un instant, il finit par tourner son visage contre son cou, à ne plus savoir comment réagir.
car il n'avait jamais su :
que quelqu'un pourrait un jour,
être fier de lui.
c'est qu'il pourrait en sentir les yeux être émotifs, quand d'une main il en resserra la taille de celui qu'il ne voulait plus lâcher, à se sentir si faible, quand Hyo n'en comprendrait sûrement pas : ces émotions soudaines. "de l'arc...je suis retourné...dans le tir à l'arc. prof...t'sais...j'en faisais pas mal, avant." et quand il en finit par se reprendre ! à réaliser : il le regarda tout doucement, sourire fier revenu sur son visage, pour se pencher vers lui. "mon amour hein ? c'est nouveau ça ?", sourcil relevé, à souffler tout doucement d'amusement quand il ne pourrait qu'être amour, ce soir. "j'espère que t'en as pas d'autres en réserve. je te préviens c'est le seul que je te laisserai utiliser. pas de mon lapin, chaton ou trucs du genre.", à ne plus vouloir rien entendre sauf ses mots à lui : quand bien même tout était si discret. à rester secrets entre eux ! comme pour ne pas en voir les mots s'échapper d'ici. "heureusement que c'est que toi. t'es le seul.", à pouvoir tout se permettre, avec lui. c'est qu'il en viendrait presque à s'allonger contre lui, pour en relever les doigts contre son visage. détailler ses traits, se demander, ce qu'il pouvait bien penser en ce moment même.

et lui ne le lâcherait pas !
jamais : à juste vouloir
l ' a i m e r .

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

A travers l'hiver,
Printemps en vient à naître.
Les fleurs viennent se lier à leur corps. Comme pour en épouser chacune de leurs formes. Graver dans l'éternel cet amour qui ne cesse jamais de scintiller, si fort dans les cieux. Comme deux étoiles à jamais promises à l'une et l'autre.
Et si l'une explose, elle entraînera l'autre dans sa chute ;
Divine.
Mortelle.
A en rencontrer les enfers à ses côtés ;
Voguer sur les mers de l'infini, où toutes les comètes du monde s'y reflètent ;
Monde merveilleux !
Sublime.
C'est en tenant sa main qu'il vient le découvrir, quand sans lui, il n'en connaîtrait aucun bonheur, aucun sourire. C'est son coeur qui implose, se berce de ces mirages doucereux à ne jamais vouloir se réveiller, car le rêve est doux, trop doux à ses côtés. Réalité trop dangereuse, pour pouvoir l'affronter, quand il est bercé dans ses bras, de cette chaleur qui le protège. De cet amour qu'ils ont construit ensemble, à tout célébrer sous la lune et ses nymphes, au bord des falaises d'un paradis blanc !
Je t'aime,
Je t'aime,
Je t'aime ! A l'infini ;
Proses qu'on dépose contre les roses.

Ton genre... C'est les choses délicates, même si tu veux pas l'avouer. Tu aimes ça parce que c'est un peu fragile mais il y a quelque chose de beau dans la fragilité ! Comme certain de sa réponse, quand les sourires ne s'envolent jamais loin de ses lèvres, celles qu'on embrasse avec amour, avec plaisir, sans honte, d'un désir amoureux. Sur lesquelles on dépose des papillons, et ça chatouille, aussi dans le bas de son ventre. Il l'aime, et il pourrait lui avouer jusqu'à la fin de leur souffle. Tous les jours. Corps quitté un instant, retrouvé la seconde d'après quand il vient installer cette bulle qui n'appartient qu'à eux, rire de ses paroles. Allongés comme contre la mousse du sol, mais il n'y a que le bois pour les accueillir, les douceurs d'un paradis chaleur trouvé au milieu des montagnes. J'aime croire que... C'est toi que je mérite. Baiser volé ! Avant d'en rire, tête déposée contre lui. Si je pleure, c'est toujours de bonheur avec toi. Ses doigts caresses ses joues, en récolter la poussière de fée qu'il ne cesse de semer partout, dans son coeur comme contre les pulpeuses à jamais dévorées, innocentes, sans jamais réellement l'être. Elles dansent toujours ensemble, harmonieuses, c'est qu'on pourrait croire ! Qu'elles ont été sculptées pour n'être qu'ensemble. Tout me va, si ça vient de toi. Larmes cristallines toujours rapidement essuyées par l'aimé, il voudrait toutes les récolter pour lui, pour lui en offrir les plus belles magies, souvenirs significatifs derrières ces dernières. Nez contre son cou, à venir chatouiller,
Réveiller les merveilles en lui quand une main en caresse les cheveux fins, en berce le corps, poitrine fragile où le coeur bat si fort ; il l'entend chanter. J'ai toujours trouvé que l'arc t'allais bien... Ca te rend.... Ca te rend... Rougeur cachées sur son visage alors que la tête se tourne, le coeur qui bat aussi rapidement que lorsqu'il en prononce les mots amoureux. Sexy. Moue boudeuse à la réalisation de ses lèvres, et il connaît son regard, sait que ses yeux sont rivés sur lui comme un rapace sur sa proie. Moui. Promis. Le seul. Mais je sais que tu mens ;
Je sais que tu viendras chérir chacun d'eux ;
En graver dans ta mémoire chaque son de mes lèvres.
Et la tête se tourne de nouveau vers lui, lèvres pressées contre les siennes comme pour ne plus en affronter son regard fier et moqueur, pourtant c'est peut-être ce qu'il préfère parmi tous ! Doigts qui se perdent contre la douceur de son visage, douceur de sa peau. Il le serre fort contre lui jusqu'à ne plus pouvoir en respirer, laisser quelques centimètres entre eux. Je t'aime. Qu'il prononce une première fois alors que le corps se glisse au dessus du sien, comme fierté de le dominer quelques instants avant que les pulpeuses ne plongent contre son cou. Je t'aime. De nouveau murmuré, cajolé, quand il en laisse quelques marques rougir contre son épiderme, chair tâché. Il n'est qu'à lui. Main à se déposer contre son corps, alors qu'il vient mordiller sa mâchoire, délicatement. Je t'aime... Une dernière fois, alors qu'il aimerait fondre contre lui, ne faire qu'un ; une seul comète ;
Une seule vie. Est-ce que tu as envie...? Timidité qui le ronge, parce qu'il a toujours peur d'être de trop, Hyo, dans cet amour qui le ronge, vient tout envahir en lui. Parce que ce soir, encore, il veut lui montrer, lui prouver, que c'est lui que son coeur choisira pour toujours.

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

est-ce que tu m'entends ?

à travers la pluie, à travers les orages. il souriait ! il riait ! celui qui en avait trouvé refuge aux tempêtes, à s'éclairer de lui-même malgré les temps gris. car peut-être en était-il simplement à ses côtés pour pouvoir en observer les gouttes tomber  ,, se détendre : au moindre de leur ruissellement. c'est que les pluies en créeraient torrents, rivières ; où peut-être pourraient-ils voyager : quitter les lieux tempétueux pour en retrouver les soleils.
quand il rayonnait déjà,
à ses côtés,
juste là.
à ne vouloir lâcher sa main, y confier toutes les lueurs qu'il avait pu capturer le long de ses traversées des Styx. et peut-être en avait-il regroupé là tellement d'âmes ,, qu'il pourrait toutes les lui offrir ! les lui glisser sous sa peau pour en dessiner quelques étoiles, faire luire lucioles sur les épidermes splendides : car Hyo en était là, à faire valser les airs dans les poumons, à voler les cœurs si facilement ! ceux qui en murmuraient en permanences les amours si fidèles ((et je t'aime)) comme la lune en aime le soleil. à vouloir le laisser briller : encore et encore sans en perdre de vue ses éclats.

à lui promettre ,,
infini :
du bout de ses lèvres.

quand de ses proses il rirait de ses connaissances ,, et en était-il autant transparent ? "c'est vrai. j'aimes les choses délicates. tu vois ? j'avoue.", et il n'avait que regarder la manière dont il l'admirait ,, car Hyo tu en étais symphonie à toi seule. peut-être en connaissait-il déjà toutes les réponses, celui qui de ses sourires, savait bien trop en faire palpiter les cœurs. à connaître les chemins par cœur ! quand tout réchauffe les ventres, à pouvoir ne serait-ce que l'observer, tenir ses doigts entre les siens ,, lui en recouvrir le visages, le corps : de baisers. d'un bois à accueillir les romances, il le garderait entre ses bras comme pour le capturer, ne pas le laisser partir. jamais. de ces minutes à défiler, ici tout en semblait éteint ! de baisers à venir se faufiler contre ses lippes, à s'envoler aussi tôt, il en retenait presque les sourires, Saebyeok, de ces douceurs exquises. "hmm...et bien si tu le penses...évidemment, que tu me mérites. largement même.", qu'il en embrasserait les doigts contre son visage, à en calmer les vices du cœur.
c'est qu'ici,
ils n'avaient rien craindre :
à s'aimer.
"alors tu peux pleurer.", si tout en était de bonheur ; à lui y trouver réconfort dans chaque toucher ,, de ces peaux à se toucher, s'effleurer sans limite. d'un parfum qu'il voulait se souvenir tous les jours, même loin de lui, il s'agripperait, pour en faire des nuits conte de fée. à valser contre son torse, suivre les battements comme tempo qui en endormirait toutes les douleurs. et contre lui il n'en vivrait que joies permanentes ! "je vois...", qu'il viendrait à pouffer légèrement, de ces phrases nouvelles. à relever le visage, sourcil à se hausser ! à rapidement embrasser les commissures comme pour en faire le centre de son monde.


car chaque instant partagé avec lui en semblait irréel. toujours bien trop agréable, à faire frémir les rosées contre les corps comme si de tous ses touchers il en préférait ses baisers. "moi ... aussi." à se laisser méprendre de ses douceurs ,, de son corps à venir se surélever ; orner ses jambes de son corps comme plus beau des présent. frisson, de ses bras à se glisser sur sa taille, à fermer discrètement les yeux de ses œuvres dans son cou comme artiste qu'il était. soupir à s'échapper ! de ces esprits assouvis. "Hyo...t'es vraiment..." incroyable ! sans en prononcer les mots quand il viendrait en embrasser la joue.
épouser :
les demandes ,,
comme évidences.
quand d'une main il viendrait relever son visage pour en embrasser d'amour les lèvres qui en susurraient malice, à en invoquer là les regards comme pour captiver les émois. "quelle question. je suis tout à toi.", d'un léger sourire, rougeurs contre les joues ! ô il viendrait à l'aimer ,, jusqu'à ce que les corps ne s'aiment eux-mêmes. "j'ai toujours envie quand c'est avec toi." doigts à glisser sous son haut pour en effleurer les peaux, tirer les hauts pour dégager ses clavicules et les embrasser. beauté absolue qu'il vint finalement libérer des laines ! quand tout était permis, ce soir. à apposer ses paumes sur lui comme pour lui en partager quelques unes de ses chaleurs, il déposa sa tête au creux de son cou pour y déposer baisers à faire glisser. encore, encore : épouser les éminences plus rosées, comme pour le redécouvrir à nouveau. mains à tenter d'en retirer les boutons de sa propre chemise, finir par en découvrir ses peaux pour le laisser y créer œuvre d'art ,, il viendrait lui lui en offrir toutes ses harmonies ; à faufiler ses doigts sur sa peau, corps déjà transcendé par de simples mots. je t'aime ,, quand de quelques syllabes : il en mourrait de ne pouvoir les entendre. "tu veux...le faire comme ça...?", de ses paumes à se glisser dans les poches arrières de son pantalon, à tout trouver gênant ! quand il voulait pouvoir l'admirer comme muse qu'il était. à alors l'admirer là, posé sur lui : comme plus belle des créatures ! quand Hyo en était ,, roi à pourvoir d'amour sous toutes ses formes. "c'est...bien trop agréable...de te voir là. je risque de m'y habituer finalement.", qu'il viendrait presque s'en cacher ! à ne pouvoir pourtant dissimuler les mots, qui en filaient comme presque trop aimant.

et Hyo ,,
si tu savais
ô combien :
tu en étais son tout.

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡

You are the one

Comme des racines qui prennent place dans sa poitrine, des arbres célestes qui s'emparent de lui, de ses poumons pour n'en laisser que les souffles sacrés. Comme jardin éphémère contre les peaux, contre ces phalanges qui désirent le monde entier ! Dans les coeurs, dans les esprits, et lui, c'est son monde qu'il veut. Rien d'autre que le sien, d'un univers qu'il veut partager avec lui, toujours à ses côtés. De son enfer, il en fera un jardin divin, pour enterrer les années funestes.
De ses baisers, il en fera les plus belles graines, pour que roses d'amour puissent naître au printemps !
Après l'hiver.
Après les tempêtes.
Après le chaos qui ronge les âmes.
Entre tes bras, plus rien ne pourra m'atteindre.
Dans tes bras, les anges offriront un nouvel espoir.

If I asked you now
Will you be my prince
Will you lay down your armour
And be with me forever

Et qu'on le pardonne ! De n'être que trop ambitieux, à l'avoir désiré, année après année, jusqu'à le faire muse de ses dessins, de ces courbes de crayon. A l'avoir adulé, jusque dans ses songes, jusqu'à ne plus jamais le laisser s'échapper. Sae est un démon que l'on aurait préféré achever, pas moi. Il est celui que l'on attendait pas, et le voilà, de ses mots d'une douceur que le temps n'a pas su apprendre à connaître ni même à dompter, Hyo est le seul à en deviner les secrets derrière ces phrases sublimes ;
Les poignards ne sont plus que poussière dans les souvenirs, à ne vouloir plus que des baisers contre ses lèvres, son toucher contre sa peau ; et les dieux se font curieux dans cette nuit de l'amour ! Sentiment à en imploser dans les poitrines, si frêles, si douces.
Quand les mots murmurés quelques minutes avant ne sont plus que poussière, aux esprits qui se perdent sous les caresses aussi légères que les plumes des colombes qui s'envolent entre les nuages. Ses pulpeuses retrouvent les siennes avant de toujours s'échapper, vers de nouveaux horizons, pour en découvrir ses joues, sa mâchoire, il se fait captif ! Dans ses bras, quand il le laisse le dévorer, se délecte de ses murmures, de ses doigts qui s'agrippent à son haut quand les frissons font courber son échine avec douceur. Laine qui s'envole pour ne laisser qu'oeuvre d'art à découvert ! Rougeurs sur les pommettes, alors que les dents massacrent sans pitié sa lèvre inférieur, d'un feu ardent qui ne cesse de le consumer. Boutons qu'il vient aider à défaire, dans une hâte qu'il ne serait presque plus contenir, celle de l'avoir contre de lui,
De le serrer là, si près de lui. Quand peaux se rencontrent à en faire échapper quelques soupirs, de ces baisers qu'il lui offre de nouveau, comme incapable de le laisser voler loin de lui. Hm... O-Oui... D'une timidité imparfaite ! Il l'aime, l'adule, l'admire. Poitrine qui se redresse lentement pour en admirer le plus beau des tableaux ; doigts qui viennent frôler avec douceur la peau de son torse. Je veux m'y habituer... Aussi... A cette vision qu'il n'en rappelle que Paradis ! A se laisser sombrer dans l'océan, quand pulpeuses viennent dévorer la peau de son cou jusqu'à en laisser marques de son passage, langue qui lentement trace son chemin jusqu'à son torse, boutons de rose dévorés ! D'une délicatesse à ne jamais vouloir le briser, le heurter, le blesser. Souffle qui cogne contre la chair, les yeux qui se ferment à n'en imaginer que des horizons fleuris sur son épiderme, se laisser sombrer dans l'harmonie de cette instant, de la chaleur qui recouvre les corps, des sons qui s'échappent de ses lèvres, alors que main se veut aventureuse quand elle se glisse avec tendresse au delà des frontières, tissus qu'il vient dépasser pour en frôler la peau durci du bout de ses doigts, lèvres qui ne cessent de faire fleurir les plus belles roses sur sa peau, de sa main soumise aux caresses divines. Il le veut pour lui, seulement à lui, ce soir et tous les autres soirs.
Pantalon finalement déboutonné à son tour alors qu'il termine sa course avec douceur, quelques baisers déposés contre les fines cuisses, langue qui s'amuse de son impatience, les yeux qui remontent avec lenteur jusqu'à son visage. Je t'aime... Avant que la peau ne viennent trouver refuge entre les lèvres chaudes ;
Aux estomacs qui consument avec lenteur,
Les corps.

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You are the one

et il y avait les flammes, tout autour d'eux. à danser, valser ,, venir en offrir distances intolérables : pour ceux aux myocardes qui en avaient été consumés depuis si longtemps. douleur quand éloignés, à mourir petit à petit : à en gagner pourtant éclats ! là, haut dans les cieux, à se foudroyer de quelques couchers de soleil ; s'embrasser jusqu'à ce que les étoiles ne viennent leur murmurer ô combien ils en étaient beaux. quand tout en était finalement leur petit jeu secret ,, à s'embrasser comme mélodie à répéter pour ne pas en laisser les peines s'installer ; à en soigner tous les maux, ceux ouverts au creux des poitrines qu'il aurait pensé ne jamais pouvoir refermer.

car il s'était poignardé lui-même,
l'ange de la mort.

à l'avoir épargné ! celui aux regards bien trop tendres, d'une chance incomprise, à en avoir supplié les paumes contre son visage ,, comme par peur de toujours le voir disparaître. car il l'aimait ! ô sans jamais assez le lui dire, à vouloir lui en montrer toutes les affections possibles ((toues les nuances)) de rouges aux carmins. de ces esprits à s'embrumer, de lippes à s'accrocher : amour infaillible. de quelques regards contre les visages à s'éprendre de ses formes, à venir tout enlacer, tout embrasser ! comme pour en redécouvrir peu à peu les corps, venir le nouer entre ses bras sans ne jamais le laisser partir. il en était perle de nacre, d'une que l'on voulait cacher au monde, garder au creux de ses mains comme pour la réchauffer ((secret sublime)) ! car dans la nuit, il viendrait à l'admirer, celui aux éclats bienveillants ,, à se rassurer : se dire que tout irait bien, maintenant.
car ici :
en était
leur refuge !
de son parfum contre sa peau, il viendrait s'en bercer de chaleur. à en découvrir les peaux de tout tissus, glisser les doigts sur son œuvre d'art - celle à venir chérir - jusqu'au lever du jour. d'une timidité à faire teindre les sourires , il en épouserait son épiderme,, comme trésor délivré des cieux. "ah oui ? j'aime déjà." qu'il n'en cachait jamais les avis ! pour l'en dévorer tout entier. venir jouer de ses lèvres sur lui, sans ne jamais vouloir le blesser, à juste vouloir y tracer roses et pivoines contre son corps : pour y faire pousser quelques bourgeons ici et là. de ses souffles à s'apposer contre les douceurs, il en sentait les doigts glisser, contre les fermetés : ô douloureuse glissade contre les figures ! quand les visions en étaient divines. de quelques rougeurs aux joues, à l'observer presque curieux, il frissonna de ses baisers contre ses cuisses, d'un souffle presque coupé ,, à en subir jeu des plus délicats ; de ses doigts à venir glisser dans ses cheveux tout doucement comme pour en offrir un peu de tendresse. c'est que pour lui, tout était déjà bien trop suffisant. "t'es...pas obligé, tu sais...?"

et les mots :
en feraient exploser
les étoiles.

à simplement sourire ! quand les yeux à tout doucement se fermer il en laissait les corps le brûler. de ses lippes à raviver les chaleurs contre les peaux ! à s'aimer jusqu'à ce qu'il ne fonde contre lui. quand les doigts en caressaient les mèches si sacrées ,, à en laisser tout doucement sortir les voix presque gênées. c'est que tout tournait, autour d'eux, pour leur en faire oublier chaque aspect du monde ((sauf eux.)) phalanges à se glisser jusqu'à ses oreilles, à effleurer les épaules ,, il y avait les jambes à légèrement trembler d'impatiences, les soupirs à se glisser tout doucement contre les corps. à n'en vouloir que toujours plus. de ces contacts qui en liaient les amours comme promesses éternelles ,, celles de ne jamais se quitter. quand à tenter de lui en relever le visage, il y déposerait baisers contre son visage, à caresser ses joues, pour finir pour en ouvrir les bras comme pour l'inviter à revenir contre lui. à n'être que fragilités ! quand il y en avait les timidités si légères, à vouloir se cacher, caresser tout son corps ,, sans ne jamais le perdre des yeux. "viens là..." paume à se glisser dans son dos, effleurer les échines pour descendre toujours un peu plus sans ne jamais s'arrêter : car ce soir, il n'y en aurait qu'eux pour en poser les limites. à laisser filer les étoiles, ici et là, tracer un chemin jusqu'aux flans ! comme s'il en effleurait là statue de marbre. "je préfère t'avoir contre moi. juste pour ce soir."

comme si chaque éclat ,,
devait être chérit :
avec précaution.

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You are the one

Il y a les ténèbres qui dansent autour d'eux et qui s'enivrent de leur amour. Comme si le monde leur appartenait, eux aux coeurs encore jeunes, cristallisés dans la poitrine. Ils n'ont que quelques souffles avant la fin, avant que le grand chaos rattrape les réalités. Ils n'auront que quelques baisers pour se dire adieu quand la fin viendra, et il ne veut pas y penser, Hyo, quand il sent sa peau contre la sienne, son souffle qui percute le sien et qui le réchauffe, aussi brûlant qu'il soit déjà. Il l'aime, il l'aime plus que les anges et les dieux. Ce démon venu dans l'enfer, celui qui voulait brûler ses ailes pour mieux l'aimer ensuite. Mieux s'en approcher. Il ne le fuira pas.
Ses mains glissent contre sa peau, et ses lèvres épousent chacune de ses formes. Il se délecte, comme Satan, de ce qui s'échappe de la bouche de l'amant, aimerait garder ces souvenirs pour toujours dans une petite boite, petite boule de verre, il s'enfermerait avec lui, ils seraient éternels.
Glissade entre les cuisses pour en assouvir les désirs que l'on ose prononcer des lèvres, parfois. Tout est tabou, mais pas ici, pas en ce lieu. Il se fiche de ce qu'il lui dit, sait qu'il n'est pas obligé, et il ne s'oblige à rien, c'est simplement le fruit de son amour, de tout ce qui bat en lui, jusqu'à en faire exploser sa poitrine. L'entends tu ?
Mais Sae devient la pomme qui a défié Eve au commencement, quand il en caresse son visage, l'accueille de nouveau dans ses bras et que leurs lèvres se rejoignent, sans bataille, sans combat. Il n'y a que l'amour des coeurs, des corps. Montre moi alors... Je ne l'ai jamais de cette façon... Qu'il embrasse sa machoire, vient dévier ses lèvres dans son cou jusqu'à ses clavicules, alors que ses mains caressent, son torse, descendent lentement pour en frôler les désirs inavoués. Aide moi... Qu'il chuchote de nouveau alors qu'il mordille son épaule, son souffle qui s'écrase contre sa chair, son odeur qui le hante, devient sienne à mesure que le temps s'écoule. Je t'aime tellement... Des tendresses divines, secrètes entre les corps.

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You are the one

à espérer s'effondrer contre les peaux que tout en semblait si loin ! loin des touchers, loin des regards. et Saebyeok : il ne savait plus, ce qu'il avait de vrai ou de faux, quand tout en était si précieux pour lui. à en aimer plus qu'il ne l'aurait imaginé ,, à n'avoir jamais pensé que dans les torses battaient encore organes si défectueux. c'est que les promesses en étaient de vils souvenirs, quand de quelques touchers, les jours à venir en semblaient si éloignés. quand des peaux à s'effleurer, des baisers à venir repeindre les miasmes de douceur il n'y en aurait que sensations, derrière tous ces regards.
et regarde moi :
à t'aimer.
de gestes à venir l'enlacer, à venir déposer au creux de son cou baisers et amours : il y avait les cuisses, à s'effleurer, les mains à venir le garder contre lui quand les vices n'en étaient que trop proches. à venir laisser les corps tout doucement se coller. "tss. c'est pas compliqué...", qu'il laissa les mains guider les embrassades : à finir par soupirer de ces unions quand les rougeurs en montaient au visage. figure à déchanter, se cacher contre les corps : quand les lumières dansaient tout autour d'eux. silhouettes à se dessiner, sur les murs, quand leurs deux corps en devenaient dessin particulier. beauté ,, à en apprécier chaque figures s'articulant comme danses de minuit.

et alors les visages à s'enfouir contre les épaules, à ne plus en lâcher les tailles comme gamin à se perdre, quand les mots en semblaient presque dérisoires, à présent. "on fait...comme ça." d'un simple murmure ! quand des parfums il se délectait de tout un nouveau monde. et peut-être qu'après de lui : il n'y en aurait plus que fantaisies ! à présent. nouveau monde à se forger : là où les espoirs pouvaient devenir réels, là où les sentiments n'en étaient plus restreints e part ces arrogances. alors je t'aimerai : jusqu'à ce que tu m'oublies. quand à vouloir s'ancrer dans les peaux, les amours en étaient trop forts sans doute ,, pour en oublier quoi que ce soit. car lui, ne ferait que se remémorer touchers et voix entre les tympans ,, beauté d'un visage : réconfort d'une présence ,, comme joyaux sublimé.

♡ busan vibe & eilyam (icon) ♡