How'd it get so dark?
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Think I took it too far
When I sold you my heart

Les anges racontent encore quelques vieilles histoires dans le creux des oreilles des enfants. Ils pleurent encore, quand la nuit tombe et que les corps ne se trouvent pas. Ô symphonie des plus tristes, quand les coeurs ont appris à se dire au revoir. Sans un seul regard derrière eux, des regrets dans le fond des gorges, des hésitations, avant de franchir chaque porte. Et des mots que l'on aurait jamais deviné contre ces lèvres adorées, qu'il a épousé tant de fois, Hyo. Comme un volcan qui explose enfin, dans le calme et les tremblements, tempête silencieuse, d'un combat qui n'a jamais fait rage auparavant. A en remettre en doute chaque amour ; chaque sentiment.
Et il a prononcé ces paroles dangereuse, dévastatrice dans son coeur, à en avoir senti tout exploser, tout mourir au fil des secondes, comme les larmes qui ont tant dévalé, ce soir-là.
Et je voulais que tu me retiennes ;
Que tu me dises que tu m'aimais à en mourir,
Que tu me serres dans tes bras comme si c'était la dernière fois. Je voulais que tu prennes ma main, sèche les larmes de tes maux, après tes mots.
Je voulais que tu me dises 'je suis désolé' ou 'je ne le pensais pas'.
Je voulais que tu m'y fasse croire encore un peu.

Organe de cristal, a éclaté contre le sol, les morceaux ont volé dans les airs avant de se recouvrir de poussière, il a tout laissé là-bas, dans ses bras. Il a tout laissé, dans cet appartement qui était bulle d'amour, de sécurité. Quelques affaires oubliées dans la précipitation, dans la colère, la douleur, de ses mains tremblantes. Il ne voulait pas partir, mais son coeur lui hurlait des choses qu'il n'aurait jamais voulu croire,
Qu'il ne l'aimait plus.
Et c'était peut-être la réalité.
Quand aucun regard, aucune parole, ne se sont échangés depuis ce jour.
Les vies qui reprennent leur rythme, un peu différent, et c'est la solitude qui a nécrosé son coeur, loin de lui. Refuge trouvé, appartement qu'il ne désirait pas, seul entre ces murs fade, sans aucune couleur ;
Son monde est devenu gris sans lui.
Il n'en voit plus les couleurs.
Nuances effacées, l'univers est monotone, et son battant ne vibre plus. Souvenirs d'une vie qui lui manque cruellement, d'un amant abandonné, chat qu'il n'a pas su lui arracher.
Et sais-tu à quel point j'étais seul ?
Seul à en mourir.

On y a laissé la candeur, au fil des mois, les douleurs sont devenues mortelles, elles n'ont jamais su se refermer, comme les photos qu'il n'a jamais su effacer dans son téléphone, un peu partout, à toujours les faire défiler quand les insomnies sont ses ennemies, et les larmes sont encore salées, chaque soir, quand il n'y a que sa propre respiration comme mélodie.
J'aurais tout fait, pour te retrouver, au moins une fois.
A en fuir toutes les pensées, se noyer dans le travail jusqu'à laisser quelques marques de fatigue trouver place sous ses yeux, des cernes qu'on ne sait plus lui retirer. Il a l'excuse facile, ne sort pas réellement en dehors de ses heures de travail, évite tout le monde ;
Quand il revoit son visage à travers eux.
Pourtant incapable de refuser un énième caprice, il aura cédé aux nombreuses demandes de son ami, faisant l'honneur de sa présence à l'une de ces soirées où il n'avait plus l'habitude de se rendre, des visages qu'il redécouvre après 2 ans, trop de fois croisés sans même leur donner réelle importance ; il se sent inconnu aux milieu d'eux.
Il se sent vaciller, quand ses yeux croisent les siens.
Son coeur s'arrête.
Son souffle se stoppe dans ses poumons.
Les doigts se resserrent autour de son verre.
Mais il n'a pas assez de courage pour l'affronter, pas assez d'alcool dans le sang pour oser lui adresser les paroles. Sae est loin de lui, à la fois si proche. Et il s'imagine trop de choses, comment il a pu refaire sa vie, avec qui, l'a-t-il oublié ? Trop de questions qui se bousculent jusqu'à l'empoisonner.
Soirée qui défile, restant dans son coin, parfois accompagné, parfois seul, comme toujours depuis cette époque. Le corps a fini par s'écraser dans le fond du canapé, encore un verre en main, il laisse l'alcool caresser ses lèvres, beaucoup plus habitué qu'autrefois. Présence qui vient pourtant rompre la solitude, quand sa tête vient se tourner vers lui. Hey.
Il y a tant à dire.
Pas assez de mots dans sa bouche ;
Pas assez d'alcool dans le sang.
I’m... glad to see you. it’s been a long time. How are you? Main libre vient serrer la manche de sa chemise, car il ne sait pas s'il sera capable de mentir, quand ses yeux en disent déjà trop à son sujet.
Il ne va pas bien ;
N'ira peut-être jamais bien.

♡ busan vibe & vocivus ♡

How'd it get so dark?
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et son monde ,
s'était effondré .

tout était noir, tout était gris. les parfums n'existaient plus, quand il errait entre les pièces. et dans la pénombre il le voyait encore là, à se tenir devant lui, rire de ses innocences avant que les cataclysmes ne l'emportent lui aussi. car Hyo avait pris avec lui son cœur ,, son âme : tout ce qu'il possédait, quand les seules affections restantes en étaient les félins sublimés. à errer entre les meubles comme pour le rattraper , sans ne jamais le voir revenir. et Sae en était catastrophe ,, quand de poisons il en avait délaissé les fragrances de ces doutes si faux. de colères ; à en avoir dit désillusions : quand même lui ne comprenait pas pourquoi les douceurs l'avaient élu lui. c'est que peut-être aurait-il dû lui courir après, quand de nuit il s'en était approché de son travail ,, comme pour en demander les pardons. mais les papillons avaient fui ! et lui n'en avait que les solitudes. à ne plus sourire, quand les lumières n'en reflétaient que les visages sombres ; à ne plus rire : quand il en avait emporté avec lui toutes ses joies. d'un monde éparse, entre des murs bien trop seul ; les familles s'étaient disloqué : et il avait tout perdu.
quand de pleurs ,,
murmuraient les nymphes :
à le faire se haïr.
encore et encore ! car il ne saurait jamais se pardonner, Saebyeok, car encore maintenant le passé le rongeait. et les muses riaient bien, de le voir se déchirer ! pleurer entre les draps sans pouvoir en retirer les bagues contre son cou ((à l'aimer bien trop)) quand les mots ne s'étaient plus jamais faits entendre. il avait fui : peureux, courage abandonné derrière lui, à regretter le monde où ils pouvaient encore s'en tenir les mains. à avoir tout brûlé, avec ses douleurs. car dans ces murs, il n'entendrait plus jamais sa voix , car loin de lui : il n'était plus vraiment lui-même. refuser les affections quand loin de lui il mourrait dans le noir. il avait perdu sa muse à lui : quand tout n'en était que mérité.

bouger ,,
comme pour survivre :
à ne plus respirer.

de ces invitations reçues comme pour en créer risibles avancées, il en avait fui les foules, à se terrer contre les arcs pour en partager les nuits : venir vivre pour travailler quand plus personne ne l'attendait réellement chez lui ((chez eux.)) vide de toute chaleur ; à être venu à reculons ,, étoiles qui ne brillaient plus dans ces regards morts, quand il n'avait plus aucun espoir de vivre dans les douceurs. écarlates contre les doigts abîmés par les cordes, à se retrouver parmi les foules et joies ; il était sans vie, Saebyeok : loin de tout ,, loin de lui. quand de ces soirées il n'y voyait que catastrophe, à ne faire que rester assis quand d'un corps apparu les visages d'une beauté reconnue. et Hyo si tu savais, que tout s'arrêtait à ta vue. fixer les visages avec douceurs comme pour réaliser, en croiser son regard autour des tables, avant d'en baisser les yeux comme honte née de lui-même. car il avait voulu le rattraper sans ne jamais y parvenir , de ces mains qui ne faisaient que tout briser, à ne savoir que tirer flèches ! pour en tuer les amours.
se tuer lui ,,
petit à petit,
sans lui.
"hi...", tout doucement prononcé, à revenir pourtant l'observer comme attiré éternellement. quand de verres, il en surveillait chacun des gestes : à ne pas se douter, que Hyo avait un peu changé loin de lui. "not really but that's okay. and you ?", quand tout faisait mal, là, au creux des pulsants, à venir se glisser tout doucement en face de lui : comme si plus personne ne pourrait venir les déranger. "guess they...invite everyone right ? are you having fun ?", détester ces bruits, détester ces mondes qui n'étaient plus les siens, car il n'y avait que de sa main dans la sienne, qu'il pouvait rire comme enfant aux émois partagés.


Hyo, petite étoile qu'il avait voulu voir briller de ses lueurs, à l'avoir toujours trouvé si merveilleux ((si beau)) quand il en avait offert douceur aux monstres des nuits. à l'enlacer, rêver de ses baisers : tout avait disparu ,, pour en réduire en cendre les myocardes insolents. "How...is it doing ? your work...", quand il ne savait quoi dire, de ces têtes qui en semblaient pouvoir exploser à tout instant, à vouloir se plonger dans les remords ,, pleurer : d'en avoir perdu son seul repère. "I see you...became quite good at drinking...", regard désolé emplis de tendresses ; et peut-être aurait-il aimé apprendre avec lui à revivre.
quand tout criait :
qu'il l'aimerait encore ,,
dans chacune de ses vies.

♡ busan vibe & vocivus ♡

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Think I took it too far
When I sold you my heart

Innocence sublime, enfance candide.
Et Hyo n'existait qu'à travers ces rires ! Quelques sourires sur le coin de leurs lèvres. Il s'imaginait déjà roi à ses côtés, des mondes merveilleux, aux rivières colorées de pâles nuances, nuages sucrés où l'on rêverait de dormir ; s'assoupir quelques instants. Il y rêvait, en a dessiné chaque courbe de ses doigts fins, sur le grain, carnets à l'abandon ici et là, eux qui n'attendaient que les crayons se posent contre les pages ;
Et tout est bien vide maintenant.
Bien triste.
Il a tout perdu, le jour où il est perdu.
Souffle de vie, expiré pour la toute dernière fois. Il n'y a plus aucune passion, enfant que l'on a soudainement forcé à grandir, à briser des barrières qui ne faisaient que le protéger. Hyo ne sait plus dessiner, plus comme avant, il n'est plus maître de ses doigts, quand de son coeur brisé, plus rien ne peut l'inspirer. Seul esclave de son travail, et quand tout s'arrête,
Qu'il retrouve la solitude de cet appartement, que le corps s'effondre sans force dans les draps froids, où aucune chaleur ne l'attend, les crayons pleurent de solitude, eux aussi. Les pages sont devenues blanches, la poussière qui recouvre maintenant les couvertures de ces carnets d'antan. Il en a presque oublié leur existence, de peur de se confronter à sa silhouette en les ouvrant de nouveau.
Muse d'autrefois,
Devenu regret et amertume dans le fond de sa gorge.
Poignard dans le coeur ! Colère qu'il n'a jamais su ressentir. Rancune rapidement effacée, celle de ne l'avoir jamais retenu, de n'être jamais revenu le chercher, quand il en avait besoin, quand il hurlait son manque contre les oreillers. Je voulais tellement que tu sois là.
Je ne voulais pas grandir, pas de cette façon.
Vase d'une valeur inestimable qui vient rencontrer le froid du sol, se brise soudainement en millions de morceaux, irréparable quand tout ne devient que poussière, fumée dans les cieux ! Il ne reste plus que des cendres de leur amour, quand chaque regard est douloureux ; si proche de lui, à la fois si loin. Hyo n'est plus le même, et peut-être qu'il le détestera, cette fois.
Peut-être qu'il le déteste déjà.
Sae aimait l'enfant, l'innocence, celui qui riait sans retenu.
Mais ce Hyo n'existe plus ; endormi au fond de son coeur, au fond de lui, il l'a laissé se taire, mourir à petit feu, pour ne plus jamais s'ouvrir. Parce que rien ne vaut le coup, si ce n'est pas avec toi.
Les doigts jouent avec le verre entre ses mains, et ses yeux rencontrent avec difficulté les siens quand sa voix sonne, donne les réponses qu'il n'attendaient pas vraiment. Il voudrait tant lui demander.
Es-tu heureux ?
As-tu quelqu'un dans ta vie ?
M'as-tu oublié ?
Mais il n'en fait rien, les mots restent bloqués au fond de sa gorge, sans jamais s'échapper de ses lèvres. I’m sorry if my presence makes you uncomfortable. I knew it was a bad idea to come. Voile de tristesse vient recouvrir ses yeux, tête qui se baisse légèrement, avant d'avaler une nouvelle gorgée de l'alcool. They invite everybody all the time, you know. It’s just... this is the first time I’ve accepted. I shouldn’t have. I’m not really in my place. Un soupir s'échappe de lui alors qu'il relève un peu la tête, vient observer chaque âme autour d'eux, comme douleur dans le coeur, ceux qu'il a évité trop longtemps, de peur de le revoir lui. De n'être que spectateur de son nouveau bonheur ! Comme seul remède à son mal, d'éviter tout vie autour de lui, comme pour guérir d'un mal qui ne partira peut-être jamais, pas tant qu'il n'est pas à ses côtés, pour l'éternité. Maybe because I’ve always refused to see them, even outside of these parties. Parce que sa place n'était qu'avec lui, et quand maintenant ;
Il n'est plus qu'étoile vagabonde dans les cieux, vole, vole sans aucun but, bouscule quelques comètes, plaies sur le myocarde, cruor à en tâcher l'âme !
Il hausse les épaules, rien n'est mieux. Rien n'est pire, vie de solitude, quotidien plat et silencieux, gris, parce qu'il n'aime même plus ce qu'il fait, à en avoir tout perdu. Boring. And yours ? Il ne dira rien, sur ces compétitions où il s'est rendu, pour l'observer, dans l'espoir de le voir croiser son regard, de le voir fondre dans ses bras, mais il a toujours été trop lâche, à fuir dès que tout devenait trop difficile sur ses épaules. Il ne dira jamais, qu'il l'a observé tant de fois, sans avoir de courage. Hm. Maybe it’s sad to be... That good. I guess. Il hausse de nouveau les épaules, vient se resservir avant que la bouteille ne se stoppe après s'être servit. Wanna drink too? La question reste sans réponse, alors que ses yeux retrouvent les siens ;
Mais il n'y a plus rien d'avant.

♡ busan vibe & vocivus ♡

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et où étais-tu ?
quand il en avait eu besoin de toi.

car Saebyeok, tu n'étais jamais là où il fallait. à fuir les mondes, ne pas réussir à voir ce que les mains parvenaient à attraper. et aucun mot, n'arriveraient à en exprimer les vides qui contre les myocardes en semblaient éternels. toutes ses vies s'en étaient envolées avec lui, emportées ! pour en être jetées à l'eau. car tout comme lui, elles ne savaient pas nager, elles n'avaient jamais su se sauver, quand en quelques secondes s'étaient brisées chacune d'entre elles sur le sol. il les avait vu se dissiper, comme sa silhouette derrière la porte ,, n'avait même pas tenté d'en ramasser les morceaux pour venir les piétiner de colère. ((celle de l'avoir laissé partir)). plus grosse erreur, quand les souffles ne se faisaient que près de lui. il lui avait tout donné, Hyo, quitte à se perdre quand les présences n'en étaient plus là.
et il n'avait jamais aimé :
autant qu'il l'avait aimé.
à en garder là les secrets.
qu'il aimerait les murmurer de nouveau contre ses oreilles ! ces mots imprononçables. et pourquoi tout était si dur ? à avouer, à désigner, quand les yeux n'arrivaient à peine à le regarder de ces hontes qui en avaient emportées les fiertés. et Hyo, j'ai si honte de t'avoir laissé partir. parce que tu en avais été - tu étais toujours - celui qui en berçait les pensées. c'est qu'il viendrait se détester encore et encore ! à ne savoir que blesser quand pourtant les doigts voulaient aimer. mais Saebyeok n'avait jamais su comment faire, n'avait jamais réellement essayé de se laisser prendre au piège. car il avait peur d'en perdre tout ce qu'il avait. trop tard. jamais là quand il le fallait, à rejeter tous les amours même les plus sincères ,, quand pourtant il n'en avait jamais été plus heureux qu'à ses côtés. regarde comme je suis pitoyable.

à être si malheureux ,,
loin des artistes
qui en était sa muse.

quand de ces visages, il voulait se fondre contre lui : le supplier de le pardonner ! pour en retenir ces larmes ; faire comme si tout allait bien ((quand tout était douloureux.)) à paniquer ! sous les mots. secouer la tête ! la relever quand les yeux s'en posaient finalement sur le visage sans ne plus s'en décoller. "chat are you saying ? I'm not inconfortable. I'm even...glad to see you. to be honest.", quand il ne l'était jamais assez ; et peut-être était-il le seul, heureux de le retrouver. "I...don't know. I don't come often too...but no stay. I'll go away if...if that's what you want." et les yeux étaient fatigués ,, Saebyeok ne devait ressembler à rien, quand face à lui il n'en était que brisé. à vouloir l'aimer, dans ces silences si perfides qui en alourdissaient les épaules. et jamais plus il ne pourrait en sourire de nouveau s'il n'était plus là. "you could...they would have been happy to see you, you know." étoiles à ne plus briller, dans leurs regards. mais les artifices en explosaient , les astres mourraient, dans son estomac, à l'aimer quitte à disparaître pour en rendre heureux les cœurs. Hyo, de chacun de tes regards, il pourrait venir à s'effondrer : de ne plus pouvoir en tenir tes mains. "same.", car sans lui rien n'avait plus de goût. et peut-être aurait-il dû essayer d'en traverser les ports pour venir en enlacer les corps, et peut-être aurait-il dû se montrer plus courageux, Saebyeok ,, quand il en était tant épris.

et les verres n'en soigneraient : aucune de leurs blessures.

"hmm...just one then. but don't drink too much...it's not that...good.", à en tendre tout doucement son verre, faire comme si de rien était à en finir les liqueurs en une gorgée. et il aurait aimé le voir grandir à ses côtés, à en avoir perdu tous ses bonheurs. "sorry. maybe I should go out for a bit. wanna go wih me ?", à lui demander là comme infinis ,, frotter son visage pour en reprendre se esprits, quand plus rien ne comptait vraiment. "whatever I don't wanna force you to...it's just too heavy here. and that's not really fun, you said it too." main à s'élever pour en frotter le cou, il ne savait pas réellement où se placer, où regarder, quand ici tout en semblait complètement hors du temps. briser les oreillers, quand il ne voulait entendre que sa voix. lui et lui seul. à admirer son visage dans le silence, à ne plus avoir besoin de ces photos : pour se souvenir de lui. car dans la pénombre, il n'avait qu'à imaginer son visage, pour pouvoir s'endormir dans le froid des draps.
et ce soir ,, peut-être viendrait-il à le détester,
tant il voulait
en rattraper le temps.

♡ busan vibe & vocivus ♡

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Kiss me hard before you go,
'Cause you and I, we were born to die

Il s'est regardé dans le miroir ;
Pendant de longues minutes.
Il a fait face à son propre reflet ; comme vision maudite.
Qui est-il ?
Il ne sait plus se reconnaître ; depuis longtemps. Les cernes viennent endeuiller son visage, et les joues ne sont plus aussi enfantines, la fatigue a pris le dessus, rythme d'une vie qu'il n'aurait jamais voulu connaître. Pourtant la voilà, cette triste et douloureuse réalité. Elle le ronge, petit à petit, comme un parasite qui ne le quitte plus. Il ne sera plus comme avant, et il a peur ;
Terriblement peur.
De ne jamais pouvoir être heureux,
Jamais pouvoir renaître, quand il ne désirait qu'être à ses côtés.
L'anneau roule entre ses phalanges, comme les larmes qui s'écoulent le long de ses joues. Serait-ce ridicule de la porter ce soir ?
Les doutent dévorent son estomac, l'anxiété avec. Ca brûle, lui donne envie de vomir à chaque seconde. Il a peur, qu'on le trouve ridicule. Ridicule de s'attacher aux fantômes ; à lui qui n'est plus qu'un mirage dans sa vie, un souvenir qu'il refuse d'oublier.
Parce qu'il a laissé la plus belle partie de lui dans ses bras.
N'a jamais eu le courage de tout lui arracher.
Pardonne moi ;
Je n'étais pas assez égoïste pour être heureux ;
Pas après toi.
Poing serré contre sa poitrine, quelques sanglots étouffés dans solitude de l'appartement, alors que le bijou se glisse à son doigt. Il ne trouvera pas le courage d'y aller, s'il n'est pas un peu avec lui ; ne trouvera pas la force de lui parler, s'il n'est pas un encore un peu contre sa peau.
Pardonne moi ;
je t'aime toujours.


Les doigts se resserrent entre eux ; bague qu'il caresse du bout de ses doigts alors qu'il laisse sa voix l'emporter ; vers des souvenirs où elle ne semblait pas aussi douloureuse qu'aujourd'hui. Il n'a pas toujours la force de l'affronter, sait qu'il finira par craquer s'il lui fait trop face ;
Il ne voudrait pas être une faiblesse de lui ;
Ou même misérable. That's not what i want... Il le souffle, tourne la tête vers les autres corps, trop occupés à rire et s'amuser. Non, ce que je veux c'est toi. Je t'en supplie. Reste avec moi, même si tu ne m'aimes plus ; dis moi que j'en valais la peine. I don't know. Il ne veut pas savoir ;
S'il rend les gens heureux.
Il ne veut pas entendre leurs compliments ;
Quand tout n'était qu'effort de trop à ses yeux. Ils savent à quel point c'est douloureux dans sa poitrine, à quel point il voulait disparaître, jour après jour. A s'affamer seul dans le fond de l'appartement, trop minuscule, à étouffer des présences fantômes. Et il a encore un peu faim, de lui, de leur amour, quand tout lui manque. Crève au fond de ses entrailles. Il hausse les épaules quand le liquide se verse dans le verre, reposant la bouteille avant d'attraper son propre verre, le portant à ses lèvres pour en avaler d'un coup, tout son contenu. Maybe. Il ne ressemble plus à l'enfant qu'il était. Plus à ce lycéen amoureux d'un garçon trop violent. Plus d'un jeune homme aux passions qui brûlaient ses doigts.
Il est mort.
Il ne brille plus.
Hm. Ok. Sans un mot de lui, il se relève sans violence, replaçant la chaise derrière lui. Le corps fait rapidement le tour de la table alors qu'il l'attrape délicatement par le poignet ; comme dans la hâte d'une fuite soudaine ! Moi aussi, je ne peux plus respirer. Désolé. Les pas se font presque rapidement pour sortir sur le balcon où les poumons viennent rapidement se remplir de l'air frais de la nuit, alors que ses doigts lâchent son corps, contact chaleur éphémère. Alors que je pourrais tout implorer pour de nouveau sentir la chaleur de tes bras autour de moi. Il ne le regarde pas, il a les yeux rivés vers les immeubles qui brillent comme des étoiles. Tout est plus beau la nuit, quand le soleil n'est plus là pour tout gâcher. Peut-être parce que ça lui ressemble bien plus maintenant. It feels good. Mais il sent son coeur se serrer, son estomac se retourner de nouveau. Il sent les larmes au bord de ses yeux. Parce qu'à cet instant, il n'y a plus qu'eux. Comme poignard que l'on enfonce profondément dans son coeur, ses jambes tremblent jusqu'à céder tout doucement, les doigts glissant contre les barreaux de la rambarde jusqu'à s'accroupir. Im so... So sorry. I can't. I can’t pretend... It hurts so much. Les larmes se font rivières violentes contre ses joues rosées par le froid ;
Les sanglots bruyants entre ses lèvres, les épaules qui tremblent elles aussi.
It’s too hard to see you. it’s hard to live without you. Im so so so sorry. You probably have a new life, a new boyfriend, and you’re probably happy, so I don’t want to ruin it. But I don’t want to see you happy either. it would hurt too much. Les doigts tremblent avec violence alors qu'il s'échouent dans la chevelure sombre, s'y accroche comme pour tenter de le ramener à la réalité ; ou une autre. Là où ils ne seraient jamais quittés.
Sorry, Im sorry Saebyeok.

♡ busan vibe & vocivus ♡

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et dans les cœurs,,
chantent les apocalypses.
à s'écrouler ! se détruire, comme son corps à lui. quand de quelques mots il s'était évanoui, lui, sous les draps : comme pour disparaître. venir se fondre avec le néant ,, quand seul il n'était rien, Sae. et c'était le cas ! à n'avoir jamais su rien faire, de ces doigts aux douleurs éprouvantes, quand les cordes venaient en taillader les doigts ,, heures après heures, de ces nuits devenues refuges pour en oublier son visage. ((faire comme s'il en avait toujours été seul)). mais tout était faux ! dans sa tête ,, de ses traits à toujours lui revenir, de sa voix à toujours se faufiler comme mélodie dans laquelle il venait s'éprendre ; se noyer ! courir après lui, d'une main avancée comme pour le retenir, à l'enlacer, pour finir par le sentir s'évaporer.
car Hyo ,,
tu en étais devenu :
mirage du bonheur.
il viendrait le crier sur les toits, s'il le fallait ,, s'excuser et venir se plier à ses pieds pour l'adouber, Hyo. ô il l'aimait, il l'aimait à vouloir le répéter, à vouloir le graver dans sa tête : à s'en marquer la peau. quand tout n'était que cauchemar ,, à se faufiler contre pansements qui en dissimulaient les doigts ; à avoir encore plus mal là où les blessures ne se voyaient plus. d'un battant qu'il ne daignait plus regarder, quand pourtant les souffles hachurés ne faisaient qu'en murmurer son nom. Hyo. Hyo. Hyo...

je t'aime.

de sanglots uniques ! à en être retenus ,, quand les visages retrouvés il en trouvait toujours beautés malgré les fatigues. à vouloir disparaître là où personne ne viendrait , car sans lui qu'adviendrait-il des quelques sourires qu'il avait pu lui donner ? "I'm...I feel reassured then...", qu'il viendrait en suivre chacune de ses demandes. car s'il venait à lui demander de partir : Saebyeok ne se montrerait plus jamais devant lui. tout lui offrir ,, si c'était pour en faire renaître les sourires ; et il s'en arracherait le cœur, de le faire pleurer. plus rien ne brillait ,, plus d'étincelles, ils étaient morts, abandonnés dans ce salon où les mots étaient partis bien trop vite. où tout s'était transformé en conte antique. c'est qu'il y en avait alors morale des plus cinglantes ! des plus sincères : à dire ce que le cœur ressentait réellement. ne plus penser aux fiertés, ne plus avoir peur de ses doutes , quand il n'y avait qu'à demander pour en confier les peurs.
mais Sae ne serait jamais assez bien ,,
pour celui auquel
il voulait offrir la lune.
de quelques corps à se mouvoir, eux disparaîtraient dans les fraîcheurs. car ici, il n'y en avait que les horreurs d'un monde, à juste vouloir être avec lui, juste encore un peu. vue sans goût où pourtant les vents en faisaient disparaître les brûlures, ô il ne voulait pas le regarder ,, à ne savoir que trop bien que seul avec lui, il viendrait plonger dans une mort bien trop lente. "hmm. it does." quand pourtant la voix serrées, tout sonnait faux. de ces lueurs artificielles : eux en étaient pourtant bien réels ! quand d'un corps replié sur lui même il fit par en accorder toute son attention, mots à en poignarder la poitrine, déchirer le visage qui voulait pourtant s'en montrer si fort. "Hyo...?" de ses bras à s'effondrer ,, quand larmes à glisser sur ses propres joues. "you....", trembler ; à se baisser face à lui, venir tout doucement tenter d'en relever son visage quand les tentations grandissantes : à embrasser son visage.

car moi aussi,
je meurs
sans toi.

"I'm the worst. I'm...so sorry. so sorry to hurt you everytime, so sorry to not talk to you like I should do, so sorry...to be so much of an asshole." et ses doigts en étaient d'une délicatesse nouvelle encore, à effleurer son visage, quand les lèvres s'en déposaient sur ses joues comme en manque. (( car à présent il pouvait respirer )) "I just can't too. that's too hard. I'm not happy at all seeing you from far away, not approching you because I'm so damn scared to hurt you. I came at your work. every night. but just seeing you paralysed me. you'll always be the only one ? who the heck would want to love me if it's not you. and if it's not you Hyo, it won't be anyone.", de quelques sanglots, car il ne ferait que lui répéter, que sans lui il n'était plus lui. "gosh...Hyo...I can't even think of living without you. I'm just so dumb, I wanted to come see you everyday. I don't even sleep anymore, 'cause I'm always thinking of you. I'm so lame, since the beginning, 'cause I'm just scared of disappointing you, not making you happy enough.", à venir l'enlacer, le serrer contre lui, quand le visage en tomba finalement contre les genoux du plus vieux. à exploser ! quand il ne se pardonnerait jamais. "I just thought...you hated me....I should have come sooner...I...can't. I'm nothing without you. I just...love you so much...please pardon me... hate me all you want...just...come back...I won't survive without you...", murmures échappés, presque inaudibles...
à venir lui supplier :
de revenir.

♡ busan vibe & vocivus ♡

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I want to go home,
I want to go home so bad.
'Cause you were my only home.

Combien de fois a-t-il compté les secondes, les minutes jusqu'aux heures fatales, combien de fois a-t-il fixé l'écran noir de son téléphone dans l'espoir qu'une notification vienne en briser sa paix. Je voulais que tu m'appelles, que tu me pardonnes jusqu'à en rassurer mes craintes. Je voulais juste un bonjour, même pas un 'je t'aime', je voulais juste t'entendre, me dire que tu étais toujours un peu là. Un message aurait suffit, un message, même le plus difficile. J'aurais tout pris de toi, pour tout garder comme secret dans mon coeur.

Je t'en supplie ;
Reviens.

Et combien de fois les genoux ont heurté le sol, combien de fois la poitrine s'est compressée jusqu'à ne plus savoir comment étouffer les sanglots, comment cacher les hurlements de son coeur. Combien de fois s'est-il endormi contre le parquet, misérablement, attendant que cette porte s'ouvre, que son téléphone s'allume, qu'il apparaisse comme par magie pour le couvrir de ses bras et de son amour. Il y croyait, chaque jour comme chaque nuit, à se tuer l'esprit de ces rêves qui ne se réalisait jamais. Parce qu'il n'était plus que fantôme dans son battant, mirage dans son esprit.
Il n'avait pas la force, Hyo, s'y retourner, quand il pensait qu'il n'y avait plus d'amour dans la poitrine de celui qui a aimé jusqu'à s'en brûler les ailes. Et il voudrait lui demander pardon jusqu'à ce que ses oreilles saignes de ces mélodies. Il voudrait que tout fleurisse comme autrefois.

Mais le temps était assassin.
Il a tout emporté.
Et j'ai tout laissé près de toi.

Dans le froid d'une nuit de printemps, il n'y a plus que Busan et son bruit éternel qui résonne. Il n'y a plus que ses propres pensées qui résonnent dans ses tympans comme une vieille symphonie un peu brisé. Et il est là, ne part pas. Il ne sait pas faire semblant, Hyo, pourtant il voudrait. Il voudrait lui montrer qu'il va bien, mais il n'a jamais réellement su mentir. Il voudrait lui faire croire qu'il est heureux, mais il n'a jamais réellement su comment prétendre. Sae... Et il n'y a plus que misère à cet instant, il n'y a plus que la honte qui s'empare de lui, de ses doigts serrés entre eux, alors qu'il sent sa main contre son visage ; et c'est tout un brasier que l'on vient rallumer, que l'on vient faire renaître. Les larmes ne cessent pas, ne sèchent pas quand les rivières se transforment en océan d'amour; et à la fois, de désespoir. Il s'accroche à lui comme un fou s'accroche à ses rêves d'ambitions, comme on s'accroche au soleil quand l'hiver se montre, que les chaleurs s'en viennent pour en glacer les corps. You're not an asshole... Not at all... Et sanglots toujours plus violents, à s'accroche à ses mots, en désirer bien plus, quand les coeurs viennent à fleurir de nouveaux de ces non-dits, de ces paroles que l'on a jamais pu avouer. Et ses mains s'accrochent à ses bras, il a besoin de s'accroche à quelque chose de réel, à lui, quand il a toujours été étoile merveilleuse à ses yeux. I’m not happy either. I wanted to go home and hug you... I also came to see you but I couldn’t go any further because I thought you hated me. I thought I had broken everything... Im so sorry... Et phalanges tentent d'en récolter les perles qui viennent tout souiller, mais tout tremble, et les visages se tordent des douleurs qu'on ne peut plus supporter, des carcasses qui se brisent quand elle voudraient en recoller les morceaux. Bras qui se referment autour de lui avant que l'amoureux ne soient plus qu'effondrement contre ses cuisses, alors que de tout son amour et son corps, il vienne délicatement le recouvrir, le visage plongeant contre sa nuque, dans son dos, où les doigts s'accrochent de peur de le laisser partir. I never hated you... I loved you, and I still love you. I love you... I love you so much. My heart is yours, I promised you, and it will always be yours. I want to go home... I want to find you... Please... I never want to fall asleep without you, I never want to wake up and be scared without you... Life doesn’t make sense if you’re not there... I never want to... go through this again... Et ils pourraient ne faire qu'un à cet instant, alors qu'il se redresse avec légèreté, le poids du monde sur ses épaules, ça fait mal, ça brûle, mais il veut plonger en lui, et ne plus jamais en voir la lumière du jour. A en relever ses épaules avec délicatesses, venir en embrasser ses larmes alors que ses mains viennent entourer son visage avec douceur. Sae... I missed you... So much... And... I still love you... I still want you... And I still want to marry you... Et c'est le désespoir ! Il ne sait plus respirer, Hyo, depuis si longtemps, quand ses lèvres se déposent contre les lèvres, comme pour en sceller de nouveau les âmes, quand ses bras viennent enlacer ce corps tant manqué contre le sien, quand il pourrait se noyer en lui jusqu'à en mourir. Lèvres adorées, à venir revivre contre les siennes, quand tout devient un peu plus doux ;
Quelques couleurs brillent ce soir.
Mais jamais plus qu'eux.

♡ busan vibe & vocivus ♡

How'd it get so dark?
I saw stars

et les nuits ,,
étaient si longues :
loin de ses bras.

mort dans le cœur ! fougue disparue. car tout était si lointain, tout avait divagué : pour faire chavirer les joies. et combien de fois s'était-il imaginé revenir sur ses pas, effacer tous les mots pour ne faire qu'en enlacer les figures. à avoir hurlé comme si on lui en avait arraché tout son monde ,, tout son être. et je t'aime, Hyo. quand même dans ses rêves, il en courait après les silhouettes, à se perdre ,, dans ses propres peurs ; quand il avait l'impression d'en avoir perdu, son seul univers. à mourir ! comme si toutes ses idioties n'étaient que mensonges : à vouloir le lui dire encore et encore , ô combien il voudrait tout lui offrir. lui revenir ! écrire sur ces paumes, les mots et non-dits, quand tout criait chez lui :


et il faisait noir, maintenant. beaucoup trop noir. d'un corps décharné, sans ses touchers, il y avait le froid des nuits, contre celui des solitudes : à ne plus rien aimer, à se détester ((comme il ne l'avait jamais fait)). et il viendrait remonter les écrous, couronne à tourner sur les cadrans pour en faire bouger les aiguilles ! et il viendrait se repasser chacun des instants où il avait pu être avec lui. d'un temps à filer ,, des émotions à se réanimer : et il y avait tout qui se fissurait, quand les comédies en étaient terminées. château de carte à s'effondrer sur les sols, quand sa carte à lui se ferait déchirer de ses propres doigts. c'est qu'il viendrait s'échouer contre lui ,, d'un visage qu'il voulait épouser de toutes ses chaleurs : comme pour lui faire comprendre, qu'il était tout son monde, Hyo.
et alors ,,
il en embrasserait :
chacune des étoiles !
qui roulaient sur son visage ,, comme filant vers de nouveaux cieux. à venir imploser, lui : devant ses beautés ô toujours redécouvertes. "I am...Hyo. I really am.", s'effondre les regards ,, à venir ne plus en cacher les larmes, car près de lui il en retrouvait tout ses sens. de perdu, il s'en sentait de nouveau complet, quand de doigts à ne faire que s'accrocher aux amours perdus, il y avait les mots qui résonnaient comme les soulagements d'une épopée. car un jour il parviendrait à lui dire tout ce qu'il avait sur le cœur, Saebyeok : car Hyo tu en avais sauvé les naufrages. constellation à la dérive ,, il en avait pleuré nuit et jour , à suffoquer, quand il n'avait jamais réussi à le retrouver. "I could...never hate you, Hyo. never.", car il n'y en aurait toujours qu'affection à bouffer les corps, ronger les âmes ,, de ces doigts reliés, comme noués d'un fil rouge.

à renaître ,,
pour le retrouver.

corps à se recueillir contre lui, en sentir les bras tout autour, un souffle sur sa nuque, il s'agripperait à lui, ne le laisserait plus jamais partir ,, à presque vouloir l'en supplier contre les sols. "and if you could know how much I care for you...can't we just...be like before ? I just love you so much I don't wanna let you go. just...come back home...please.", quand tremblaient les voix, à avoir si honte : de ne jamais lui en avoir confier tous ses amours ,, de n'avoir jamais su comment l'aimer correctement. "it's so painful being away from you.", de quelques mots murmurés, à s'en laisser faire de chacun de ses gestes quand les regards s'en faisaient embrumés, ((amoureux)) , ô comme si les poumons parvenaient à mieux respirer à présent. de ses mains à s'accrocher tout doucement à lui, à vouloir de lui plus que tout au monde. d'un baiser ,, il viendrait se perdre contre lui, fermer un peu les yeux quand les sanglots s'en attaquaient aux épaules ; il viendrait l'attaquer de pleins de baisers contre son visage, de toutes ces journées à rattraper !

il lui en offrirait : l'infini.

mains qu'il venait à passer contre son visage ,, à lui voler baisers comme si s'éloigner de lui en était mortel ; il finit par tenter de se relever, à venir lui en tendre main pour finalement l'enlacer. ((à ne plus vouloir ,, se séparer de lui.)) à en sortir tout doucement de son col collier aux anneaux flamboyants. "see ? you were...always with me.", quand il en avait trésor toujours contre les poitrines, comme pour l'aimer en secret, de ses cauchemars dissipés par les pleurs. "come back tonight...please...I...Pluton is waiting for you you know ? he is been searching for you everywhere...", qu'il venait à articuler, à se cacher contre son cou, enlacer sa taille un peu trop fort, quand il ne bougerait d'ici jamais sans lui. "please...it's your home...it doesn't make any sense if you're not here...and I just wanna be with you. I don't wanna see you go away." et les larmes remontaient, et il s'en voulait, et s'en voudrait toujours, peut-être, quand il n'y avait pas un jour où les têtes n'en étaient pas remplies par son visage. "let's escape from here. do you want to ?" d'une main à venir effleurer la sienne, jouer avec ses doigts comme un enfant bien trop apeuré ,, il ne le quitterait pas des yeux ! resterait tout près de lui : car ce soir brillent les regards , explosent les artifices. quand âme sœur retrouvée, il ne la laisserait plus jamais partir.
car il en possédait ,,
tout de lui,
Hyo.

♡ busan vibe & vocivus ♡

How'd it get so dark?
I saw stars

Saison des pluies, à en dévaster les visages, les goutes roulent comme des perles qui s'échappent d'un collier cristallin. Les rivières creusent les joues à la visages des torrents hivernal. ö monde qui s'est couvert de son manteau d'hiver, en a balayé les amants loin des corps, loin des espoirs. De ces coeurs massacrés dans les poitrines, de ces rêves qui ne brillent plus sous les éclats de la lune. Et un jour, le soleil reviendra.
Il reviendra, n'est ce pas ?
Peux-tu me le promettre ?
Des bras isolés, des poitrines fissurées, et les hésitations sont venues tout pourrir dans ces carcasses délaissées avec le temps. Les fleurs ne fleurissent plus, entre les côtés, entre les lèvres. La terre est sèche, quand les larmes ne sont pas assez pour en nourrir les beautés d'antan. Printemps qui peine à revenir, il est parti, il l'a laissé avec lui pour ne plus jamais revoir les rayons solaires, parce qu'il n'a jamais mérité leur beauté. Il était tout son monde ;
Tout son univers.

Petite perle brisée,
Les morceaux égarés sur le sol.
Et sous le regard des étoiles, les batailles cessent, il ne veut plus se tenir debout sur un champ de bataille qui n'a aucun sens. Il ne veut plus subir le froid de son absence, le vide de son manque. Il ne veut plus rentrer, se couvrir des ténèbres dans ses bras qui n'ont aucune odeur, aucune chaleur humaine. Pardon, pardon, pardon. Sauras-tu me pardonner un jour ?
Ô fil rouge à en relier les âmes, en relier les vies.
I love you. Murmuré, encore et encore, pour venir en faire taire ses paroles, dévorer son amour, laisser le monde les consumer ! Ces amants d'autrefois, ceux qui ne trouveront jamais bonheur ailleurs, que dans leurs bras. I love you. Comme un soupir, comme la plus douloureuse des blessures. Comme un soulagement, parfois, entre ses lèvres, quand il n'épouse que les siennes, ne s'éprendra toujours que de lui. Jamais un autre, jamais personne d'autre. Dans la nuit, il danse, dans ses rêves, il hante. Sae ne l'a jamais quitté. A en sécher les larmes, récoler la pluie du bout de ses phalanges, en embrasser ces joues manquées, se noyer, dans ses rivières, dans son regard qu'il n'a jamais vu aussi triste, dévasté. I'm so sorry. Tout est de ma faute. I want to go home... Please. With you... I want to sleep in your arms, wake up in our bed. I want to see Pluton. I want to see you, every morning, like before... Main à se lier à sa sienne alors que les corps se relèvent avec douceur, comme si le poids de la vie s'était soudainement envolé ! Comme s'il n'y avait plus rien pour en broyer les palpitants, pour en écraser les espoirs d'amour. Can we...? I really want to go... To our home. Again... Des larmes solitaires, à s'échapper encore, alors que ses doigts serrent les siens, de peur qu'il s'envole de nouveau, que tout ça ne soit qu'un mauvais cauchemar. Il a peur. Plus que tout. Il a peur de le perdre une nouvelle fois. Come... A le tirer avec toute la douceur du monde, pénétrer de nouveau l'appartement et en ignorer les âmes, les yeux qui se posent sur eux. Il s'en fiche. Il s'en fiche. Il n'y a que Sae qui compte, il n'y a qu'eux qui brillent à cet instant même. Dévaler les escaliers, quand il n'aurait pas le temps d'attendre l'ascenseur. Comme des enfants en fuite, les yeux qui valsent sur sa silhouette, parfois, pour s'assurer qu'il est bien là, que sa main ne lâche plus jamais la sienne ! Et en frapper les pavés, de nouveau dans l'air frais d'un printemps étrange. I... I have my car if you want to... I can drive... Ok? Le corps se tourne de nouveau vers lui, ses mains viennent entourer son visage, l'envelopper contre sa chair chaude, alors que ses lèvres se pressent contre les siennes. Et le ciel pleure, lui aussi, quand la pluie vient lentement les recouvrir, quand le sel s'écoule contre les mèches sombres, au milieu de nul part, au milieu de leur monde en miettes. I love you. Encore une fois, comme si ces mots étaient les plus précieux du monde.

♡ busan vibe & vocivus ♡

How'd it get so dark?
I saw stars

sortilège lancé :
pour en briser les rêves !
sans doute s'était-il pris à son propre jeu, à vouloir en abîmer les avenirs. mais ils étaient bien plus que de simples vers en latin prononcé, à en briser tous les sors : ceux déjà maudits par le destins. car les prophéties récitées ,, à ne jamais vouloir en quitter ses côtés ,, ô il vient déjouer les plans ! tenir sa main, embrasser sa peau, oublier le passé pour tout reconstruire à deux. car tout était bien trop douloureux, quand les pluies s'abattaient sur les visages, à fissurer les poitrines de tant de maux impardonnables. de quelques doigts à remonter à la surface de tout un monde, s'accrocher au soleil, se soulever jusqu'aux étoiles ! et qu'importe où il se trouverait, Hyo, il viendrait l'en retrouver coûte que coûte.
à l'aimer ,,
pour en oublier :
chacune de leurs peines.
c'est que les mots ne sauraient jamais en exprimer pourquoi les pulsants battaient aussi fort. à se sentir s'écrouler ,, sous chacun de ses regards : de ses paroles à en combler chaque blessures encrées sur la peau. venir se taire comme si plus rien ne pouvait sortir, il viendrait en aimer chacun de toucher, à lui venir embrasser ses paumes et tout son être ((car Saebyeok ne pourrait plus vivre)) sans l'avoir avec lui. Hyo en était protection d'un monde qui n'avait plus eu de couleur depuis bien trop longtemps, à vous tout épouser pour ne jamais le voir partir. et tout était bien trop triste, sans lui à ses côtés. de quelques excuses qui le firent secouer la tête, il y avait quelques sourires à se dessiner sur les lippes, quelques ébauches de douceurs, de ce à quoi il devait ressembler sur les esquisses d'un artiste amoureux.

que lui viendrait admirer :
comme s'il en était
muse lui-même !

"don't be. I don't wanna hear you being sorry.", quand à ses yeux, tout n'était dû qu'à son égoïsme. "let's do that. we will sleep together, wake up together, cuddle with the cat. you'll be able to do all of that.", qu'il resserra tout doucement sa main, à en embrasser les doigts sans échapper à sa prise. "of course. after all it's you home too. what. should we break up every time we argue ? let's do something else. even if we argue...I beg you to not go away, understood ?" qu'il en déposerait quelques baisers sur les joues, à vouloir sécher toutes les larmes du mondes ,, quand miracles s'en écouleraient de nouveau sur leurs épidermes. tristesse balayée par les retrouvailles, à venir le surprendre légèrement, il se laissa tirer tout doucement, tête à presque timidement se baisser quand il en glissait ses doigts entre les siens ; il en ignora tout un monde, des escaliers jusqu'aux airs nouveaux : à pouvoir enfin respirer. car ils en étaient inséparables, de ces quelques amours ,, frissons à le parcourir ,, enfants à se rejoindre : pour en être enfin complets.

regard presque perdu ! quand les joues enrobées de douceurs il en laissai les regards se fermer ,, de ces baisers à en réchauffer les corps sous les pluies. il n'y aurait plus qu'eux, à présent : comme symphonie à se répandre dans leurs veines pour en donner un peu plus de bonheurs aux mélodies. à venir l'enrober dans ses bras comme pour le couvrir de quelques gouttes, glisser ses mains contre sa nuque pour ne plus le laisser partir ,, il y aurait les caresses contre sa peau ,, quelques rires à se dissiper ! pour en laisser les affections s'épanouir un peu plus. "you can drive really ? don't you know I really love when you drive ? or maybe it's just because it's you." à en insinuer là qu'il l'aimait bien trop ! pour réfléchir convenablement, quand les épaules en finiraient à se noyer dans les airs , de quelques lèvres à se déposer sur les fronts. "let's go or you'll catch a cold.", qu'il en tira un peu plus les corps pour le protéger de la pluie, quand les regards en cherchèrent tout autour d'eux le véhicule. "there right ? hurry, I wanna hug you even more once you'll be back home.", qu'il s'amusa à tout doucement l'emmener avec lui, sans le lâcher du regards. "show me how you drive. you're not tired right...?" et il en aurait dû mal à lâcher ses doigts ,, quand il faudrait pourtant s'en décoller juste un peu : pour le retrouver un peu plus.
quand les yeux,
n'avaient jamais cessé
de se poser sur lui.

♡ busan vibe & vocivus ♡