my face : pseudo : moonlight sosie : fukutomi tsuki (billlie) crédits : moonaetics multi : Byun Aidan, Ihn Mikkel, Song Hyeran ; Moon Kyubin
maybe i got mine but you'll all get yours.
here since : 23/07/2020 posts : 530 tw : alcool, drogue, prostitution, viol, mommy issues, pensée suicidaire, depression
home : suyeong, dans un appartement délabré job/occupation : gogo-danseuse malgré elle. age : 二十一歳。 heart status : broken. vice : présence ultra-réduite. dark vice : inexistant. about me :
she who dreamed of oblivion craved for the sweet cold
of a blade
cutting through her veins
with love
gogo-dancer single, panromantic poor, bastard, disgrace
D I S G R A C E
Misfortuna, there is no escape my dear.
⇄ ◃◃ ⅠⅠ ▹▹ ↻
ALL MY BODY EXPOSED, MARKED UP BY YOUR SHADOWS
blessed be your father mensonge de la bouche du diable, promettant un paradis au bout de la quête ultime, paradis inatteignable, éphémère. 彼は私の父ではない。néant, déception de l'espoir naquit sous le toit de la pauvreté, mais le diable ne tut guère ses inventions. « on le trouvera un jour, tout ira mieux » imposture d'un sot idéaliste, jour après jour il imposa son imagination comme vérité, jusqu'à que la princesse quitta le palais.
like mother like daughter des dires hantant les pensées de la princesse, infamie des plus ignorants, avanie du peuple extérieur. 私は母とは違う。refus catégorique d'accepter une quelconque similitude, offense personnelle, princesse coupa tout pont pour prouver son dégoût. disparité familiale, le mot "famille" perdant de son utilité, de sa logique, princesse orpheline, abandonnée du monde.
sins run through the family elle si naïve, elle ayant toujours espoir, mot qu'elle supprima enfin de son vocabulaire, corrompue par autrui. 私はあなたを信じていた。dire d'un paradis où l'art domine ce monde, où elle en serait enfin appréciée à sa juste valeur. mensonge. mensonge éternel, touchant à sa naïveté jusqu'à lui percer la peau, lui prendre chaque once de naïveté, de pureté toujours présente en elle. sale. c'est tout ce qu'elle est.
lies will show the light seule et unique façon d'imaginer un monde où elle n'existerait pas, les mensonges, rêves de la princesse, rêve d'une idylle. 元気でやってます。elle se le répète jour après jour bien que sa propre voix n'est que blessure, espérant qu'un jour ce mensonge soit vérité. espoir présent au fond de son regard, noyé à travers le désespoir et la haine de ce monde dont elle fait partie. si la fin était la libération qu'elle attendait tant ?
you're not worth it des mots prononcés par une voix intérieure, prenant forme de son père inconnu, son unique espoir de liberté. 私は死ぬ価値もない。chaque passion prenant forme de sanction, chaque plaisir devenant douleur, elle ne connaît que la souffrance, l'éternelle peine. son monde ne veut d'elle que pour la réduire à néant, détruire chaque once de beauté en elle pour la faire disparaître à petit feu.
become what you aren't sourire éternel sur un visage enfantin, masque qu'elle met au monde pour cacher ses larmes. 誰も見てはならぬ。façade d'une princesse souriante, maîtresse de son palais, couverte de richesse, en réalité seul néant est son compagnon. elle n'a plus rien, famille, argent, dons, talents, elle fut retirer chacune de ses possession pour corrompre leur utilisation, ou les faire disparaître. elle n'a plus rien. et ceci restera ainsi.
tear drop.
l'unique libération qu'elle présenta au monde, la danse, présence de musicalité dans chaque recoin de son petit corps, elle ne cesse de bouger sa silhouette dès qu'elle entend le moindre son. son unique amour depuis toujours, la seule chose qu'elle ne pourrait jamais regretter de sa vie.
tear drop.
visage doux, féminin, enfantin, et pourtant elle était plutôt appréciée pour ses fins détails auprès de son voisinage. des propositions de mannequinat, de publicité, et pourtant, elle en refusa toutes sans exception. s'ils étaient venus la voir, il fut quatre ans, peut-être, naïve fut-elle, aurait-elle accepté.
tear drop.
bilinguisme, si non plurilinguisme total, elle se sait compliqué rien qu'à la vue de son prénom, assez inconnu au bataillon des coréens, et même des japonais. cependant, sa signification ❝ pluie noire ❞ lui plaît particulièrement. elle ne cessera donc jamais de répéter qu'il se prononce a-mi-ya et non a-fu-mi-a. il s'agit d'une contraction des kanjis 雨 ame et 深夜 shinya.
tear drop.
présence réduite sur les réseaux sociaux, elle partage pour autant des clichés d'une vie qu'elle aimerait vivre, joyeuse, simple. un visage photogénique, et elle en est consciente, elle déteste pourtant se voir en photo ou même voir sa propre réflexion dans un miroir. elle ne possède d'ailleurs qu'un seul miroir chez elle, le petit miroir de sa trousse de maquillage, et nulle part ailleurs.
tear drop.
rêve de musique détruit à néant, incapacité d'être sous les projecteurs, de nouveaux rêves durent être crée. quelque chose ne demandant la présence de personne d'autre qu'elle et rien de plus. la pâtisserie, rêve de sucrerie étonnant pour une jeune fille n'aimant pas particulièrement le sucre, mais la création de biscuit, gâteaux, entremets, en forme de petites création adorable, quelque chose qu'elle peut parfois faire, quand elle en a les moyens, et quand personne ne peut être là.
even angels fear death
— likes
music ; cold blades ; d a n c e a l l n i g h t ; satoori ; baking ; dark humor ; rainy days ; stray animals ; d e a t h ; hot/cold tea ; ( european languages ) ; hurting ; hot summer ; chaotic neutrals ; butterflies ; sweet but psycho ; empty night skies ; turn up the music ; emptiness ; a smile hurts the most ; singing ; faceless body ; live instruments ; women power ; actions against words.
— dislikes
" a r t "; body heat ; mom and dad ; Christmas ; joy ; hopes and dreams ; most J-RPGs ; long brown-haired guys ; dirty money ; sexualizing words ; H I M ; "you look cute today" ; over-thinking things ; snow ; taxes ; police ; laws and judges ; one dimensioned people ; happy-go-lucky ones ; cutsy music ; the color purple (not the film) ; lawful goods ; lawful evils ; "you need to wait [redacted] to continue" ; claustrophobic places.
scared of the unknown
et si à travers ces technologies était la preuve de sa corruption ? et si une seule personne d'autre que lui possédait les preuves qu'elle n'est rien d'autre que le sosie de sa mère ? après tout, tout ce qui est numérique est sauvegardé jusqu'à la fin des temps n'est-ce pas ?
can we talk? not anymore
masque toujours présent en sa personne. elle va bien. elle va toujours bien. elle ne montre jamais une larme, jamais une peine, une action prouvant le contraire. mais le monde technologique et son peuple indomptable, il fait bien plus peur qu'un ignare pourrait ne le croire.
my face : pseudo : moonlight sosie : fukutomi tsuki (billlie) crédits : moonaetics multi : Byun Aidan, Ihn Mikkel, Song Hyeran ; Moon Kyubin
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dans une région non lointaine des terres coréennes naquit une jeune fleur, une jeune princesse dans le froid de l'hiver. son corps, frigorifié, contre celui de la reine, signifiait le début d'une toute nouvelle histoire, d'une toute nouvelle épopée dont la jeune fleur en serait l'héroïne, ou l'antagoniste. seul le destin nous annoncera la couleur de son existence en ce monde.
I — Préface
fille de la belle reine, madame yamauchi fut connu pour son éternelle beauté qui ferait tombé n'importe quel homme. venant tout droit du pays du soleil levant, son visage rond et pourtant si fin, sa peau blanche porcelaine, ses cheveux noirs néant, ses yeux dont même un aigle ne pourrait les percer, elle avait ce que tout homme voudrait en un seul corps. la famille même yamauchi, venant des lointaines montagnes du japon, ne fut jamais une famille agréable au monde extérieur. haïssant la technologie montante dans leur pays, le règne du plus fort et du plus intelligent, ils priaient les dieux pour retourner au temps où tout était bien plus simple, où l'homme commandait sa famille jusqu'à la félicité, femmes et enfants l'attendant triophalement pour le féliciter de ses travaux. cependant, la reine n'aima jamais pensé à son futur ainsi, de retourner aux sources, d'être une femme trophée, et rien de plus. prenant ses pitoyables affaires, elle fuit sa grande famille jusqu'aux limites du pays afin de ne plus être tourmenter par leurs multiples accusations. un monde de liberté, de puissance pour homme et femme de façon égale, une utopie dont elle rêvait pour elle et les futurs générations, elle abandonna l'argent, la notoriété, le pouvoir pour s'offrir un monde plus adéquate pour sa présence.
seulement, les yamauchi, bien qu'inconnu dans le pays qu'elle venait d'entrer, ne sont guère des personnes lambda que le monde oubliera quelques secondes après leur mort. fervents pratiquant du shugendō, offrant soins, protection, aides pour la reproduction, divination, oracles, la reine a toujours cru que leur lien avec le mal et le bien était fort, et qu'en respectant une balance entre les deux, rien de mauvais ne devrait arriver. cependan, son départ semble avoir fait tomber cette balance, se sentant jour après jour source de malheur pour elle et tout ceux d'autour d'eux, maudite par les siens. ceci n'allait pas l'arrêter dans son but d'atteindre la vie dont elle rêvait, même si elle devait faire les plus grands sacrifices afin d'atteindre son but. et ces sacrifices, qu'elle voulait restreint, se multiplèrent jour après jour pour devenir son quotidien, une vie brisée pour une jeune femme sale. sans argent, rien n'était possible en cette terre, personne ne voulait l'aider, personne ne souhaitait lui donner un léger coup de pousse, et la reine se sentait perdre son trône jour après jour. cependant, une chose que beaucoup d'hommes peuvent dire, à travers les périodes de notre terre : tout homme rêve de coucher avec la reine. et ceci, aussi brisant fut-il pour elle, fut son quotidien pour quelques pièces de monnaie.
sale, mais en vie, ce fut tout ce qu'elle préféra se dire. elle avait réussi à se faire un petit habitat, un endroit où vivre dans les quartiers pauvres de la ville où elle s'était installée. le mot de sa présence se faisait passer couramment par les hommes du village, se tenant tous au courant de leur passage chez elle, tour à tour, comme si ceci était correct, naturel et normal. cependant, la reine le savait très bien que ce qu'elle offrait était un crime même ici. les soldats du pays lui ont mainte et mainte fois répété de trouver quelque chose de mieux pour elle, un vrai métier, quelque chose qui l'aiderait dans sa vie, mais rien ne s'offrait à elle d'autre que ses perfides hommes. la reine se vut en refuser certains, de nature violent et alcoolique, et ceci l'apporta aux portes glacées de sa prison plus d'une fois. dernier moment où elle s'y retrouva, son corps changeant, se sentant comme si les âmes qu'elle avait touché la torturer autour intérieurement qu'extérieurement, son corps rejetant le mal chaque matin afin d'accueillir le jeune bonheur de sa vie, un corps grandissant dans le sien. afin de s'occuper de cet enfant, et de la mère, ils la laissèrent fuir cet enfermement, sans oublier de lui dire de ne plus s'avouer à des pratiques si dégradantes. maintenant qu'elle avait un héritier en chemin, elle refusait de le condamner à une vie si malsaine que la sienne.
II — la nouvelle ère
c'est une fille, miracle accompagnée d'une malédiction, présence doublement féminine en cette antre pauvre, la reine avait mit au monde à la princesse de ce monde, et elle le regretta instantanément. pensant à tout ce qu'elle avait vécu en tant que reine de ce monde, en tant que saleté d'objet, elle refusait que sa fille suive son chemin, ou même qu'elle la voit dans de telles positions. chaque pensée traversant son cerveau, se débarrasser d'elle grâce à la rivière, à l'orphelinat de la ville proche, à une famille qui voudra de ce doux visage, mais elle en fut incapable. elle était son trésor, son unique trésor et fierté, preuve de sa libération proche, preuve que les dieux n'étaient pas contre elle. tant de parole, d'espoir, de croyance qui envahir ses pensées, elle s'imagina des mondes où le royaume serait celui de sa fille, que tout lui tombera dans les mains, que son père était un riche homme qu'elle avait croisé, qu'elle avait une famille de son côté qui l'attendait, tant de fabulations.
malgré les mises en garde, la reine ne put s'empêcher de retourner vers la seule façon disponible de gagner quelques pièces, devant maintenant également faire en sorte qu'elle puisse donner le meilleur à sa nouvelle petite fille, tout en faisant attention à ce qu'un enfant ne soit pas à nouveau en chemin. plus critique, plus précise, tout en gardant cette idée de "simple d'accès", elle apporta le stricte nécessaire à sa petite fille, grandissant en voyant le corps de sa mère constamment souillé, insulté par le peuple, par les autorités, maltraité par chaque homme sur terre. et pourtant par folie, ou sous son terme correct et médical — mythomanie pathologique — la reine ne voyait que champ de fleur et ciel bleu pour le futur de sa fille. rien que son visage, grandissant lentement à ses côtés avec les années, rond, doux, si pur, elle ne pourrait jamais finir comme elle, et jamais elle ne finira comme la reine. il était fin temps de trouver ce que le destin réservé à la princesse. amour, gloire et beauté ne semblait pourtant pas vouloir pointer le bout de leur nez, mais la reine en était persuadée.
vivant dans un décor pauvre, des quartiers les plus mauvais de la ville, pauvreté inscrit sur son visage, sur ses habits, ses cheveux, personne ne semblait réellement vouloir de la jeune fleur, elle était toujours si vide d'émotion, de réaction, d'énergie, restant telle une plante sur le chemin des autres, sans jamais dire un mot. même alors que les ennemis du royaume proche venait pour l'embêter, lui lancer de la boue, la faire trébucher, elle ne clignait pas des yeux, telle une poupée de porcelaine, une poupée sans vie. et les années passant, elle ne bougeait guère de sa place, une poupée au visage enfantin, les yeux ronds, le regard perçant, mais jamais elle n'ouvrait la bouche. elle détestait parler la jeune princesse, car dès qu'elle ouvrait la bouche pour dire quelques mots, tout ec qu'elle entendait était la voix de sa mère en elle, les résonnements de leur ressemblances. bien qu'elle soit jeune, elle était sûre d'une chose, c'est que la vision, la pensée-même de sa mère lui donnait envie de vomir. qui sait comment elle avait compris, si on lui avait expliqué ce que sa mère faisait pour gagner de l'argent, entendre les jurons, insultes qu'on lui faisait pour qu'elle la haïsse plus que tout. ou alors ceci venait peut-être de l'idée de son père.
un grand homme, une phrase qu'elle lui dit jour après jour, espoir d'un monde meilleur quand elle serait reconnu par son père, fuir vers la capitale, et vivre la vie de princesse qu'elle aurait dû avoir. mais après de nombreuses recherches, par le peuple voisin, par les archives du village, jamais une quelconque personne si haut placé comme elle lui faisait entendre n'avait déjà posé les pieds sur leurs misérables terres. un homme se disait même être son père dans ce village-même, sans pour autant réclamer ce titre, la voyant comme sa mère un jour où un autre, dans ses mots "de mère en fille, tu finiras par faire les rues". but ultime de ne jamais devenir comme sa mère, de retourner vers la famille qui voudrait d'elle, loin de cette toxicité, mais même eux, loins à travers la mer, ne voulait pas d'elle. personne ne voulait jamais de la fille d'une prostituée.
la princesse grandit pourtant avec un léger arrière-goût d'espoir dans sa gorge, l'espoir qu'un jour, elle trouvera le bonheur dans ce monde à travers une action, une personne, une situation, ce n'était vraiment pas grand chose ce qu'elle voulait, mais c'était déjà bien plus que le monde ne voulait lui offrir.
III — la décadence
cet espoir qui ne voulait pas quitter son corps se présenta sous la forme d'un art parmi d'autres, la danse en particulier. elle qui avait toujours aimé la musique, la façon dont chaque personne répond différemment à chaque son, chaque air, elle n'avait jamais eu d'entraînement, elle n'avait jamais eu l'argent pour de telle chose, mais elle avait bien décidé qu'elle allait fuir les griffes de sa mère et se montrer victorieuse contre toutes attentes, capable de se faire une vie qui ne se reposait sur le fait qu'elle soit la fille à sa mère. elle se sentit plus forte que le destin, capable de défier le monde. avec ce nouvel espoir en main, la princesse annonça la chose noir sur blanc à sa mère, son plan de partir le plus tôt possible de ce village, de fuir loin d'elle pour tant de raison possible, et ceci avec aucune peine, aucun remord. à ses yeux, sans sa mère, elle serait capable de tout, capable de vivre sans une ombre sur elle. quel âge avait-elle ? probablement quatorze ans quand elle avait décidé de prendre toutes ses affaires et partir de la maison, sans rien laisser derrière elle, de façon de la retrouver, de la contacter, elle avait coupé tout lien avec sa mère, direction la ville la plus grande du coin, Busan. la danse l'avait amené à tout ces choix, à ce courage qu'elle n'avait jamais eu avant, à savoir si ceci était une bonne idée. vivre seule, en pleine rue, de sa passion, ça ne marchait pas toujours.
rencontre de plusieurs personnes auxquelles elle manqua de mentionner son état de logement, la princesse se trouva une place parmi d'autres personnes aimant la même chose : la danse. un groupe avec qui elle pouvait s'exprimer sans s'inquiéter des conséquences de sa vie, de tout ce qu'elle ne pouvait pas décider. elle se sentait capable de tout, d'avoir des amis qui pourrait l'aider à traverser ce moment compliqué, à travers sa voie vers le futur qui l'attendait. et ensemble, dansant jour comme nuit, fut également le moment où elle rencontra son amour pour les instruments en soi, elle qui n'avait pas le talent d'y jouer, admirer ceux qui en était capable, les étoiles dans les yeux. il n'y avait pas à dire, partir vers la ville était la meilleure décision qu'elle avait pu faire la jeune princesse, son peuple était probablement ici, et non partout autour comme elle avait pu essayé de le trouver.
au sein d'eux, elle y trouva des amitiés fortes, des liens qu'elle pensait imbrisable, et même son premier vrai coup de cœur, un jeune homme de son âge, jouant de la basse avec des amis, se réunissant au même endroit qu'elle et son petit groupe de danse. l'espoir donne envie de plus, de chercher le plus positif de chaque expérience, et rapidement, la jeune princesse au cœur encore sensible, se rendit compte qu'elle avait déjà donné tant. il avait cette petite chose qu'elle aimait beaucoup, cet air de mauvais garçon et pourtant très calme, un rire qu'elle adorait entendre, aussi simplement que ça, ils étaient le parfait petit couple d'adolescent du coin. le monde entier semblait alors tournait autour d'elle, du bonheur qu'elle avait enfin le droit de toucher avec tant de temps, et elle pouvait le dire, elle était heureuse. réellement heureuse.
mais alors que les étoiles brillent dans notre ciel, toutes ne sont pas toujours vivantes, et il en était de même pour le bonheur de la jeune fleur. rumeur de son état financier et d'hébergement se fit entendre, elle qui commença à nouveau à être vu comme le chat de rue, sale et probablement malade, plein de puce et autres parasites. elle fit lentement isolée de tout ceux qu'elle pensait être proche d'elle pour son rang social, pour sa position, et bien qu'elle était ainsi, pauvre, sans un sous, son copain semblait toujours apprécié sa présence avec lui. une chose qui lui donnait toujours cet air d'espoir qu'elle aimait tant recevoir, le fait que même si elle perdait cette danse à plusieurs, elle l'avait toujours lui. cela ne dura pas longtemps, ténèbres tombant sur les lieux, la nuit de Noël comme un cadeau pour les mauvais enfants, pièce de charbon tâchant ses mains, il lui posa une question simple, qu'elle avait espéré ne jamais entendre : j'espère que t'es pas comme ta mère. rhétorique pour lui, pour elle également, mais les deux avis divergent, la jeune fleur le comprit rapidement, que même ici en ville, l'ombre de sa mère ne l'avait jamais quitté. peu importe ce que son visage doux, mignon pouvait dire, son corps de jeune femme simple, sans surplus pouvait assumer, elle n'était jamais rien d'autre que la fille à sa mère. et aussi simplement, la voilà à nouveau seule, sans une seule personne voulait d'elle autour.
elle mentirait si elle ne se disait pas habituée par être seulement accompagnée par la solitude, elle mentirait tout autant si elle disait que ça ne la brisait pas de voir chaque grain d'espoir détruit en quelques secondes. la plupart des personnes de son âge, seize ans, serait accompagnée de beaucoup de personnes, des amis, de la famille, mais elle n'avait rien de tout ça. rejoignant son amie solitude fut également la maladie, en ce froid hiver, elle qui n'avait jamais assez pour se couvrir, ce n'était pas suffisant cette année-ci. toussant constamment, marchant comme un fantôme errant dans les rues de son ancienne ville, elle sortait de certains endroits et rentraient dans d'autres sans adresser la parole à qui que ce soit. après tout, personne ne voudrait lui parler n'est-ce pas ? un repas calorique et peu cher devant elle, bruits s'échappant de ses poumons, elle faisait comme si de rien était, comme si le monde était toujours ainsi pour n'importe quelle personne, jusqu'à ce jour où elle vit apparaître devant son plat, refroidissant doucement, une bouteille de sirop, posée par une main vieillie. une personne qui ne la connaissait pas, de nom, de vue, de son, lui offrant des médicaments, elle refusa à première vue mais il insista avec quelques mots doux, ne voulant pas voir une jeune fille mourir d'une maladie simple et soignable. alors qu'elle finit de manger son plat, ils parlèrent quelques temps comme deux inconnus feraient normalement rencontre, venant à lui expliquer ce qu'il faisait pour vivre, comme métier.
si seulement elle avait compris, elle aurait refusé, mais entendre qu'elle était jolie par une bouche ignorante lui semblait flatteur à l'époque. puis après tout, il lui offrait de quoi aller mieux, vivre quelques temps, le temps que l'hiver parte, chez lui en échange de quelques photos pour voir si elle était photogénique, pourquoi pas. elle n'était pas contre au fond, elle n'avait aucune idée si son visage était beau, attrayant, ou tout simplement bien fait, après tout, elle savait que sa mère était une beauté d'après les hommes de chez elle, mais son père pourrait être le plus hideux des hommes. habillée d'un long pull la couvrant bien et d'habits d'hiver, elle ne voyait aucun mal à tester des photos avec cet homme, avec elle seule en mannequin. en regardant les clichés qu'il en avait tiré, d'elle avec un grand manque de confiance en elle, espoir pointa son nez à nouveau. les clichés étaient assez beaux même si simple dans leur façon d'être. et cet homme qui lui promettait de lui trouver un petit travail en tant que mannequin grâce à ça, ce n'était pas ce dont il rêvait, mais c'était bien mieux que le néant qu'elle avait maintenant. chaque mannequin devant avoir un portfolio, jour après jour, ils tentèrent de nouvelles photos, restant simples et jeune en accordance à son âge, se focalisant sur son visage, ses traits doux. à nouveau, lumière au fond du tunnel, elle voulait croire, vraiment y croire.
dernier jour d'hiver, elle qui avait eu ses 17 ans il fut quelques jours, elle était heureuse de se dire qu'elle avait trouvé un moyen d'avancer dans sa vie, de gagner un peu d'argent également, lui qui lui offrait une légère paie en guise de remerciement pour sa forme d'art que peu comprenait. elle s'était trouvé un petit endroit où vivre qu'elle devait encore payé avant d'obtenir, elle allait pouvoir vivre bientôt, enfin. heureuse, elle alla prévenir le vieil homme qui avait pourtant bien vu que même derrière sa joie, elle était encore bien malade. lui offrant à nouveau une petite bouteille de médicament qu'elle prit sans se poser des questions, puis... néant. elle ne se souvient pas de ce qu'il s'est passé suivant les quelques minutes suivantes. et elle ne veut en aucun cas s'en souvenir. juste le regard qu'elle eut en voyant sur l'appareil du vieil homme son corps plaçait dans certaines positions sans le moindre tissu la couvrant, la douleur qu'elle ressentait au fond elle, il n'était pas compliqué de comprendre. encore une fois, la voix de sa mère résonnant dans sa tête, elle était au fond encore juste comme elle, et bien qu'elle essayait de ne jamais le devenir, elle était bien la fille à sa mère. tentant de fuir aussi vite qu'elle le peut entraîna pourtant une dispute entre les deux, elle l'accusant de l'avoir droguée pour l'utiliser, et lui de ne pas comprendre "l'art" qu'il avait pourtant accompli grâce à elle. si elle ne voulait pas que ceci finisse par trouver son chemin sur internet, elle devait obéir, se faire petite et ne pas se plaindre, chose à laquelle le mot choix n'était même pas en question. espoir de nouveau détruit, et son âme entière ne voulait pas rester en elle, juste fuir ce buffet de malchance.
chance ou karma, ou destin, peu importe le nom que l'on veut donner à la suite des évènements, un feu dans la résidence laissant les outils du vieil homme, et la plupart de ses possessions comme cendre, impossible à réparer, réduite à néant. pour la princesse, se fut le moment où elle put courir pour trouver sa liberté, avant qu'elle ne l'est plus jamais. retrouvant refuge dans son propre petit appartement délabré, elle n'en sortit que pour payer le loyer et parfois manger, garder son corps en vie, bien qu'elle se sentait si sale, inutile, punching-ball du monde entier, à quoi bon rester en vie quand le monde entier ne veut que te faire souffrir ? et pourtant, même si elle y pensait à tout arrêter maintenant, elle qui avait essayé si longtemps pour ne rien avoir, elle avait peur. peur de mettre fin à tout elle-même, ironique n'est-ce pas ?
IV — la résurgence
qu'est donc arrivée à la pauvre jeune fleur qui avait pourtant tant de choses pour elle d'après sa mère ? le monde n'a jamais été bon pour elle, bien qu'elle a trouvé moyen de subvenir à ses besoins sans tomber dans les pièges des êtres pervers et avares. peur de la technologie pour leur possibilité de retrouver tout trace en leur code de chose ayant exister un jour, elle maintient une présence minime sur internet, de quoi savoir qu'elle vit, mais rien de plus, rien de moins. se cachant constamment derrière des vpn et des pseudos différents, elle partage très peu sur sa vie, ce qu'elle fait, dont elle vient, famille amis, avec une touche d'humour à sa façon. aujourd'hui, bien qu'elle ne fait confiance à probablement personne sur cette terre, la jeune princesse s'ouvre légèrement au monde mais jamais assez pour réellement apprendre à la connaître. chaque rencontre est une connaissance mais le mot ami n'existe pas, et ceux pensant l'être n'ont aucune idée de la personne qu'elle ait en dessous des destructions de sa bâtisse. elle put trouver des choses qu'elle aime à nouveau, comme la pâtisserie, mais elle ne partage absolument aucune de ses passions avec d'autres personnes, de peur qu'elle en soit rejeté à nouveau. ce dégoût, naissance sur son visage et inscrit comme à l'encre noir, elle l'éprouve pour la race humaine en général. l'héroïne n'est plus, et elle n'a jamais été, l'antagoniste elle n'est même pas, rien qu'un personnage passant et partant, sans importance.
« en ce doux hiver, je souhaite à nouveau la même chose, chaque année. la douce embrace de l'être qui ne peut être vu à l'oeil nu, sa main si froide, ou serait-ce sa faux ? autour de mon cou, appuyant doucement jusqu'à qu'enfin aucun souffle n'y trouve sa place. »
étudiant en mode, streamer, cosplayeur (onlyfan dispo)
age :
vingt quatre ans.
heart status :
amoureux de son amie vtuber depuis quelques mois déjà, il n'a jamais vu sa tête, n'ayant alors entendu que sa voix. relation très probablement vouée à l'échec.
vice :
oui.
dark vice :
oui aussi.
about me :
Beg me for mercy
Admit you were toxic
You poisoned me just for
Another dollar in your pocket
home : en colocation avec l'insu(pportable) job/occupation : étudiant en mode, streamer, cosplayeur (onlyfan dispo) age : vingt quatre ans. heart status : amoureux de son amie vtuber depuis quelques mois déjà, il n'a jamais vu sa tête, n'ayant alors entendu que sa voix. relation très probablement vouée à l'échec. vice : oui. dark vice : oui aussi. about me :
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amoureux de son amie vtuber depuis quelques mois déjà, il n'a jamais vu sa tête, n'ayant alors entendu que sa voix. relation très probablement vouée à l'échec.
oui.
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my face : pseudo : votre boulet de service aka Hanatsuki sosie : Choi Chanhee (tbz) crédits : ASAMOUR VRM MA VIE (vava) + ice and fire (sign) multi : Choi Haeseong; Park Songki, Lee Ash, Han Daehyun, Seon Jaehee
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here since : 30/07/2020 posts : 2847 tw : rude language
home : Suyeong, avec les familles recomposées sous les appartements. job/occupation : combini, vendeur, jusqu'aux splendeurs. age : 23 ans, heart status : aux emprises des ((douceurs)) vice : ô jamais ouverte. dark vice : ô jamais utilisée. about me :
:OOOOOOOOO ça va pas Moon de faire des oeuvres d'art ??????????? Ta fiche est si belle ???? je me remettrai pas de ton aes c'est fini . Ta plume ???? la gamine ,??? oh la la c'est trop faut la protéger snif y'a pas . trop précieuse snif c'est bon trop hâte de la voir parmi nous snif et de lire la suite ofc parce que ???
REBIENVENUE à la maison chaton
Yamauchi Ahmya adore ce post
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Sujet: Re: do you ever feel like dying ? ⋯⋅๑ ahmya -- Jeu 30 Déc - 17:34
Ancien étudiant en science-politique, il débute en tant que acteur et mannequin
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24 yo
vice :
Comment être contre ? L'application lui facilite la vie, elle permet surtout de lui donner un avenir dans son métier
dark vice :
Mitigé, ça le laisse perplexe de voir des gens contre Vice.
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my face : pseudo : La faible 2.0 sosie : Choi San(gel) crédits : eccohspell multi : Deiji - Raven here since : 20/02/2021 posts : 202 tw : harcèlement, automutilation
job/occupation : Ancien étudiant en science-politique, il débute en tant que acteur et mannequin age : 24 yo vice : Comment être contre ? L'application lui facilite la vie, elle permet surtout de lui donner un avenir dans son métier dark vice : Mitigé, ça le laisse perplexe de voir des gens contre Vice.
La faible 2.0
Choi San(gel)
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Deiji - Raven
20/02/2021
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harcèlement, automutilation
Ancien étudiant en science-politique, il débute en tant que acteur et mannequin
24 yo
Comment être contre ? L'application lui facilite la vie, elle permet surtout de lui donner un avenir dans son métier
Mitigé, ça le laisse perplexe de voir des gens contre Vice.
Sujet: Re: do you ever feel like dying ? ⋯⋅๑ ahmya -- Dim 2 Jan - 21:18
my face : pseudo : moonlight sosie : fukutomi tsuki (billlie) crédits : moonaetics multi : Byun Aidan, Ihn Mikkel, Song Hyeran ; Moon Kyubin
maybe i got mine but you'll all get yours.
here since : 23/07/2020 posts : 530 tw : alcool, drogue, prostitution, viol, mommy issues, pensée suicidaire, depression
home : suyeong, dans un appartement délabré job/occupation : gogo-danseuse malgré elle. age : 二十一歳。 heart status : broken. vice : présence ultra-réduite. dark vice : inexistant. about me :
@Yoon Saebyeok MORE LECTURE MAINTENANT ON PEUT VRAIMENT PAS DIRE QUE Y A RIEN pour protéger tho, bonne chance, c'est un attire malchance et elle a zéro confiance en les gens mais happy qu'elle plaise
AAAAAAAAAH bon euh déjà tsuki ??? ce choix de dingue vraiment in love !! le pseudo ? vraiment la beauté je l'aes j'en parle pas (j'ai vu celui de tao ) bref euh moon ça va pas de faire des folies pareilles ??? genre je m'en remet comment moi après ???? et j'parle même pas de la fiche ? les anecdotes ? l'histoire ?? bon j'avoue qu'au début j'étais giga paumée parce que ça fait un peu genre ancien temps, mais j'adore la tournure ? genre c'est original mais vraiment ?? ahmya need a fucking protection squad !!! y a pas à la faire souffrir de la sorte ??? I DON'T AGREE DAMN !!! j'sais pas qui serait le mieux placé pour la protéger parce que gene c'est pas la peine, tao is a mess, maybe yohan ?? mais damn please give me lien i need !!!! non vraiment j'suis fan ?? tu déçois jamais !! et vraiment j'ai si si hâte de voir cette petite en jeu parce que wow ?? elle a une palette incroyable et j'suis giga fan bref amoureuse moi ? non du tout (vois pas de quoi vous parlez) rebienvenue à la maison chaton et amuse toi bien avec ta poupée
▬ Félicitations Tu as passé la pire épreuve : la fiche de présentation. Te voilà désormais membre officiel du forum, we stan. Le travail n'est toutefois pas fini, il faut que tu vérifies si ton avatar se trouve bien dans le bottin et que tu postes les différents sujets obligatoires. Il y a l'activité rp, la fiche de liens et bien sûr si ton personnage est concerné : vice et dark vice. Tu trouveras aussi des catégories plus sympathiques comme l'aesthetic, instagram et le portable. N'oublie pas de passer dans les différents bottins, logement et métiers. On ne voudrait pas te voir sans travail, ni maison. Ensuite, tu peux rejoindre le flood ici. Tu pourras aussi demander à avoir un parrain/marraine pour te guider dans tes premiers pas sur le forum. Et on a également un serveur discord, n'hésite pas à le rejoindre si l'envie te prend Pour toute question, adresse-toi à un admin.
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eijfhdrsidou oui j'ai piqué sans peur ton petit truc sur la prez de tao parce que c'était beau et je me suis que tu m'en voudrais pas (je me suis également battue avec, c'était bien drôle) et oui j'ai décidé de tout faire de la façon la moins claire possible mais c'est parce que mon cerveau est un vrai mess mais avec plaisir un lien tu sais que je suis toujours open pour ça avec toa
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Sujet: Re: do you ever feel like dying ? ⋯⋅๑ ahmya --
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j'espère qu'elle en aura pas marre d'Harin par contre 
parce que ça fait un peu genre ancien temps, mais j'adore la tournure ? genre c'est original 
